Il était là… 1 – Sous la pluie par Joy01

Il était là…
Il était là, sous la pluie, qui la regardait pour la 3ème nuit. Comment
oserait-il enfin à l’aborder ? Il n’arrêtait pas de se dire qu’elle n’était
pas pour lui… Mais ce soir il lui demanderait enfin de la suivre. Il
s’approche doucement avec la voiture, descend la fenêtre de la portière et
lui fit signe de venir vers lui. Il ne lui arrivait pas souvent d’avoir
cours à ce stratagème pour prendre du plaisir, mais la fille le hantait
depuis qu’il l’avait aperçût le soir qu’il rentrait du bureau. Elle lui
demande ce qu’il veut et sans hésiter il lui demande s’il elle accepterait
de le suivre pour la nuit. Il voulait d’elle quelque chose de particulier et
elle devait faire tout ce qu’il désirait d’elle. Elle lui dit que pour la
nuit il devrait payer un millier de dollars mais que pour des choses
particulières, 500 dollars devait se rajouter au premier montant. Il lui fit
signe de monter dans la voiture et démarra. Elle devait s’attendre à
n’importe quoi, elle en avait tellement vu de ces hommes avec des fantasmes
délirants et quelque peu bizarre.

Il arrête la voiture devant une maison d’un quartier tranquille et sans
histoire. Il fit le tour de la voiture et la fit descendre. Elle le suivit
sans dire un mot et monta les quelques marches qui les séparaient de la
porte d’entrée. A l’intérieur, il lui demanda si elle voulait à boire en se
dirigeant vers le petit bar près de la cheminée.  » Un rhum  » pour se
réchauffer demanda la très jeune et jolie jeune femme. Une femme d’une
élégance racée, rien à voir avec toutes celles qui faisaient le même métier
qu’elle. Des cheveux châtain et bouclé jusqu’au milieu du dos, des yeux
couleur noisette et une bouche qui donne envie d’être embrassée pendant de
longues heures. Elle avait teinté ses joues d’un rose comme celui de ses
lèvres. Son corps mince et élancé, lui donnait grandement envi d’elle. Il
avait deviné des formes généreuses mais ferme comme celles de sa superbe
poitrine. Des seins d’une rondeur parfaite, avec des mamelons légèrement
pointés qui donnait le goût de les sucer, de les pincer de les prendre
entièrement dans la bouche pour les étirer encore plus. Elle semblait
fragile, douce et timide pour le métier qu’elle pratiquait. Elle était
surprise de cette demande. C’était la première fois qu’on lui demandait
cela. Pourtant elle en avait tant exécutées… Mais il payait alors c’était
donc lui le maître, celui à qui elle devait plaire et faire plaisir et elle
savait comment s’y prendre. Douce et timide pour le métier qu’elle
pratiquait.

Ensemble, ils prirent lentement leur verre et se parlèrent doucement. Elle
lui demanda où il voulait que son fantasme se déroule et il lui dit qu’il
avait la place parfaite et la pièce était déjà toute préparée pour
l’occasion. Il avait même pensé aux vêtements qu’elle devait porter et lui
demanda de le suivre. Elle se surprit à le détailler. Il était de beaucoup
plus grand qu’elle, brun de cheveux et de yeux et large d’épaules. Lui non
plus n’était pas comme ceux à qui elle avait l’habitude. Il était posé,
calme. Il la regarda et lui demanda de descendre à la cave.

