Educations libertines par Verdon

 

Educations libertines par Verdon

En ces années 50 les mœurs n’étaient pas celles que nous connaissons aujourd’hui ; pourtant entre gens de bonne famille il s’en passait des choses qui n’avaient rien à envier à ce qui se fait maintenant. Il se trouve, justement qu’à cette époque j’ai vécu de fort belles aventures qui m’ont marqué pour la vie et de façon très agréable.

Sans aucun doute, ma vie sexuelle et libertine a commencé à ce moment-là, où j’ai découvert combien il était important pour les femmes autant que pour les hommes de profiter des bienfaits de la nature.

Nous étions des adolescents qui recevions une éducation assez sévère et n’avions pas vraiment vécu jusque-là des aventures très polissonnes, si ce n’est quelques épisodes coquins, voire sentimentaux et plutôt enfantins, du genre à se tripoter le zizi et les fesses entre gamins ou à fleureter avec les filles, bien que toujours surveillés par le père ou le grand frère très circonspects sur les fréquentations de leurs sœurs ou de leurs gamines.

Chaque été nous avions la chance de passer les vacances à la campagne, chez un oncle et une tante. Ils étaient très rigoristes, catho et pratiquants comme des curés. Surtout mon oncle à vrai dire car nous nous étions vite aperçus dès que le poil a commencé à nous pousser aux fesses, que la tante Ginette, sous son vernis de bonne bourgeoise mondaine, n’avait pas du tout froid aux siennes surtout quand le tonton n’était pas là.

Il faut dire que la pauvre femme ne devait pas avoir une vie amoureuse très marrante avec ce bonhomme plus occupé à pratiquer sa religion qu’à louer la beauté de la nature et celle de sa femme en particulier. Avec nous c’était tous les jours des leçons de morale et la prière du soir. Elle avait la quarantaine avancée, quand ces choses se sont passées.

Quand je dis « nous », c’est parce que, justement, nous nous retrouvions, Betty et Coraline deux cousines (mais pas frangines) et moi-même leur cousin, aux bons soins de la chère tante pour la durée de l’été.
Elles étaient très espiègles bien qu’assez réservées au départ, et nous chahutions souvent au grand dam de notre oncle mais avec la bonne complaisance de notre chère tante. Et nos plus grands fou-rire furent quand, à la prière du soir les filles à genoux soulevaient leur robe et me montraient leur cul tandis que le tonton baratinait jésus.

Betty, l’ainée avait 19 ans tandis que Coralie et moi-même avions fêté nos 18 ans quelques mois auparavant et à cette occasion nous nous sommes retrouvé à passer les vacances d’été, ensembles avec le grand plaisir de retrouver Tati, d’autant que le tonton était souvent absent.

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Seuls, tous les quatre justement, par une chaude journée de juillet, Ginette nous engage, un après-midi à nous vêtir plus légèrement afin d’échapper à la chaleur étouffante ; elle a enfilé une simple nuisette de tulle blanche recouvrant à peine ses genoux et laissant deviner ses seins lourds et les jolies formes de son imposant postérieur apparemment aussi lisse et nu que le crâne chauve de son mari.

Betty, l’ainée sous un jupon de coton qui cache pudiquement sa nudité, tandis que Coraline plus jeune mais bien moins prude, se retrouve en petite culotte transparente et chemisette largement ouverte dévoilant presque entièrement et avec fierté, sa volumineuse et juvénile poitrine.

Je me sens un peu gêné dans mon simple caleçon très enveloppant, qui lui ne cache rien de mes belles dispositions, tant je suis aguiché par la présence de ces nanas en petites tenues.

 » Eh bien jeune homme ! » s’écrie ma tante, avec un sourire malicieux, en apercevant mon bel encombrement,  » voilà un beau monsieur qui ne sait pas se tenir devant des demoiselles ! »… la plus jeune des filles pouffe de rire en suivant le regard de ma tante, tandis que sa cousine devient rouge comme une pivoine en se maintenant un peu à l’écart mais non sans donner un coup d’œil plus curieux que choqué sur mes débordantes dispositions.

 » Allons voir de quoi il retourne « , continue Ginette en s’approchant de moi, et sans que je puisse réagir elle fait glisser l’unique rempart de ma virilité, libérant du même coup un irrévérencieux mais fort sympathique boute-joie qui se dresse comme un ressort sous les regards amusés et très intéressés de mes deux cousines.

