Frénésie par Frédérique Wagner

Je sens sa langue qui rampe au creux de mes reins, ses deux mains caressent mes fesses en un lent mouvement tournant. Elles les écartent largement et je sens l’air qui rafraîchit mon anus qui se contracte involontairement et ensuite se détend. Volontairement cette fois je « pousse » un peu et je le sens qui se dilate, qui sort un peu de son refuge.

Maintenant les lèvres se sont rapprochées de mon trou du cul et je sens sa respiration qui ventile mon anus. Puis sa bouche le gobe et sa langue passe et repasse sur mon anneau marron. Hum ! C’est bon ! Et puis sa langue se glisse dans mon cul, je me fais enculer par sa langue. Je me répète avec une volupté fondante « je me fais enculer par sa langue » et je ne peux résister au plaisir de répéter à voix haute cette phrase ; « je me fais enculer par ta langue ! », puis je répète cette phrase de plus en plus fort et je sens cette langue qui s’agite dans mon cul s’activer de plus en plus fort. Et mes fesses sont écartelées de plus en plus largement.

Ma main va chercher ma chatte et mes doigts trouvent le chemin de mon clitoris qui est lui aussi dressé comme une petite bite. Je mouille sans doute comme une folle car je sens que mes cuisses sont humides et que ma cyprine coule abondamment. La bouche me mange littéralement le cul et grogne de plaisir. Comme j’ai bien fait de me faire totalement épiler, ma peau ressens avec intensité cette bouche qui me lèche, me mordille et cette langue qui me parcoure et me pénètre.

Mes doigts fébriles clapotent dans mon sexe et sens une main qui lâche mes fesses et qui rejoint ma main. Ses doigts se mêlent aux miens dans leur caresse sauvage. Puis un, puis deux, puis trois doigts commencent à me pénétrer le cul, ils s‘agitent et je sens que mon cul s’élargit et je ressens un peu de douleur mêlée à du plaisir, je pousse le cul en arrière pour les faire rentrer plus profond.

La bouche a pris possession de mon sexe et le boit goulûment. La langue a remplacé mes doigts et tourbillonne autour de mon clitoris, elle aspire, suce, mordille, je suis comme folle et je crie. Mon cul se déchire quand un quatrième doigt le pénètre, et quand le pouce s’introduit la douleur et le plaisir se rejoignent dans une explosion de jouissance qui éclate quand la main entière est dans mon cul. Je sans les doigts qui s’agitent en moi, qui me palpent, me pétrissent les entrailles. Je jouis, je jouis, je jouis….

La main se retire de moi, me laissant anéantie. Je la sens qui remonte vers mon visage. Je ferme les yeux et elle me caresse les joues, le cou, les lèvres.

Elle est toute humide moi et sens très fort la merde et la mouille. MA merde et MA mouille et MON plaisir se réveille. Je lèche cette main frénétiquement, le cul encore béant et douloureux de ce pénétration. Je me redresse et j’enjambe le visage qui m’a tant fait jouit.

Mon sexe viens de couler sur la bouche qui ma fait jouir, je me relève un peu pour mieux voir et je pisse dans cette bouche. L’urine gicle en gros bouillon de ma chatte toute lisse et j’en écarte largement les lèvres pour mieux la voir jaillir. Elle rebondit sur le visage et entre dans la bouche qui s’est largement ouverte. Les yeux de sont fermés et la pisse ruisselle de part et d’autre du visage, inondant les draps, brûlante. Je la sens qui rebondit sur mes cuisses. Je me relève un peu et je pète voluptueusement sur cette bouche qui s’arrondit et m’embrasse le cul et la chatte.

J’ai envie de chier mais je me retiens. Je me relève et je glisse mon corps contre son corps. Nos peaux humides de pisse chaude glissent l’un contre l’autre. Ma tête rejoint la sienne. Ma bouche prend sa bouche et je goûte à ma pisse.

Je respire à fond et m’étire comme une chatte et j’aimerais pouvoir ronronner de plaisir comme elle.

Je me tourne et je dis « je t’aime mon amour » et elle me sourit.

Frédérique Wagner

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2 réponses à Frénésie par Frédérique Wagner

  1. Harivel dit :

    C’est vourt mais c’est bon

  2. Claire dit :

    Mais, il est très bien ce récit et très réaliste également

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