– Voilà, nous y sommes et ce sont les vêtements que tu dois porter

Elle se déshabille sans dire un mot et revêt les vêtements qu’on lui demande
de porter. Que du latex. Noir. Elle adorait porter ce genre de vêtements.
Une longue robe très étroite avec un décolleté si profond qu’il laissait
presque tout voir sa belle poitrine. Il ne manquait rien de ce spectacle.
Elle prenait son temps, car elle savait qu’il ne perdait rien des gestes
qu’elle faisait. Il caressait, doucement, son membre qui commençait à
prendre forme sous son pantalon kaki. Elle était d’une beauté… et
tellement sexy sous ces vêtements. Elle enfilait les bas et les jarretelles
avec des gestes précis mais d’une sensualité rêvé. Des souliers à talon
aiguille, traînaient près du lit. Il aimait les talons et il lui ferait
savoir plus tard ce qu’il attendait de ces souliers. Il était très bandé
maintenant, mais il lui laissa le temps de mettre les gants en latex qu’il
avait choisi avec la robe. Il lui demanda de placer ses cheveux en chignon
sur la tête et elle s’exécuta. Elle était maintenant magnifique. Elle se
tenait devant lui et attendait ses ordres. Il se masturbait sans dire un mot
en la regardant droit dans les yeux. Il voulait lui faire savoir qu’elle
avait un effet fou sur lui, habillée de cette façon. Il éjacula et se
détendit encore plus. Elle savait que de cette façon, il lui faudrait être
encore plus à la hauteur de ce qu’il attendait d’elle. Mais elle savait s’y
prendre, on ne disait pas d’elle, qu’elle était une reine du plaisir pour
rien. Il se leva et en la laissant sur place, monta prendre une douche. Il
redescendit, nu, et se remit entre les mains de cette maîtresse. Elle
s’approcha de lui et lui demande de lui dire maîtresse à partir de
maintenant quand il aurait à lui répondre.

– Oui, maîtresse, lui répondit-il.

Il avait le cœur qui battait à rompre. Depuis si longtemps qu’il attendait
cela et il avait trouvé la femme parfaite pour lui. Elle le regardait avec
calme mais avec dans les yeux une étincelle qui lui plaisait. Elle lui
demanda de s’approcher du mur et de se mettre face à lui. Il tremblait
légèrement. Soudainement il avait peur de ce qu’il avait tant désiré. Elle
lui ordonna de placer ces mains en croix au-dessus de lui et l’attacha aux
anneaux qui étaient situées juste au-dessus de lui. La cave était parfaite
pour ce fantasme. Le sol était de terre et une odeur de moisissure s’en
dégageait. Les murs n’étaient pas fini non plus et étaient assez brute. Elle
attacha les poignets de cet homme à l’aide de cordes et fit de même avec ses
chevilles en écartant ses jambes. Il était maintenant à sa merci. Il était
vulnérable aux pires sévices. Elle le caressa doucement du bout de ses
doigts gantés de latex. Il tressaillit.

– Tu voulais du plaisir, lui dit-elle, tu en auras…

Elle s’éloigna un instant pour prendre un des outils placés à sa
disposition. Le fouet. Un long manche en cuir muni de petites lanières,
fines et agrémentés de nœuds. Elle fit un geste pour mettre ce fouet en
mouvement et d’un coup sec fit entendre le son des lanières sur le sol. Il
sursauta. Il tremblait de plus en plus. Du plaisir et de la peur se lu sur
ses yeux. Avant de commencer le traitement qu’elle lui imposerait elle lui
mit un foulard sur les yeux. Ce n’était pas dans les plans de cet homme et
il lui fit savoir. Il se démena pour ne pas lui laisser la possibilité de le
mettre. C’est alors qu’elle se recula et lui assena son premier coup de
fouet. Il cria en l’injuriant. Elle lui en porta un deuxième encore plus
fort que le premier en lui disant qu’il était mieux de ne plus dire un mot
car ça serait bien pire pour lui. Son deuxième cri resta au fond de sa
gorge. Elle revient vers lui et lui mis enfin le bandeau. Un bâillon n’était
pas nécessaire car elle voulait entendre ses cris de douleur. On pouvait
voir déjà sur son dos des enflures du aux premiers coups de fouet. Elle y
mit les doigts et appuya sur tout le trajet qu’elle suivait.

– Tu voulais du plaisir dans la douleur ?

– Oui, maîtresse lui dit-il. Je suis ton esclave et tu peux faire ce que tu
veux de moi.

– Mon esclave? Oui, tu peux bien le dire, car de toute façon tu ne peux plus
aller bien loin sale chien.

