Ma première soumission par Probus

 

J’ai quarante-cinq ans, un mètre soixante-quinze, soixante-douze kilos, sportif, séparé depuis peu. Je viens de m’installer dans un petit village du nord. Il est tôt dans la matinée. Perdu dans mes pensées, je marche à grands pas dans l’air frais du matin. Les problèmes provoqués par mon divorce me gâchent la vie, j’ai besoin de me changer les idées. Au loin sur le chemin, une femme me précède, je la rejoins. En temps normal j’aurais continué mon chemin mais aujourd’hui, j’y vois un moyen de rompre pour quelques instants ma solitude et oublier mes problèmes.

Moi — Bonjour, c’est une belle journée qui s’annonce
Inconnue — Oui magnifique, c’est vous qui venez de vous installer dans l’ancienne ferme des O….. ?
Moi — Oui, Je me présente Paul M…
Inconnue — Marie P…. vous vivez seul ?

Je lui fais un résumé des événements qui m’ont conduit ici. Elle me dit qu’elle aussi est séparée, elle vit ici depuis quelques mois avec sa fille. Rapidement la conversation s’oriente sur les problèmes relationnels, la mésentente sexuelle dans nos couples respectifs. Elle me demande mes préférences. Je décide d’être direct et provoquant.

Moi — Les jeux de domination soumission et le SM m’attirent, je n’ai jamais pratiqué. Dans un premier temps j’aimerais avoir le rôle de soumis. Mais je n’ai pas encore rencontré la femme qui me fera vivre mes phantasmes.
Marie — J’ai déjà pratiqué ces jeux. Si vous êtes d’accord, je peux être la femme qui vous fera découvrir la soumission. Jusqu’où êtes-vous prêt à aller ?
Moi — Je ne sais pas, c’est vous qui décidez. Pour la première séance, je suis votre esclave sexuel.
Marie — Chez vous il y a la grange le long du petit chemin, la porte ferme mal, alors j’y suis déjà entrée. Excusez-moi mais je ne savais pas que c’était occupé. C’est grand et il y a presque tout ce qu’il me faut. Aujourd’hui c’est samedi, nous avons deux jours devant nous. Tu m’attends à quatorze heures, nu, devant la porte du petit chemin.

La grange est une construction ancienne en bois et torchis, l’intérieur est séparé en trois par deux charpentes posées sur des murets de brique de soixante centimètres de haut. Pour passer d’un côté à l’autre, il faut escalader les murets. Deux porches de quatre mètres de large, face à face servaient aux attelages, à entrer et à sortir sans faire demi tour. La porte donnant sur le petit chemin ferme mal, je la coince à l’aide d’une caisse. A l’intérieur les anciens propriétaires ont laissé de la paille, des outils, des cordes, des caisses remplies de boulons, de la ferraille rouillée. Je me déshabille, enlève la caisse qui coince la porte. Un courant d’air, les deux vantaux s’ouvrent. J’en coince un mais pour le second cela n’est pas possible : il faut que Marie puisse entrer. Je suis inquiet, je ne sais pas dans quoi je me suis lancé. Je n’ai pas le loisir d’hésiter plus longtemps car elle entre, un sac à la main. Je ne l’avais pas encore bien vue : elle est belle, plus ou moins quarante ans, un short très court, un haut qui laisse voir son nombril.

Marie — C’est bien, tu es nu devant la porte ouverte (elle ouvre le deuxième vantail), tu as obéi, c’est un bon départ, on va bien s’amuser. Tu te mets à genoux et tu fais serment d’obéir sans discuter.

Je m’agenouille, le sexe en érection, Marie soulève mes couilles avec le pied

Moi — Je promets de faire tout ce qu’il vous plaira sans discuter.
Marie — Trouve quelque chose à mettre autour de tes couilles, je veux pouvoir y suspendre des poids.

J’enjambe le muret. Parvenu au fond de la grange, je fouille dans la ferraille et finis par trouver un U en fer rouillé qui se ferme avec une plaque, sur laquelle est fixé un crochet. Je l’essaye, c’est l’idéal : mes couilles sont juste assez serrées pour ne pas pouvoir s’échapper. Je reviens vers Marie, qui tire sur le crochet pour s’assurer qu’elle peut y suspendre un poids.

