Franou, mon fantasme par Ron01

Franou, mon fantasme par Ron01

Je suis un homme de trente-sept ans, sérieux dans la vie, mais avec beaucoup de fantasmes inavoués. En règle générale, je suis fidèle à ma femme mais, il faut bien le dire, certaines de mes envies ne sont toutefois pas satisfaites d’ailleurs, elles sont tellement particulières que j’ai bien du mal à les décrire.

Pour combler ce manque, j’ai justement trouvé un moyen : le téléphone rose.

Depuis plusieurs années, j’appelle périodiquement un numéro où une femme appelée Sylvie me prend en mains, et en 15 min me fait vivre facticement tout ce que je souhaite, sans jamais me juger.

En général, je me mets d’abord en condition en feuilletant certaines BD très spéciales que j’ai achetées sur Internet… puis, dans un état d’excitation intense, je décroche mon téléphone pour appeler Sylvie…

Ce que j’aime, c’est les jolies femmes, et plus exactement leur cul : le sentir, le lécher, l’embrasser. Je suis un adorateur des jolis fessiers, prêt à devenir l’esclave d’un joli cul si l’occasion s’en présente. L’esclave, oui, car je suis d’un naturel soumis et obéissant, du moins si une de ces déesses me l’ordonne.

J’en arriverais même à faire des choses que je pense impossibles normalement, juste parce que ma maîtresse me l’ordonne… et Sylvie l’a bien compris : combien de fois m’a-t-elle virtuellement offert, à ses copines, à des inconnues, me demandant de leur lécher le cul, et même à des hommes pour les faire jouir sur moi ou dans moi… je ne peux rien refuser à ma maîtresse…

Quand je décroche mon téléphone pour composer son numéro, je suis dans une sorte de transe, un état second qui me ferait faire n’importe quoi. Les cinq minutes nécessaires à la vérification du paiement sont un supplice, et c’est la queue prête à éclater que je la rappelle pour subir mes châtiments tant attendus.

Enfin, sa voix suave résonne au bout du fil et m’emmène dans des tourbillons de plaisir, où se mêlent des maîtresses douces mais fermes et des humiliations comme seule elle peut m’imposer.

Ça, c’est le monde du virtuel…

Car en réalité, tout est beaucoup plus calme… ou du moins, l’était car depuis quelque temps, nous avons décidé, ma femme et moi, d’embaucher quelques heures par semaine une femme de ménage.

Nous avons en fait saisi l’occasion. Une annonce trouvée chez un commerçant local nous a attiré l’œil : femme cherche heures de ménage, repassage. Nous l’avons appelée, pour voir si elle faisait suffisamment l’affaire.

Le jour dit, avec quelques minutes de retard, s’est donc présentée chez nous une femme, la quarantaine passée, et d’un naturel très dynamique. Petite, mince et habillée comme une ado avec jean et T-shirt moulant. Françoise, alias Franou, c’est son surnom usuel, est très avenante.

En discutant, ma femme s’est aperçue qu’elle est en fait très courageuse, faisant des ménages pour vivre après un divorce, et élever sa fille de dix-sept ans dont elle a la garde. Apparemment, elle faisait l’affaire rayon chiffons et rangements, car elle a tout de suite plu à ma femme qui a souhaité l’engager.

Moi, j’ai remarqué en même temps que cette femme, en fait de dix ans mon aînée, avait un cul remarquable, et que sa fraîcheur détonait pour son âge. Que ce soit son physique ou son apparence, tout chez elle la rajeunissait et elle était extrêmement désirable. Je fus donc d’accord pour l’engager.

Chaque semaine depuis plusieurs mois, elle venait donc faire le ménage. J’avais peu l’occasion de la croiser car elle venait pendant mes horaires de travail, mais ma femme la voyait plus souvent, et comme elles commençaient toujours par une tasse de café, elles sont rapidement devenues amies.

Le soir, il m’arrivait de me détendre en lisant une BD spéciale de ma collection personnelle, en imaginant Franou et pensant à son cul si sexy : des hanches arrondies, mais pas trop larges, un jean moulant. Cette vision me permettait en général de trouver rapidement une jouissance libératrice.

Un soir que j’étais justement excité, ma femme me rejoignit dans le lit, et pendant qu’elle me caressait, j’évoquais à mots couverts la visite de Franou le jour même, de manière suffisamment insistante pour qu’elle comprenne que Franou m’excitait beaucoup. Surprise, mais pas mécontente, elle continua à me parler de Franou jusqu’à ce que mon sexe soit si dur qu’elle n’eut plus qu’à s’empaler dessus. Ce soir-là je la baisai comme une bête, elle me raconta que Franou ne portait jamais de culotte, ou encore qu’elle ne fermait pas la porte aux toilettes et qu’elle avait eu le loisir de la voir sur la cuvette… ces paroles me mirent dans un état d’excitation tel que je jouis en hurlant, avec l’impression que Franou était avec nous en train de se caresser… ce soir-là, je n’eus aucun mal à dormir.

