Des cerises sur la plage (Maud la prof – 1) par Bernard_le_photographe

Une grande ville de la côte fin avril vers 17 heures, en voiture, je
ralentis, puis m’arrête pour laisser traverser une belle femme blonde en
tailleur blanc cassé. La jupe est sage juste au-dessus du genou, mais
serrée, jolies jambes, petits talons… Je décide de vite me garer pour la
rattraper et aller au devant d’elle pour bien la regarder et je ne suis pas
déçu car elle a un joli visage et une poitrine généreuse… On se croise puis
je la rattrape :
– Madame, excusez-moi…
Elle se retourne.
– Je viens de vous croiser, n’ayez pas peur, je suis photographe amateur et
je cherche une silhouette comme la votre…
– Ah bon ? Et quel genre de photos ?
– Mais comme vous êtes là, par exemple, vous avez une belle allure, mais
vous êtes peut-être pressée ?
– Oh, j’ai un train dans un quart d’heure, j’ai un peu de temps !
Très sympa, elle accepte donc la discussion, elle prend ce train chaque soir
pendant une heure pour aller à l’autre bout du département, non loin de chez
moi (je ne cite pas les villes).
Elle est prof et c’est sa dernière année dans cette ville. Elle accepte le
principe de faire quelques photos pour me faire plaisir, je reviendrais
l’attendre un midi à son lycée. Nous étions arrivés au pied d’un escalier
montant vers la gare, on se sépare, je la regarde monter en matant ses
jambes, le balancement de ses hanches… Elle se retourne et me fait un petit
sourire en disparaissant.