Elle rigolait maintenant. D’un rire sonore et vilain. Elle prit son verre et
en sirota quelques gorgées tout en les laissant couler sur les cicatrices.
Il hurla. Il ressentit des picotements et le froid du rhum. Elle était
excitée de tout ça et senti sa petite chatte se détendre et se mouiller
doucement au son des cris et des gestes qu’elle entendait et faisaient. Elle
approcha ses douces lèvres de son cou et commença à déposer des baisers,
tendrement et légèrement humide. Juste du bout des lèvres. Il ronronna. Il
adorait cela. Mais il se doutait bien que ce n’était qu’un intermède aux
coups de fouet. Elle fit un geste pour coller son corps de latex au sien et
continua à promener des lèvres et ses mains sur lui. Elle glissa ses doigts
sur son membre et entreprit de le branler sans ménagement. Elle le mordit et
il laissa échapper un cri. Juste au moment ou elle sentit qu’il allait
éjaculer elle arrêta ses caresses et recula pour reprendre ses coups de
fouets. Il hurla de rage et de douleur. Elle le ménagea pas un seul
instant.

– Dis-moi que tu aimes ça sale chien. Dis-moi que tu ne peux plus te passer
de ta maîtresse.

– Non !!! Petite pute. Jamais je ne te dirai de tels mots.

Alors d’un coup encore plus violent elle mesura son geste pour qu’il lui
retombe sur les fesses. Il poussa un cri intense de douleur et essaya de se
défaire de ses liens. Elle continua de plus belle.

– Tu me diras ce que je veux entendre tu comprends?

Elle déplaça le fouet d’une dextérité et d’une force qui lui laissa échapper
des cris à chaque coup donné. Il la maudissait. Il tremblait de rage et
d’impuissance, mais il était si dure. Il adorait avoir une érection avec le
mal et elle lui en donnait comme il l’avait souhaité.

– Je te veux pour moi seul lui dit-il. Tu es ma maîtresse!!!

En s’entendant dire ces mots elle lui donna encore plus de coups. Il arrêta
de hurler en gardant pour lui sa souffrance. Elle avança ses doits toujours
gantés de latex et commença à lui caresser l’anus doucement de l’index. Il
protesta violemment et hurla de nouveau en sentant pénétrer le doigt de sa
maîtresse. Elle faisait un va-et-vient tout en caressant les cicatrices de
sa bouche. Il commença à se détendre. A ce rythme elle le ferait éjaculer
c’est certain. Elle fit rentrer un second doigt et l’encula avec force. Il
ne pouvait plus retenir les sons qu’il gardait en lui. Elle arrêta son geste
d’un seul coup comme elle l’avait pris.

– NON ! Continu s.t.p. maîtresse ne t’arrête pas.

Elle ne l’écouta pas. Elle se dirigea vers le lit et enfila un des autres
objets. Une ceinture de cuire avec une grosse bite bien dure. Elle revient
vers lui et lui fit sentir entre ses fesses ce à quoi il devait s’attendre
par la suite. Elle lui murmura à l’oreille qu’il serait mieux d’être gentil
et de ne pas bouger. Elle rigolait et avant de lui infliger plus de mal
qu’il en avait déjà, elle le fit s’éloigner du mur et se faufila entre lui
et ce dernier. Elle le regardait droit dans les yeux et lui dit qu’il était
temps qu’elle lui donne un peu de douceur avant tout le reste. Alors elle se
pencha doucement et déposa ses lèvres gourmande sur le bout de son gland. Il
émit un grondement de doux plaisir. Elle avait les lèvres d’une telle
douceur. Elle fit la bouche ronde et encore plus gourmande et laissa sa
bouche s’ouvrir sur le gland pour l’engloutir tout au fond d’elle. Elle fit
tourner sa langue tout au tour du gland elle en raffolait. Elle avait du
plaisir à lui faire cette fellation. Elle descendit sa main contre sa chatte
et se caressa en continuant à le lécher, à le sucer, à le déguster si
doucement qu’il en émettant des gloussements de plaisir.

– Ta bouche est divine ma maîtresse.

