Fathia de surprise en surprises 2 – Les trans s’en mêlent par Eddy

Fathia de surprise en surprises – par Eddy
2 – Les trans s’en mêlent

C’est à cet instant que le téléphone sonna !

Hector à l’air dépité !

– Oh ! J’avais complètement oublié ! Oui, bon, on arrive dans une demi-heure ! Non on n’est pas au magasin ! Il fallait qu’on passe à la maison ! Des problèmes personnels ! Oui, oui, dans une demi-heure, attendez-nous, on arrive !

Il raccroche, apostrophe Gisèle, il est question de la signature de je ne sais quel avenant à je ne sais quel contrat. Si j’ai bien compris quelqu’un devait passer au magasin recueillir un document et s’est cassé le nez !

– Bon on s’excuse ! Dira Hector, Gisèle et moi avons un petit contretemps, c’est bête parce qu’on s’amusait bien. Ce que je vous propose, c’est d’aller bouffer, et après vous allez tous les trois au magasin pour avancer un peu, et on se retrouve tous en début de soirée.

Après-midi, restaurant et taxi

C’est peut-être le moment de lui dire que je n’ai rien à voir avec le rangement de son magasin, mais nos deux tourtereaux semblent hyper pressés et je n’ai pas le temps d’en placer une. Tout le monde se rhabille. Avec tout cela je n’ai pas joui et j’hésite sur la conduite à tenir.

On prend le métro avec Fathia et Denis, direction le centre commercial. Je n’ai vraiment pas trop envie de me farcir le rangement d’un magasin de fringues. Je sais bien qu’au bout il y a la suite annoncée de la partie, mais j’ai l’impression que mon quiproquo peut être découvert d’un moment à l’autre. Tout à l’heure dans le feu de l’action cela n’avait aucune espèce d’importance, mais d’ici ce soir il peut se passer pas mal de choses !

– Fathia, j’ai un aveu à te faire !
– Si c’est une déclaration d’amour, je suis déjà prise !
– Ah ? Et quel est donc l’heureux élu !
– C’est un secret !
– Non, je parle sérieusement, je suis entré disons un peu par hasard dans votre magasin et je ne sais pas qui est ce Devrieux ! Donc voilà, j’en ai pas mal profité, mais maintenant je vais vous dire aurevoir ! Cela aura été une belle aventure !
– A vrai dire, on s’en doutait un petit peu, mais on n’a pas eu trop le temps d’en parler ! Mais ça ne fait rien, on va te garder quand même !
– Non, mais attends, je ne cherche pas un emploi de rangeur de magasin, j’ai un boulot fixe et d’ailleurs je dois…
– Ecoute mon bonhomme, tu fais ce que tu veux, mais si tu veux assister à la seconde mi-temps ce soir tu vas ranger le magasin avec nous, c’est le prix à payer, et Devrieux ou pas Devrieux, je crois que ça n’a aucune importance. Et puis il y a autre chose !
– Oui ?
– Nous, on aimerait bien que tu restes !

J’allais lui dire que j’avais aussi une vie privée et qu’il faudrait que je rentre et patati patata, mais devant un tel argument je fonds complètement et j’obtempère.

Il est sans doute inutile que je vous raconte dans le détail notre après-midi. Après avoir déjeuné assez rapidement d’une pizza à emporter, on m’expliqua ce qu’on attendait de moi ! Quelques heures après, j’étais devenu le roi du cintre et de l’étiquette et trompait l’ennui de ces taches absolument inintéressantes par une ardeur volontariste qui étonna mes deux  » collègues « . Nous n’échangions que peu de paroles à l’exception de celles nécessaires au bon déroulement de notre activité. Pourtant à un moment, elle me demanda à brûle pourpoint :

– T’es marié ?
– Divorcé !
– Tu vis avec quelqu’un ?
– Pas en ce moment ! Pourquoi ?
– Pour rien, pour savoir !

Denis s’aperçu assez vite que Fathia n’avait pas l’intention d’entrecouper ses taches de l’après-midi par des entractes sexuels, et paraissait en être dépité. De Fathia je n’avais plus que son visage à regarder entre deux plongeons dans les cartons de fringues. Mais c’était déjà beaucoup ! Un visage de femme peut être extrêmement érotique. Je ne me lassais pas de ce minois si expressif, de ce nez droit et fin, de ses lèvres joliment ourlées et même de ses fines oreilles si finement dessinées, et s’il n’y avait que ça, sa peau lisse et sans défaut et ses yeux noirs, noir comme ceux d’une sorcière disait Gisèle ! Je lui lançais de temps à autre un petit sourire auquel elle me répondait gentiment mais sans insister. Denis n’avait pas cette chance. Et pour le coup je la trouvais vache, donner un sourire c’est donner beaucoup et notre troisième larron de l’après-midi ne me paraissait pas mériter pas ce quasi-mépris. C’est sans doute la raison pour laquelle, vers 18 heures ce dernier nous avertit qu’il ne pourrait pas rester, qu’il avait des obligations, etc…

– C’est malin ! Tu ne pouvais pas le dire avant !
– J’y pensais plus !
– Bon écoute, on s’est bougrement avancé, on a super bossé tous les trois, dans une heure tout va presque être prêt. Alors je voudrais vraiment terminer !
– Vous allez pouvoir terminer à deux !
– T’as rien compris ! Je referais bien la sorcière pour t’obliger à rester, mais je n’ai pas le temps !

Du coup, Denis réfléchit un instant, regarde Fathia qui commence à lui faire de grands yeux langoureux, et soudain détale littéralement du magasin !

– Ah le salaud ! Mais qu’est-ce qu’il lui a pris ?
– Il a dû se dire que s’il restait une minute de plus, il ne pourrait pas résister à ton charme !
– J’aime pas ça !
– On aurait dit que tu avais quelque chose contre lui !
– Il m’a pris pour une pute ! J’en suis d’ailleurs peut-être une, ce n’est pas une raison pour me manque de respect ! Je m’en fous un peu des mots qu’on me dit, mais pas de la façon dont on me les dit !

Elle ne lui avait donc pas pardonné sa tentative de sodomie pendant son étreinte avec Gisèle !

– Et pourquoi tu as essayé de le retenir à la fin alors !
– Ben pour Hector, cette bonne blague ! D’ailleurs il faudrait que je lui téléphone !

Du coup elle le fait, lui dit que c’est dommage que Denis fasse faux bon. Mais elle présente un visage rasséréné en raccrochant et m’avertit que le maître des lieux lui cherchera un remplaçant

– J’espère qu’il sera bien ! Dira-t-elle en conclusion.
– On verra bien, ça ne m’explique pas pourquoi Hector et Gisèle ne sont pas passé cet après-midi !
– Bof, c’est long tout cela, ils ont sans doute été au restaurant arroser le contrat, et après ils ont peut-être été discuter d’autres contrats. Hector a les affaires dans le sang, il discute le moindre détail, il sent les bonnes affaires. Il sent les fringues comme il sent le sexe, c’est un esthète !

On continue à finir de ranger et une demi-heure après c’est Hector lui-même qui nous rappelle, il nous donne rendez-vous à 20 heures dans un petit restaurant du 17ème arrondissement, il nous dit avoir réservé 6 places.

– 6 places, il a trouvé deux personnes pour remplacer Denis ?

