7 rêves pour une femme par Cepaderefus – 2 – Le docteur Paradis

7 rêves pour une femme par Cepaderefus – 2 – Le docteur Paradis

Initiation

Une fois de plus, Marie est en pleine campagne. Comme d’habitude, l’inconnu est également présent, mais accompagné d’un jeune homme. Il s’adresse immédiatement à Marie.

– Je me doutais bien que vous passeriez à nouveau. Permettez-moi de vous présenter mon jeune frère.

Marie est inquiète, mais elle préfère jouer le jeu.

– Bonjour.

Le jeune homme lui répond timidement, n’osant la regarder en face.

– Bonjour, madame.

L’inconnu reprend la conversation.

– Mon frère est plutôt inexpérimenté en matière de sexe. Grâce à vous, je vais pouvoir lui montrer comment l’on fait. Déshabillez-vous.
– Êtes-vous fou!! ? Vous n’imaginez pas que je vais me laisser faire !

Pendant ce temps, le jeune frère a déjà commencé à se déshabiller. Avec ses cheveux blonds et sa peau pâle, on ne distingue pratiquement aucun poil sur son corps. C’est quand il retire son boxer-short que Marie constate qu’il n’a pas plus de poils sur le sexe que sur le reste du corps. Elle en fait part à l’inconnu.

– Mais ce n’est qu’un adolescent.
– Pas du tout, il est majeur. Mais la tradition familiale veut que l’on soit intégralement épilé le jour de son dépucelage.
– De toute façon, il est hors de question que je couche avec lui. Je ne me déshabillerai pas.
– Mais si, d’ailleurs vous êtes déjà à demi-nue.

En effet, Marie n’a plus ses vêtements. Elle ne porte plus qu’une culotte, un soutien-gorge, un porte-jarretelles et une paire de bas. Toute cette lingerie est de couleur noire, parfaitement assortie à la couleur de ses cheveux.

Surprise, elle ne sait que faire. Son regard se porte aux alentours, à la recherche d’une solution, mais tout ce qu’elle remarque c’est un lit qui est placé au bord du chemin. L’inconnu continue à donner des ordres.

– Maintenant, allez-vous allonger sur le lit.

Subjuguée et ne sachant que faire pour échapper à cela, Marie se résigne à se diriger vers le lit, accompagnée par le jeune homme. Elle est à peine allongée qu’il commence à la caresser. Très timide, il commence par les épaules, mais son grand frère lui prend les mains pour les placer sur les seins de Marie. Il se met alors à palper cette poitrine, première grande découverte pour lui. Il prend rapidement du plaisir à tripoter cette chair ferme et douce, son sexe en est la preuve, il grossit rapidement. Pendant ce temps, le bout des seins de Marie s’est également durci, ce qui ne manque pas de surprendre le jeune homme.

L’inconnu continue à diriger les opérations.

– Maintenant, vous allez le sucer pour le mettre en érection.

Obéissante, Marie s’avance vers le jeune homme et se met à lécher ce sexe déjà bien raide et qui continue à se redresser sous l’effet de ses coups de langue. Elle le prend alors entièrement dans sa bouche et le suce sur toute sa longueur. L’effet est immédiat, le sexe imberbe du jeune homme finit de se raidir entre les lèvres de Marie. C’est ensuite à lui de se pencher vers elle, de retirer la culotte de Marie et de découvrir de sa langue le plaisir de lécher un sexe de femme. Marie a le pubis rasé, quelle douceur ! Les lèvres entrouvertes, quel délice ! Toujours en érection, il semble réellement apprécier ce qu’il fait. Il titille le clitoris et insinue sa langue au plus profond de son intimité. Visiblement aussi excités l’un que l’autre, ils optent rapidement pour une position de 69 afin de se donner mutuellement du plaisir, Marie se retrouvant au-dessus.