Elle s’enfonça trois doigts en elle et fit aller ses doigts pour les
mouiller et les faire glisser sur son clitoris gonflé de ce jeu. Elle
remonta ses doigts mouillés et lui ordonna de les lécher, ce qu’il fit s’en
se faire prier d’avantage. Sa queue était bien dans sa bouche si douce. Elle
savait bien si prendre. Une fellation divine. Elle le prit en entier en
elle, tout au fond de sa gorge et continua à jouer avec sa langue jusqu’aux
testicules. Elle joua avec sa gorge sur son gland et fit glisser ses lèvres
en sens contraire en remontant sa bouche jusque sur le bout. Elle le suça
doucement en faufilant ses doigts entre ses fesses et en massant l’entrée de
l’anus maintenant détendu. Il éjacula une deuxième fois sur les lèvres de sa
maîtresse. Elle s’en régalait. Elle se remit debout et l’embrassa avec la
bouche encore pleine de sperme. Elle souriait. Elle alla s’asseoir sur le
lit et le laissa dans cette position plusieurs minutes. Elle se reprit du
rhum pour se remettre doucement de cette première partie de ce jeu assez
excitant.

– Détaches-moi maîtresse s.t.p. Ne me laisses pas comme ça.

Elle rigolait encore de cette demande tout en sirotant son verre.

– Tu restes comme ça, car j’aime te voir sans défense et de plus tu es mon
esclave tu aurais oublié? Tu as payé pour avoir mes services alors calmes
toi, c’est moi qui déciderai du reste.

Elle resta comme ça encore quelques instants et se rapprocha de lui. Elle
était encore vêtue de sa sangle et de son pénis. Elle lui écarta les fesses
et s’introduit en lui sans crier gare, d’un seul coup. Tout au fond de son
p’tit cul. Il hurla toute la douleur possible à hurler, mais il rebanda
aussi tôt cette introduction violente contre lui. Elle le prit entre ses
mains et se laissa allez à le sodomiser de toute la force de son bassin. Il
grondait de plaisir. Il éjacula de nouveau contre le mur et entre ses mains.
Elle ne s’arrêta pas pour autant et continua de plus belle. Il ne tenait
plus sur ses jambes. Il était à bout de nerfs. Elle le sentit de nouveau
très dur entre ses mains et décida de se retirer. Elle retira ses sangles et
entrepris de le délivrer de sa position. Il tomba sur le sol d’épuisement.
Combien de temps avait-il été attaché ? Il ne pouvait le dire car il avait
perdu la notion du temps. Elle remonta sa robe de latex et s’accroupit sur
sa queue encore si dure. Elle était si mouillée, si excitée. Il la regardait
avec désir. Il se mouva en elle du mieux qu’il put car avec ses blessures
sur son dos il avait mal. Mais maintenant il avait sa maîtresse sur lui et
c’était à lui à tout faire pour la remercier de ce qu’elle lui avait donné.
Il la renversa sur le sol et lui remonta les genoux en lui écartant les
jambes de chaque coté d’elle. Sa chatte était luisante mais pas assez à son
goût. Il s’avance vers elle, vers sa chatte et l’écarta encore plus pour
pouvoir la lécher à ne plus finir. Elle bascula dans un plaisir profond.
Elle aimait sa langue savante. Il la lécha en buvant la mouille qui
s’échappa d’elle. Elle se cabra et il en profita pour descendre sa langue
vers son anus et remonta jusqu’à son clitoris. Elle était plus que mouillée.
Des heures qu’elle attendait pour jouir elle aussi. Il sentait bien qu’elle
voulait ce plaisir mais il pris son temps. Il ne voulait pas brusquer sa
délivrance. Il la buvait. La sentait. La léchait de sa bouche qui ne
désirait qu’elle. Il plaqua sa bouche sur son clitoris et entrepris de bien
la sucer en lui enfonçant des doigts impatients dans sa chatte désireuse.
Elle jouissait doucement en laissant échapper des petits cris de plaisir.
Elle chercha appui dans la terre de ses doigts. Elle voulait qu’il prenne
possession de tout son corps et il le comprit. De sa main libre il lui
enfonça deux doigts dans son cul en faisant comme elle, c’est-à-dire, sans
ménagement. C’était un délire merveilleux. Il faisait un va-et-vient de ses
mains en ne laissant pas le clito de sa bouche. Il lécha ses doigts en
faisant glisser sa langue dans sa chatte et en remontant sur la petite boule
de plaisir si gonflée. Elle allait jouir mais il ne lui laissa pas ce
plaisir la. Il arrêta un moment pour s’occuper un peu de ses seins. Il se
leva et se dirigea vers un petit meuble près du lit et en ressortit une
chaînette en argent et avec aux extrémités deux petites pinces. Il revient
vers elle et installa les pinces sur chaque bout de ses seins. Elle était un
peu effrayée mais n’avait pas peur de lui. Elle savait qu’il ne lui ferait
pas mal. Il souriait de ce nouveau petit jeu. Il commença à lécher du bout
de la langue les petites fleurs roses. Il tira les pointes entre ses dents
pour lui faire comprendre le doux plaisir qu’elle recevra des pinces posées
sur elle. En se relevant il pris la chaîne entre ses lèvres et tira vers le
haut pour rendre les pointes de ses seins encore plus. Elle cria de
surprise. Une petite douleur se fit sentir. Il tenait la chaîne entre ses
mains et entrepris de redescendre sa bouche le long de son corps pour se
rendre de nouveau sur sa chatte. Il remis ses lèvres sur son clito et
recommença à la sucer tout en tirant encore plus sur la chaîne. Elle ne
savait plus quoi faire. C’était un supplice. Crier à cause de la douleur
causée par la chaîne ou jouir doucement dans la bouche de l’homme qui
s’amusait à son tour. Il ne lâcha pas la chaînette de sa main gauche et de
la droite plaça l’index et le majeur dans sa petite chatte et de son
auriculaire s’amusa en rentrant dans son petit anus ouvert à ses doigts.
Elle hurla de plaisir et de douleur. Elle allait jouir, elle ne pouvait plus
se retenir. Il s’attarda encore plus sur son clito et ne la lâcha plus
jusqu’à jouissance. Il lâcha la chaîne et se tourna de façon à lui enfoncer
sa queue dans sa bouche il avait envie de jouir aussi avec elle. Il repris
de plus belle possession de sa chatte avec ses doigts, sa bouche et ne la
laissa que quand elle aura jouit enfin. Il éjacula en même tant qu’elle. Il
la but et elle aussi.