Ça m’embête un peu, je n’aime pas trop rencontrer des inconnus, mais encore une fois je me dis qu’on verra bien, personne ne me retient prisonnier !

– Ben oui, il ne me pas donné de précisions, c’est peut-être un couple ?
– Ça lui arrive souvent à Hector d’organiser des petites parties comme ça !
– Ne soit pas si curieux, profite donc de ce qui t’arrive, le reste n’a aucune importance !

Ah ! Bon ?

On arrive les premiers, on s’assoit en bout de table. J’aime bien les bouts de table, comme ça si la conversation m’emmerde, je peux m’évader, et si ça devient franchement insupportable, je peux même me carapater sans être obligé de bousculer tout le monde pour faire semblant d’aller aux toilettes.

Hector et sa compagne finissent par arriver avec un peu (pas mal) de retard. Deux créatures féminines suivent le couple. Chic alors, je ne pouvais pas espérer mieux ! Deux femmes de plus ! Je ne vous dis pas la partouze, deux hommes et quatre femmes ! Je vais être la vedette. A moins que ? A moins que ? Si ces nouvelles nanas sont aussi bisexuelles que les autres, nous les hommes ont va peut-être rester en plan. Je veux bien certes m’amuser avec Hector, mas il n’y a pas que cela dans la vie.

On fait les présentations : Il y a Maud, une fausse blonde au visage très régulier et très maquillé et à la voix voilée. La voix ? Se pourrait-il que ? On me présente l’autre ! Gina, une grande mulâtresse au corps sculptural et aux longs cheveux bouclés, on me précise qu’elle ne parle pas beaucoup le français, Gina est brésilienne, ça va j’ai compris ! Hector a été dégotté deux joyeux travelos ! Je m’attendais à tout sauf à ça, et bien ça promets !

Maud s’assied à côté de moi, Hector devant elle, donc en plein milieu. On commande l’apéro ! On trinque !

– On trinque à quoi !
– Au sexe propose Maud !

Fathia la regarde d’un sale œil, elle n’a pas envie de se faire chiper la vedette de la partie en préparation. N’empêche qu’on lève tous nos verres, on trinque, tchin, tchin. Assez bizarrement la conversation démarre sur les chapeaux de roue sur le sexe, mais n’y reste pas. A ma grande surprise Hector se met à nous narrer des anecdotes sur l’histoire de la table et de la cuisine tout à fait palpitantes, il n’y a que lui qui parle à l’exception de Gisèle qui rajoute quelques propos de ci de là. Mais c’est passionnant, délicieusement raconté, on se régale, j’apprendrais un peu plus tard qu’Hector et Gisèle sont tous les deux d’anciens professeurs d’histoire et qu’ils ont conservé une passion pour cette discipline. Tout le monde est suspendu aux lèvres d’Hector qui se révèle non seulement une personne cultivée et agréable, mais quelqu’un d’intelligent aux idées et aux positions intéressantes. Je me fais la réflexion stupide de dire que Fathia et Maud suivent parfaitement la conversation ! Stupide parce que pourquoi ne l’auraient-ils pas suivi ? Ils n’ont l’air idiot ni l’un ni l’autre ! Seule Gina semble un peu larguée mais sans doute est-ce la barrière de la langue ?

Le dessert arrive ! L’ambiance s’est à ce point transformée que personne n’ose faire de digressions. C’est Hector alors lui-même qui débridera l’atmosphère en faisant une illusion graveleuse sur le beignet de banane flambé commandée par Maud :

– Et alors ? Je suis une flambeuse de banane ! Répond cette dernière.
– Ah oui ? Fais-nous voir !
– Humm ! Nous sommes au restaurant mais vous allez voir tout à l’heure !
– Personne ne nous regarde !
– Vous l’aurez voulu !

Il se tourne alors vers moi !

– Avez-vous quelque chose contre les transsexuelles, jeune homme ?
– Non, non, je n’ai rien contre !
– Ouf, j’ai eu peur !

Et en disant cela il me fout carrément la main à la braguette. Ce doit être un réflexe, moi quand on me fait ça je me mets à bander instantanément. Il m’aide un petit peu

(je vais par convention à partir de maintenant employer systématiquement le féminin pour parler des péripéties de ces deux transsexuelles, c’est plus facile, plus sympa et plus érotique)

Donc elle m’aide un petit peu de ses doigts agiles qui ne tarde pas à dézipper ma fermeture et à s’aventurer le long de la toile de mon slip, dans un premier temps, pour ensuite s’engouffrer à l’intérieur de ce dernier et me palper carrément la verge, pour ensuite la sortir résolument. Me voici la bite à l’air en plein restaurant, mais c’est vrai que placé comme je suis, on a du mal à me voir !

Mais je n’étais pas au bout de mes surprises ! Voilà que Maud se laisse glisser sur sa banquette, elle s’apprête à disparaître, mais stoppe en plein milieu de sa progression :

– J’ai carte blanche ?
– Vas-y ! Réponds Hector !

Cette fois, elle disparaît pour de bon, la voici entre mes jambes, elle me masturbe un petit peu, puis très vite engloutit mon membre en pleine bouche. Je ne vous dis pas l’effet que ça fait, être sucé en plein restaurant par une transsexuelle devant quatre personnes qui vous regardent. Moi qui d’ordinaire ne jouit pas très vite, je suis au bout de quelques minutes secoué par des spasmes éjaculatoires et je dois fournir un considérable effort de self contrôle pour ne pas hurler ma jouissance.

Maud se relève, et dévoile à notre petit groupe sa langue chargée de mon sperme ! Il la propose à Gisèle qui est assise à sa gauche, mais elle refuse poliment. Maud se redresse alors et tend son visage vers Hector qui lui, accepte l’offrande sans rechigner. Pendant ce temps-là, je m’essuie avec ma serviette.

L’ambiance s’est pas mal débridée, mais sans que pour les autres, les choses dépassent l’aspect verbal, on nous sert du café. Gisèle se lève.

– Tu vas où ? L’apostrophe Hector
– Je vais pisser, il faut te demander la permission ? C’est nouveau ?
– Si tu pouvais te retenir, ça ne me déplairait pas de faire un petit délire uro une fois rentrés à la maison !
– Et tu te figures que parce que je vais pisser maintenant, je n’aurais plus envie à la maison ?
– Bon admettons ! Et là, tu ne pourrais pas faire dans un verre ?
– C’est pas un verre qu’il me faudrait c’est une soupière !

Elle rigole et se dirige vers les toilettes.

– Bon ! Se console, Hector, on verra tout ça à la maison ! Puis se tournant vers moi :  » Au fait tu n’aimes peut-être pas ce genre de choses ?  »

Je le rassure.

– J’en étais sûr !
– C’est facile de dire ça après !
– Non, j’en étais sûr, je t’expliquerais pourquoi tout à l’heure.

Gisèle revient, elle a un sourire énigmatique et malicieux accroché au coin de ses lèvres. Elle se rassoit.

– Tiens, passe-moi ton verre, Hector, tu vas voir que moi aussi je peux être capable de délirer à fond !
– Chic, tu t’en es gardée une petite goutte alors ?
– Non, ce n’est pas tout à fait cela, c’est encore plus pervers !
– Fichtre ! Qu’est-ce qu’elle va nous inventer ?