Le jeune homme n’est pas expérimenté et son grand frère le sait bien. Il est grand temps qu’il passe à autre chose avant d’être victime d’une éjaculation précoce. L’inconnu sort de sa poche un préservatif qu’il donne à Marie.

– Vous savez comment faire???

Ne discutant pas les ordres qu’elle reçoit, elle sort la capote de son emballage et la déroule consciencieusement sur le sexe en érection du jeune homme. L’inconnu continue de donner ses directives mais, cette fois-ci, il s’adresse à son frère.

– Maintenant tu te places sur la dame et tu rentres ton sexe dans le sien. Ensuite, tu fais des allers et retours, comme tu as vu sur la vidéo que je t’ai prêtée.

Marie s’allonge sur le dos, prête à recevoir en elle le sexe du jeune homme, tandis que celui-ci vient se placer sur elle en position du missionnaire. Après quelques essais infructueux, il parvient enfin à s’insérer en elle. Il commence alors des mouvements de va-et-vient, d’abord timidement, sans doute par peur d’une sortie inopinée, mais l’assurance le gagne rapidement et il augmente alors l’amplitude de ses mouvements, la pénétrant de plus en plus profond. Marie commence même à ressentir du plaisir et à gémir sous l’effet de ces coups de bite, mais pas longtemps… Le jeune homme inexpérimenté jouit rapidement. Il se retire alors, ôte la capote et la confie à son frère. Ce dernier observe le contenu du préservatif avec intérêt, admiratif.

– Fort bien.

Puis il s’adresse à Marie.

– Voulez-vous goûter ?
– Non merci, sans façon.
– Alors, je vous remercie de votre collaboration. Vous pouvez disposer.

Sans plus attendre, Marie les quitte, espérant arriver au plus vite chez son amie. Quand elle arrive devant la maison, elle est à nouveau habillée. C’est Nicole qui lui ouvre et elle l’invite sans plus d’explications à la suivre jusqu’au salon. La stupéfaction de plein fouet lorsqu’elle découvre ce qui est en train de se passer sur le divan. Son… son mari est en train de sucer le mari de son amie.

– Mais, chéri, qu’est-ce que tu fais ?

Philippe lui répond comme il peut, le sexe de Simon dans sa bouche le gênant quelque peu pour parler.

– Commmm uh ois, ze uce Imon. (Comme tu vois, je suce Simon)

Sortant la queue de Simon de sa bouche, il ajoute;

– Tu n’as pas voulu le faire, alors je suis pris pour le faire à ta place.
– Mais enfin, ce n’était pas la peine !
– Si, c’est une question d’honneur.
– Ça pas de bon sens!
– Pas du tout, c’est très important.

On sonne alors à la porte et Nicole s’absente pour aller ouvrir. Quand elle revient, elle est accompagnée du jeune homme qui a fourré Marie au beau milieu des champs.

– Je vous présente mon neveu.

Marie en est surprise et le jeune homme s’en rend compte.

– Mon frère vient de m’expliquer comment effectuer une sodomie.
– Et alors ?
– Il m’a dit que vous pourriez à nouveau être ma partenaire.

Marie est outrée.

– Et puis quoi encore ? Une fessée ? Et devant mon mari en plus !

C’est alors ce dernier qui prend la parole.

– Justement, il faut bien qu’il apprenne. J’aimerais bien voir comment il y s’y prend, ce petit jeune. Tu es tellement serrée du cul que ce n’est pas toujours facile.

Puis, se tournant vers le neveu.

– Mais si tu en as une moins grosse que moi, ce sera plus facile.

Nicole se lève pour faire de la place à son amie.

– Vas-y, installe-toi là, tu seras mieux.

Sans trop savoir ce qu’elle fait, Marie se met à quatre pattes sur un des sièges qui fait face au divan. Nicole soulève la jupe de son amie, qui ne porte pas de culotte.

– Tu es toujours aussi salope, toi. Toujours prête à recevoir un coup.
– Mais non. Ce n’est pas vrai. Ne l’écoute pas, mon chéri. Je ne t’ai jamais trompé.