Je la trouvais très bien, sexy, et déjà me faisais du cinéma… Une semaine
plus tard je vins à son lycée. Je la vis sortir avec deux collèges, mais
lorsqu’elle me vit, elle traversa la rue abandonnant les deux gars, me
disant que c’était gentil d’être venu… On discuta cinq minutes. Je savais
qu’elle ne mangeait pas le midi mais je lui proposais d’aller au bord de la
mer pour grignoter les premières cerises que je venais d’acheter… Elle
accepta tout de suite et quelques minutes plus tard, nous étions au bord de
l’eau. Il faisait très doux et même chaud une fois assis sur une rabanne, on
fit mieux connaissance en mangeant les cerises, il n’y avait personne sur
cette petite plage et c’est elle-même qui me dit :
– Je suppose que vous avez emmené votre appareil ?
– Bien sûr, je vais le prendre dans la voiture !
Je revins très vite pour la prendre à l’improviste. Elle était en robe
légère, je devinais un soutien-gorge blanc et après quelques photos sages et
portraits, elle accepta de me le montrer… Elle minauda un peu mais je la
voyais heureuse de faire ça… Je la complimentais sur ces volumes encore
cachés par une fine dentelle.
– J’adore la poitrine d’une femme, rien n’est plus beau que ça et je suppose
que la votre est très belle.
– Mon mari la trouve belle…
Je tire alors doucement sur une des bretelles… Elle me regarde avec un
sourire ambigu et sans rien dire, je tire la bretelle vers le bas. Lentement
mais sûrement le sein gauche se dénude, bien rond, blanc, l’aréole, puis
d’un coup le téton apparaît petit mais raide… Elle me défiait un peu, je
souris en disant que c’était très joli… je fis une ou deux vues, puis je
voulus voir l’autre et elle jeta un regard inquiet aux alentours avant de
tout dégrafer. C’est beau à voir, je la complimentais avant de faire
quelques vues..
– Mon dieu, si mes élèves savaient que leur prof se met à poil pour faire
des photos !
On rigole, elle fouille dans son sac et en sort un maillot deux pièces… elle
met hélas vite le haut. Je me mets torse nu, tandis que debout, je la vois
glisser ses mains sous la robe et tirer sa culotte qui apparaît assortie au
soutien, puis elle met le bas de son maillot et enlève la robe… Belle
apparition dont je fais aussi quelques vues.
– Je vous laisse faire, mais je veux absolument voir vos photos, vous n’avez
peut-être pas de pellicule, on ne sait pas !
Je la rassure :
– L’appareil est chargé et je vous promets de vous les montrer.
Elle dit :
– En plus, c’est la premières fois que je fais ça, je me demande pourquoi
j’ai accepté d’ailleurs, mais bon, c’est fait !
Puis on s’allonge, savourant le doux soleil en parlant. Je me sens très à
l’aise avec elle qui plaisante, parle de son boulot, elle a des jeunes assez
bien dans l’ensemble…
– Et il y en a peut-être qui vous plaisent plus que d’autres, des
« chouchous » ?
– Oui, bien sûr, mais on ne peut pas le laisser voir, et il y en a deux ou
trois qui me draguent un peu…
– Sûr, si j’avais eu une prof comme vous, j’aurais essayé, vous êtes sexy en
plus !
– Vous trouvez ? Et pourquoi ?
– Oui, je trouve car vous êtes bien habillée, l’autre jour ce petit
tailleur, c’était sexy et « classe » en même temps !
– Je ne me voyais pas sous cet angle, vous pensez qu’ils fantasment sur moi
?
– C’est certain, en tous cas moi je l’aurais fait !
Elle me regarde, un sourire spécial aux lèvres, mais ne dit rien pendant
quelques temps… le bruit des vaguelettes agrémente ces instants
délicieusement… mais l’heure tourne, on parle des photos, d’un
rendez-vous. Je lui dis que je viens peu dans ce secteur, elle propose plus
proche de nos domiciles, mercredi suivant, puisqu’elle ne travaille pas,
vers 15 heures… J’étais ravi d’autant que je la vois enlever le bas de son
maillot. Je prends sa culotte, la regarde :
– Elle est très jolie, j’adore les sous-vêtements, c’est plus sexy que le nu
!
Je la lui tends, elle l’enfile de dos et exprès ou pas sa robe est
retroussée jusqu’à la taille :
– Oh ! Il y a aussi de belles fesses à voir, bien blanches !
– Un peu grosses, non ?
– Pas du tout, j’adore les rondeurs là où il les faut !
On quitte la plage et je la raccompagne mais juste avant de sortir, elle se
penche vers mon oreille, je pensais à une bise… elle me chuchote :
– Tout à l’heure, j’ai eu envie de faire l’amour avec vous…
Très surpris, je la remerciais :
– Il fallait me le dire !
– Ca ne ce fait pas, monsieur à mon âge, une prof, tout de même !
Elle rit de bon cœur en sortant de la voiture, puis se penche par la fenêtre
!
– Peut-être mercredi, ça dépend de vous, Monsieur…
Et elle va vite vers le lycée.