Prenant Betty par la main, elle veut lui faire toucher l’impudent objet, mais celle-ci impressionnée par la taille et la vigueur d’un tel engin qu’elle voit pour la première fois, se rétracte, ébahie, la main devant la bouche mais pourtant avec un petit regard très intéressé ; elle laisse la place à sa cousine qui sans le moins d’état d’âme s’empare de mon sexe avec sa main gauche et se met à le tripoter avec sa main droite, elle va même jusqu’à en découvrir le bout, et avec ses doigts délicats elle en fait baisser et rehausser le prépuce ; ça l’amuse, elle tire dessus, le soulève, le baisse, elle est terrible la coquine elle m’excite de plus en plus ! On dirait une poule qui a trouvé un os…

Ensuite elle le caresse tout doucement comme on caresse un petit chat.

À ce jeu, une crise est bientôt inévitable.

Mon vié ne se met pas à miauler mais se rengorge tout de même et au bout de quelques câlins délicieux lui crache comme un lama, un fulgurant et puissant jet de crème blanche entre ses seins rebondis et sur sa chemisette.

Offusquée et sous les yeux ébahis de son ainée, elle lâche mon garnement avec une mine mi- dégoûtée et mi- stupéfaite, pour retirer précipitamment son vêtement livrant à nos yeux, deux superbes mamelons impudiques et fringants qu’elle essuie, toute embarrassée.

Elle se réfugie dans les bras de la tante qui s’empresse de la rassurer en lui cajolant voluptueusement les seins pour les sécher et en lui expliquant ce qui est arrivé au vilain petit lutin bien impoli et trop pressé.

Moi-même surpris et décontenancé de ne pas avoir vu venir l’orage, j’ai honte d’avoir ainsi contrarié les bonnes attentions de ma cousine. Cependant devant les explications de la tante et ses paroles rassurantes, allant même jusqu’à faire goûter à Coralie mais du bout du doigt, la semence consistance que j’avais déposé sur ses seins,

Je vois que la coquine n’a pas pris ombrage de l’incident qui a aiguisé sa curiosité et l’a finalement beaucoup plus amusée que fâchée. Toutes les deux, c’est bien la première fois qu’elles voient juter un garçon et elles en rient encore émoustillée par ce geste et ce lait poisseux qui est sorti par saccades, de l’extrémité de mon sexe.

 » Eh oui ! C’est comme ça que ça fonctionne un homme, leur dit-elle en me flattant le guilleret « .

Voulant remettre en prison mes outils dans le caleçon, Ginette, au grand dam de ses nièces et à ma bonne surprise, s’agenouille devant moi et prend mon sexe dans la bouche pour y lécher les dernières larmes de plaisir qui s’y égouttent encore.

C’est merveilleux ! C’est la première fois qu’on me fait chose pareille. Quel bonheur de sentir sur ma pine la douceur de ses lèvres chaudes et humides ; l’insolence de son bout de langue qui chahute l’extrémité sensible de ma queue et qui entoure mon gland me fait de nouveau bander et elle insiste tellement qu’après ce bon petit traitement et toujours sous les yeux médusés des deux filles, en quelques deux ou trois soubresauts je vide entre ses dents une deuxième rasade de plaisir.

Etonné et fier en même temps de découvrir ce plaisir, je suis stupéfait de voir avec combien de joie et de complaisance ma tante avale mon sexe et son jus ; je comprends très vite que c’est une chose qui plait bien aux femmes et mes deux cousines stupéfaites ne sont pas prêtes d’oublier la bonne leçon.

Le lendemain, les cours particuliers continuent et de bonne grâce nous nous retrouvons tous les trois plus ou moins dénudés devant notre éducatrice bien-aimée.

Betty est un peu plus détendue et lorsque Coralie se précipite à nouveau sur mon sexe pour en déguster la saveur, je vois bien qu’elle se rapproche de nous. La cadette est plutôt du genre espiègle et affamée ; comme sa tante elle engloutit ma pine jusqu’aux couilles qu’elle caresse d’une façon sublime en malaxant mes bourses. Sentant le moment venir, je me retire pour éviter le même accident que la veille ; c’est alors que la tante me serre fortement le gland entre son pouce et l’index, à me faire crier de douleur, ce qui a pour effet de stopper immédiatement toute velléité de décharge intempestive.

