Flagrant délit dans les remparts par Jean-Michel_et_Martine

Les vacances et la canicule étaient déjà presque oubliées. Le travail
reprenait doucement. Ce dimanche là, nous avions une invitée pour la
journée: Elizabeth D… Elle a fait un stage de communication chez nous
pendant un mois. Et si je fus avec plaisir, professionnellement, son parrain
de stage, Martine, démarcheuse et opportuniste sans rivale, s’était octroyé
le titre de marraine initiatrice en urolagnie et en pipis vicieux.

Ceux qui, à ce propos, ont lu les récits précédents, se souviennent que
Babeth était même gênée de laisser voir qu’elle quittait son bureau pour se
rendre aux toilettes.

Elle profitait généralement de l’envie de Martine pour l’accompagner. La
simple idée de savoir que quelqu’un pouvait entendre le bruit de la chute
dans la cuvette la bloquait

Jusqu’au jour où, Martine, résolument, choisissant le moment opportun, en
laissant volontairement sa porte ouverte, a pu lui montrer alors qu’elle ne
s’y attendait pas, un superbe pipi debout dont elle a la spécialité, de plus
par la jambe de son mini slip. D’abord surprise et gênée, Babeth s’est
excusée de l’avoir vu dans une situation qu’elle croyait embarrassante et
surtout une attitude à laquelle elle n’aurait même pas osé penser.

Cet incident permit d’ouvrir plusieurs fois la conversation sur le sujet.
Babeth assura que jamais elle n’oserait s’installer ainsi devant une autre
femme, alors encore moins face à son copain.

Elle fut toute surprise d’apprendre que Martine considérait cela comme un
jeu érotique qu’elle pratiquait parfois. Intéressée malgré tout par les
explications qu’elle recevait, Babeth admit qu’en plus du côté érotique de
la chose, un petit côté pratique était aussi à considérer.

Lors d’une sortie professionnelle « entre filles », comme il y avait nécessité
d’évacuer un Périer-Citron, Martine arrêta la voiture dans un petit bosquet
qu’elle connaissait pour s’y être arrêtée déjà plusieurs fois. Elle montra
l’exemple à sa copine, en envoyant loin devant elle, par la braguette de son
jeans, un superbe jet comme elle sait le faire, en expliquant en plus à
Babeth qu’en mettant deux doigts en haut des petites lèvres ça allait tout
seul, et elle l’invita à s’épancher à son tour.

Celle-ci levant sa jupe s’apprêtait à baisser son slip pour s’accroupir
quand Martine, en bonne marraine, lui indiqua gentiment mais avec assurance,
que c’était comme elle, debout et par la jambe du slip qu’elle souhaitait la
voir faire, l’environnement s’y prêtant particulièrement.

Après un peu d’hésitation, et ne voulant sans doute pas passer pour une
dinde, Babeth réussit à laisser tomber maladroitement entre ses pieds, un
pipi qui arrosait cuisses et mollets, et c’est en riant qu’elle s’essuya
avec un kleenex proposé par Martine toujours bien équipée pour de telles
circonstances.

Quelques mois plus tard, Babeth revint dans la région, et alors qu’elle
avait sollicité l’aide de Martine pour l’achat d’un appareil photographique,
elles se retrouvèrent dans un petit bar pour boire un thé.

Babeth raconta ses progrès. Encore un peu gênée devant son copain, elle
réussissait parfois à se laisser aller devant lui, l’un et l’autre
appréciant de plus en plus ces petits jeux, généralement prémices à d’autres
choses.

Avant de quitter le bar et après le thé, un pipi s’imposait. Comme elles
étaient les seules consommatrices, Martine, toujours opportuniste, insista
pour que Babeth lui fasse voir ses progrès, et c’est à deux, ensemble et
côte à côte, qu’elles s’épanchèrent sur la faïence d’une stalle. Ce jour là,
Babeth reçut de la part de son professeur un diplôme de pisseuse avec
mention « Bien ». (Voir Martine initiatrice).

Les mois ont passés. Les deux filles ont échangé des appels téléphoniques
amicaux, des cartes postales de vacances, et Babeth a accepté notre
invitation à venir passer un dimanche avec nous, loin de penser que Martine
m’avait confié ses « exploits » et encore moins qu’il en était question sur
Vassilia.