Le lendemain j’avais une RTT. Ma femme avait décidé d’aller courir les boutiques, et moi de rester me reposer à la maison.

J’étais à peine habillé, encore à me demander ce que j’allais bien faire de cette journée off, quand on sonna à la porte. C’était justement Franou, en jean serré et t-shirt vert clair sous lequel pointaient ses seins. Tout de suite je repensai aux paroles de ma femme, elle ne porte pas de culotte… comme j’avais envie de le vérifier ! Et l’imaginer assise sur les toilettes, porte ouverte…

En lui faisant la bise je devinai son parfum subtil et léger, elle entra et je refermai la porte.

Nous échangeâmes quelques propos sur les tâches du jour, et elle disparut dans la cuisine, me laissant admirer ses fesses mises en valeur par ce jean moulant… Je profitai de cet instant pour mettre une main dans mon short et me caresser en pensant à l’érotisme que dégageait cette femme. Je ne fus pas long à avoir un début d’érection, encouragé par la proximité de l’objet de ma rêverie. Et comme mon short de sport était souple, mon sexe ne tarda pas à faire une belle bosse qui en disait long sur mon état d’excitation… savoir que cette femme excitante est à trois mètres de moi quand je me caresse pour elle me met dans tous mes états !

Mais déjà elle se dirigeait vers moi, j’eus à peine le temps de retirer ma main… vit-elle ou ne vit-elle pas, mon short ne laissait pas beaucoup de doute sur mes activités, et elle passa près de moi pour emprunter l’escalier. Me trouvant au pied, je n’eus, bien sûr, aucun mal à admirer ces fesses tant rêvées et je pus, comme un voyeur que j’étais, me caresser le sexe en admirant cette montée des marches sexy.

Tout à mon excitation, je ne tardai pas à monter moi-même à l’étage, où elle était en train de ranger les habits dans les tiroirs. L’air de rien, j’entrai dans les toilettes et refermai la porte, puis baissai mon short pour délivrer mon sexe durci par le désir. Je commençai à me caresser doucement, en pensant à cette femme si bouleversante, la sachant à quelques pas derrière une mince porte.

Soudain j’entendis sa voix, très proche : en fait elle me parlait juste derrière la porte. M’avait-elle entendu, entendu ma respiration qui s’accélérait ? Elle voulait, en fait, un produit entreposé dans les toilettes.

– Une seconde, dis-je en remettant mon short pour tenter de cacher mon érection.

Et j’ouvris la porte pour lui laisser prendre ce produit. Cette fois-ci, c’est sûr, elle vit bien l’état dans lequel je me trouvais, car son regard s’attarda furtivement sur mon sexe, et elle me regarda dans les yeux d’un air dubitatif… j’étais tout rouge !

– Franou… commençai-je.

Elle s’était figée près de moi et attendait le reste de ma phrase, qui ne venait pas.

– Tu es vraiment très excitante, arrivai-je enfin à lui dire en balbutiant.

Pour le coup, c’est elle qui est devenue rouge… mais dans un élan d’érotisme, j’ai avancé mes mains pour toucher sa poitrine. Elle a reculé un peu, puis s’est arrêtée en me regardant dans les yeux, d’un air de vouloir me dire :  » si tu veux vas-y, mais réfléchis bien avant « .

Pour ma part, c’était tout réfléchi, mon envie de cette femme m’aurait fait envisager n’importe quoi. Je n’avais plus qu’un souhait, devenir son esclave sexuel pour obéir à tous les jeux qu’elle voudrait m’imposer. Mais comment lui dire ? J’avançai maladroitement mes mains une seconde fois et effleurai de nouveau ses seins ; cette fois, elle ne se recula pas et je m’enhardis à la caresser encore et encore. Elle me regardait fixement, d’abord dans les yeux, puis elle descendit son regard sur la bosse qui déformait mon short, et sourit en me regardant encore une fois dans les yeux :

– C’est moi qui te fais cet effet ?
– Oui répondis-je, bien sûr.
– Et que faisais-tu dans ces toilettes ?
– Je… me caressais en pensant à toi…

Elle sourit encore pendant que mes mains passaient sur son jean et caressaient ses fesses, et me demanda soudain :
– Et quelle partie de moi t’excite le plus ?