Marie — Il me faut quelque chose pour t’attacher
Moi — Une chaîne ou une corde
Marie — Donne une chaîne

Je retourne dans le fond de la grange, je cherche la chaîne la plus fine mais surtout la plus légère. Marie arrive, désigne la plus grosse, qui pèse trois à quatre kilos

Marie — Tu l’attaches à tes testicules

J’accroche la chaîne au premier maillon, de sorte qu’une partie seulement soit supportée par mes testicules et que le reste traîne par terre. Je n’ose pas lâcher la chaîne, elle me semble lourde. Je m’accroupis pour la lâcher de moins haut. Marie me regarde en riant, je ne suis plus très sûr d’aimer cette situation. Je me relève lentement. Mes testicules descendent de plusieurs centimètres, j’avance. Mes couilles partent vers l’arrière, la chaîne fait beaucoup de bruit en traînant sur les pavés de la grange. Marie me fait arrêter et fixe dans le dernier maillon, une tige d’un mètre de long, elle me demande de la suivre. Je prends la chaîne dans les mains pour soulager mes testicules. Marie s’en aperçoit et me lie les mains dans le dos. La tige au bout de la chaîne traîne sur les pavés, se coince dans les joints et à chaque fois la chaîne tire très fort sur mes couilles. Il faut maintenant que j’enjambe le muret, je passe une jambe, je m’assois… sur mes couilles, je passe la seconde jambe, la chaîne reste en arrière, chaque maillon en passant sur l’angle de la poutre, provoque une traction. La tige se coince, je ne peux plus avancer. Marie ferme la porte et se met nue, s’approche à quelques centimètres devant moi, prend mon sexe, le frotte sur sa fente, se recule et dit :

— Si tu veux entrer en moi, il va falloir la faire passer, cette barre. Tire plus fort, tes couilles peuvent supporter plus, je vais te le prouver lors d’un prochain supplice.

Je tire, je recule dans l’espoir que la barre retombe. Non, elle est bien coincée et tous mes efforts ont pour effet de maltraiter un peu plus mes couilles. Pendant ce temps, Marie à quelques centimètres de moi se caresse, ouvre son sexe, y entre un doigt, deux doigts. Je tire encore une fois sans résultat, elle se retourne, se penche, j’ai vue sur ses fesses, son anus, son sexe, elle se recule jusqu’à placer son anus contre le bout de mon sexe. Je tire sur mes couilles, je réussis à avancer d’un ou deux centimètres.

— Tu n’y arrives pas, je vais me faire plaisir seule.

Elle prend dans son sac un vibro-masseur en forme de sexe, s’allonge dans la paille, écarte les jambes et se fait jouir en face de moi. Les mains liées, j’ai le sexe prêt à exploser et je ne peux que regarder. Marie se rhabille, ouvre les deux battants de la porte. Je me retrouve vulnérable, nu, le sexe en érection et les couilles distendues, face à la porte grande ouverte.

Marie — Tu n’a pas réussi de te dégager seul. Je vais le faire mais pour te punir d’avoir été incapable de me faire jouir, je vais te piétiner le sexe et interdiction d’éjaculer !

Elle décroche la chaîne, me fait poser le sexe sur la caisse en face de la porte. Elle me comprime longuement les couilles et le sexe avec son pied nu. La tension accumulée et la pression sur mon sexe me provoquent une éjaculation abondante.

— Tu mérites une punition, tu as osé salir mon pied. Va me couper une baguette dans les buissons au bout du chemin. Elle accroche la chaîne à mes testicules, me détache les mains. Je prends un couteau à moitié rouillé. Un regard à droite puis à gauche et je sors. La tige en bout de chaîne se prend dans l’herbe et les irrégularités du chemin. Cela me freine et me fait mal. J’arrive près des buissons, je me baisse et coupe une branche, longue et fine. Avec un couteau qui coupe mal, cela me prend plusieurs minutes. Je retourne vers la grange, la chaîne tire sur mes couilles. Marie me force à rester à l’entrée. Elle me fait mettre à genou, le visage sur le sol et me donne dix coups de baguette sur les fesses.

Marie — Ce n’est que le début de ta punition. Maintenant tu passes cette corde dans la poulie fixée à la poutre, là-haut !