Il lui répond nonchalamment, la bite au coin de la bouche.

– Ce n’est pas grave, du moment que je suis au courant et que je connais ceux avec qui tu es.

Marie n’a pas le temps de lui répondre. Le neveu est déjà derrière elle et il lui introduit un doigt dans le cul sans plus attendre. Surprise, elle ne peut réfréner un cri. À peine a-t-elle le temps de s’habituer qu’il lui introduit un second doigt. Pendant ce temps-là, Nicole le suce pour le mettre en érection puis lui déroule un préservatif sur le sexe. Dès qu’il a atteint la raideur nécessaire, le neveu présente sa bite à l’entrée d’un trou arrière de Marie et s’introduit progressivement. Le troublant mélange de plaisir et de douleur qu’elle ressent la fait gémir malgré elle.

Simon regarde cette scène avec envie.

– Quel petit veinard, ton neveu, ma chérie.

Philippe lève les yeux vers son ami.

– Pourquoi ? Tu veux m’enculer ?

– Je dois avouer que ça me plairait bien.

Aussitôt, Philippe se retourne et se met en position pour recevoir la bite de son ami dans son cul. Sans plus attendre, Simon présente son sexe en érection face à l’anus de son partenaire et commence à appuyer pour en ouvrir le passage. La dilatation se fait progressivement, et au bout d’une minute Simon peut enfin faire pénétrer sa bite dans le fondement de son ami. Encore quelques efforts pour y pénétrer le plus profondément possible. Simon commence ses mouvements de va-et-vient, pénétrant son ami à grands coups de bite.

Restée seule, Nicole se masturbe tout en regardant ses amis en train de se faire enculer. Cela ne dure pas très longtemps, Simon a déjà été sucé pendant pas mal de temps et le jeune homme encore inexpérimenté n’arrive pas à se contenir longtemps. Les deux hommes jouissent donc presque en même temps, remplissant de foutre les entrailles de leurs partenaires.

Emportée par son plaisir, Marie ressent une jouissance qui la réveille. Le réveil affiche 6 h 30, le jour est en train de se lever. Elle porte la main à son sexe, il est encore trempé. Encore tout excitée par son rêve pervers, elle s’introduit deux doigts et commence à se masturber. Il ne lui faut pas dix secondes pour jouir encore une fois, une jouissance forte et intense qui lui arrache un grand cri qui semble résonner dans toute la maison.

– Eh bien… heureusement que les enfants sont en vacances chez les beaux-parents.

Ne souhaitant plus se rendormir, elle préfère se lever et va à la salle de bains prendre une douche fraîche qui achève de la réveiller pour de bon. La nuit aura été agitée, Marie espère bien que la journée sera plus calme.

Une heure a passé, mais Marie n’a toujours pas fini de se réveiller, ce qui devrait pourtant être le cas après une douche et le petit déjeuner. Juste vêtue d’une robe de chambre, elle quitte la cuisine et se dirige vers le salon tout en emportant le téléphone sans fil. Elle s’affale sur le canapé et compose un numéro de téléphone. Avec un pied sur le canapé et l’autre au sol, ses cuisses sont largement écartées. Sa robe de chambre s’ouvre et ne cache ainsi rien de ses seins et de son sexe intégralement épilé.

Son correspondant décroche enfin, il s’agit de son amie Nicole.

– C’est Marie, je ne te dérange pas ?
– Non, comment vas-tu ?
– J’ai passé une nuit atroce à faire des rêves bizarres.
– De quel genre ?
– C’est un peu spécial comme rêve. Très sexy. En plus tu étais dedans et ton mari aussi.
– Raconte, ça m’intéresse.
– Ok, si ça ne te gêne pas.