Je ne m’attendais pas à une telle question, et j’avais peur que répondre franchement ne la vexe… mais je ne pouvais plus mentir, et je lui répondis :

– Ton cul… j’adore ton cul, je ferais n’importe quoi pour ton cul…
– Vraiment ? demanda-t-elle ?

Excité comme jamais, dans un état second, j’acquiesçai.

Alors Franou prit ma tête et m’embrassa à pleine bouche, enroulant sa langue avec la mienne. Le feu brûlait dans mon ventre, et ce baiser dura longtemps… Une fois sa bouche éloignée de la mienne, je me mis à genoux devant elle et commençai à sentir son jean à l’endroit de son sexe, puis à l’embrasser.

Elle, surprise, me laissa faire, et comprit rapidement où je souhaitais en venir : doucement, elle se tourna, et me présenta ce cul qui m’avait si souvent fait jouir. Je humai son délicat parfum, et doucement commençai à embrasser son pantalon à cet endroit, exactement entre les deux fesses, où se trouvait son anus, son merveilleux anus qui pouvait donner tant de plaisir. Je l’embrassais maintenant comme une déesse, je vénérais ce postérieur parfait, je faisais durer ce moment unique où ma déesse m’offrait ce dont je rêvais depuis si longtemps.

Franou comprit très rapidement le pouvoir qu’elle avait sur moi, grâce à ce petit trou. Elle m’ordonna d’aller me coucher sur le lit, et rapidement vint me chevaucher, d’abord assise sur mon ventre, puis vint délicatement poser son cul sur mon visage, m’obligeant pour mon plus grand plaisir à respirer ses parties intimes. Mon sexe était prêt à exploser dans mon short, et elle jouait avec moi en sachant qu’elle me possédait.

– Tu feras tout ce que je t’ordonne ?
– Oh oui ma Franou, oui, je t’appartiens entièrement maintenant, arrivai-je à bégayer.
– Tu aimes mon cul ? Eh bien tu vas le goûter, chaque jour, propre ou sale, ou après que mon copain m’aura bien défoncée…

Ces mots dans sa bouche provoquèrent chez moi tellement de trouble, que je pensais jouir sur le champ. Mais finalement je ne pus que lui répondre :

– D’accord ma chérie, je t’obéirai.

Et pour me récompenser, Franou enleva son jean, ce qui me laissa l’occasion de vérifier les paroles de ma femme, qui affirmait qu’elle ne portait pas de culotte. Apparut devant moi son petit trou, si rose et si désiré… ma langue ne se fit pas prier, et tout de suite je me mis à lécher ce puits d’amour, cet endroit dans lequel j’aurais tant souhaité passer tout le reste de ma vie.

À ma grande surprise, il ne sentait pas mauvais, mais j’eus même la confirmation que Franou se parfumait également l’anus, peut-être pour se préparer à ce que l’un ou l’autre, excité comme je l’étais, vienne le lui lécher. En attendant c’était mon tour, et je profitais de ce trou du cul ouvert pour moi.

Au bout de quelques minutes, j’entendis le souffle de Franou se faire plus court, elle appréciait le traitement et je commençais à penser que finalement, peut-être était-elle réactive à ces caresses et plus que je ne le pensais. Et effectivement, après que ma langue eut pénétré au plus profond de son cul, après qu’elle se fut copieusement frotté la chatte sur mon visage, Franou partit dans un orgasme qui m’inonda la face et déclencha en moi une envie irrépressible de jouir. Une fois Franou calmée, je me mis à genoux sur le lit et lui enfonçai ma bite dans la bouche, en dix secondes j’explosais en projetant de grandes giclées de sperme sur son visage et dans ses cheveux…

La violence de cet instant fut telle que je ne pensai plus à rien pendant quelques secondes, juste à cette extase qui nous unissait. C’est Franou qui se releva la première, en caressant ma bite encore tout excitée.

– Alors, tu as eu ce que tu voulais ? me demanda-t-elle.
– C’est trop bon, répondis-je, tu es vraiment une reine, une reine du désir !
– Alors attends-moi parce que ce n’est pas fini, dit-elle en sortant de la pièce.

Un instant plus tard elle remontait avec son sac à main, d’où elle sortit son foulard.

– Viens, dit-elle. Je vais te bander les yeux pour ta surprise

Ce qu’elle fit.

Aveugle, je me demandais bien ce qu’elle allait faire, je me mis à genoux sur le lit, comme elle me le demandait.