Pendant que Martine s’affairait aux derniers préparatifs du déjeuner,
j’avais la mission de récupérer Elizabeth à la gare. Elle avait préféré le
train plutôt que la voiture déconseillée par « Bison futé ». Nous n’avons eu
aucune peine à nous reconnaître. Filleule et parrain de stage abandonnant le
protocole, s’embrassèrent comme deux vieux copains, et sur la route la
conversation roula sur la marche de l’agence, seul lien en fait, qui nous
réunissait.

Arrivés à l’appartement, je n’existais plus, les deux filles avaient un tas
de choses à se raconter: le boulot, les affaires, les vacances, le shoping,
etc. Tout y passait. A peine si parfois on sollicitait mon avis. Evidemment,
aucune allusion aux petits secrets qui nous unissaient tous les trois.

Le repas s’était effectué dans une ambiance très amicale. Chacun surveillant
ligne et santé, Martine avait préparé un petit repas diététique, arrosé d’un
jus d’orange en apéritif, avec un ou deux verres d’eau en suite. Juste un
petit bout de dessert:

– Pour respecter la tradition… précisa Martine.

Le dessert appelait le thé ou le café.

– et pour toi Babeth ?… thé ou café?
– Bon… alors thé pour ces Dames et un café pour Monsieur.

La théière et la cafetière arrivèrent bientôt sur la table. Je me contentais
d’une seule tasse alors que Martine et Elizabeth, appréciant le thé chinois,
vidèrent la théière à elles deux.

Ayant sans doute épuisé les sujets de conversation, Martine proposa:

– Tiens… il fait encore beau aujourd’hui… et si nous allions faire
visiter les remparts à Elizabeth pour faire la digestion ?

J’approuvais.

C’était une de nos petites ballades favorites. Les remparts se trouvaient à
dix ou quinze minutes de voiture. En choisissant son itinéraire de
promenade, la visite pouvait durer de quinze minutes à une heure ou plus.
Utile précaution avant le départ, Elizabeth se fit indiquer les toilettes,
où elle fut suivie par Martine puis par moi.

Le site est aménagé pour faciliter la visite en toute sécurité. Tantôt des
escaliers, tantôt des chemins bordés de rambardes protectrices, tantôt des
pièces d’eau pleines de grenouilles. Martine et moi connaissons tous ces
chemins par coeur, et elle y avait déjà fait de nombreuses photos.

Toujours à l’affût d’une occasion, ce dimanche elle avait pris son petit
appareil numérique qu’elle portait suspendu autour de son cou. Nous
progressions lentement en bavardant, en racontant à Babeth l’histoire des
remparts. Elles s’extasiaient devant de vieux arbres, des marches couvertes
de mousse. Les canards dans les douves l’amusaient beaucoup.

Il y avait un bon moment que nous étions là à goûter les lieux et nous
arrivions à un endroit que Martine appréciait particulièrement au cours de
nos petites randonnées. C’était devenu quasiment une tradition, car,
l’endroit isolé et loin du passage habituel des promeneurs, était idéal pour
un petit pipi.

Tellement isolé et calme, que plusieurs fois, il fut le témoin non seulement
de nos petits jeux uros, mais aussi il nous permit d’aller plus loin dans
ces jeux. Je me demandais si aujourd’hui elle allait laisser passer
l’occasion après un jus d’orange, au moins un verre d’eau, et deux tasses de
thé. Personnellement, j’aurais bien aussi profité des lieux. Mais voilà…
Il y a Babeth. Elle devait sans doutes elle aussi avoir une grosse envie.
Alors ?… Allait-on se retrouver à trois à s’épancher sur le bord du chemin
? Mon envie était sérieuse, mais la présence de Babeth me faisait reculer un
peu. Involontairement Martine débloqua la situation.

– T’as pas envie de pisser Babeth ?… Moi si. Tu vois chaque fois que nous
passons dans ce chemin, comme il n’y vient jamais personne, nous en
profitons pour faire un pipi.

Elle avait dit « nous » en profitons. Elle me tirait d’affaire.

Nous nous sommes retrouvés, elle et moi, tournant le dos au chemin, à
quelques mètres de Babeth, qui sans doute détournait le regard, à un mètre
l’un de l’autre comme d’habitude, moi braguette ouverte, et elle, le devant
de la jupe levée, debout, écartant le slip et envoyant devant elle un
superbe pipi, comme elle le faisait souvent avec moi, sans gène,
innocemment, ses longues cuisses tentatrices à portée de mes mains. Mais je
devais réaliser que c’était un pipi nécessité et pas provocateur.

