Du Fantasme à la réalité par totolapraline

Du Fantasme à la réalité
par totolapraline

Je me présente 37 ans 1,80 m, 90 kg, marié, hétéro mais légèrement bitophile. J’ai découvert ma fascination pour les trans il y a déjà à quelques années. Elle s’est sérieusement accentuée depuis que je visite régulièrement Vassilia. Je dois préciser que je fantasme uniquement sur les trans hormonés et non opérés, les travestis pas assez ambigus ne m’attirent guère.

C’est un de mes fantasmes préférés lors de mes petites séances de masturbation à tel point que j’ai petit à petit introduit dans mes jeux (c’est le cas de le dire) des objets (ou légumes) tenant lieu de godes improvisés. Dans ces moments là je me sens aussi bien actif que passif.

J’en suis venu tout naturellement à envisager une rencontre réelle avec une de ces créatures fantastiques. Après quelques recherches sur des sites de rencontres spécialisés et quelques échanges de mail je me rends rapidement compte que ce genre de rencontre est tarifé.

Prudent et hésitant je redoute une rencontre glauque et furtive. Je finis par m’arrêter sur une annonce avec une photo crédible d’une trans non opéré hormonée 95 C très féminine.

Malgré une boule au ventre je me décide à appeler. Une voix agréablement féminine me répond. Malgré ma timidité et ma nervosité je m’efforce de rester détendu. La conversation est des plus explicite :

– Pour 1 heure c’est xx € mais bon je prend mon temps j’ai pas de chronomètre. Je suce nature si t’es clean, je me fait sucer, je prend et me fait prendre. J’ai des super seins naturels pas siliconés me dit-elle fièrement. Par contre je suis pas super bien montée : 13 cm…

Je la rassure à ce sujet confessant mon peu d’expérience en la matière

– Il faut me prévenir au moins 1 heure avant reprend-elle car je ne suis pas une machine, j’espace les RDV au maximum tu comprend… je fait ça aussi pour le fun.

Le RDV est pris sur le champ pour l’après-midi même.

Douché, récuré et parfumé je me rends à l’adresse indiquée et comme convenu appelle pour avoir le digicode de la porte et l’étage. Je monte les escalier le cœur battant mais curieusement sans avoir envie de rebrousser chemin. J’arrive devant la porte, je frappe. Elle s’ouvre mais mon hôte reste cachée derrière la porte pour la refermer derrière moi à peine suis-je entré. Je découvre finalement l’objet de mes fantasmes : escarpins classiques, les jambes gainées de bas nylon elle porte un ensemble tailleur vert qui moule des hanches généreuses. Son haut zippé laisse entrevoir un décolleté assez vertigineux conforme à sa description. Son visage reflète toute l’ambiguïté du personnage mais dégage une étonnante féminité.

Elle me salue très simplement en me tendant la main et me demande :

– Ca va je te plais ? Les mains dans le dos d’un air si ingénu que c’en est pervers.

J’arrive à lui répondre un Oui oui ! Je rougi comme un adolescent qu’on emmène au bordel pour être dépucelé. Elle me sourit amusée par mon trouble si visible. L’appartement est ancien et le parquet grince sous nos pas tandis que nous pénétrons dans le salon. La pièce n’est pas grande ni luxueuse mais assez bien agencée et décorée. Elle m’invite à m’asseoir sur le canapé et tandis qu’elle prépare un café. Je pose mes xx € sur le coin de la table. Avec l’autorisation du cendrier et d’un paquet posés sur la table basse j’allume une cigarette pour me donner un peu d’assurance et de calme. Elle revient et se penche pour poser nos tasses de café. Impossible de ne pas plonger le regard entre ses seins qui se resserrent. Sur de son effet elle me sourit, prend le billet en me remerciant puis repart dans la cuisine. Mes yeux restent fixés sur ses fesses et ses jambes. Je suis médusé par sa démarche si féminine. Seul ses épaules pourraient la trahir. Tout cela me laisse présager un bon moment en perspective. Elle revient s’asseoir à mes cotés sur le canapé et engage une conversation assez banale mais elle a le don de me mettre à l’aise.