Marie lui raconte alors tous les rêves qu’elle a faits durant la nuit. Ce faisant, elle se masturbe machinalement tout en les racontant. La sensation de douceur de sa chatte rasée la porte a laissé sa main entre ses cuisses. De temps en temps, elle se rend compte qu’elle est en train de se caresser le sexe et s’interrompt alors, honteuse. Malgré tout, ses doigts retournent peu après explorer son intimité, presque malgré elle.

À la fin, Nicole reprend la parole

– Très excitants, tes rêves. Tu n’en aurais pas encore d’autres à me raconter ? Je me suis même caressée en t’écoutant.
– Toi aussi ? Heureusement que l’on était au téléphone.
– En effet…
– Bon. Eh bien, qu’est-ce que tu en penses ?
– Tu devrais aller voir un psy. Ça tombe bien, tu sais où je bosse. Je t’aurais bien pris un rendez-vous avec mon patron, mais je suis en vacances. Tu n’as qu’à appeler de ma part, ma remplaçante saura bien te trouver une case de libre dans la matinée.
– D’accord. Et je peux passer te voir cet après-midi ?
– Bien sûr, passe quand tu veux.

Après avoir raccroché, Marie s’arme de courage et compose le numéro de téléphone du cabinet du psychiatre. Elle parvient à obtenir un rendez-vous pour dix heures.

Le psy

Dix heures moins cinq. Marie sonne chez le psy. Une jolie fille aux longs cheveux blonds bouclés, vêtue d’une blouse blanche, avec de belle courbe au niveau de la poitrine, vient lui ouvrir la porte. Certainement la remplaçante de son amie Nicole. Elle fait entrer Marie et l’installe dans la salle d’attente.

Quelques minutes plus tard, la porte du cabinet s’ouvre. Un homme assez grand, un peu rond, l’air d’un bon bonhomme, apparaît et invite Marie à entrer. Ses cheveux complètement rasés le font ressembler à Kojak, une paire de petites lunettes fines lui couvre ses yeux. Il a la face ronde, la bouche souriante et les murs de son bureau sont couverts de livres. Il se présente;

– Bonjour, je suis le docteur Paradis, si vous le permettez, je vais vous parler un peu de moi et de mon approche et si cela vous convient on poursuivra la séance avec ce pourquoi vous êtes ici aujourd’hui.

Le médecin psychiatre fait alors une courte présentation de son vécu et de ses connaissances! Une fois que Marie lui eut donné son accord pour poursuivre, il lui demande de se mettre à l’aise et de s’asseoir sur le divan tandis qu’il engage la conversation en s’asseyant dans un fauteuil à côté d’elle.

– Vous êtes une amie de mon assistante, c’est bien cela ?
– Oui. Comment le savez-vous ?
– Elle m’a appelé pour que je prenne bien soin de vous.
– C’est gentil à elle.
– En effet… Alors, si vous me racontiez ce qui vous amène ?

Marie recommence son récit. Le même qu’elle a raconté il y a peu de temps à son amie.

Quand elle a terminé son récit, le psy se lève, marche vers elle et reprend la parole.

– Ce que vous avez n’est pas bien grave. Juste des fantasmes refoulés. Il faut faire quelque chose, sinon ils vont se transformer en obsessions et il sera encore plus difficile de les traiter.
– Et que faut-il faire ?
– Laisser libre cours à vos pulsions.
– Mais je n’oserai jamais.
– Vous en avez déjà parlé à deux personnes, c’est mieux que rien. Votre mari est-il également au courant ?
– Pas du tout. Vous pensez bien que je n’oserais jamais lui confesser de telles choses. Je n’imagine pas qu’il accepterait d’avoir des rapports avec un autre homme.
– Qu’en savez-vous ?

Marie marque un temps d’arrêt, pensive.

– En effet, je n’en sais rien.
– Il ne faut jamais juger les gens sans bien les connaître. Comment va votre vie de couple ?
– Nous nous entendons très bien.
– Je parle sexuellement.
– Rien de spécial.
– Vous vivez ensemble depuis combien de temps ?
– 10 ans.