Gisèle ouvre alors sa main, dévoilant la minuscule culotte qui y était cachée. Elle est trempée de son urine. Elle la presse alors au-dessus du verre comme elle le ferait d’un citron. Le récipient se remplit d’un peu de liquide vaguement jaunâtre !

– Maintenant bois !

– C’est que ce n’est pas très correct de boire seul !
– C’est un cadeau personnel, les autres en auront autant qu’ils le veulent tout à l’heure !
– C’est une promesse ?
– C’est une promesse ! Alors maintenant cesse de discuter et bois !

Hector surpris par l’attitude sa compagne, ne se dégonfle pourtant pas, il lève son verre

– A votre santé !

Et il abreuve le liquide cul sec, sous les applaudissements enthousiastes de notre petite compagnie.

C’est Hector qui donnera le signal du départ, nous précisant qu’on était tous un peu pressé de passer à des choses encore plus coquines en privé. C’est à ce moment-là que nous nous sommes rendu compte que nous ne pouvions monter à six dans la voiture. Il fallait donc qu’un ou deux d’entre nous se débrouillent par leurs propres moyens. Et alors que Fathia s’apprêtait à dire quelque chose se fut Maud qui fut la plus rapide et qui déclara :

– Ça ne fait rien, je vais vous rejoindre en métro avec mon biquet !

Je ne compris qui était le biquet en question que quand la joyeuse transsexuelle me mis son bras sous le mien.

Un peu paumé dans ce quartier de Paris que nous ne connaissions ni l’un ni l’autre, nous laissions rapidement tomber la recherche d’une station de métro pour faire plus simple et attendre un taxi. L’attente fut rapide. Maud s’était pris « d’affection » pour moi et n’arrêtait pas de me faire des bisous dans le taxi, sous le regard égrillard du chauffeur qui n’en perdait pas une miette. Les petits bisous devinrent vite de plus en plus osés et nous nous roulions carrément des pelles d’enfer.

– Profitez-en, faites comme si je n’étais pas là, vous savez j’en ai vu d’autres ! Ne vous gênez surtout pas pour moi !

Ah ! Oui, puisque c’était comme ça, et excité comme j’étais, je n’allais pas jouer les timides, et quand Maud pour la deuxième fois de la soirée me tata la braguette, je répondais en soulevant sa jupe à la recherche de la culotte, je la caressais, y trouvais une jolie bosse dont je caressais les formes avant de la libérer de son tissu. Je sortais ainsi une jolie queue de taille moyenne de belle forme et surtout bien raidie.

– Elle est belle, hein ? Demanda Maud.
– Humm ! Ravissante !
– Et vous le chauffeur, vous la trouvez comment ?
– Oh ! Moi vous savez, ce n’est pas mon truc ! Mais chacun fait ce qu’il veut !
– Vous n’aimez pas les bites alors ?
– Si la mienne !
– Ah ! bon ! Elle est si exceptionnelle que ça ? Vous nous montrerez tout à l’heure ?

Le chauffeur un peu désarçonné ne trouva pas de réplique propre à relancer ce passionnant échange. Quant à moi je branlais cette belle tige de chair, puis saisi d’une impulsion irrésistible, en approchait mon visage, et en attrapait le gland avec mes lèvres avant d’humecter tout cela et de la faire coulisser dans ma bouche !

– Ne me fait pas jouir, il faut se garder des réserves pour tout à l’heure !
– En fait si, ça m’excite ce que vous faites ! Dit subrepticement le chauffeur !
– C’est possible, mais ce n’est pas la peine de tourner à gauche pour prolonger le plaisir, c’est tout droit, c’est à 400 mètres et on est arrivé !
– Ah ! Excusez-moi c’est la fatigue !

Bizarrement, le mec, après avoir stationné, ne nous demande pas le prix de la course, sort du véhicule, et nous ouvre la porte !

– Je vais vous faire un aveu, voilà longtemps que je fantasme sur les travelos, mais je n’ai jamais osé franchir le pas, j’ai cru comprendre que vous vous rendiez à une sorte de partie, est-ce qu’il vous serait possible de m’y introduire ?

– Vous introduire ?

Il se rend compte à ce moment-là du quiproquo que peut provoquer sa requête, devient tout rouge.

– Je, je voulais dire…
– On a compris, répond Maud, non ce n’est pas possible. C’est un cercle très privé, mais si tu veux me sucer la bite c’est 40 euros !

Le mec est complètement troublé, il regarde Maud, semble hésiter.

– Bon, alors tu te décides ? Parce que nous, on nous attend !
– 40 euros pour vous sucer la bite ?
– Oui et dépêche-toi, parce que tout augmente en ce moment !
– Euh, j’aurais préféré le contraire !
– Tu veux qu’on te suce !
– Oui, enfin que vous me suciez, vous !
– Tu rêves ou quoi, tu crois que c’est la fête, ce soir ? Tu nous suces cinq minutes et si t’as envie de jouir, tu peux te branler en même temps !
– Je…
– Alors ? Oui, ou non ?
– Je ne sais pas !
– Je te plais ou pas ?
– Bon allez d’accord, on fait ça où ?
– Ben dans ta charrette, on va tous s’asseoir à l’arrière, et toi tu vas te mettre au milieu, et tu vas nous sucer à tour de rôle !
– Euh, monsieur ce n’est peut-être pas utile, dit-il en me regardant !
– Non ! Tu nous suces tous les deux ou rien du tout !
– Bon, ben tant pis, bonne soirée, je me casse !

Il referme alors les portes-arrières, rejoint sa place au volant et démarre sans nous demander le prix de la course !

Nous le voyons stopper à environ 50 mètres.

– Qu’est-ce qu’il fabrique ?
– Il hésite ! Me dit Maud ! Pour lui le pas à franchir est énorme, mais il va y penser toute la nuit et il le franchira un jour !
– Pourquoi il pile, alors ?
– Il se ment à lui-même, il se dit qu’il va peut-être accepter, mais en fait, il attend qu’on disparaisse. Tiens, roule-moi un patin, là tout de suite.

Ça ce n’est vraiment pas une corvée et j’embrasse goulûment la joli transi. Je vois d’un œil notre chauffeur entamer une lente marche arrière vers notre direction. Maud se détache de moi et lui fait signe de venir. Il continue de reculer, il est à cinq mètres de nous. Encore quelques mètres, il devrait alors sortir de voiture et accepter la proposition de Maud.

– Il va le faire ou pas ? demandais-je à Maud
– Non !
– Qu’est ce qui te fait dire ça ?
– Je connais les mecs !
– Pas si sûr !
– On parie ?
– On parie quoi ?
– Celui qui a gagné encule l’autre ?
– Tu parles d’un pari, ce genre de chose on l’aurait fait de toute façon !
– ça fait rien c’est symbolique !

Le chauffeur sort du véhicule !

– Tu vois j’ai gagné ! dis-je à Maud.
– Pas encore, pas encore !
– Euh, dit le chauffeur, je suis un peu pressé ce soir, mais si vous aviez une carte, un numéro de téléphone ?
– Ok ! Si tu nous suces, je te donne ma carte !

Le chauffeur qui croyait avoir trouvé un bon plan se retrouve dépité !

– Pffuit, pédés va !

Et cette fois, il disparaît pour de bon !

