Frimas – Collants – Champagne… par Jean-Michel_et_Martine

Autant Martine aime être complètement nue dans l’atmosphère confortable de
l’appartement, autant, dès les premiers froids, elle s’emmitoufle dans un
véritable cocon vestimentaire dès qu’elle doit mettre le nez dehors.

Ce samedi là, au programme météo, il y avait brouillard, humidité et petite
froidure. Tout pour rester au chaud en ce jour de repos. Pourtant nous
devions nous rendre à l’invitation d’un gros client qui nous attendait avec
son épouse pour déjeuner.

Pour être souvent au volant, nous ne buvons que de l’eau, même dans de
telles circonstances, éventuellement du café ou du thé si cher à Martine.
Mais après le repas, il nous fallut accepter malgré tout une coupe de
Champagne avant de se quitter. Puis ce fut vestiaire, poignées de main,
remerciements etc… Et on prit la route du retour.

Le premier effet du Champagne est de créer chez Martine un état euphorique
qui met chez elle un besoin de rire pour des riens, pour un oui ou un non. A
peine démarrés, j’avais déjà droit à son petit rire que je ne connais que
chez elle. Cet état ne dura qu’une dizaine de minutes tout au plus, puis
elle parut songeuse.

– Tu es bien calme d’un seul coup, tu es fatiguée?
– Oui, un peu. Et le Champagne est diurétique, alors tu penses.
– Tu aurais dû aller aux toilettes avant de partir.
– Oui, bien sûr. Mais chez des gens que l’on connaît à peine, c’est gênant,
je n’ai pas osé, et cela ne se fait pas.
– On a encore quinze ou vingt minutes de route. Tu tiendras jusqu’à
l’appartement?
– Ca sera juste et douloureux. Et entre les portes ouvertes de la voiture,
avec cette circulation, difficile de passer inaperçue.
– Bon, alors changement d’itinéraire, au carrefour je prends à droite
direction X…., on longe un bois et je me souviens avoir remarqué un chemin
où ça te sera possible. Dans deux minutes on y est.

Je retrouvais sans peine ce chemin qui quittait la route pour s’enfoncer
dans le bois. Il avait été tracé pour le passage des tracteurs forestiers.
Il débouchait entre deux haies mais était fermé à la circulation par une
barrière bloquée par une chaîne et un gros cadenas. Entre cette barrière et
le bord de la route, il y avait juste la place pour une voiture. Je m’y
engageai le plus possible en marche arrière, pour que l’avant de la voiture
ne soit plus sur le bitume.

– Là, derrière la voiture personne ne pourra te voir. Et en plus j’ouvre le
coffre. Depuis la route on verra une voiture au bord du chemin, les portes
et le coffre ouverts, on pensera à des gens qui font une pause.
-Va regarder s’il n’y a personne côté bois.

Ce que je fis, en profitant pour me soulager moi-même, puis, j’ouvris le
coffre de la voiture.
-Tu peux venir, c’est idéal.
Elle sortit en laissant sa porte ouverte en guise de bouclier, et vint me
rejoindre en passant sous la barrière.
– Et en plus pas de bol, tu es en collant. Il faut tout mettre à l’air. Je
monte la garde et je ne regarderai pas.
– Le collant ça n’est pas un problème, il est particulier, tu ne l’as pas
encore vu celui là. Tiens… Regardes…

Elle leva sa jupe devant elle et demanda :

-Lui trouves-tu quelque chose de particulier ? C’est un collant-culotte
épais pour protéger du froid mais doublé à la place de la culotte par du
coton pour qu’il soit plus confortable. En plus, tu ne remarques rien
?…Regardes ici, sur le côté droit, il n’est pas fermé et c’est comme si
j’avais une simple culotte.

A l’appui de son explication, elle tira sur l’entrejambe invisible dégageant
le bas de son ventre.

– Terriblement sexy ton collant, je ne l’avais jamais vu. Tu me l’avais
caché.
– C’est l’occasion qui a manqué tout simplement. Mais je ne suis pas ici
pour faire un défilé de dessous féminin… mais pour pisser… et ça urge!
Elle s’assura une dernière fois qu’elle était protégée des regards depuis la
route, tourna le dos à la barrière, écarta un peu les pieds et acheva
d’ouvrir l’entrejambe. Comme d’habitude, elle portait beaucoup de soins à
l’ouverture des petites lèvres, les écartant du bout des doigts.

– Ah !…Ces voitures qui passent juste derrière moi, je n’arrive pas à les
oublier.

Il est vrai, que toutes les cinq secondes une voiture passait à quelques
mètres de nous en vrombissant. De temps à autre, nous avions même droit à un
long coup de klaxon d’automobilistes qui croyaient que la voiture sortait du
chemin.

Le pipi était toujours long à venir dans ces circonstances contraignantes.
En attendant, je ne pouvais détourner mes yeux de ce petit coin rose bordé
de sa toison brune. Trop occupée par le passage des voitures, Martine ne
remarquait pas l’insistance de mon regard.

– Laisses-toi aller sans crainte… lui dis-je pour tenter de la
décontracter. Si tu veux, je vais mettre les « warnings » de la voiture pour
signaler le danger.

– De quel danger tu parles?
– Du risque d’éblouissement si quelqu’un te voyait.
– T’es vache, Jean-Mich’… dit-elle en riant. Vas-y… fous-toi de moi. Tu
me le paieras ce soir.

Malgré l’exhibition qu’elle m’offrait sans retenue, son
hilarité était revenue. Le Champagne faisant aussi effet côté vessie,
soudain, tout en continuant ses petits rires, elle envoya sans peine devant
elle un beau jet chuchotant comme je les aime, et qui ne demandait qu’à être
libéré
.
– Tu vois qu’il est pratique mon collant sexy?
– C’est vrai qu’il est inattendu et sexy. Mais pour les circonstances tu
aurais aussi pu le baisser et faire comme une petite fille?
– Evidemment. Tu aurais préféré? Avoues que ça t’a plu. Tiens, il y a un
rouleau d’essuie-tout dans le coffre, donnes-m’en un morceau s’il te plait
cochon chéri !

Le bas du ventre bien dégagé par la main gauche, de la droite elle essuya
consciencieusement sa petite chatte et réajusta l’entrejambe du collant.

– Tu sais à quoi je pense ? …Dommage que nous soyons si prés de la route
et qu’il fasse froid. Sur le coffre de la voiture… çà n’aurait pas été
mal… même sans baisser mon collant… Non ? …Allez… on rentre. Je sens
que j’aurai encore envie de pisser en arrivant.
Les derniers kilomètres nous parurent courts malgré le détour que nous
avions fait pour satisfaire Martine. Décontractée et soulagée, le Champagne
l’incitait à continuer à rigoler.

Une fois dans le couloir de l’appartement elle déclara :

– Je te l’avais dit… Sacré Champagne… J’ai encore envie de pisser… Tu
veux avec ou sans collant ?

Quelle invitation ! …Elle m’a interdit de donner la réponse que je lui ai
faite et ce qui s’en suivit. Je dirai juste :

– Sacré Champagne!

Jean-Michel et Martine

Janmich59@aol.com

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