Je vais chercher une échelle, passe une longue corde dans la poulie et je tends les deux bouts à Marie. Elle me lie les mains à un bout et tire sur l’autre bout, qu’elle attache à une poutre. Mes pieds ne touchent plus terre. Elle retire la chaîne de mes testicules et la remplace par une corde, sur laquelle elle attache un vieux seau en métal, qu’elle place à dix centimètres du sol. Mes chevilles sont liées de façon à écarter mes jambes et à me placer face à la porte.

Marie — Je vais prendre mon temps et attendre que le seau ne balance plus entre chaque objet que je vais y mettre. Je commence par ce petit marteau.

Elle lance le seau, fouille dans la ferrailles pendant que mes couilles s’allongent et balancent, entraînées par le seau. Elle revient avec une grosse clé à molette. Elle relance le seau. Il s’est de nouveau stabilisé, un poids de bascule est ajouté. Mes couilles s’allongent, le seau balance, Marie est au fond de la grange à la recherche de poids. A ce moment une jeune femme apparaît, face à la porte grande ouverte. Elle entre, elle a peine vingt ans. Marie revient avec plusieurs poids.

Marie — Emilie te voilà enfin !
Emilie — Je ne trouvais pas le chemin

Marie laisse tomber un poids dans le seau, mes couilles font amortisseurs. Emilie lance le seau très fort, il râcle le sol. Marie lance un poids dans le seau en mouvement. Il s’immobilise enfin, il est posé sur le sol. J’ai les testicules qui pendent, exposé devant la porte grande ouverte.

Marie — Je te présente ma fille, elle a dix-neuf ans, elle veut depuis longtemps voir un homme se faire dominer. Cela tombe bien, je t’ai trouvé, et aujourd’hui elle est libre !

Marie détache le seau et, se tournant vers Emilie :

— Tu lui fais ce que tu veux ! Il va aimer ce qu’une fille jeune comme toi, va l’obliger à faire, tu peux tout oser !

Emilie — Il va falloir que je trouve autre chose que lui martyriser les couilles, elles ont eu leur compte. Qu’est ce qui peut humilier très fort un homme ?
Marie — Se faire enculer par une femme.

Elles me détachent, Emilie me fait mettre à quatre pattes, écarte mes jambes, m’oblige à poser la tête sur le sol. J’ai le cul en l’air, le sexe et l’anus exposés devant deux femmes habillées et une porte grande ouverte. Emilie prend un tournevis, m’enfonce le manche dans l’anus avec difficulté. C’est douloureux pour moi car le manche et sec et rugueux.

Marie — Si tu lubrifies, ça entrera plus facilement. Prends dans mon sac un tube de vaseline, il y a aussi des godes de différentes tailles.

Emilie me lubrifie l’anus, entre deux doigts, fait des mouvements circulaires, ressort ses doigts, remet de la vaseline, entre un doigt de chaque main, écarte mon cul. Elle juge que je suis prêt, prend un manche de pelle, met de la vaseline dessus, reste debout et commence à enfoncer. C’est gros mais la vaseline aide à la pénétration. Debout à un mètre cinquante de moi, Emilie entre et sort le manche, fait des mouvements circulaires, enfonce de plus en plus, encouragée par sa mère.

Marie — Maintenant qu’il a le cul dilaté, tu peux entrer plus gros.

Emilie cherche dans la grange, elle revient avec plusieurs tournevis, en enfonce un, puis un second Si j’en juge par la sensation, on en est au même diamètre qu’avec le manche. Elle fait levier en écartant les deux tournevis et entre un troisième facilement.

Marie — Je vais t’aider, (Marie prend le bout des tournevis et les écarte) mets le entre les autres !

C’est ainsi que je me retrouve avec quatre manches de tournevis dans le cul, j’ai la sensation de sentir un courant d’air entrer en moi. Je suis humilié, j’ai mal mais j’aime être le jouet de deux femmes habillées.

Marie — Pour être sûres que tu ne bouges pas, on va te lier les mains aux chevilles et te mettre un bandeau sur les yeux pour augmenter ton excitation. On te quitte une demie heure, tu as intérêt à ne pas perdre tes tournevis !
Emilie — Je lui mets un poids aux couilles et l’humiliation sera complète !