– Ben tu vois j’ai gagné !

La partie est repartie

Nous montons, nos quatre complices nous attendent :

– Ben alors, vous en avez mis du temps, on commençait à s’inquiéter !
– On est tombé sur un taxi qui nous a baladés un peu et qui ne savait pas ce qu’il voulait !

Je m’attendais à ce qu’ils aient commencé les « hostilités » sans nous attendre, mais non, ils sont en  » tenues de ville « , trois sur le canapé et Hector sur un rocking-chair, ils regardent la télé ! Une cassette, un film de cul ?

– Je montrais à mes amis un vieux documentaire que j’avais commenté pour la télé, c’est un truc sur les orgues de foire !

Des orgues de foire ? Il se fout de ma gueule ! Je jette un coup d’œil, non c’est bien ce qu’il disait. Quel personnage énigmatique capable de passer de la partouze la plus débridée à de grands monologues sur l’histoire de la table, au commentaire d’un documentaire ou à la conduite d’une négociation sur un stock de fringues à la mode !

– Bon allez, on va arrêter ça ! On va faire un peu les fous une petite heure, ou alors deux petites heures, ou même plus on ne peut pas savoir d’avance ! On en était où Fathia ?

Fathia qu’on n’a pas trop entendu depuis le début de la soirée, a l’air toute étonné que l’on s’adresse à elle :

– On n’en était nulle part ! Tu veux que je dirige un peu les opérations ? C’est ça ?
– Du moins au début ! Oui !
– Ben je crois que Gisèle vous a fait une promesse ?
– Ah ! T’oublies rien, toi, hein ?
– Non, je n’oublie pas grand-chose, Gisèle !

Elle dit cela bizarrement en appuyant les mots, s’il y a un double sens dans cette phrase je ne le saisis pas, mais sans doute n’est-il pas pour moi ?

– Bon une promesse est une promesse ! Asseyez-vous, vous autres, je vais me mettre à l’aise !

Gisèle se déshabille devant nous, assez vite, trop vite, je suis toujours sensible au charme d’un strip-tease pratiqué avec une lenteur calculée, où tout est basé sur le prochain carré de chair que l’on va découvrir ! Non, là ça fonce ! Elle se retrouve rapidement vêtu de son seul soutien-gorge, n’ayant pas remis de culotte depuis sa sortie du restaurant. Elle le retire, elle est nue comme un ver, comme ce matin. C’est une belle femme, le temps ne l’a presque pas atteinte, et j’aime bien ses seins qui malgré leur blancheur brillent à la lumière. Elle disparaît un moment de la pièce, puis revient rapidement avec une sorte de saladier transparent. Elle le place sur la table de la salle à manger, dans le coin repas du salon.

– Allez, approchez-vous !

Elle grimpe alors sur la table, s’accroupit au-dessus du saladier, se concentre quelques secondes et se met à le remplir de son urine qui coule à présent en un joli filet doré. Nous sommes tous autour de la table en train d’admirer ce surprenant tableau vivant. Elle avait décidément une grosse envie malgré le fait qu’elle ait déjà mouillé sa culotte au restaurant. Le saladier doit contenir environ un litre de liquide.

– Allez, on ne touche à rien ! Dit-elle en desescaladant la table. Délire pour délire on va continuer !

Elle part de nouveau dans la cuisine, en revient avec une louche qu’elle pose dans le saladier puis ouvre le vaisselier du salon et en sort cinq flûtes à champagne !

– Il en manque une Gisèle ! Lui fait remarquer Hector !
– Mais, non !
– Tu ne trinques pas, alors ?
– Mais si ! Il ne comprend rien celui-là ! Voilà, l’un d’entre vous va avoir l’honneur pendant que nous trinquerons de me nettoyer la chatte avec sa langue !
– Oh ! Mais elle est en pleine forme Gisèle ! Feint de s’étonner son compagnon !
– Mais il y a un mais, celui qui fera ça s’engage après m’avoir nettoyée à ne plus me toucher de la soirée ! Et bien sûr Hector est hors-jeu !

Du coup on se regarde tous, cruelle décision, j’ai tendance à refuser, je ne vois pas pourquoi je me priverais de ses caresses, ni que je priverais son corps des miennes. Et puis des foufounes à lécher, il y en aura d’autres, enfin d’autres, il y a celle de Fathia ! Ah Fathia ! Tiens c’est ma préféré, j’ai décidé cela !

– Si tout le monde refuse, on va tirer au sort !

Finalement Maud dit quelque chose à Gina, laquelle Gina se baisse alors pour laper le minou de la blonde ! Je ne suis pas très sûr qu’elle ait tout compris… Mais qu’importe ! Nous trinquons. Nous buvons. Nous sommes des cochons et heureux de l’être !

Hector se tourne alors vers Fathia :

– Alors Fathia ? On fait quoi maintenant ?
– Je n’en sais rien, je manque d’inspiration !

Elle ne regarde même pas Hector en lui répondant, c’est moi qu’elle regarde, un regard troublant, un regard qui dépasse le simple désir physique, il se passe quelque chose, je lui rends son regard, elle cligne légèrement de l’œil, puis tape dans ses mains :

– Ce que j’aimerais bien, c’est que Gina quand elle aura fini de laper Gisèle, elle nous fasse un petit strip-tease.

Gina, nous l’avons dit est une métisse brésilienne assez grande, aux longs cheveux bruns qui lui descendent en ondulant sur les épaules. Elle est vêtue d’une robe beige assez classique, relativement décolleté et s’arrêtant juste au-dessus des genoux. Une très large ceinture noire est censée finir d’habiller le tout.

– Moi ! strip-tease ?
– Oui toi strip-tease !
– Mouzique ! Alors ?
– Allons-y pour la mouzique ? Classique, Jazz, disco ?
– Techno !
– Tu as ça Hector ?
– Non, passe-lui le Boléro de Ravel, ça ira très bien !

Les notes du Boléro envahissent alors la pièce

– Ça pas techno !
– Tu devrais t’en tirer quand même ! Lui indique Maud.
– Moi essayer !

On va s’asseoir, elle reste plantée là comme un piquet, elle a l’air de s’imprégner de la musique, de se demander ce qu’elle va bien pouvoir en faire, puis soudain demande :

– Vous voulez strip-tease juste à poil ou strip-tease porno ?
– C’est quoi ton strip porno ?
– Comment on dit en français ? Demande-t-elle à Maud
– La totale !
– Voilà, la totale !
– Alors allons-y pour la totale !

Gina se met à tourbillonner au rythme envoûtant de la musique. Je me suis assis dans le canapé et Fathia est venue à mes côtés, j’en suis tout ému, mais à ma droite il y aussi Gisèle qui est évidement restée toute nue. Ce doit être un réflexe, une cuisse nue à côté de moi, à quelques centimètres de ma main, il faut que je la caresse, et bien sûr, elle se laisse faire. Maud, elle, s’est assise dans le rocking-chair sur le genou d’Hector qui la caresse tendrement.

Je pensais le strip-tease de Gina classique, il ne le fut pas tant que ça. Elle commença par enlever sa gigantesque ceinture qu’elle s’amusa à faire claquer dans les airs à la manière d’un fouet, puis elle fit virevolter le bas de sa robe, afin que l’on distingue bien la petite culotte en dentelle rouge. Elle laissa alors le vêtement retomber le long de ses cuisses, y glissa la main par en dessous et enleva ainsi son sous-vêtement qu’elle envoya promener à l’autre bout de la pièce dans un grand éclat de rire :

– Faudra que je le récoupère !