La leçon reprend doucement, les caresses aussi et mon serin glisse de nouveau entre les lèvres accueillantes de Coralie, il ressort, pénètre à nouveau et le visage de ma suceuse ressemble en cet instant au museau d’un petit agneau en train de téter sa mère en donnant de grands coups de tête pour avaler à fond la bonne friandise. Elle se régale, elle bave et s’amuse à faire rouler mes roustons entre ses doigts, elle s’arrête quand je lui fais signe, me pince, et recommence en pouffant de rire ; moi je suis en transe.

Au bout d’un bon moment, n’y tenant plus et sentant que je vais tout lâcher je me redresse, les mains dans ses cheveux je lui plaque le visage contre ma pine qui en jets saccadés et puissants lui remplit le palais. Je vais, je viens, sans me retirer et sans qu’elle cherche à le faire, elle déglutit, elle absorbe la chaude liqueur dont on voit quelques gouttes argentées s’échapper à la commissure de ses lèvres. Elle prend mon sexe baveux dans ses mains, en le cajolant, et en le retroussant elle lui fait de petites bises sur le bout du gland, puis le reprend à pleine bouche en faisant courir ses doigts le long de la hampe pour bien en soutirer le bon jus. Dans ses yeux tous blancs et renversés je peux deviner la joie et le plaisir qui la comble.

Elle vient de découvrir quelque chose de merveilleux.

Monsieur risquant d’arriver, Ginette décide d’arrêter la séance, non sans avoir encore une fois, pris en bouche mon sexe pour y grappiller frauduleusement quelques gouttes d’amour, bien maigres en vérité car Coralie a tout subtilisé.

Mais Betty, me semble-t-il, a un petit chagrin de ne pas avoir osé finalement tripoter mon vireton et en compensation elle se branle le clito un doigt dedans sa foufoune.

Un beau matin, c’est à Betty de se lancer, malgré ses appréhensions. Sur les conseils bien à propos de Ginette, je suis debout, jambes écartées, elle est agenouillée devant moi. J’ai la trique évidemment et après bien des hésitations elle se saisit de ce membre qui lui fait tant peur et envie à la fois. Elle le regarde, le touche, le tâte, fait descendre le prépuce, roule mes couilles entre ses doigts, tâte sa consistance, puis après un regard effrayé et concupiscent à sa cousine, pose ses lèvres en cul de poule, sur l’extrémité rigide de mon gland.

Je frémis, je pousse, mais elle ne laisse pas pénétrer l’insolent. Les dents serrées elle entrouvre les lèvres permettant à l’intrus d’avancer un peu plus, elle ne le refuse pas, elle l’apprécie, le goûte, l’aspire, ouvre la mâchoire, mais bon sang ce qu’il est gros ! Mon gland fait son passage tout doucement en lui frôlant les dents et elle resserre un peu sa mâchoire sur l’intrus qui prend sa place dans son palais. Elle étouffe et le ressort aussitôt avec un haut le cœur, l’examine de nouveau, le cajole encore, je crois qu’elle y prend goût ! Et hop la voilà qui remet ça, la coquine…elle salive et l’engloutit, elle est adorable ! Ça lui fait une grosse bosse dans les joues.

Je vois dans ses yeux une immense fierté : c’est le premier zizi qu’elle prend dans sa bouche, mais apparemment elle a très bien compris comment s’en servir. De nouveau elle le suce, le mordille, s’en amuse ainsi pendant un long moment, comme pour l’apprivoiser et ne plus le craindre.

Elle jette un œil de complicité aux deux femmes et semble me narguer, mais lorsqu’ elle sent par mes grimaces que je vais lâcher mes lévriers, elle hésite, Coralie veut lui reprendre ma pine mais elle ne la lâche pas, la retire et se fait asperger la gorge nue avec un grand sourire et un air malicieux, en se mordant les lèvres la bouche en biais….Ouah !…

Quand j’ai tout juté sur ses gros nichons, elle la représente devant sa bouche et goûte quelques perles d’amour avec un petit frisson de bonheur et de satisfaction.

Bien sûr elle reçoit les félicitations de notre monitrice pour s’être si bien comportée. Complètement soulagée et heureuse elle rit et chahute avec Coralie, en se frottant, seins contre seins et se serrant, les mains sur les hanches, elles se congratulent elles s’embrassent à bouche que veux-tu.

Ce soir elles doivent se sentir un peu plus femmes.