D’origine magrébine sa peau est cuivrée et lisse. Je meurs d’envie de la toucher et pose ma main l’air de rien sur sa cuisse sans oser remonter sous sa jupe. Elle se rapproche et me caresse le dos tout en continuant à deviser le plus simplement du monde. J’ai à nouveau une vue imprenable sur son décolleté. Je la complimente à ce sujet et joignant le geste à la parole descend le zip pour lui caresser les seins emprisonnés dans un soutien gorge à balconnet. Elle me remercie. Je prends mon courage à deux mains et l’embrasse dans le cou. Nos regards se croisent. Elle se demande sûrement qui je suis. J’ose un baiser sur ses lèvres. Elle y répond d’abord très sensuellement puis bientôt sa langue vient trouver la mienne et le baiser devient fougueux, immédiatement mon sexe se dresse dans mon caleçon calmant ainsi mes dernières angoisses. Les hostilités viennent d’être déclarées et je me rends compte d’avoir atteint le point de non retour.

Elle m’invite à passer dans la chambre. Elle commence à se déshabiller mais je préfère m’en charger. Je dézippe son haut impatient d’admirer sa poitrine d’abord à travers son soutien gorge que je dégrafe rapidement libérant des seins lourds mais pointus. Je les embrasse et agace les tétons qui se tendent ma langue. Elle me tâte l’entrejambe sûrement pour vérifier mon état d’excitation.

Mes mains explorent ses fesses sans passer sous sa jupe. Elle entreprend de me déshabiller tandis que je défais la fermeture de sa jupe pour la faire glisser à ses pieds. Ses formes sont assez généreuses ce qui n’est pas pour me déplaire. Je découvre alors un joli petit sexe circoncis en semi érection débordant de son string. Elle guète ma réaction. Je le caresse à travers le minuscule morceau de tissu puis m’insinue dessous curieux de sentir pour la première fois le contact d’une autre bite que la mienne. C’est très doux. Ses bourses sont lisses et chaudes. Elle baisse son string et garde ses bas et fini de me déshabiller. Je l’enlace et nous échangeons un long baiser encore plus fougueux que le premier puis elle me repousse doucement sur le lit. Je me laisse faire : elle me grignote les tétons ce qui m’envoie de délicieuses décharges dans les hanches et me fait bander vraiment très dur. C’est mon pont faible. J’adore ! Elle s’en rend compte et en abuse.

Elle entame alors une lente et langoureuse branlette pour me décalotter facilement le gland déjà abondement lubrifié par mon excitation.

Elle descend vers mon sexe en parsemant mon torse de petits baisers qui me donne la chair de poule. La bouche en cœur, sa langue flatte délicatement mes bourses puis remonte le long de hampe, s’attarde sur mon frein avant de tournoyer autour de mon gland. Enfin elle engouffre mon sexe dans sa bouche. C’est bon c’est chaud elle m’aspire à fond, lentement. Sa bouche experte sait exactement comment le faire.

J’ai très envie de goûter moi aussi à son gros clito et la fait s’installer tête bêche. Tandis qu’elle continue de me sucer je prend son sexe pas tout à fait rigide entre le pouce et l’index et pose timidement mes lèvres sur son gland. J’en fait e tour avec ma langue pour le goûter puis n’y tenant plus aspire tout son sexe dans ma bouche. Au bord de l’explosion je suis obligé de lui demander d’arrêter sa fellation. Elle pose alors son index sur mon anus et commence à le masser. C’est très agréable.

Je continue de sucer son gros clito qui ne tarde pas à durcir et à se courber. Je suis fier de constater la dureté de son érection. Je me régale vraiment de cette bite que je fais aller de plus en plus loin dans ma bouche. Je m’en donne à cœur joie faisant tantôt aller et venir ma langue le long de sa hampe tantôt gobant délicatement ses couilles.

Elle fait couler un filet de salive sur mon petit trou et y glisse un doigt qui ne tarde pas à aller et venir tout en douceur dans mon anus. C’est vraiment très bon et je lui facilite l’accès en écartant les cuisses. Elle reprend sa fellation et retire son doigt pour m’en mettre deux réalisant ainsi un de mes fantasmes. Je comprends qu’elle est savamment en train de me préparer.

Je la bascule sur moi en 69. Je peux examiner de près son anus dont les plis rappellent un peu une chatte. L’endroit à l’air propre en tous cas pas d’odeur suspecte. J’y risque ma langue. Ca n’a pas de goût particulier. Je m’enhardi et me surprend bientôt à lui bouffer le cul avant d’y mettre un doigt puis deux puis trois. Elle aussi me prodigue la même caresse et réussi à bien me dilater. Elle se tourne vers moi et me chuchote :

– Tu veux que je te prenne mon chou ?