Elle s’amusa ensuite à coller le tissu de sa robe contre son entre-jambe afin que nous devinions la forme de son sexe. Elle tendait le tissu au maximum, à ce point que l’on voyait maintenant son pénis entrer en érection. Voilà qui était bien troublant ! Elle recommence à virevolter, la robe monte, son sexe apparaît quelques instants, elle recommence plusieurs fois le même manège, puis elle se dirige vers moi et me met la main à la braguette. Du coup ma bite déjà assez excitée se met à raidir à toute vitesse. Gina se recule et fait signe aux deux femmes :

– Dégagé loui la bite !

Elles se prennent au jeu et comme des furies, me dézippent la braguette, sortent ma queue de son logement, puis estimant que ça ne suffit pas, font descendre pantalon et slip sur mes chaussettes. Ayant horreur d’être à moitié à poil et espérant bien que quelqu’un va s’attarder à me pincer les tétons j’enlève alors moi-même le haut.

Et voilà notre transsexuelle qui revient, elle me touche un peu la queue, se baisse et y dépose un  » chaste  » bisous, puis elle retrousse carrément sa robe et la retire par le haut. Le voici la quéquette à l’air et revêtue simplement de son soutien-gorge. Elle a un sexe supérieur à la moyenne sans pour autant être monstrueux, comme beaucoup de métisse la peau de sa verge est beaucoup plus noire que celle de son corps et le gland est particulièrement sombre. Mais c’est très joli ! Elle s’avance vers moi la main sur son sexe bandé ainsi dirigée vers moi ! C’est pour ma bouche, je suis prêt à l’accepter et j’ouvre déjà les lèvres, mais notre Brésilienne est facétieuse, et elle se détourne un petit peu vers sa gauche et dirige son membre vers Gisèle. Celle-ci qui ne l’attendait pas vraiment accueille l’organe avec ravissement, à tel point que lorsque Gina veut reculer sans doute pour aller tester d’autres accueillants palais, Gisèle s’accroche à sa proie en lui agrippant les fesses et en continuant à sucer.

– Eh, vous deux, vous trichez dit soudain Hector ! Normalement Gina n’a plus le droit de te toucher !
– Qui sait qui va avoir un gage ? S’exclame soudain Fathia moqueuse !

La voici qui se réveille ! Les gages et les punitions, ça a l’air d’être son truc !

– Qu’est-ce qu’on va lui faire à Gina ?
– Je n’en sais rien ! réfléchit Fathia, l’enculer avec mon gode ? Pour elle ce n’est pas un gage, elle va se régaler !
– Hum, tu dois faire ça très bien !

J’espère ainsi réveiller sa mémoire et lui donner des idées, j’ai en fait envie que Fathia s’occupe de moi, alors si cela doit passer par une séance d’engodage, après tout pourquoi pas ?

– T’inquiète pas mon biquet, tu ne perds rien pour attendre !

Et ce disant elle me fait un petit bisou sur le bout des lèvres ! Je fonds !

Pendant ce temps Maud est obligé de se lever pour expliquer à Gina qu’elle s’est mise hors-jeu, mais notre brésilienne a de sérieux problèmes de communication, et comme personne ne sait quoi lui donner comme gage, on l’en exempte et on lui demande de continuer. Elle se recule, s’avance et comme tout à l’heure revient en dirigeant sa bite vers moi ! Je parierais qu’au dernier moment elle va l’offrir à Fathia. Gagné ! Non perdu, elle fait deux changements de direction et revient vers moi. J’ouvre une large bouche, le contact est délicieux, mais elle m’impose ses méthodes. Les rares quéquettes que j’ai eu l’occasion de déguster, j’ai préféré les lécher que les sucer et quand je suce, je me concentre vers le gland et le prépuce, je ne vais pas plus loin n’ayant pas pris des cours d’avaleur de sabre. Gina, elle me fout carrément tout ce qu’elle peut dans la bouche à tel point que je suis obligé de me reculer. Elle se retire et l’offre cette fois sans effectuer de nouvelles feintes à Fathia. Elle est maline Fathia, pour l’empêcher la jolie trans de diriger la fellation elle lui attrape la queue de ses doigts et se met à tourbillonner de la langue sur la partie dégagée.

Gina se dirige ensuite vers le rocking-chair, fait signe à Hector de se déshabiller, il le fait à toute vitesse et pendant ce temps je demande à la brésilienne de nous dévoiler ses seins. Par chance elle comprend et nous dévoile une superbe poitrine colorée aux tétons très sombres. Saisi de je ne sais quelle réflexe conditionné, je me lève et je les lui caresse ! Surprise ! Immense surprise, la plupart du temps la poitrine des transsexuels ont une consistance très chirurgie plastique, pas celle-ci ! On dirait vraiment des seins de femmes. On m’expliquera un peu plus tard qu’il existe plusieurs méthodes pour modeler les seins, et qu’à côté de la classique implantation de silicone, il se pratique aussi des techniques à base de coussinets gonflés à l’eau distillé et sucrée. Notre transsexuelle se laisse peloter quelques instants sans mot dire puis revient au sujet qui l’intéresse, Hector qui maintenant est nu comme un ver.

– A yenou !
– Pardon ?
– A yenou et souce la bite !

Il a compris cette fois, et s’applique à sucer le travelo tout en se tripotant la sienne

– Tu aimerais que je t’encoule !
– Si ! répond Hector en portugais

Je me souviens alors que ce matin Gisèle s’était plus ou moins opposé à ce que Fathia l’encule avec le gode. Là, elle ne dit rien, bizarre !

Gina se revêt d’un préservatif, fait mettre Hector à quatre pattes et commence à lui écarter ses fesses de ses mains.

– C’est pas assez loubrifié ! Quelqu’un pour lui lécher le trou ?

Il désigne un peu au hasard semble-t-il, Fathia pour accomplir cette tâche. Celle-ci estimant sans doute qu’aller faire une feuille de rose à un homme qui va se faire enculer en restant elle-même habillé serait une faute de goût, entreprend de se déshabiller. C’est alors que Gisèle intervient et me donne un coup de coude :

– Vas-y toi, ce sera plus marrant si c’est un homme qui le fait, et puis tu es déjà à poil.

Fathia regarde Gisèle d’un air interrogateur, ne comprenant manifestement pas sa réaction, mais cette dernière fuit son regard. Quant à moi je ne suis pas très enthousiaste, j’ai accompli cette pratique ce matin, mais dans le cadre d’un petit gage SM. Ce soir je suis beaucoup moins motivé. J’hésite ! Fathia qui est maintenant complètement nue, hésite aussi ! Nos regards se croisent un instant !

– Bon j’y vais ! Se décide cette dernière !

C’est à cet instant précis que nous avons frôlé la catastrophe

– Non, tu n’y vas pas ! Hurle Gisèle qui se lève et attrape violemment Fathia par les cheveux.