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Quelques temps après, ce fut la grande ambiance, le tonton s’étant encore absenté, les bonnes parties reprennent avec encore plus de lubricité. Nous sommes nus, sauf Ginette qui jusqu’à ce jour ne nous a pas dévoilé tous ses charmes, sans doute par pudeur face aux beaux atours de notre jeunesse ou peut-être pour nous exciter davantage en nous faisant languir.

Un soir Betty est en train de chahuter avec sa cousine. Elles se gamahuchent, se caressent, se pelotent comme deux petites chattes dans un panier, tout en me présentant leurs délicieux atours ruisselant de sueur et de cyprine.

Devant ce magnifique spectacle et cette chaleureuse ambiance, je bande comme un diable et je m’apprête à planter mon dard dans le joli petit con au milieu des jambes de Betty, qu’elle a levées à la verticale en poussant son ventre dans ma direction pour commencer à s’empaler sur mon mât de misaine.

Ç’est alors que Ginette, grâce à son expérience habituelle, se précipite et en me bousculant empêche à temps le vilain vireton de pénétrer plus à fond dans le paradis rose alors que déjà tellement excité je lâche mon foutre sur les cuisses de ma tendre cousine en ébullition.

 » Quel déluge ! Imprudent ! Qu’allais-tu faire ?
 » Fais attention me crie-t-elle. Voyons, ça ne serait pas le moment qu’elle se retrouve avec un polichinelle dans le tiroir !  »

Je suis tout penaud, bien déçu, Betty aussi…

Tantine est fâchée et nous gronde sévèrement.

Désolé j’essaie un peu de me faire pardonner en les cajolant toutes les trois, mais la soirée s’arrête là et on va se coucher.

J’ai bien compris la leçon, je crois qu’elle a eu très peur que je fasse une bêtise qui aurait pu gâcher la vie des filles et nos belles aventures.

C’est promis je ne recommencerai plus…

C’est qu’elles étaient irrésistibles ces petites diablesses !

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Par la suite on se retrouve chaque fois que le tonton est absent et les choses reprennent comme avant.

Elle a un sacré caractère la tantine, le sang très chaud et sait mener son monde, comme nous allons le voir dans la suite de l’histoire.

Je suis très attiré par son cul et par ses gros seins. Quand j’étais petit garçon elle était une solide jeune femme et je lorgnais souvent sur son beau postérieur qu’elle trimbalait insolemment sous ses robes légères et transparentes et sous le nez des plus grands qu’elle devait aguicher.

Ce cul est resté gravé dans ma mémoire et j’ai toujours eu le désir de le voir de plus près, de le toucher et d’aller voir ce qu’elle camouflait entre ses grosses fesses.

Aussi lors de cette aventure estivale, l’idée ne m’ayant jamais quittée, je décide un jour de lui mettre la main au cul à un moment où penchée sur une de mes cousines elle dévoile raz sa blouse, sa belle nudité. Oh la jolie fente ! Avec effronterie, je glisse ma main dans la chaude échancrure.

La réponse ne se fait pas attendre, du revers de sa main elle dégage la mienne et je suis très déçu car je ne comprends pas ; si bien qu’une autre fois je récidive avec toupet mais avec le même échec.

Devant cet acharnement, pourtant bien naturel, et sentant que mon excitation risque de me mener à faire de nouvelles sottises avec les filles, elle prend la décision de m’attacher pour se trouver libre de faire ses frasques comme elle le désire.

Elle me fait asseoir sur une chaise basse et me ligote les bras et les jambes sur les pieds et les accoudoirs tout en me laissant nu évidemment, afin de m’abandonner à la convoitise de ces dames affamées. À mon avis ce n’est pas sans une certaine perversité de sa part, mais ça fait partie sans doute de sa façon d’éduquer et de mettre en soumission ses amants.

Pour ma part, d’abord surpris et ennuyé je trouve que finalement c’est aussi une façon de faire grimper très fort ma libido et de faire durer le plaisir encore plus longtemps.

Alors toutes les trois, elles s’en donnent à cœur joie ; se moquant de mon désarroi et de ma position, me taquinant, me titillant et me suçant la bite tout en me tripotant les couilles et en rigolant de me voir toujours en alerte et grimaçant de désir sous l’action efficace de leurs petites mains et de leurs lèvres qui vadrouillent autour de mon sexe.

Elles me présentent leur cul pour que je leur lèche sans même pouvoir les toucher de mes mains…Je boue, j’adore, je bande, elles se marrent et elles me pètent au bout du nez.

