Fin de dîner scato à trois par Cosi-cosa

Fin de dîner scato à trois par Cosi-cosa

Ce soir-là, Carole, ma femme avait invité à dîner Josy, sa meilleure amie, une belle rousse, les cheveux coupés courts, et bien conservé malgré qu’elle ait dépassé la quarantaine. Josy habite aujourd’hui en province mais nous l’invitons chaque année lorsqu’elle monte à Paris

Nous nous connaissons depuis longtemps, et nous avons souvent passé des soirées et des week-ends ensemble. Il nous était arrivé de partouzer ensemble, mais la chose n’avait rien de systématique et nous ne n’avions plus fait depuis longtemps. Dommage d’ailleurs.

Nous avons beaucoup mangé et pas mal bu et bien sûr discuté en refaisant le monde.

Au bout d’un moment la discussion s’orienta sur le sexe. Comme nous sommes très libres et notre amie également, la discussion s’est éternisé et nous avons abordé le sujet des pratiques un peu spéciales.

Là, après avoir passé un moment à décrire nos vécus respectifs, Josy nous a avouée qu’elle avait eu des expériences uro et même scato avec un de ses mecs et que cela ne lui avait pas déplut.

Fort de cette confidence ma femme lui avoua à son tour que nous avions des « périodes » où elle aimait me pisser et même me chier dessus.

Notre amie nous raconta notamment comment elle adorait nettoyer une bite qui sortait de son cul

La discussion aurait pu en rester là, mais soudain, ma femme s’exclama :

– Eh bien, justement il va falloir que j’aille aux toilettes !
– Tu vas chier ? Lui demanda Josy
– Oui, tu veux regarder ?
– Bien sûr ma chérie.
– Viens !
– Je crois bien que moi aussi j’ai envie ! ! Ajouta Josy
– Hummm, super !

Mais à cet instant, au lieu de se lever, ma femme se pencha vers son amie, lui glissa quelques mots à l’oreille et j’entendis Josy répondre :

– S’il est d’accord, pourquoi pas ?

Et là, ma femme me dévisagea et le plus sérieusement me dit en me regardant bien en face :

– On aimerait bien toutes les deux te chier sur le visage, moi d’abord et Josy ensuite, tu veux bien ?
– Ma foi, pourquoi pas ?

On se déshabilla tous les trois et je pu admirer ainsi les courbes sensuelles de Josy et son bronzage intégrale

– Mais c’est qu’il bande joliment ! S’amusa Josy en voyant l’état de ma bite.

Ma femme m’entraina vers les toilettes, me fit m’allonger devant la cuvette en laissant la porte ouverte. Elle s’accroupit au-dessus de moi, me demanda d’ouvrir la bouche et commença par m’envoyer un flot d’urine, j’avalais ce que je pouvais, puis elle vint plaquer ses fesses contre mon visage.

Je n’eus pas à attendre longtemps. Elle lâcha d’abord un pet puis je sentis un long étron mou s’écraser sur mes lèvres. Un second ne tarda pas à suivre, elle se souleva légèrement et je vis l’énormité chancelante s’effondrer sur ma joue recouvrant partiellement mes narines.

Enfin, un troisième tomba sur mon front et s’échoua lentement me recouvrant un œil que j’avais déjà fermé.

Elle se leva, et céda sa place à Josy qui postée dans le couloir n’avait rien raté de ce spectacle insolite.

Les yeux toujours clos, je sentis Josy se placer au-dessus de moi tout en restant à bonne distance. Après avoir vidée sa vessie en long flot, je sentis soudain une chose lourde et molle s’échouer sur mon menton, puis ce fut le tour d’une joue et d’une autre et enfin une pâte molle s’écrasa sur on front, j’avais les yeux fermés heureusement car ils furent recouverts.

Josy me dégagea les yeux, je la vis ramasser deux des étrons.

– On te laisse enlever tout ça, on est à côté !

Je me débarrassais des étrons que je jetais dans la cuvette. Evidemment je m’en mettais plein la main et me les léchais avec gourmandise

Néanmoins, quelque chose m’échappait, il me semblait que la suite logique cette fantaisie aurait été que ces dames me donnassent leurs culs à nettoyer, ce que j’aurais volontiers fais de ma langue. Mais sans doute avait-elle d’autres projets.

Effectivement quand je rejoins le salon, je ne trouvais personne, mais je perçus des bruits dans la cuisine.

Les deux femmes après s’être léché le cul réciproquement s’étaient barbouillées le corps de merde et s’amusaient à se lécher le corps qui mieux mieux. Je me postais dans le chambranle de la porte, la bite à la main, me masturbant.

Un moment, Josy prit ce qui restait d’un des étrons et se le fourra dans la bouche, elle approcha son visage de ma femme et elles s’amusèrent à se l’échanger. Puis Carole s’étendit sur le sol en écartant les cuisses afin que son amie vienne lui butiner la minette. Elle jouit assez rapidement et plutôt bruyamment

Et pendant que mon épouse récupérait ses esprits, Josy se positionna en levrette. Je pensais que ma femme finirait alors de lui nettoyer le cul. Non ce n’était pas ça !

– Viens m’enculer me dit l’amie de ma femme.

Vous devinez bien que je n’hésitais pas un seul instant, et pénétrait dans ce cul magnifique lubrifié à la merde, j’eu du mal à me contrôler afin que cela ne soit pas trop rapide. Quand Josy eut joui, je sorti une bite merdeuse et spermeuse que les deux femmes eurent tôt fait de me nettoyer.

Après une douche, nous sommes revenus au salon, enroulés dans nos serviettes.

– On va manger le dessert maintenant, j’ai fait de la mousse au chocolat, de la vraie ! Annonça Carole.

FIN

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10 réponses à Fin de dîner scato à trois par Cosi-cosa

  1. Gilbert dit :

    Moi la photo ne me choque pas, même que j’embrasserais volontiers ces deux coquines dans cet état.
    Le récit est un peu rapide mais ça peut faire fantasmer.
    Quant à moi je me suis déjà fait chier dessus, c’est amusant et excitant

  2. Carlos dit :

    Les tabous sont fait pou être brisé, j’ai attendu d’avoir la cinquantaine pour briser celui-ci, je ne le regrette pas. Avec ma nouvelle compagne nous y jouons assez souvent. Quel plaisir quand elle me déféqué sur la visage sa merde chaude et odorante. Et quel plaisir de lécher tout ça avec la bite au garde-à-vous.

  3. Lesignac dit :

    Il est dommage que l’illustration fasse un peu repoussoir parce que le récit est bien

  4. Forain dit :

    Il est un fait que l’illustration manque d’élégance, mais le récit n’est pas mal, quand au râleur qui n’a pas aimé, rien ne l’obligeait à lire ce texte

  5. Columbers dit :

    L’auteur n’a pas osé signer, il a bien fait, ce texte est ignoble

    • Eddy dit :

      La couleur (si j’ose dire), étant annoncé dès le départ, rien ne vous obligeait à le lire, vous avez parfaitement le droit de ne pas aimer ce genre de récit, mais de dire qu’il serait ignoble n’est qu’un avis personnel sans importance.

  6. Darla dit :

    Pourquoi pas ?

  7. Hyperion dit :

    La blonde sur l’illustration c’est bien Maisy van Kamp ?
    Comme j’aimerai l’embrasser quand elle est dans cet état

  8. Claire dit :

    Au moins le titre annonce la couleur. C’est trop court et trop factuel, mais ça ne laisse pas complètement indifférent non plus

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