J’acquiesce et me met sagement en levrette la tête dans l’oreiller tandis qu’elle enfile une capote. Je ne tarde pas à sentir ses doigts me lubrifier abondement la raie des fesses et me pénétrer à nouveau l’anus avec du gel. Elle fait coulisser son sexe plastifié entre mes globes et je sens ses bourses s’écraser contre ma rosette. Je suis déjà comblé.

– Détend-toi j’y vais doucement m’avertit-elle.

Elle présente sa bite sur ma rondelle et entreprend de me pénétrer. Je pousse en même temps. Mon sphincter s’ouvre et je sens son sexe m’envahir lentement. La sensation me rappelle mes godes improvisés mais cette fois c’est chaud, souple et naturelle : c’est bien meilleur ! Lorsqu’elle m’a bien pris à fond elle s’immobilise. Je sens quelle raidit son sexe qui en grossissant encore me dilate délicieusement. Un sentiment de reconnaissance pour cette personne qui me comble m’envahit.

-Tout va bien mon chou ? Me demande-t-elle avec une extrême douceur
– Oui tu peux y aller.

Elle commence alors à aller et venir les mains sur mes hanches. Je me cambre bien et m’abandonne totalement en savourant au maximum les sensations.

D’habitude ce que je préfère c’est sentir les va et vient de mes godes combler mes chairs puis une fois que mon sphincter est bien détendu je sors puis me pénètre plusieurs fois de suite et accélère les va-et-vient.

C’est ce qu’elle fait : ses mouvements prennent de l’ampleur je les accompagne en poussant lorsqu’elle avance et en resserrant lorsqu’elle recule comme pour retenir cette bite qui me fait tant de bien. Je râle de plaisir.

Je me penche en avant l’obligeant à déculer puis me cambre à nouveau offrant mes fesses. Elle comprend immédiatement et replonge dans mon anus et répète plusieurs fois la manœuvre pour finalement me pénétrer jusqu’à la garde et s’immobiliser bien au fond de mon cul. Elle redémarre alors ses va et viens lentement puis accélère. J’aimerai voir l’expression de son visage pendant qu’elle me besogne.

– Attend ma chérie lui dis-je en déculant pour me mettre sur le dos.

Comprenant la manœuvre elle me glisse un coussin sous les fesses et profitant de la pause lubrifie à nouveau son sexe. Elle ramène mes genoux sur ma poitrine tandis qu’elle pointe ma rosette en me fixant avec le même sourire ingénu et pervers que tout à l’heure.
Cette fois ci elle me pénètre d’une seule traite en guettant ma réaction sur mon visage : la bouche entr’ouverte je ne peux m’empêcher de soupirer. Manifestement elle prend plaisir à me baiser tout en souplesse à genoux entre mes cuisses. Son bassin ondule dans toutes les directions. Sa bite me fouille tant et si bien qu’elle me procure un intense moment de plaisir, autant cérébral que physique.

Un instant l’envie de m’empaler sur son sexe m’effleure mais elle passe en missionnaire et accélère bien décider maintenant à me faire sentir sa virilité. Elle me besogne sans ménagement faisant claquer son bassin contre mes fesses. Heureusement que son sexe est de taille raisonnable car je suis en train de me faire défoncer. Cette pensé m’excite au plus haut point et confère alors à ma bite une extrême vigueur.

Je l’empoigne pour essayer de venir en même temps qu’elle mais ce sont ses petits éclats de voix tellement féminin et tellement touchant au moment où elle éjacule qui me font gicler plusieurs fois sur mon torse.

En descendant les escaliers je sens mon anus encore délicieusement glissant et ouvert.

Je m’assoie au volant et il me faut quelques instants pour reprendre mes esprits.

Ma rosette se met à palpiter comme pour me rappeler qu’elle a été mise à rude épreuve mais qu’elle a adorée. Je n’ai qu’un seul regret ne pas pouvoir sentir son sperme chaud m’inonder l’anus. Pour ce qui est de visiter le sien je ne me fais pas de souci : je sais déjà que je reviendrai bientôt…

totolapraline@yahoo.fr

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4 réponses à Du Fantasme à la réalité par totolapraline

  1. Dominguez dit :

    Une jolie passe très bien racontée (vécue ?)