Elles font un peu les mijaurées soit disant choquées par la situation, mais en fait ça les amuse énormément.

Ceux sont deux petits culs admirables. L’un plus arrondi que l’autre révèle en son centre un anneau rond comme un hublot minuscule et donne l’impression d’être toujours ouvert et affamé, sans rien cacher de son petit vestibule. J’y mettrai bien le doigt…

L’autre, celui de Coralie est refermé sur lui-même, strié et entourée d’une large marbrure concentrique qui estompe tout le fond de la raie culière un peu à la manière de la cible d’un jeu de fléchettes…malheureusement ma flèche est bien tendue mais je n’ai pas le doigt sur la gâchette !

Leurs fesses qu’elles écartent largement quand elles recherchent les faveurs de mon bout de langue, sont fraîches, moussues et frémissantes comme la gelée qui entoure un bon gros pâté campagnard. Elles adorent que je leur titille le trou du cul.

Elles sont comme deux petites abeilles qui viennent de découvrir la superbe étamine d’une fleur de pommier et qui de leurs petites pattes fragiles crapahutent tout autour du gros bouton d’amour. Elles tâtent, lèchent, sucent et rient à gorge déployée au point que Betty, tant excitée, en pisse de frisson. Essayant de retenir la crue de sa vessie, un doigt dedans sa chatte, la main entre ses cuisses elle part d’un immense fou rire avec sa benjamine et pour se soulager mes deux petites abeilles complètement débridées, se réunissent ensuite, debout sur le carrelage, ventre à ventre et chatte contre chatte s’arrosant mutuellement de pipi comme une fontaine publique, tout en me lançant, insolentes et grivoises, des regards des plus libidineux.

Ensuite elles essuient le sol, étalent un tapis et sous les judicieux conseils de Ginette, se font un tête à queue d’enfer…sacrément dévergondées les poulettes !

Betty a son petit as de pique tout rond et séditieux face à moi et la tête blonde de Coralie entre les cuisses. Le spectacle est des plus beaux et coincé sur mon siège je suis à l’agonie, mon sexe turgescent se dresse à se décrocher face à tant d’outrecuidance.

Ce n’est pas moi qui vais les régaler mais l’index frétillant de la divine tante qui de façon experte dépucèle la rondelle de la plus grande jouvencelle qui remue son cul comme chatte en chaleur. L’index de la main gauche, tout aussi pointilleux pénètre à son tour le petit bijou de Coralie qui râle de plaisir et dont je vois seulement les deux jambes qui grimpent désespérément au plafond.

Du coup voilà nos deux coquines savamment déniaisées.

Elles sont en transe.

C’est une belle et nouvelle expérience pour elles qui n’imaginaient pas il y a encore quelques minutes seulement, que l’amour puisse se faire si coquin et provoquer en cet endroit de si curieux ravissements, d’autant que la chose interdite et grivoise a un aspect cérébral qui motive très sérieusement le défoulement de leur libido.

 » Mais attention leur dit la tante, il faut laisser le temps à vos fragiles muqueuses de murir et de s’ennoblir avant de faire quelque expérience toujours un peu trop vigoureuse lorsqu’un adorable mais pas trop patient admirateur voudra en l’endroit vous faire un petit compliment.

Vous avez dans vos mains les outils nécessaires à cette préparation et il est de bon usage que le soir, dans leur lit, les jeunes femmes de bonne famille comme vous, préparent avec leur doigt du milieu, la petite entrée afin de gâter leur amoureux qui un jour ou l’autre ne manquera certainement pas de frapper à la petite porte…petite porte dont toute femme bien éduquée aura à cœur de faire en sorte que jamais ne rouille la serrure « .

Et sur ces bons conseils elle leur fournit un long instrument en bois d’olivier qui a la forme d’un phallus aux deux extrémités et elle les encourage à l’introduire dans leur minou en s’allongeant, jambes croisées et chattes à chatte serrées l’une contre l’autre comme des tribades.

C’est fou ce que ça les excite et ce que ça leur donne du bonheur…Elles crient, s’agitent, se cognent l’entre-jambes à en veux-tu en voilà pendant que Ginette très excitée elle aussi les caresse, les embrasse et leur titille les seins et remue le bel engin.

Bon sang elles vont me faire mourir ces femelles en chaleur !

Ma tante est tout de même une sacrée perverse car profitant de mon immobilité elle se déshabille complètement me laissant voir enfin ce superbe cul que je désire tant.