Un peu gêné par la présence inhabituelle de Babeth, j’eus un peu de mal à
démarrer, contrairement à Martine. Je la devinais derrière nous, tournant le
dos évidemment par discrétion. Alors que Martine, sans complexe, arrosait
allègrement à un mètre devant elle, comme si rien n’était, avec son adorable
petit chuintement si doux à mes oreilles, elle dit à son amie:

– Ne te gènes pas pour nous Elizabeth… profites de l’occasion… c’est le
moment. Jean-Michel ne te regardera pas. Pas vrai Jean-Mich’ ?
– Je le jure. Si je regardais Martine me tue… alors !
– Non… ça va… Je peux attendre jusqu’à l’appartement… Ca fait combien
?
– Au moins vingt minutes… minimum. C’est comme tu veux… ici pas de
problème… on connaît bien le coin… jamais un chien.
– Ça ira.

Et nous reprenons notre promenade. Babeth le front plissé parlait moins,
visiblement accaparé par un problème. On aurait dit qu’elle serrait les
jambes en marchant. J’étais sûr que comme Martine elle souffrait dans ces
cas là, sans oser le reconnaître, n’ayant pas comme elle des facilités pour
pisser n’importe où ou n’importe comment. Peut-être souffrait-elle aussi de
crises de cystite et que si j’avais été absent, elle aurait sans doutes
accompagné Martine tout à l’heure. Ne voulant pas de toute façon lui imposer
ma présence, même discrète, j’eus une idée.

– Tiens… je pense à quelque chose. Puisque je suis si prés, je vais aller
voir nos affiches si elles n’ont pas été vandalisées. Vous deux continuez
jusqu’à la voiture, je vous rejoins là-bas. Tiens, voilà les clefs… mais
ne partez pas sans moi hein!

Martine parut surprise par mon idée. Elle me regardait avec de grands yeux
interrogateurs. J’eus le temps de lui faire un clin d’oeil qu’elle ne
comprit sans doute pas et me répondit par un sourire qui voulait dire:
– Comme tu veux!…

Je partis par un autre chemin, pensant que ma décision serait comprise des
filles et qu’elles en profiteraient. La route que j’avais choisie était plus
courte et me mettait en ville immédiatement. Je pris quinze minutes pour
arriver sur le parking. Elles étaient dans la voiture entrain de bavarder.
Je pris place au volant en disant:

– Ça va les filles ?… Pas trop fatiguées?
– Ça va nous deux… et toi ?… Tiens, passes devant Notre-Dame pour faire
voir la façade à Elizabeth.
– Mais ça nous rallonge la route?
– On a le temps… le train n’est que dans une heure trente.

Il était évident que plus rien ne pressait. Il était aisé de comprendre que
mon absence avait été profitable à Babeth, et peut-être à Martine aussi,
histoire d’accompagner sa copine et tels que je connaissais ses besoins
parfois rapprochés.

Une fois de retour à l’appartement, pas de passage urgent aux toilettes,
mais l’une et l’autre allèrent dans la salle de bain pour « se refaire une
beauté ».

Il restait du temps pour terminer le dessert. La promenade nous avait donné
un « petit creux ».

Un dernier jus d’orange, un dernier pipi avant le départ, et en route pour
la gare.

Le 18h15 s’arrêta le long du quai. On s’embrasse une dernière fois. On se
promet de se revoir bientôt bien sûr. Bonjour aux collègues de l’agence…
oui… nous n’y manquerons pas. Un dernier signe au travers de la vitre et
le train s’éloigne dans un bruit d’énorme ventilateur.

Une fois rentrés, en desservant la table, Martine m’interpella:

– J’ai un truc à te demander.
– Ça tombe bien… moi aussi.
– Je commence… moi la première. Tu avais vraiment besoin d’aller voir
l’état de nos affiches ?
– Non… je les avais vu hier. Mais j’ai eu l’impression et même la
certitude que mon absence serait mise à profit par Elizabeth pour pisser…
non ?… je me trompe ? Et comme je sais que pour toi de telles situations
sont parfois douloureuses, j’ai pensé que pour elle c’était la même chose,
vu la tête qu’elle avait. J’étais sûr que ma présence la gênait pour faire
comme nous et qu’avec toi seule il n’y aurait pas eu de problèmes.
– Bien sûr… mets toi à sa place la pauvre. Elle n’est pas « débridée » comme
moi. Mais vu ce que je lui ai déjà vu faire, je pensais que si tu lui
tournais simplement le dos elle aurait pu. Moi-même prés d’un mec inconnu,
même s’il ne regarde pas, je crois que j’aurais des problèmes.Mais dis
donc… c’est un gentleman mon homme ? Je te récompenserai pour cela. Ah,
tiens… dix neuf heures trente… On se mange une petite soupe en se
racontant la suite et je te fais une surprise. Ca marche ?