Cette dernière surprise, a à ce moment-là le réflexe qui faillit tout faire dégénérer, elle retourne une gifle à l’autre femme avec une telle force qu’elle chancelle. Fathia porte alors sa main à sa bouche se rendant compte de la gravité de son acte. Gisèle se relève alors et saute littéralement sur la petite beurette. Les deux femmes roulent à terre. Personne ne comprend plus rien.

Quelle mouche a donc piqué Gisèle, puisque c’est bien elle qui a commencé ? Nous nous sommes tous levés et faisons cercle ! Hector à l’air affolé :

– Séparez-les ! Séparez-les !

Facile à dire, elles gigotent de partout ! Le combat paraît incertain, Gisèle est plus lourde, mais Fathia plus jeune et plus nerveuse, elle a rapidement le dessus, et réussit à immobiliser son adversaire ! Il n’y a déjà plus de combat.

Fathia relève la tête, se rendant compte qu’elles se donnent en spectacle.

– Ecoutez, ne restez pas là, allez tous vous rasseoir, c’est un malentendu, dans cinq minutes ou se sera réglé ou on se dira au revoir.
– Mais Gisèle, qu’est ce qui t’as pris ? Tente Hector !
– Laissez-nous cinq minutes ! Juste cinq minutes, c’est une histoire de femmes, vous ne pouvez pas comprendre ! Tout va bien se terminer j’en suis presque sûre

On se recule, on se rassoit, Hector en dernier presque à remord.

– Gisèle je suis désolée ! lui dit Fathia
– Ta gueule, pétasse !
– Je suis peut-être une pétasse, mais je suis désolée, la violence n’a jamais rien réglé !
– C’est facile à dire quand on domine l’autre !
– Si tu veux, je lâche ma prise, mais tu me promets de discuter calmement !
– T’es qu’une pétasse !
– Tu l’as déjà dit ! Gisèle, je veux simplement savoir pourquoi tu t’es jetée sur moi !
– Tu le sais très bien !
– Non, Gisèle, je ne le sais pas !
– Tu crois que je n’ai pas compris ton manège !
– Explique-moi mieux !
– T’es qu’une pétasse !
– Oui, je sais, mais explique-moi mieux quand même !

Finalement on entendait tout, je ne me lassais pas d’admirer la maîtrise avec laquelle Fathia essayait de décanter la situation.

– Tous les prétextes sont bons pour que tu fasses des trucs avec mon mari !
– Mais, Gisèle, vous m’avez aussi embauché pour ça !
– Oui, mais tu vas trop loin !
– C’est toi qui a l’impression que je vais trop loin, mais d’accord tu sais bien que je ne te veux aucun mal et que je n’ai aucune envie de prendre ta place. On discutera demain tous les trois et on prendra les décisions qui s’imposent. D’accord Gisèle ?
– Tu accepterais de ne plus y toucher ?
– Oui !
– Tu ferais ça ?
– Oui ! A une condition !
– Une condition ?
– Oui, c’est que toi, je puisse continuer à te toucher !
– Ah, non c’est pas vrai ! Et tu…

– Tais-toi, on s’embrasse et on fait la paix !

Fathia a relâché son étreinte, les deux femmes s’embrassent à présent, passionnément. Gisèle se dégage

– Ça va ? demande quelqu’un.

Les deux femmes se relèvent !

– Oui, ça va j’ai pété les plombs, allez la fête continue, je suis désolé, je… je …

Elle s’assoit sur le canapé, se met à chialer comme une madeleine, elle est en pleine crise nerveuse ! Du coup Hector se ramène !

– Mais qu’est ce qui se passe ?
– Je t’expliquerais ! Dit-elle entre deux sanglots.
– Non, explique ! Ou plutôt non, attends !

Puis il se tourne vers nous :

– Je crois qu’on va en rester là ! Ma femme est très fatiguée !
– Mais non ! Intervient Gisèle, on fait une pause un quart d’heure et après on verra bien ! Fathia soit gentille, sert du champagne à tout le monde, il doit y avoir des petits gâteaux dans le placard de la cuisine.
– Alors ?

J’étais un peu gêné sur mon canapé, mais j’entendais tout

– Alors je suis jalouse, tu sais bien que j’aime le cul ! Depuis qu’on a recommencé à partouzer, on s’éclate bien, mais on a commis l’erreur d’embaucher Fathia, cette fille est formidable, j’adore jouer avec elle, mais je ne supporte pas qu’elle te touche. Ou plutôt je ne supporte pas de la voir te toucher ! Quand je ne la vois pas faire, je m’en fous. C’est de la jalousie, de la jalousie pure et simple, ça ne se commande pas, je suis la reine de connes, d’autant que je ne pense pas qu’elle espère quelque chose !
– On fait quoi ? Je dis à nos amis de partir ?
– Non, on va relancer tout cela, quand j’ai vu que la partie allait tourner uro, j’étais contente, tu sais comme j’adore ces trucs-là ! Et puis, tu as vu, on ne peut jamais vraiment diriger une partouze, au bout d’un moment tout nous échappe !
– Tu veux qu’on se retire et qu’on les laisse jouer ensemble ?
– Non.

Fathia a eu la diplomatie de ne pas se presser pour ramener le champagne. Elle revient maintenant.

– Et, oui dira Hector, il n’y a que dans les films X que les partouzes sont sans histoires. Le tout c’est de se comporter en gens intelligents et nous avons je crois deux femmes formidables parmi nous ce soir :
– Arrête Hector, tu vas me refaire chialer !
– Et pour vous prouver qu’il n’y a plus de problèmes, elles vont s’embrasser de nouveau !

Elles le font sous les applaudissements du petit groupe.

– Y s’est passé quoi ? demande Gina.

Non, ce n’est pas vrai, il faut tout lui expliquer à celle-ci. On trinque ! Mais cette crise à malgré son issue heureuse considérablement alourdie l’atmosphère. Ça sent le pot d’adieu ! On a l’air fin notre flûte de champagne à la main tous à moitié à poil, à l’exception notable de Maud qui est tout de même fort débraillée.

Il se passa alors quelque chose de curieux, le groupe n’ayant pour l’instant plus rien à se dire, les participants se rapprochèrent par deux ou trois, parlant à voix basse comme pour ne pas déranger les autres. C’est ainsi que Fathia se retrouva près de moi :

– Alors ? Pas trop déçu ?
– Non, et puis ça m’a permis de te connaître !

Elle se rapproche encore plus de moi, mutine. Lorsque  » l’appel de la chair s’endort, il suffit de la caresser pour le réveiller  » a dit je ne sais plus quel poète. Ais-je vraiment besoin de la caresser alors que ce corps si près, ses formes, sa peau, son odeur, viennent à ma rencontre. Pourtant je le fais, et avec la plus grande tendresse dont je suis capable je lui caresse les fesses.

– J’aime qu’on me caresse les fesses !

Elle me prend par la taille, se laisse faire, elle a l’air contente et moi je suis aux anges. Soudain j’entends un rire que je ne n’avais pas encore entendu ! Je me retourne c’est Gina qui rigole comme une bossue de je ne sais quel propos que lui tient Hector ! Je tends l’oreille et m’aperçois que notre prof d’histoire essaie de placer à la belle brésilienne des brides de phrases en portugais ! En plus il est polyglotte, le mec ! Quant à Gisèle et Maud elles parlent ensemble, mais je n’ai pas l’impression que le sujet soit d’un érotisme brûlant.