Si elle possède un beau visage, ainsi qu’un ventre grassouillet avec un pubis chatoyant, elle a aussi une bonne croupe, large, robuste, solidement charpentée faite pour soutenir l’assaut des mâles et leurs coups de boutoirs.

Elle sait fort bien mettre en valeur ses fesses très aguichantes enveloppées dans un tailleur qui le dimanche les livre aux regards concupiscents des bons chrétiens bien plus enclins à regarder son bel hôtel plutôt que celui de l’église.

La vue de ce cul que je convoite depuis si longtemps, me fais bander encore davantage. Les filles en profitent d’autant plus que malgré le supplice, j’ai beaucoup de joies à les voir ainsi se gamahucher et se gaver de mes érections en se perfectionnant dans l’art de la fellation suivant les bons conseil de la tante qui leur explique la manière de faire jouir un homme pour en capter le plus de plaisir possible.

En suite elles entourent leur tante pour lui tripoter devant moi ses grosses miches et sa raie profonde et Madame n’est pas indifférente à de telles attentions délicieuses, vicieuses, pénétrantes… elles me font baver.

Cependant je ne suis pas très souvent attaché et je profite beaucoup des ardeurs de la tante et de ses deux nièces.

Les après-midi coquines se succèdent ainsi avec beaucoup de charme mais hélas les jours passent vite et les vacances aussi. C’est alors que se produit l’apothéose de ce bel été.

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Par une chaude après-midi de fin août et comme le mari n’est pas là, (il est chouette ce mec : toujours absent !), Ginette nous rassemble dans sa chambre et j’ai encore cette fois-ci, droit à me retrouver nu et ligoté sur la chaise fatidique.

Les choses vont bon train, des lèvres bien baveuses font des prouesses sur mon membre congestionné et se régalent de mes jets brûlants que j’ai beaucoup de mal à retenir. Entre gloutonne et fine bouche je suis aux anges d’autant que la maîtresse sait avec adresse manier l’impétueux sujet et que son coup de langue vaut bien tous les plaisirs du monde. Elle a les lèvres épaisses et les dents acérées qui grignotent mon frein comme un petit lapin grignote la salade.

Je sens ce jour-là, chez elle, une excitation grandissante car elle s’occupe de mon sexe avec plus d’entrain que d’habitude ; je remarque aussi que de sa main gauche fourrage au de-là de son jardin de bruyères et se titille le trou du cul, chose qu’elle n’avait jamais faite jusqu’ici.

Ainsi, après avoir biberonné mon phallus et s’être chacune à son tour délectées des meilleures gouttes de son élixir, la tante très excitée se met en demeure de s’assoir sur mon boutefeu. En me tournant le dos, elle ouvre grand ses cuisses afin de me chevaucher pour prendre en otage ma pine verticale dans son minou bouillant.

Je crois qu’elle est folle de mon gros bâton et qu’enfin elle se décide à profiter à son tour de sa bonne vigueur tout en montrant aux filles comment s’en servir et se faire plaisir.

Ce faisant elle m’offre le plus joli spectacle que je n’ai jamais vu d’aussi près jusqu’ici : entre ses fesses écartelées, je découvre tout au fond de sa raie ce fameux secret qui m’attirait tant. Un magnifique petit trou, noir et strié comme un canon de fusil, ciselé de rose et de bleu et aussi fripon que l’œil d’un petit garçon qui a fait une bonne blague !

Au-dessous et dans l’épaisseur sombre du repli de ses fesses le nid de broussailles épaisses me camoufle l’ouverture odorante de son con dans laquelle elle engouffre ma verge.

Je bande à en avoir mal mais je trouve de suite la chose exquise ; la chatte chaude et onctueuse descend doucement le long de mon membre et j’aurais joui immédiatement si se laissant aller elle ne m’avait pas écrasé brutalement le ventre et les testicules.

L’affaire va grand train, Coralie et Betty en prennent plein les yeux et suivent attentivement le progrès de l’action et pour donner plus de vivacité à ce divertissement d’un index coquin, chacune à son tour glisse son index dans le petit trou voisin.

Stimulée Ginette pousse des petits cris et remue encore plus son fessier. Elle mouille abondamment en sentant les deux petites garces lui torturer le trou du cul en faisant aller et venir leur doigt crochu dans le petit bouton marbré qui semble aspirer l’intrus comme un doigt dans la bouche.