– Ça marche!

Elle avait fait son plan. Comme d’habitude, je devais attendre.

A nouveau à table face à un bol de soupe, elle commença:

– Oui… quand tu es parti, je me demandai bien pourquoi, les affiches tu
les vues hier. Je pensais aussi que ton départ avait du bon et qu’il allait
peut-être servir à Babeth, car elle avait bu la même chose que moi donc
avoir la même envie. Je lui fis remarquer que c’était une bonne occasion.

Là sur le chemin où nous étions la visibilité était excellente et elle avait
tout son temps. Le fait de lui en parler me redonnait une envie et
j’insistai:

– Allez… Fais comme moi, … ou baisse- toi si tu veux. Il n’y a pas âme
qui vive à moins d’un kilomètre.

Ce disant, comme pour l’encourager, je retroussais à nouveau ma jupe et
comme précédemment, par l’entrejambe, je laissai descendre un nouveau pipi,
dans le chemin, moins gros que l’autre, mais cette fois en faisant en sorte
qu’elle puisse bien voir le bas de mon ventre en action, si j’ose dire, pour
bien lui faire voir qu’il n’y avait aucun problème ni avec l’environnement
ni entre nous. Elle me regardait faire avec envie, j’en étais certaine. Elle
avait un air d’enfant perdu qui craint quelque chose.

– Non Martine, je t’assure, j’ai une peur bleue que quelqu’un arrive et
qu’il me voit… Je n’y arriverai pas… dit-elle d’air malheureux.
– Ecoute… si vraiment tu as une grosse envie tu ne pourras pas trouver
mieux qu’ici ou à l’appartement dans vingt minutes au moins… Tu l’as déjà
fait avec moi dans la nature et c’était moins sûr que maintenant… alors
vas-y… je te regarderai pas.

Elle était là debout en bas des escaliers, sur le chemin, prés de la trace
que je venais de faire, entre les rambardes. Elle tenait ses mains serrées
entre ses jambes.

– Tu ne vas tout de même pas pisser dans ta culotte ? Alors vite… tu la
baisses, et en petite jupe ça va tout seul. Allez… je me retourne… il
n’y a pas un chien à la ronde. Essaies au moins… tu as déjà fait mieux…
Qu’est-ce qui t’arrive aujourd’hui? On ne va pas pouvoir rentrer avec ton
envie. Tu arriveras à peine à marcher.

Je ne sais pas si j’ai été convaincante, ou si vraiment elle a été trahie
par sa vessie, tout s’est précipité quand elle a dit:

– Excuses-moi… je n’en peux plus… Je craque comme une sale fille.

Elle a juste eu le temps de tirer sur la jambe de son slip pour laisser le
passage à une véritable cataracte. Elle regardait autour d’elle tout en
pissant, pour s’assurer que personne ne pouvait l’apercevoir dans cette
situation qui lui paraissait sans doute humiliante.

Alors là, je n’ai pas pu résister. J’ai saisi mon « numérique » qui pendait à
mon cou, et pendant qu’elle regardait derrière elle, j’ai appuyé m’en
remettant aux automatismes pour la photographier.

– Elle t’a vu évidemment?
– Non… mais elle s’en est douté et m’a dit en riant que j’étais pas sympa.
Qu’heureusement j’étais une copine en qui elle avait toute confiance, et que
bien sûr, je ne devais pas faire voir la photo. Je lui ai assuré qu’elle
avait le visage caché par ses cheveux et qu’on ne pouvait pas la
reconnaître. Je lui ai promis aussi évidemment, de lui en envoyer une. Je
l’ai aussi rassurée en disant que si tu m’avais photographiée chaque fois
que tu m’as vue dans cette situation, nous aurions un gros album.