Je suis seul, immobilisé dans le noir, le cul en l’air avec quatre tournevis dans l’anus, un poids aux couilles. Le temps semble interminable, j’ai des crampes, le cul et les couilles distendus me font mal. Un quart d’heure, une heure plus tard, je ne sais pas, j’entends des bruits de pas, on m’enlève les tournevis, un objet s’enfonce, mon anus se distend et se resserre légèrement, comme pour retenir l’objet en moi. J’ai la sensation qu’il y a du monde autour de moi, en tous cas plus de deux personnes. J’essaye de voir sous le bandeau. A ce moment-là, on me met une cagoule avec seulement une ouverture pour le nez et la bouche. On me détache, je me retrouve debout les mains liées dans le dos. Je suis exposé nu, en érection, un poids suspendu aux couilles, le cul ouvert, devant trois, cinq, dix inconnus ? Mystère, je ne le saurai jamais. Quelqu’un tire sur la corde accrochée à mes testicules, on m’entraîne je ne sais où. Je marche hésitant. Quelques secousses sur mes couilles me font comprendre que je dois marcher plus vite. Je suis à l’extérieur, mais où ? Sur le chemin, dans la cour, dans le jardin ? Une main me masturbe, le poids suspendu à mes couilles balance dans tous les sens. Impossible de me contrôler, j’éjacule. On me détache les mains, plus aucun bruit, je suis seul. J’enlève la cagoule, je suis au milieu du chemin, à une centaine de mètres de la grange. Je rentre rapidement, sans même retirer le poids de mes couilles. A l’entrée, posés sur une caisse, des menottes et un papier, je lis :

Demain à quatorze heures, je veux te retrouver sur le chemin, au même endroit, dans la même tenue. J’ai mis des menottes pour que tu puisses te lier les mains seul.

Je libère mes testicules, retire le gode de mon cul, il est gros, en forme de cône, avec un rétrécissement pour qu’il ne sorte pas seul. Je n’ai pensé à mes problèmes à aucun moment de la journée, j’ai aimé les humiliations plus que les tortures. J’ai particulièrement aimé être exposé un poids aux couilles les yeux bandés. Malgré ma réticence à m’exposer au milieu du chemin, demain je serai au rendez-vous.

Probus

A suivre

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6 réponses à Ma première soumission par Probus

  1. Baruchel dit :

    Dommage que ça devienne rapidement n’importe quoi

  2. probus dit :

    C’est moi qui ai écrit cette histoires, la moindre des choses, aurait été de le préciser

    • Eddy dit :

      Et bien voilà qui est fait ! Contrairement à certains sites, nous ne pratiquons pas le vol d’histoires, vu la taille de notre base de récits, nous n’avons vraiment pas besoin de faire ça ! Lorsque nous recevons des histoires par mail il nous est difficile de savoir si l’expéditeur en est réellement l’auteur. Certains n’ont en effet aucun scrupule à s’approprier les histoires des autres. Il est bien évident que lorsque nous nous trouvons dans cette situation, c’est l’auteur véritable qui décidera du sort du texte : modification du nom d’auteur ou retrait pur et simple.

  3. mendritzki dit :

    Ayant toujours été d’un naturel docile et réservé depuis que je suis enfant, j’ai toujours aimé me sentir dirigé dans mes actes. Et c’est tout naturellement que mon intérêt pour la Synarchie s’est développé lorsque j’ai découvert ce courant de pensée. Il me semblait tout naturel de montrer obéissance et respect aux femmes. Depuis ce temps, ma recherche s’est tournée vers des femmes dominants, qui aimaient prendre en main les choses et me dicter mes actes et mon comportement, et je suis à la recherche d’un femme qui accepterait de prendre en main ce dressage et cette éducation dans une relation progressive, quotidienne, complice et stricte ; afin que je devienne une bonne femelle docile, sans la moindre hésitation dans mon comportement. Actuellement, je me sens sans repères dans ma vie ;je rêve de trouver enfin cet femme qui saura me prendre en main et me modeler pour devenir sa soubrette, sa chienne, son objet sexuel ou sa chose selon son bon vouloir. Je suis donc prête à vous obéir via internet pour essayer de vous convaincre de ma soumission, si vous m’en jugez digne. Et plus par la suite si vous le souhaitez. Je vous prie humblement d’accepter la demande d’une pauvre mâle ,, qui est sien désireuse de vous honorer et de faire au mieux pour vous servir. Maîtresse

  4. Pas sage dit :

    J’offre mon corps et mon âme… qui a envie de réaliser cela (et la suite) avec moi ?

  5. Dudule dit :

    Jamais sans mon vaccin anti-tétanique ! 😉

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