En danseuse sur ses cuisses Ginette se met alors à monter et descendre sur mon priape sans me laisser le temps de reprendre souffle ni de calmer les douleurs provoquées par son poids sur mes couilles et sur mon bassin.

Elle pousse des han ! Des Ha ! Des gémissements de plus en plus forts et rapides…

La danse se poursuit pendant de nombreuses minutes, elle s’agrippe aux cous de ses nièces qui se sont placées devant elle leur corps contre sa généreuse poitrine et je me régale à voir mon vireton batifoler dans sa grasse foufoune.

Il est gros, gras, vaillant comme un bucheron qui scie du bois à grands coups de va et vient, et trempé de la mouille qui déborde de sa rondelle luisante comme une bague de jeune mariée.

Elle prend soin tout de même de s’arrêter par moments pour m’aider à retenir mon éjaculation et me maintenir une forte bandaison.

A pleine bouche elle bécote les filles qui lui pincent les tétons et sont émerveillées de voir la jouissance de cette femme qui bat sa foufoune accroupie sur ma pine entre mes cuisses.

Elle griffe, elle mord, elle crie,  » Boudi ! Boudi ! Boudi ! Boudi ! »…je ne sais pas ce que cela veut dire mais je comprends vite que cela signifie qu’elle est au bout, qu’elle va se lâcher…qu’elle explose.

Elle râle, frissonne de bonheur et sa chatte pleure de joie en inondant de mouille mon pubis et mes jambes, pour s’affaler finalement dans un grand frisson, épuisée lorsque le moment sublime est terminé.

Elle se courbe sur ses genoux sa chevelure contre le ventre des deux filles médusées qui mouillent autant qu’elle et qui la congratulent gentiment en lui massant le dos depuis le creux des fesses jusqu’à la nuque.

Elle reste ainsi un bon moment pour récupérer et reprendre son souffle tout en m’offrant de nouveau le sublime paysage de son p’tit trou friponnant et gai comme un luron qui dans le fond de sa raie s’ouvre et se referme comme si lui aussi recherchait sa respiration.

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Mais la chose n’est pas terminée car se relevant légèrement en s’appuyant sur les accoudoirs de la chaise elle fait sortir ma bite de son doux fourreau pour la présenter toute luisante devant le trou de son cul.

Diable quel joli trou ! Il est beau comme un camion ! Il baille comme un affamé, comme le museau d’un poisson qui fait des bulles dans un bocal ! Je vois qu’il est légèrement graissé, elle a de la suite dans les idées la petite Dame…

Ses fesses ainsi écartelées font ressortir un peu le museau du petit animal en gonflant les veines de sa vicieuse rondelle.

Elle est juste au-dessus de mon nœud mais comme il ne se présente pas bien, les filles se le disputent pour le maintenir prêt à entrer en action.

 » Mais tantine il est trop gros ! Il ne va pas passer !  »

Effrayées elles n’osent pas laisser mon engin faire gentiment son devoir et chaque fois il dérape et se retrouve planté dans son abricot juteux.

Heureusement Tati en passant une main entre ses cuisses rattrape le vilain fuyard et le positionne bien droit face à son trou du cul.

Moi, je délire, je vois mon gland fleureter avec son œillet, je pousse, elle descend un peu, je vois ses chairs rosées s’écarter doucement. Les cousines effrayées, cherchent à nous dissuader d’aller plus loin, pourtant l’anus s’enfile autour de mon gland qui se laisse avaler volontiers.

Que c’est bon de sentir sa rondelle se resserrer sur mon gland crochu qui reste prisonnier de sa douce muqueuse toute chaude et baveuse.

Ginette marque un temps d’arrêt fait un petit va-et-vient et reprend sa descente délicate en glissant lentement le long de ma tige qu’elle fait entièrement disparaître entre ses deux fesses globuleuses qui viennent tutoyer mon pubis.

Bon sang elle a du métier la Tati ! Ce n’est sûrement pas le premier bonheur de cette taille qu’elle a glissé dans son fourreau.

Les filles sont stupéfaites, elles n’auraient jamais cru qu’un aussi gros objet puisse s’introduire dans un si petit trou. Elles sont surprises et ravies de voir avec quelle facilité et quelle maîtrise la chose s’est passée…

Ginette adopte ensuite une façon plus énergique pour faire des allers retours sur ma bite ; elle monte, elle descend, puis ressort ma pine impertinente et luisante laissant la porte ouverte à tous les courants d’air. Oh diable ! Quel trou…à la mesure sans doute d’un de ses meilleurs pourfendeurs !