Juste avant l’averse, elle avait mouillé quand même un peu son slip, ou
alors elle ne l’a pas écarté assez fort. Elle l’a quand même enlevé,
espérant que sa minijupe en la tirant bien vers le bas, cacherait
l’essentiel.

Après, nous avons rigolé un peu toutes les deux quand je lui ai rappelé son
initiation et que j’étais son professeur. Elle a bien insisté quand elle a
dit que si tu voyais cette photo elle n’oserait plus jamais paraître devant
toi. Alors fais gaffe Jean-Mich’, si tu revois Babeth: tu ne sais rien.

Quand j’ai proposé de repasser par la cathédrale pour voir la façade, j’ai
pensé après coup:

– Pourvu qu’il ne lui dise pas de descendre pour aller la voir de plus prés!

Je vois mal la Babeth en minijupe, sans culottes, pour faire la visite. Dans
la voiture, elle était derrière moi, et comme je me retournais souvent pour
lui parler, j’ai remarqué qu’elle tirait bien sur sa jupe et qu’elle prenait
beaucoup de soin pour descendre de la voiture.

En rentrant, nous avons été dans la salle de bain toutes les deux pour nous
recoiffer c’est vrai, et pendant qu’elle se lavait un peu ce que tu penses,
j’ai sorti le plus grand slip que j’avais pour remplacer le sien. C’était
juste, car mes fesses et les siennes… tu as remarqué… c’est pas le même
gabarit. Le sien est dans un sac de supermarché et remisé dans son sac à
dos. Et oui Jean-Mich’ tu as promené une foufoune blonde sans culotte dans
ta voiture et tu n’en savais rien !

Ce
disant, l’appareil fut raccordé à l’informatique et en quelques clics
Martine amena à l’écran notre amie Babeth, dans les remparts, sur ce petit
sentier que j’avais emprunté juste avant elle, au pied des escaliers, prés
des rambardes, regardant derrière elle avec méfiance sans doutes, si je ne
revenais pas.

J’imaginais son état d’esprit, debout, slip écarté, pour laisser descendre
contrainte et forcée un gros déluge que l’on voit à ses pieds.

– Tu vois, tu as eu une bonne idée en disparaissant. La pauvre, je ne sais
pas ce qui serait arrivé. Et tu aurais dû te retourner pendant l’averse, car
si tu l’avais regardée, je te transformais en eunuque. Il n’y a que mes
pipis que tu as le droit de voir, je te le rappelle. Mais tu es un
gentleman, tu en seras récompensé. Promis.
– Mais dis donc un peu, si je suis un gentleman, par contre toi tu n’as eu
aucun scrupule à photographier en flagrant délit ta copine alors que moi, je
n’ai pas le droit de te photographier toi?
– Pour quoi faire ? Tu peux me voir faire mon pipi quand tu veux. C’est même
moi qui souvent t’invite ? Et puis il y a la photo de ma soeur jumelle, mon
sosie, dans Vassilia ? La photo que tu ferais n’aurait aucun intérêt…
dit-elle en riant. Tiens … et si on prenait notre douche ensemble ? J’ai
envie que tu me laves le dos.

Encore une question qui ressemble à un ordre. Une fois tous les deux dans la
cabine, je devinais que je devais lui laisser les initiatives.

Ses bras passèrent autour de mon cou, elle enserra ma taille de ses jambes,
mes bras maintenant ses fesses, et ainsi accrochée, elle me regarda
hardiment dans les yeux, puis joignit ses lèvres aux miennes, et soudain, je
sentis un écoulement chaud et érotique ruisseler sur mon ventre, descendre
sur mes jambes avant d’aller mourir dans la douche.

Soulagée, et satisfaite de la surprise inattendue qu’elle venait de me faire
et qu’elle ne m’avait jamais faite, elle me demanda:

– On le fait maintenant ou tout à l’heure au lit?

Descendue de son perchoir, elle regarda le bas de mon ventre, attrapa mon
érection à pleine main et conclut:

– Ah oui… c’est maintenant!

Elle se retourna, s’appuya sur le mur de la cabine pour me tendre ses
petites fesses. Je passais mes mains sur son dos, puis son ventre, pour
arriver à ses petits seins en poire.

Comme j’atteignais son pubis rasé sur lequel un petit duvet renaissait, elle
demanda d’une petite voix douce:

– Tu viens ?…

Jean-Michel et Martine

(Merci à Elizabeth pour sa participation photographique involontaire)

Janmich59@aol.com

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