Le ton du psy se fait alors plus grave.
– Vous êtes en train de passer un cap. Si vous ne savez pas le négocier, vous allez au-devant d’une crise grave.
– Et qu’est-ce que je dois faire ?
– Anticiper sur les problèmes. Aller de l’avant. Prendre l’initiative.
– C’est-à-dire ?
– Vous devez parler de ce rêve à votre mari. Vous avez besoin de vous épanouir sexuellement.
– Jamais je n’oserai.
– Je vais vous y aider.

Le psy vient se placer derrière elle, il pose la main sur les yeux de Marie tout en continuant à parler.

– Respirez calmement… Laissez vos yeux fermés…

Il retire sa main et se met à lui masser délicatement les tempes, puis la nuque.

– Ça va mieux ?
– Oui. Je me sens plus calme.
– C’est très bien. Vous pouvez rouvrir les yeux. Comment vous sentez-vous ?
– Bien.

Le psy fait à nouveau le tour du canapé et s’assied dans un autre fauteuil, face à Marie.

– Nous allons maintenant revenir sur divers points qui semblent jalonner vos rêves avec une telle régularité qu’ils pourraient bien finir par être obsessionnels. Tout d’abord votre tenue. Vous vous retrouvez régulièrement sein nue ou sinon vous ne portez pas haut, et si vous en avez un ce sont vos sous-vêtements qui font défaut. Est-ce quelque chose de fréquent chez vous ?
– Absolument pas.
– Vous n’avez jamais essayé ?
– Non.

Tout en continuant à parler, le psy penche la tête pour mieux observer les seins de Marie.

– Pourtant vous n’en portez pas aujourd’hui.
– Ce n’est pas possible.
– Puisque je vous le dis.

Marie se penche la tête pour vérifier. En effet, elle ne porte rien sur le haut. Ses seins sont complètement à l’air et entièrement dévoilé aux yeux du psy.

– Je ne comprends pas. Je suis confuse.
– Ce n’est pas grave. Dites-moi plutôt ce que vous ressentez en ce moment.
– Je suis troublée, je me sens bizarre.

Il s’approche alors très près d’elle, au plus près de son intimité.

– Et si je regarde vos seins avec insistance comme je le fais ?
– J’ai honte de le dire, mais j’en ressens du plaisir.
– Écartez les bras derrière la tête.

Sans se poser de question, Marie obéit. Le psy peut maintenant voir en détail toutes les formes des seins de la jeune femme, ses mamelons et les rondeurs de ses boules. Le bout de ses seins durs dévoile son excitation. Le psy se relève et reprend.

– Vous êtes tellement excitée que je suis certain que vous commenceriez à mouiller si je continuais à vous regarder.
– Peut-être bien.
– Vous pouvez vous masturber si vous voulez et vous caresser les seins aussi.

Sans plus attendre Marie s’introduit un doigt dans la chatte et caresse un de ses seins avec son autre main, et portant le bout de son sein à sa bouche. Il ne lui faut que quelques caresses sur sa chatte et quelques coups de langue sur son sein pour jouir bruyamment devant le praticien.

Le psy se relève, passe derrière elle et recommence à lui masser le cou tout en continuant la conversation.

– Le sexe rasé, c’est aussi une constante dans vos rêves. Êtes-vous épilée au niveau du sexe?
– Oui
– C’est par désir personnel ?
– À l’origine, c’est mon mari qui me l’a demandé. Mais je dois avouer que j’ai vite apprécié le confort que cela procure.
– Et votre mari, il s’épile aussi ?
– Pas du tout.
– Et vous trouvez cela normal ?
– Je ne me suis jamais posé la question.
– Vous êtes plutôt du genre soumise.
– Vous croyez ?
– Tout à l’heure, quand je vous ai dit d’écarter les bras, vous avez obéi sans discuter.
– Oui, mais j’étais très excitée, j’en avais envie mais je n’osais pas le faire.
– Vous venez à l’instant d’expliquer l’origine de vos rêves : des envies que vous n’osez pas faire aboutir.
– Vous croyez ?
– J’en suis certain.