Convaincues les deux cousines appuyées sur les bras du fauteuil supervisent le bel ouvrage en se bidonnant. Elles se précipitent pour remettre ma pine dans le tabernacle chaque fois qu’elle s’en échappe…c’est délicieux de vigueur, d’indécence, de complicité, de pénétration, d’érotisme…

Mais c’est qu’elle prend son pied la tantine !

Oh oui ! File ! File l’aiguille ma fille…Tata te remercie…

Placées comme elles le sont, les demoiselles voient aller et venir mon gros vit visqueux dans le trou mignon de leur tante et leur excitation est au paroxysme. Jamais elles n’auraient cru que ça puisse passer si facilement, mais je crois qu’en même temps elles serrent leurs fesses non de désirs mais plutôt de craintes à venir pour leur petite rondelle.

Ginette rentre de nouveau ma pine au fond de son vase sacré en s’asseyant sur mes couilles qui libèrent alors violemment le divin nectar. Ça lui graisse le passage et lui permet de s’agiter davantage et de s’envoyer en l’air une seconde fois en gémissant de bonheur.

Empalée sur ma pine elle s’arrête pour respirer et sans doute pour savourer la possession finale. Elle resserre fortement son anus sur ma pine, glisse un doigt dans son vagin pour caresser cet intrus qui tant la fourbit par le côté opposé et pour bien prendre conscience de la place qu’il occupe, encore que, vu la taille de mon gland elle ait le fondement suffisamment bien encombré pour ne pas se poser trop de questions à ce sujet-là…Jouit ma Belle, jouit…

Moi aussi j’étouffe de bonheur ; j’ai mal à la queue, mal aux couilles, je transpire de sueur et de sève, mais le plaisir est si intense que je peux tout supporter. Je suis en train de réaliser mon vœu le plus cher, le plus excitant, le plus intense, celui de posséder ce cul que j’ai tant convoité…ce qui n’a pas l’air du tout de déplaire à sa propriétaire !

Elle continue encore quelques doux mouvements de va et vient, le buste bien droit, la tête haute, en serrant les filles sous ses seins pointés en avant au-dessus de leurs têtes.

 » Oh que c’est bon ! dit-elle en soupirant et en reprenant tout doucement ses esprits et en câlinant ses deux nièces…

Boudi, boudi…Que c’est bon !  »

 » Que c’est délicieux !  »

…Qu’elle est délicieuse !

Essoufflée elle s’affale sur mes genoux libérant du même coup mon sexe qui sort de son cul avec regret en laissant échapper un flot de liquide prostatique qui dégouline dans le creux de ses fesses.

Elle se redresse légèrement et me tend son trou du cul afin qu’avec ma bouche je puisse laper quelques perlouses d’amour qui suintent encore de son œillet flamboyant qui sous mes caresses intimes, se referme et reprend (petit innocent) les allures bien sages d’un petit trou de femme du monde.

Une main entre les cuisses elle court se laver dans la salle de bain, les cuisses dégoulinantes de nos humeurs partagées, laissant à la charge de ses deux nièces toutes excitées, le soin de faire ma toilette avec plein d’attentions et de minuties en entourant mon sexe de leurs lèvres câlines.

Elles se disputent à qui mieux-mieux la jolie tige encore vigoureuse et nappée d’une laitance savoureuse légèrement salée et pimentée par ce divin musc qu’exhale en cet endroit le plus secret des trésors féminin.

Elles viennent essuyer leurs lèvres sur les miennes en m’embrassant à pleine bouche pour y déposer ce merveilleux bouquet de saveurs matures et juvéniles qu’elles ont récoltées sur mon dard encore tout imprégné des jus de nos amours.

Mes douces tortionnaires finalement me détachent et sous la douche on s’enlace, on se flatte, on se bécote, on s’admire…

Ce fut vraiment un bel été !

Le lendemain les vacances sont terminées.

Vraiment, nous avons fait de très beaux devoirs de vacances.

Nous regagnons nos différents foyers familiaux le cerveau plein de souvenirs inoubliables, édifiants et bandants et nous voici bien éduqués pour prendre la vie du bon côté. Merci à notre éducatrice adorée.

 

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Une réponse à Educations libertines par Verdon

  1. Razorbac dit :

    Charmant et très joliment écrit

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