  2. Bertrane_TV dit :

    Joli texte, ça m’a bien excité !

  3. Lucky 71 dit :

    Bonjour. Moi aussi je pense être bitophile ; révélation vers les 20ans, alors que j’etais jeune marié d’un premier mariage. Je traversais un square, et me rends au toilettes pour uriner. deux urinoirs à côté de moi, il y avait un rebeu plus âgé, et j’ai vite vu qu’il se branlait en s’arrangeant pour que je voie sa queue. Elle était longue, dans les 18-20 cm et assez large avec un gros gland large du bout tout lisse qu il découvrait lentement. J’ai une petite bite de 12×4 en érection et minuscule au repos. Cette vision m’a fait bander instantanément. Le mec l’a vu et s’est approché de moi, il a pris ma queue en main et moi la sienne. Elle était lourde et chaude, excitante comme pas possible, je bandais de plus en plus. Il m’a dit « tu sais ça rentre tout seul ». Je lui ai dit que j’étais marié et hétéro. Il m a demandé si ma femme aimait bien ça. Je lui ai répondu que j avais du mal à la faire jouir avec ma petite queue minuscule. Il m’a dit « je peux la faire jouir ta femme si tu veux. Avec mes copains on a laissé nos femmes au bled et on est en manque. Tu sais ça rentre tout seul. Elle va jouir très fort et en redemander ». Le soir rentré chez moi, j’étais bouleversé. J ai gardé l’image de cette queue superbe dans ma tête. Toutes les nuits, je rêvais de cette queue faisant jouir ma femme. Depuis je suis bitophile. Je vais dans des lieux « bi » Je suce des bites de temps en temps, mais il n’y a que les grosses qui m’excitent. Pourtant moi aussi, les mecs ne m’attirent pas et je ne pourrais pas être amoureux d’un mec et encore moins vivre avec, sans déprimer. Donc en aucun cas il ne peut s’agir d’homosexualité refoulée. D’ailleurs j adore les femmes et leur corps merveilleux.
    Autre conséquence j ai un trés fort fantasme de triolisme, voire plutôt de candaulisme avec un mec mieux membré et ma compagne.
    Aprés une séparation, je me suis mis en couple avec une femme plus jeune de 10 ans, et avec un goût plus affirmé pour le sexe que ma précédente épouse. Avec elle, les relations sont une fête, un grand bonheur, mais avec ma queue je ne suis pas du tout à la hauteur, alors qu’elle aime les longues pénétrations. Notre complicité étant totale, je lui ai vite laissé entendre mon penchant pour le triolisme. mais elle me dit jaloux et possessif. Je lui explique que j’ai peur de me la faire piquer car j en suis trés amoureux, mais que si la relation est juste sexuel avec quelqu’un de libertin, que je ne serai pas jaloux, et que je veux qu’elle jouisse comme elle mérite, à la mesure de sa libido. Mais rien question concrétisation.
    Un jour, je rencontre un beau mec bi libertin, qui m’invite chez lui pour un plan suce. A un moment on discutait autour d’un verre d’alcool, avec un oeil sur la télé, je me tourne vers lui et constate qu’il est debout à côté de moi et qu’il a retiré son pantalon et son slip. Il ne bande pas encore, mais sa bite est plus longue au repos que moi quand je bande et plus épaisse au repos que la mienne bandée. Je la prends aussitôt en main et en bouche, elle atteint instantanément 21cm par 5 ou 5.5 environ avec un trés beau gland, je la suce goulument avec passion et avale le sperme, et continue à pomper pour qu’elle rebande. Dans mon excitation je lui parle de ma compagne qu’elle voudrait jouir avec une aussi belle queue. Il me dit je suis surtout étéro, plus que bi, et me demande des photos. Je lui en montre dans mon portaable. Il me dit « hummm elle est mignone, je la prendrais bien ». La fois d’après, je ramène mon ordinateur portable avec des photos plus déshabillée. Il me dit « Je ne savais pas que tu avais une aussi belle femme, il faut absolument que je la baise ». Je lui répond que ça m’excite, que j en crevait d’envie. je lui propose un scénario de rencontre et vu les réticences, qu’il la charme avec tact pour qu’elle ne se doute pas que c’est pour la baiser. Un jour que ma compagne jardinait chez moi en tenue d’été, je l’appelle, il vient aussitôt, et nous ramène des trucs. On lui offre un pot sous