– Tu as bien dit que tu serais mon esclave ? demanda-t-elle. Alors ouvre la bouche.

Et elle m’enfonça dans la bouche un objet dur, dont je compris très vite que c’était un gode ceinture, par la forme et aussi… par l’odeur qui en émanait, qui me faisait penser qu’il avait servi tout récemment.

– Oui dit Franou, je me suis fait un petit plaisir avant d’entrer chez vous, apparemment tu l’as senti ! Ça te plaît ?

Bien sûr que ça me plaisait ! Je suçais le gode de toutes mes forces pour lui montrer que j’étais prêt à lui obéir. Le gode était maintenant tout trempé de salive et j’entendais Franou prononcer des paroles de plus en plus chaudes :

– Tu aimes ça, mon cochon ? Tu aimes sentir mon sexe, hein ? Ça t’excite ! Alors, comme ça, tu te caresses dans les toilettes en pensant à moi… Je suis sûre que tu jouis chaque jour en rêvant de mon cul. Je me trompe ? Non je ne me trompe pas… Suce bien ce gode, suce-le bien, il sort de mon cul justement. Suce-le bien parce qu’il va te déchirer juste après…

Me déchirer ? J’avais mal compris ? Est-ce que vraiment elle allait… ? L’excitation me reprenait, est-ce que je devais accepter ? J’étais totalement vierge du cul, et je ne savais pas s’il fallait que j’accepte…

– À quatre pattes, ordonna Franou. Obéis à ta maîtresse parce que tu me l’as promis !

C’était vrai. Je me mis à quatre pattes sur le lit, lui montrant mes fesses, et je sentis le bout gluant du gode se promener sur mon cul. Tout à coup Franou le mit en face de mon anus et, d’une poussée constante, le fit rentrer dans mon cul. D’abord un peu, puis plus fort, enfin jusqu’à ce que les vingt centimètres de l’engin furent plantés en moi totalement.

La douleur était immense, et je criai au fur et à mesure que le gode rentrait en moi, mais Franou ne s’arrêta qu’au bout : je pleurais de douleur ! Mais une fois le gode en moi, Franou s’immobilisa quelques secondes, et la douleur laissa la place à une drôle de sensation, celle de ne plus rien contrôler, d’être à la merci de ce sexe de plastique qui avait percé mon intimité.

– Tu rêvais de m’enculer, dit Franou. Eh bien, voilà l’effet que ça fait. Tu aimes ça ?
– Oui j’aime ça.
– Bien, alors c’est parti pour la chevauchée !

Et elle commença à me pilonner les fesses, me faisant gémir sous chaque coup qu’elle me portait.

Très rapidement je jouis sur le lit, je ne débandais plus, comme si le sexe de plastique remplaçait le mien. Ça dura dix ou quinze minutes, je jouis deux fois encore sur le lit et Franou se délectait de me contrôler de la sorte.

Quand elle enleva le gode de mon anus, j’étais épuisé, incapable de bouger encore. Je m’écroulai sur le lit.

Mais Franou avait maintenant une irrépressible envie de jouir, car m’avilir de la sorte l’avait excitée au plus haut point :

– À genoux, m’ordonna-t-elle. Et viens me lécher…

Tremblant, je m’exécutai, et léchai sa chatte, qui ne tarda pas à être prise de convulsions, et un instant plus tard, Franou jouit dans ma bouche en grognant et me traitant encore une fois de salope.

Cette fois-ci elle avait aussi besoin de repos, et s’écroula près de moi sur le lit.

– Ça fait longtemps que tu rêves de moi ? demanda-t-elle.
– Depuis la première fois, dis-je.
– Et tu t’es souvent masturbé ?
– Chaque jour, et même quand tu es là. Surtout quand tu es là. C’est vrai que tu ne portes jamais de culotte ?

Elle sourit :

– Ça te fait fantasmer, n’est-ce pas ?

Oh oui, bien sûr, ça me faisait fantasmer ! Et elle le savait !

– J’ai trouvé tes BD, dit Franou. Pas mal !

Elle avait donc lu mes BD pornos !

– Moi aussi je me suis caressée, sur ton oreiller, et dans ta chambre en lisant ces livres.
– Tu es ma petite salope aussi, alors, lui dis-je.

Elle sourit, en me caressant… et ce sourire me promettait encore tant d’autres aventures torrides !

 

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2 réponses à Franou, mon fantasme par Ron01

  1. Lesignac dit :

    Excellent et tant pis pour les grincheux qui diront que c’est du harcèlement

  2. Mady dit :

    Ça me rappelle le temps du téléphone rose !
    Ça existe encore ?

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