Alors la partouze repartira ou la partouze ne repartira pas ? Je m’en fous un peu, ce que je veux maintenant c’est rester un moment auprès de Fathia. Ici ou ailleurs ? Quelle importance ? Mais me suivra-t-elle ailleurs ?

Hector caresse à présent tant qu’il peut sa brésilienne préférée qui se remet à rebander et qui l’entraîne vers le canapé. Ils s’y précipitent, s’y engouffrent ! On est passé à un autre stade, ces deux-là n’ont plus trop envie de se donner en spectacle, ils ont simplement envie, très envie de faire l’amour. Je crois alors opportun de profiter de l’exemple donné, et je prends la main de Fathia pour l’entraîner un peu plus loin !

– Où tu m’emmènes ?
– On va faire comme eux !
– Tu voudrais bien, hein ?
– Si tu savais comme j’en ai envie !
– C’est ta bite qui parle ou c’est ton cœur ?

Qu’est-ce que c’est que cette question idiote ?

– C’est les deux, mais ils ne sont pas très bien coordonnés !
– Ah ? Explique-moi !
– J’ai envie de faire l’amour avec toi, mais j’ai aussi envie te dire combien tu es désirable, excitante, tu es belle Fathia !
– Humm, je t’adore toi ! Allez viens que je te saute !

Quelle poésie ! Et quelle inversion des rôles. Elle me balance carrément sur l’extrémité libre du canapé d’angle en rigolant !

– Attend-moi ici, tu ne vas pas le regretter !

Où est-elle partie à présent ? Mais voici que Maud s’approche de moi :

– Ça va biquet ?

Je l’informe qu’effectivement le biquet ne va pas trop mal, mais je ne sais pas trop comment faire par contre pour lui expliquer que j’aurais souhaité rester en tête-à-tête avec Fathia !

– Humm, j’ai très envie que tu me déshabilles, pièce par pièce en prenant bien ton temps, en m’embrasant sur chaque partie de mon corps que tu vas découvrir, ça te plairait comme programme ça ?
– Ma foi…
– Hein dis-le que tu en meurs d’envie ? Que tu as envie de revoir ma petite bite et de la mettre dans ta bouche !
– C’est que…
– C’est que quoi, tu ne vas pas me dire que tu la voudrais dans le cul aussi ?
– Mais non…
– Comment non ? Tu as peur que je te fasse du mal ? Détrompe-toi je vais t’enculer avec plein de douceur !
– Ben alors qu’est-ce que tu attends pour le foutre à poil ?

Ça c’est Fathia qui est revenue. Elle semble pour sa part s’accommoder très bien de ce qui reste pour moi un contretemps. Et puis je découvre à présent ce qu’elle était partie chercher. Elle est comme ce matin de nouveau harnachée de son gode ceinture.

– La jupe d’abord !

Je retire donc la jupe droite en cuir noir de Maud, la fait glisser sur ses pieds et la range délicatement sur un dossier de chaise. La seule étendue de chair que cet enlèvement me permet de découvrir est l’espace restreint situé entre le haut du bas et le porte jarretelle, et j’y dépose un chaste baiser. Je déboutonne ensuite son petit chemisier vert amande, découvrant ainsi un ravissant soutien-gorge en dentelle moulant sa jolie petite poitrine. Tout cela commence à me faire de l’effet, j’aurais mauvaise grâce à dire le contraire, mais en avais-je réellement besoin ? J’embrasse le haut de ses seins, puis fait glisser le chemisier, lui dénudant ainsi les épaules, de jolies épaules assez fines et parsemées de petites taches de son. Je les embrase à leur tour. Je dégrafe alors le soutien-gorge, approche mes lèvres des tétons roses de sa poitrine. Ah ! Il faut toujours faire des comparaisons et il est vrai que son contact n’est pas aussi agréable que celle de Gina. Mais, bon, tout cela est bien émoustillant quand même ! N’ayant pas l’intention de lui enlever ses bas et son porte jarretelle à moins qu’elle ne me le demande, je passais directement à la culotte, et plutôt que de l’enlever tout de suite, je préférais m’attarder sur le modelé de son sexe, afin de le sentir se raidir au contact de ma main. Quelques secondes plus tard, sa bite avait changé d’aspect, je pouvais maintenant la sortir, et ne retirais la culotte qu’après. J’avais déjà vu sa queue dans le taxi, mais là cette belle bite bandée émergeant de son corps complètement épilé et habillé simplement de porte jarretelles et de bas me fit un effet extraordinaire, et sans plus réfléchir une minute je la prenais dans ma bouche et entamait une fellation des plus débridées, à ce point que Fathia dû me faire stopper :

– Hum… il me semble que tu as oublié de lui embrasser les fesses !

Je m’empressais de combler cette lacune et lui décochais une série de bisous sonores sur ces petits globes charmants. D’une façon quasi naturelle je lui écartais ensuite tout cela pour venir faire fureter ma langue à l’entrée de son trou du cul. Et cela ne me posait aucun problème. Autant j’avais eu des réticences à faire feuille de rose à Hector, autant là, à la limite j’en redemandais ! Mais il faut dire que dans ma façon de voir les choses (dans mon code comme diraient les structuralistes) les transsexuelles ne sont pas des hommes, ni des femmes d’ailleurs, non c’est vraiment un troisième sexe, des femmes à bites en quelque sorte !

Je bandais tellement que pour la première fois de ma vie, j’avais une envie réelle de sodomiser Maud. Et je l’aurais sans doute fait si Fathia ne s’était pas mise soudain à s’impatienter en piaffant des :

– Et moi ? Et moi ?

Incapable de résister à cet appel, je me jetais sur elle, et la caressais, l’embrassais, la léchais, lui suçais les seins, lui mordillais les oreilles, me transformais en ouragan. Evidement cette saloperie de gode ceinture me gênait considérablement, je lui proposais de retirer ce machin devenu en l’instant ridicule :

– Non ! Lèche-le !
– A non pas deux fois dans la même journée !
– Si ! Ça m’excite !

Ah ! Bon dans ce cas, je m’exécute et tandis que je lèche le mandrin en plastique, je sens une humidité frétiller sur mon anus. C’est bien sûr Maud qui me rend la politesse. Elle s’arrête, et va s’enquérir d’un préservatif ! Ça y est, je vais passer à la casserole !

– Moi d’abord ! Propose Fathia.
– Mais je vous en prie Chère demoiselle ! Répond Maud, se moquant gentiment.

Je sens qu’on m’applique du gel, je sens que ça veut rentrer, je sens que ça rentre, je sens que ça pousse, je sens que ça rentre encore plus, je sens que ça coulisse.

– Aie !
– C’est rien, tu vas t’habituer !

C’est vite dit, ça fait mal et surtout il y a cette impression bizarre de sentir que les muscles n’ont pas l’air à leur place et qu’ils voudraient bien y revenir. J’en ai vite marre de ce truc, je vais pour lui dire d’arrêter quand je commence à ressentir une drôle d’impression, c’est que le frottement de cette bite en plastique sur ma prostate me provoque une curieuse sensation, je commence à avoir des petits picotements partout, c’est bon, je suis aux anges et j’en veux encore ! C’est trop bon, je veux qu’on m’encule encore ! Je hurle mon plaisir !