Le psy commence à élargir le cercle de ses massages. Ce n’est plus seulement le cou, mais aussi les épaules dont il s’occupe. Les mains de l’homme se font plus précises, elles commencent à descendre vers la poitrine. Il finit enfin par atteindre le bout des seins. Il lui pétrie les seins. Marie, qui ne porte pas de culotte sens sa chatte devenir de plus en plus mouillée, et lorsqu’elle s’en rend compte, elle esquisse une plainte.

– Mais enfin, que faites-vous ?
– Je vous caresse.
– Je vois bien, qu’est-ce qui vous prends ?
– C’est pour votre thérapie. Si vous ne vous débattez pas, c’est que vous êtes consentante ou soumise. Vous appréciez ?
– Oui.
– Bien. Retirez donc votre jupe .
– Mais je vais me retrouver toute nue !
– Si vous ne voulez pas le faire, ne le faites pas.

Marie obéit malgré tout et retire les vêtements qui barraient encore la vue sur son corps dénudé. Elle se retrouve complètement nue, allongée sur le divan. Le psy se penche sur son bureau et décroche le téléphone pour faire venir son assistante. La jeune fille entre dans la pièce et, à la demande de son patron, va se placer de l’autre côté du divan. Ensuite, il reprend sa conversation avec Marie.

– D’après-vous, comment serait habillée mon assistante dans vos rêves ?
– Vu mes obsessions, je suppose qu’elle ne porterait pas de sous-vêtements et qu’elle aurait de beaux seins ferme et rond et qu’elle aurait le sexe épilé.

Le psy se tourne vers son assistante.

– Mademoiselle. Si vous voulez bien retirer votre blouse…

La jeune fille s’exécute et défait les quelques boutons qui maintiennent sa blouse fermée. Dès que celle-ci s’entrouvre, Marie entrevoit les gros seins ronds de la femme et le sexe de l’assistante. Celui-ci est épilé comme elle s’y attendait et, s’il est visible, c’est évidemment qu’elle ne porte pas de sous-vêtements. Elle ouvre ensuite entièrement sa blouse et la laisse tomber à ses pieds. En fait, l’assistante n’est pas intégralement nue sous sa blouse. Elle porte un porte-jarretelles assorti et une paire de bas blancs.

Tandis que son assistante reste debout les mains dans le dos à les regarder, le psy s’approche à nouveau de Marie et reprend ses caresses. Il lui parcourt le corps entier, de la tête aux pieds, n’hésitant pas à lui caresser les seins et même le pubis, mais n’allant jamais jusqu’à lui toucher le sexe. Tout en continuant ses caresses, il demande son avis à Marie.

– Vous aimez ?
– Oui, beaucoup.
– Vous voulez que je continue ?
– Oui.
– Vous en voulez plus ?

En guise de réponse, Marie laisse retomber chacune de ses jambes d’un côté du divan. Cela a pour effet d’ouvrir généreusement ses cuisses et de dévoiler ainsi complètement son sexe entrouvert. Le psy s’agenouille au pied du divan pour se rapprocher au plus près du pubis de Marie. Il lui lèche alors consciencieusement le sexe, parcourant toute la fente, les lèvres, le clitoris et allant même jusqu’à introduire sa langue au plus profond de l’intimité de la jeune femme.

– Visiblement vous aimez, vous êtes trempée tellement vous mouillez.
– Oui, c’est vrai. Continuez donc.
– Non, c’est mon assistante qui va me remplacer.

La jeune femme enjambe le divan et se place sur Marie en position de 69. Les deux femmes se mettent aussitôt à se lécher le sexe avec application. Pendant ce temps-là, le psy ouvre sa braguette et en sort son sexe, déjà à moitié en érection. Il commence à se masturber tout en regardant les deux femmes se manger. Marie regarde le psy se masturber, et le fait de sentir que le docteur est excité par ce qu’elle fait avec l’assistante lui fait augmenter son plaisir encore plus!