J’étais très heureux de la voir aussi décontractée, sachant ce qu’elle veut,
aussi coquine, et le mercredi fut long à arriver.
Elle fut à l’heure pile au rendez-vous sur un parking de grande surface.
Elle monta dans ma voiture vêtue du tailleur du premier jour.
– Puisque vous me trouvez sexy, avec, je l’ai remis !
Je la remerciais, surtout qu’en s’asseyant, la jupe était à mi-cuisse…
elle tira dessus, je l’en empêchais.
Avant de démarrer, elle voulut voir les photos…
– Mon Dieu, je suis folle de faire ça ! Qu’est ce que vous en faites après ?
– Je les garde, je fais des albums, c’est mon plaisir, mais vous les trouver
bien ?
– Oh, oui ! Je les trouve bien et je me trouve bien aussi pour mon âge.
Je ne lui ai pas demandé, mais tout juste la quarantaine sans doute.
– Je n’ai pas mon appareil aujourd’hui mais on en fera d’autres !
Elle donna son accord, et on démarra en discutant de tout et de rien pour
aboutir à une carrière désaffectée très tranquille. Je m’arrêtais en plein
milieu sous un arbre. On se regarde, on se sourit.
– J’aimerais bien reprendre la conversation échangée avant de se séparer,
vous voulez ?
Elle :
– Vous savez, si je suis là, c’est que je suis d’accord !
J’approche une main de sa joue, la caresse, puis derrière son cou, nos
visages se rapprochent, les yeux dans les yeux et nos lèvres se touchent.
Délicatement d’abord comme pour retarder cet instant magique, puis
passionnément et longtemps.
Je ne sais plus qui a caressé l’autre le premier. Sa main sur ma cuisse puis
la bosse sous la braguette, moi sentant sa peau nue sous sa veste que
j’ouvris pour constater qu’elle n’avait que son soutien-gorge !
Presque sans rien dire, je descendais ces deux bretelles jusqu’à laisser
jaillir les tétons dressés… elle tira ma tête :
– Suce-les-moi, j’aime ça !
Puis elle se tourna pour me donner l’un ou l’autre à téter. Je sentais sa
main effectuer des pressions sur ma braguette.
– Hum ! Il y a longtemps que je n’ai pas flirté dans une voiture, c’est bon,
ça me rajeunit.
Je voulut en sortir, elle avait peur qu’on nous voit, on allongea son siège,
je lui dégrafais le soutien, elle s’allongea en cachant ses seins dans les
mains les yeux fermés, tandis que j’ôtais pantalon et chemise. Puis je
caressais ses genoux et les trois-quarts de ses cuisses découvertes. Elle
entrouvrit les genoux et je sentis un fin tissu que je regardais : Une
culotte noire comme le soutien-gorge. Elle poussa un petit soupir quand je
posais ma main carrément sur l’entre cuisse et elle se caressait les seins.
Je la laissais faire en embrassant son visage
– Tu aimes te caresser ?
Elle fit oui de la tête, je la laissais encore faire, puis je pris sa main
droite et la posais sur sa culotte. Elle eut une hésitation, mais ce fut
juste pour ôter sa jupe et elle remit sa main où je l’avais posé. Je lui
suçais les seins, l’embrassais partout. Son autre main caressa mon slip puis
passa dessous et étreignit mon sexe. Après quelques va-et-vient d’un coup
elle me dit :
– Viens ! J’ai envie de toi ! Viens vite !
On enleva mon slip. Je vis sa fente pour la première fois, très rose sous un
fin duvet blond et comme dans un rêve elle écarta les cuisses très
largement, ses pieds sous le plafond et elle se masturba en me disant de
venir vite sur elle !

Je passais par dehors, m’allongeai sur elle qui frotta mon sexe sur le sien
et je fus en elle tout de suite, un régal, elle me pressait contre elle
arrivant à bouger son bassin.
– Viens, viens ! J’ai envie, viens en moi ! Vas-y !
Je ne résistais pas du tout et me vidais en elle qui criait son plaisir.

Remis de cette émotion on se « sépare » et elle me met la main sur sa chatte
comme pour retenir son sperme et s’explique :
– J’adore le garder en moi !
Je m’essuie avec un kleenex, lui en donnant un, elle l’enfonce dans son sexe
!!!!
Et je l’entends dire :
– Et bien voilà, j’ai trompé mon mari et toi ta femme, J’ai un amant, ça ne
m’était pas arrivée depuis un moment, si toutefois tu veux bien continuer à
me voir ?
Et comment que je voulais continuer ! J’étais assis à côté d’elle sur le
bord du siège :
– Ton mari, ça ne risque rien ?
– Oh ! Il est trop occupé pour s’intéresser à moi, on n’en parle pas,
embrasse-moi plutôt !
Je ne me fais pas prier, mais bientôt je me redresse et sors de la voiture
en lui écartant les cuisses
– Ça ferait une belle photo comme tu es, ouverte, obscène presque !
– Oui, tu me prendras plein de photos cochonnes, je m’en fous si ça te
plait, Bernard !
Je la fais sortir de la voiture
– J’étais tellement pressée, je ne t’ai même pas fait une fellation alors
que j’adore ça !
Elle se rassied et me lèche le gland avant de me prendre délicatement dans
sa bouche.
– Je te ferais une photo comme ça aussi !
Je me régalais rien que d’y penser en savourant sa sucette ! Elle faisait ça
très bien, parfois en me regardant dans les yeux et je la calmais un peu car
ça montait !
– J’ai envie de te sucer la minette, aussi !