Il se laissa tombé sur le sol à côté d’elle. Il était épuisé de cette nuit.
Mais il savait qu’il lui restait encore du temps avec elle. Elle semblait
dormir doucement. Elle était ravissante. Il la prit dans ses bras et la
déposa doucement sur le lit. Il pris le pot de chambre déposé sur le petit
meuble et lava doucement son corps pour la rafraîchir. Elle ouvrit les yeux
et lui sourit. Elle aimait cet homme. Il fouilla dans le petit tiroir et
pris l’anneau qu’il remit au doigt de son épouse adorée. Ils avaient passé
une nuit extraordinaire et ils savaient tous les deux que d’autres nuits de
ce genre allaient suivre. Ils étaient complices de tous ces jeux. Il pris
doucement son épouse dans ses bras et l’embrassa tendrement pour la première
fois depuis leur rencontre sur le trottoir. Il repris possession de sa
chatte de son pénis encore désireux. Elle se mouva contre lui avec douceur.
Elle voyait dans les yeux de son mari tout l’amour qu’il avait pour elle.
Ils jouirent de nouveau ensemble et s’endormir cote à cote, complètement
exténués. Une autre nuit délirante venait de se produire entre eux et toute
la complicité du monde les unissait.

Joy
missjoy65@hotmail.com
Copyright © 2001
Première publication sur Vassilia, le 04/06/2001

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Une réponse à Il était là… 1 – Sous la pluie par Joy01

  1. Claire dit :

    Un très beau texte sur le fantasme de la prostitution (eh oui, mesdemoiselles les féministes c’est un fantasme féminin même si ça vous défrise !)
    J’ai failli hurler au début de l’histoire quand on nous raconte qu’une prostituée accepte de suivre un parfait inconnu n’importe où sans quelques élémentaires précautions… mais tout devient cohérent quand on lit jusqu’au bout
    Du grand art, bravo !

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