Elles ne tardent pas à jouir tandis que le psy continue à s’astiquer le manche. Dès que les deux femmes ont émergé de leur plaisir, l’assistante se relève et retourne se mettre debout à côté du divan. Marie reste les jambes écartées devant le psy qui se branle toujours en la regardant. Quelques instants plus tard il jouit à son tour, son sperme gicle sur elle, lui recouvrant le ventre et la poitrine de grands traits d’un épais jus blanc. Il se tourne vers son assistante et en quelques mots lui fait comprendre ce qu’il attend d’elle, son regard désignant clairement sa braguette.

– Mademoiselle, s’il vous plaît, dit-il en pointant du doigt sa queue.

La jeune femme s’avance aussitôt, s’accroupit et embouche le sexe de son patron pour le nettoyer. Ceci fait, elle se tourne vers Marie, se penche sur son ventre et lèche également tout le sperme disséminé sur son corps.

Marie s’insurge alors.

– Vous n’avez pas honte ? Traiter ainsi votre assistante !
– Je n’en suis pas responsable, c’est elle qui insiste pour tout avaler, elle aime cela!
– Et sinon, comment feriez-vous ?
– Comme cela.

Le psy s’avance vers sa patiente, se penche sur sa poitrine et commence à son tour à lécher le sperme qui y a coulé, son propre sperme. En se partageant chacun la moitié du travail, le psy et son assistante finissent rapidement leur tâche de nettoyage en léchant longuement les seins de Marie.

L’assistante quitte alors le bureau tandis que le psy repasse derrière Marie pour lui masser la nuque.

– Voilà, c’est terminé. Comment allez-vous ?
– Vous osez me demander cela ? Espèce d’obsédé !
– Calmez-vous et regardez, vous êtes habillée.

En effet. Marie n’est plus nue.

– Qu’est-ce qui s’est passé ?
– Vous venez de subir une séance d’hypnose.
– Il ne s’est donc rien passé ?
– Rien du tout. Enfin presque rien : vous m’avez tout raconté et vous n’avez pas arrêté de vous caresser.
– Je me suis caressée ?
– Oui. Et tout particulièrement les seins et le sexe.

Entendant cela, Marie se met à rougir. Le psy s’en rend compte et la rassure.

– Ne vous mettez pas dans un tel état. Votre comportement sous hypnose est tout à fait normal, enfin disons qu’il est désinhibé. Votre éducation, probablement assez stricte, vous a inculqué des valeurs qui ne sont pas compatibles avec une vie sexuelle parfaitement épanouie. Par exemple, l’influence de vos parents, qui poussent souvent les filles à être de parfaite petite fille tranquille ou à s’habiller comme une belle petite poupée gentille, sont des choses qui influencent le comportement. Ou encore en vous donnant le bain, la façon dont votre mère a pu vous regarder ou vous dire de laver votre vulve, peut venir influencer votre vie et vos relations sexuelles. Ceci a pour effet que par le biais de vos rêves, vous laissez échapper ce trop-plein de sensualité. C’est la première fois que vous avez ce genre de rêves ?

– Je ne sais pas trop. Certainement pas depuis des années, mais cette fois-ci, c’était tellement intense et réaliste.
– Vos fantasmes ont évolué avec le temps. Ils se sont exprimés cette nuit suite à un changement de situation.
– Mon mari était à l’extérieur cette semaine, il rentre ce soir. Les enfants sont chez leurs grands-parents depuis hier. J’étais donc seule à la maison cette nuit.