Elle s’essuya en enlevant le kleenex
– Vas-y, je te l’offre, fais-moi du bien !
Apparemment je lui fis du bien si j’en crois ses gémissements. Sa chatte
était d’un joli rose vif avec un beau clitoris très sensible et sa
jouissance fut aussi belle que la première. Elle sortit de la voiture car il
faisait chaud.

– Tu n’as pas honte, on pourrait te voir ?
– Je m’en fous, je suis bien, j’ai bien joui !
Elle esquisse comme une danse puis revient m’enlacer. On s’embrasse, puis je
la fais pivoter, son dos contre mon torse, lui pelote un sein d’une main,
l’autre sur sa chatte et je lui dis à l’oreille que j’ai envie d’elle.
– Dis-le-moi encore !
– J’ai envie de toi !

Je la pousse vers le capot, où elle se penche… je lui caresse les cuisses,
le cul, lui embrasse, lui mord. J’écarte ses fesses et lui lèche la fente,
elle émet de petits gémissements. Elle m’excite beaucoup par sa « facilité »
et elle se laisse aller sans retenue, tout lui plait !
Je me plaque à elle, promène mon sexe sur ses fesses, puis entre ses cuisses
qu’elle ouvre. Je sens la chaleur de son vagin et j’y pénètre sans aucune
résistance, presque d’un coup. Elle pousse comme un gros soupir, je la vois
encore se redresser un peu et se pousser sur moi. Je la laisse alors faire,
je ne bouge plus et c’est elle-même qui amènera son orgasme et le mien ! Je
me vide à nouveau en elle, puis prend vite un kleenex que je lui enfonce !
Elle se relève, me serre dans ses bras et m’embrasse en me remerciant en
plus ! Ce premier contact charnel étant une réussite, on décide de se revoir
et en fonction de son emploi du temps, cela se fera à proximité de son
lycée.

Mais ce jour là, il ne fait pas beau, il a plu et elle a peu de temps,
malgré tout on part en voiture dans les collines où l’on trouve un joli
coin. Elle est en robe à fleur, assez ample, on parle un petit peu, puis on
flirte, j’avais cru remarquer qu’elle n’avait pas de soutien-gorge et je le
confirme en la touchant :
– Tu n’as pas fait la classe comme ça ?
– Je voudrais bien, mais non, je l’ai enlevé juste avant de venir !
Je la caresse, on s’embrasse :
– Je parie que tu n’as pas de culotte non plus !
– Ben… regarde !
Je soulève sa robe, elle a le ventre nue !
– Coquine ! Tu n’as pas honte ?
– Pas du tout, comme ça tu peux me caresser plus facilement !
Aussitôt vu le peu de temps, je plonge entre ses cuisses pour la sucer ! Pas
très confortable… on s’installe mieux, elle a un pied au plafond, le gauche
sur le tableau de bord et elle jouit en quelques minutes.
Puis on se met derrière sur la banquette où elle se mettra sur moi. Un régal
de la voir faire, je suis à sa merci et me laisse faire, c’est trop bon,
mais trop court. On s’envoie en l’air en quelques minutes, mais vu la
position elle ne gardera rien dedans.
On se séparera, mais elle a envie de faire pipi et je lui propose malgré le
mauvais temps de faire quelques vue de ça, elle accepte !
Elle se rhabille avant, puis accroupie, culotte baissée, je ferais quelques
vues un peu sous-exposées, mais très excitantes quand même !

Voilà le début de cette belle histoire… à suivre évidemment !

Bernard

Première publication sur Vassilia, le 07/10/2001
Ce récit a eu l’honneur d’obtenir le 2ème prix du concours des histoires
érotiques décerné par Revebebe pour Octobre 2001

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4 réponses à Des cerises sur la plage (Maud la prof – 1) par Bernard_le_photographe

  1. Vernay dit :

    Charmant

  2. Mady dit :

    très doux, très tendre.

  3. dunlop dit :

    Le critère uro est abusif mais le récit est intéressant car il sent le vécu

  4. Christophe dit :

    Le récit est agréable, mais pour la partie uro est bâclée de chez bâclée !

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