l’arbre. Il est bel homme, trés souriant et charmant, et entreprends aussitôt de charmer Nath. Elle est sous le charme, et lui sourit, se rapproche , plaisante avec. Là il dit qu’il est libertin et profite au maximum de la vie. Elle dit vous les mecs, tous les mêmes. On continue sur un ton joyeux et je dis que le libertinage c’est mon fantasme depuis longtemps et qu’avec lui j aurais confiance qu’il fasse l’amour à Nath. Elle dit vous êtes fous, ca va pas ?. Mais on ne change, ni de conversation, ni de ton, restant décontractés, et joyeux, et lui de continuer à lui faire des compliments légers et les yeux doux. A un moment je dis, ce matin on a acheté des petites robes d’été au marché, montre lui qu’il nous donne son avis. Elle le fait, et il demande un v’rai essayage. On monte dans la maaison et elle se déshabille et fait son essayage devant lui. Il lui dit qu’elle est super mignone, pulpeuse, que j ai de la chance.
    A un moment, elle se tourne vers moi et me dit « Tu as de la chance on va réaliser ton fantasme ». Aussitôt je les invite à s’embrasser, il lui carresse le bras la cuisse, lui roule des pelles, d’abord du bout des levres puis à pleine bouche. Je dis » en plus il a une belle bite, montre lui. Il écarte son short, elle louche dessus. Je lui dit prends la dans ta main. On décide de prendre une douche ensemble et on va au lit. De suite elle le suce en le branlant, elle lui fait carrément « gorge profonde », son visage est déformé par le plaisir ou l’excitation extrème. Elle avale tout son sperme et continue à sucer comme moi. Au passage quelle complicité! Il sort et dit « faites un truc tous les deux ». Je lui dit non, va y prends là, elle ne demande que ça, et il la prend en mi-levrette mi sur le côté par derrière et de côté à la fois allongés sur le lit. Il a du quand même la ressortir pour se branler et la durcir plusieurs fois, mais il rentrait presque tout et n’arrêtais pas de dire « quelle chatte tu as ». J’étais aux anges mais déçu de ne pas avoir entendu de cris de jouissances de supplications de continuer, mais ça se passe aumieux. Néanmoins il a du repartir vite car il devait récupérer son fils à Lyon pour les vacances. Aprés quelques semaines il nous a recontacté plusieurs fois, mais a été trop direct. Nath était dans une phase dépressive, et elle n a pas voulu.
    En faisant l’amour, je lui ai plusieurs fois proposé de jouir en trio. Elle m’a répondu « non, je ne veux plus avec ton copain. J ai beaucoup culpabilisé après, je ne voulais pas te tromper c’est de la trahison ». Je lui ai répondu que non, que j’étais d’accord que c’était mon fantasme, que j’étais d’accord et présent, que je voulais juste qu’elle jouisse comme elle mérite. Non rien à faire, elle campe sur ses positions, pourtant, peut être elle ne s’en rend pas compte, mais quand un mec lui plait, souvent plus jeune elle charme, elle drague. Pendant des mois j ai hébérgé un jeune black trés sympa et trés mignon qui s’était séparé d’une copine à nous. Je n’ai rien fait avec, même si j en aurais eu envie, et surtout il ne se génait pas pour charmer Nath devant moi et elle tout sourire, à se rapprocher de lui, à lui dire qu’il était beau, à le draguer… donc elle en crève d’envie. Au lit je lui ai carrément demandé si elle ne serait pas un peu amoureuse de lui, et lui repropose si il te plait, la vie est courte, couche avec lui et prend ton pieds, ca me plairait de te voir jouir comme tu mérites. Mais non réponse peut être un peu hypocrite : « C’est un ami juste un ami, et mon cul, même s’il est beau, c’est rien que pour toi. ON fait de moins en moins l’amour, elle a passé le cap de la ménopause. Et moi je suis frustré, je ne sais plus comment m’y prendre, quand je pense à son gôut pour le sexe, à son corps sensuel et pulpeux, à ma petite bite, à son plaisir et notre complicité à trois. Pour moi c’est un échec, et je ne sais plus comment m’y prendre.

  4. Darrigade dit :

    Ce n’est qu’une séance (je devrais dire une passe) mais c’est excellemment raconté et très excitant 😉

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