– C’est bon, c’est bon, encule-moi encore !
– Tu aimes ça hein ? Petite pédale !
– Oh ! Oui, encore ! Encore !

C’est à ce moment-là qu’elle se retire !

– Bouge pas tu vas en avoir une vraie maintenant !

Je ne bouge pas et je sens la queue de Maud me pénétrer. Le passage est devenu facile, et les sensations reviennent vite, mais en mieux, le contact est curieux, d’abord je ne sens pas la différence de taille, je devrais pourtant il me semble, mais surtout j’ai maintenant quelque chose de chaud et de nerveux, quelque chose de vivant. Maud s’excite comme une folle, et accélère ses coups de boutoir, me faisant cogner dans le dossier du canapé. Fathia trouve le moyen de se glisser partiellement sous moi et de m’attraper mes tétons pendant que l’autre continue de me sodomiser. Je suis dans un océan de plaisir, je m’abandonne ! Maud finit par éjaculer, et tombe sur moi épuisé. Fathia continue de m’asticoter mes bouts de seins et je bande comme un âne !

– Je vais te prendre Fathia !
– Non, pas maintenant, tu vas aller trop vite ! Je veux que nous deux, on prenne notre temps !

Qu’est-ce qu’elle me raconte là ? Mais c’est formidable d’entendre des choses pareilles

– Allez, on le suce à deux ! Propose-t-elle à Maud.

Et pendant qu’elles exercent, je regarde autour de moi, et j’ai la surprise de découvrir Gisèle chevauchant par l’anus la grosse queue de Gina. Ce spectacle pourrait être trivial mais la combinaison de leurs corps déchaînés baignés de sueur à quelque chose de magique, je n’avais guère besoin de ça et ne tarde pas à jouir au milieu des lèvres de Maud et de Fathia qui se partagèrent le goût de ma semence. Au fond de la pièce Hector contemple le spectacle, l’air ravi et la main sur le sexe.

Je suis crevé, je m’endors quelques instants. Je me réveille en sursaut, ça crie, ça rigole, quelqu’un dit qu’il a envie de pipi, mais tout le monde a envie de pipi ! Il y a déjà quelqu’un dans les toilettes. Ça fait rien on s’en va tous dans la salle de bain. Gina y rentre la première et sans reprendre son souffle se met à pisser sur le carrelage. Gisèle se précipite alors pour se mettre en travers de son jet et recueillir ainsi sur son corps cette pluie dorée. Elle en reçoit partout, sur les cuisses, sur le ventre, sur les seins et sur son visage qu’elle tend comme une offrande, la bouche ouverte et l’œil coquin.

Maud se met à pisser à son tour, prenant la place de sa camarade. J’en veux aussi ma part et je m’allonge aux côtés de Gisèle, bientôt rejointe par Fathia et tandis que la pluie continue nous nous échangeons tous trois de doux baisers salés.

On est trempée, on se douche un petit peu, on se sèche, on rigole comme des fous, on revient dans le salon !

Fathia s’est assise sur le canapé les jambes légèrement écartées, sa petite chatte rasée à l’air de m’attendre. L’occasion est trop belle ! Depuis le temps que je l’attendais. Je m’y précipite. Me voici entre ses cuisses, elle s’ouvre, m’accueille et déjà je lèche ce délicieux organe de grands coups de langue. Je jubile de bonheur, je m’imprègne du goût de sa chair, elle s’abandonne à mes caresses, ferme les yeux :

– Lèche, lèche ! Lèche plus haut !

Ça va j’ai compris, ma langue concentre son travail sur son clitoris érigé, je lape, je tête, je m’applique et pratiquement sans aucun préalable Fathia éclate de plaisir. Je me sens fier de l’avoir fait jouir. Je la regarde. Son sourire est magnifique. Nous nous embrassons.

– Bon, je suis un peu fatigué ! Nous déclare Hector, et puis je voudrais faire un gros câlin à ma femme avant de m’endormir. Si quelqu’un veut coucher ici, on à ce qui faut, avec le canapé et la chambre d’amis on peut accueillir quatre personnes.

Nos deux trans préfèrent s’en aller on ne sait où, et Fathia déclina l’invitation au titre que son chat allait finir par s’inquiéter. On se quitte tous, bisous, bisous ! Tout le monde est content.

– Qu’est-ce qu’on fait ! Demandais-je alors à Fathia le cœur plein d’espoir !
– Je ne sais pas, pour l’instant on est crevé, il faut que je réfléchisse, je te rappelle demain

Je lui donnais mon numéro sans y croire, je me retenais de ne pas pleurer de dépit. Et m’enfonçais dans la nuit des rues de Paris, le sexe satisfait mais le cœur lourd, me demandant si les lendemains de partouses n’étaient pas à l’instar des lendemains de beuverie que des désenchantements.

Epilogue

– Ça se termine bien tristement !
– Ben oui !
– Elle ne t’a pas rappelé !
– Si, mais pour me dire qu’elle ne savait pas trop où elle en était, et qu’elle me rappellerait avant la fin de la semaine
– Et tu y crois ?
– Non !
– Bon allez, on va prendre le dessert ça te changera les idées !

Cheng vint alors nous chercher et nous conduisit dans une salle privée, il s’agissait d’un simple salon sans aménagement particulier et cela m’étonna un peu.

– Ça se passe ici ?
– Oui !

Ne voulant pas trop chercher à me poser de question je commençais à déboucler la ceinture de mon pantalon !

– Qu’est-ce que vous faites ? Demanda alors Cheng.
– Ah ? Excusez-moi, on ne se déshabille pas ?
– Non, ça ne se passe pas comme ça ! Vous allez voir, c’est très excitant ! Asseyez-vous sur les chaises, là !

On s’assoit,

– Bon, je vais vous bander les yeux !

J’ai tendance à avoir horreur de ce truc-là !

– Il faut vraiment ?
– Vraiment ! Ça ne dure que deux ou trois minutes et vous ne le regretterez pas !

Je le laisse faire ! J’essaie de voir à travers, mais c’est impossible, je n’y vois goutte !

Je sens qu’on me déboutonne ma chemise, des mains approchent les pointes de mes seins les frôlent, les serrent, les tordent, les agacent, les excitent. L’effet est radical, je bande comme un mulet !

– Ça te plait ?
– Oui !

J’ai répondu oui par réflexe, parce que, oui, ça me plait, mais cette voix, ce n’est pas la voix de Cheng, c’est la voix de…

– Fathia !

Je ne comprends plus ! Je voudrais être sûr !

– Il n’y a jamais eu d’activité d’arrière-salle, c’était une petite idée d’Hector, il a voulu te faire une surprise ! Comment tu la trouves ?

Comment je la trouve ? Je suis incapable de répondre, des larmes de bonheur me coulent à présent sur les joues !

FIN
© Edvard Stokien. Paris Décembre 2001

Première publication sur Vassilia, le 23/12/2001

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3 réponses à Fathia de surprise en surprises 2 – Les trans s’en mêlent par Eddy

  1. Baruchel dit :

    Il faut parfois fouiller dans les profondeurs du film ou se cache certaines merveilles à l’instar de celle-ci

  2. Stotvoyner dit :

    Un petit bijou de récit érotique si bien raconté avec tout ce qu’on aime. Merci Eddy

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