– Et cela fait longtemps que ça n’est pas arrivé ?
– C’est la première fois depuis la naissance du plus grand. Il a six ans.
– Vous imaginez donc tous les fantasmes qui ont dû s’accumuler en vous sans jamais pouvoir s’exprimer ni en rêve, ni dans la réalité. Cette nuit, le retard a été rattrapé, d’où l’intensité de ces rêves.
– Donc cela ne risque pas de se reproduire tant que je ne dormirai pas seule à la maison.
– Probablement. Mais ce n’est pas sans danger, vos fantasmes vont recommencer à s’accumuler. Vous allez ressentir une sensation de frustration intérieure grandissante. Tout cela peut mener à une rupture violente.

Marie commence à s’inquiéter.

– Et qu’est-ce que vous me conseillez ?
– Laissez libre cours à vos fantasmes.
– Mais je ne peux pas. C’est inconvenant.
– C’est votre éducation qui vous l’a présenté ainsi. Vos premiers fantasmes seront toujours anodins, puis ils deviendront de plus en plus pervers si vous les refoulez. Si vous ne vous laissez pas aller tout de suite, vous pouvez fort bien ressentir dans quelques mois des pulsions sado-masochistes. Comme celles-ci sont assez faciles à concrétiser, par exemple lors d’une scène de ménage, vous risquez de dévier vers ce genre de penchant.
– Vous me faites peur.
– Je m’en doute bien, mais c’est le but. Je préfère prévenir que guérir, il n’est pas trop tard pour prendre les devants et adopter une attitude volontaire.
– C’est-à-dire ?
– Laissez libre cours à vos fantasmes. Commencez par les plus anodins. Si cela suffit, tant mieux, mais je pense que vous serez tentée d’aller plus loin. Le tout c’est de trouver le juste milieu. Si vous allez trop loin, vous risquez aussi la rupture, mais cette fois-ci cela viendra de votre mari. Le mieux est de tout lui raconter.
– Je n’oserai jamais.
– Vous l’avez bien raconté à Nicole.
– C’est ma meilleure amie. On se dit tout.
– Vous n’aurez qu’à faire de même avec votre mari. De toute façon, j’ai profité de votre hypnose pour vous retirer plusieurs blocages qui empêchaient toute solution.
– Vous voulez dire que vous m’avez désinhibée ?
– Je n’irai pas jusque-là, c’est à vous de faire le chemin qui libèrera votre moi émotionnel. Ce que j’ai fait, c’est retirer les barrières qui s’étaient dressées en travers de ce chemin.
– Bien. Et maintenant ?
– La séance est terminée. Rentrez chez vous. Reposez-vous. Le cas échéant, passez voir Nicole et discutez-en avec elle. Le plus important est que vous vous prépariez pour ce soir, votre mari doit être mis au courant et accepter vos fantasmes.
– Merci, docteur. Au revoir.
– Au revoir.

Marie, inquiète et dubitative, quitte le cabinet. Que faire ? Comment le faire ? En repassant devant le bureau de l’assistante, elle ne peut s’empêcher d’observer la tenue de la jeune femme. On distingue aisément un chemisier sous sa blouse, elle n’est donc pas aux trois-quarts nue comme dans son rêve. Cela la rassure, mais en même temps une sensation curieuse l’envahit, probablement parce qu’elle a essayé de voir les dessous d’une autre femme. Encore un de ses fantasmes ? Si maintenant ceux-ci l’envahissent également en pleine journée, cela va rapidement tourner à l’obsession. Finalement, la thérapie proposée par le psy serait peut-être bien la moins mauvaise des alternatives.

A suivre

Ce contenu a été publié dans Histoires, Récits, avec comme mot(s)-clé(s) , , , , , , , , , , , . Vous pouvez le mettre en favoris avec ce permalien.

2 réponses à 7 rêves pour une femme par Cepaderefus – 2 – Le docteur Paradis

  1. Honorine dit :

    Belle histoire avec un psy libidineux

  2. Baruchel dit :

    Une bonne suite avec le vieux fantasme du docteur libidineux, ici particulièrement bien tourné

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *