Comment Yann est devenue femme 2 – première expérience féminisée par betwo21

Comment Yann est devenue femme
2 – première expérience féminisée
par betwo21

Quand j’arrivais chez Patrick ses parents étaient déjà partis. Il habitait une maison assez grande, isolée de quelques centaines de mètres d’un hameau ancien. J’eus l’impression d’entrer dans un havre de calme moi qui habitait un lotissement ouvrier de petites maisons le plus souvent mitoyennes.

A peine entrés, Pat m’enveloppa de ses bras puissants et nous échangeâmes un baiser long et profond comme jamais encore : il n’ y avait personne pour nous surprendre, nous étions libres de nous laisser aller aux plus grands épanchements et, cette fois-ci le baiser ne fut pas suivi, malgré mon envie, d’une fellation car Pat m’entraîna rapidement vers sa chambre, tout en me présentant les pièces principales du rez-de-chaussée, et en ouvrant la porte me dit : « surprise ! ».

Sur son lit il y avait, étalés, des vêtements féminins et je compris que c’était pour moi : une combinaison avec dentelles sur le devant et en bas, une culotte à fleurs, une porte jarretelle, une paire de bas, un chemisier et une jupe.

« Ma chérie, c’est le premier acte de ta transformation en femme, ce sont des vêtements que ma sœur ne porte plus et que j’ai mis de côté pour toi, déshabille-toi vite, nous allons être un couple pendant tout le week-end »

Et, ce disant, il sortit aussi de son armoire une chemise de nuit et un déshabillé presque tout en dentelle. Le changement fut rapide que je fis tout seul sous son regard, il ne voulait pas m’aider, il aurait plus de plaisir à me déshabiller le moment venu. Cinq minutes plus tard, j’étais en fille et le fait de revêtir des vêtements soyeux, sauf la culotte en coton, m’avait rendu tout tremblant d’émotion : était-il possible que cela soit moi ? Patrick me déposa un baiser sur les lèvres et m’entraîna dans la salle de bain :

« Il ne reste plus qu’un peu de maquillage à ma petite femme, je vais t’aider ». Il en fallut peu : du rouge aux lèvres, difficile à dessiner, on riait en le passant et l’enlevant avant d’arriver à quelque chose qui fût acceptable et un peu d’eye-liner ; puis Pat me coiffa différemment en essayant de donner une allure plus féminine à ma chevelure qui pourtant me tombait sur les épaules : une pince ici et là pour donner un autre relief et relever légèrement sur la droite du front. Enfin il me fit mettre des boucles d’oreilles simples, à pinces, et me para le décolleté avec un collier de deux rangs de fausses perles : dans la glace je vis réellement une jolie jeune fille, à la poitrine un peu plate quand même et je souris de contentement à mon amant.

« Attends, me dit-il, tes jolies mains de fille méritent bien un peu de vernis à ongle ! ».

Il était à peine trois heures et demie et j’étais chez mon amoureux, transformé en jeune fille. Avant de descendre je mis des escarpins presque sans talons puis nous fîmes, enlacés, le tour de la maison : salle à manger, salon, cuisine, bureau… A la fin de la visite, Pat me dit :

« Maintenant nous allons faire les extérieurs, tu vas voir comme les fleurs vont t’accueillir ! ».

J’hésitais à sortir mais Pat me persuada vite : personne ne pouvait nous voir et vraiment le temps était trop beau pour que l’on ne fasse pas une petite promenade d’amoureux.

Je pris un grand plaisir à marcher, dans mes vêtements féminins, nonchalamment dans les allées du parc, au bras de mon homme qui m’offrit quelques fleurs et m’en piqua une dans les cheveux :

« Tu es belle, ma chérie, je te voudrais toujours comme cela… un jour peut-être ! ».
« Mon Pat adoré, je te remercie pour cette expérience, je me sens bien comme une femme à tes côtés, je t’aime, je t’aime… ».

Un quart d’heure plus tard nous étions assis l’un près de l’autre dans le canapé du salon : Patrick avait préparé des boissons rafraîchissantes – il savait bien que je ne buvais jamais d’alcool et lui-même avait décidé de s’en abstenir quand nous étions ensemble – que nous dégustâmes en devisant gaiement sur nos impératifs de travail. A la fin de ma dernière gorgée, je lui dis :

« C’est dans ta chambre que nous allons travailler ? ».
« Oui, bien sûr mon amour », et il me prit dans ses bras et me porta jusqu’en ce lieu qu’il nous pressait d’investir :

Au lieu de me déposer sur une chaise il me remit debout et nous nous enlaçâmes dans un nouveau baiser plein et fougueux pendant lequel ses mains ne cessèrent de me caresser en me procurant de nouvelles sensations du fait des vêtements que je portais. Puis sa main droite descendit lentement jusqu’au bas de ma jupe, la releva pour remonter le long de ma jambe gainée de nylon et entreprit de me palper les fesses, d’abord à travers la culotte puis sous celle-ci que sa main gauche fit rapidement descendre : je me retrouvai ainsi le derrière nu et je sus que le grand moment approchait. Un doigt vint vite me caresser l’anus et Pat me dit :

« Ma chérie, je vais doucement t’élargir la rosette pour que tu puisses me recevoir ; ne t’inquiète pas, j’ai de la vaseline et cela ira bien… ».
« Mon bel amour, je n’attends plus que cela, je te fais confiance, ton sexe est tellement dur que je dois te satisfaire, même si j’ai un peu peur… ».

Alors Patrick commença à me déshabiller en partie : la jupe, le chemisier et la combinaison, me laissant la porte jarretelle et les bas. Je n’eus pas de mal à le mettre tout nu pour sentir tout son corps contre moi, enfin. Pat s’empara du tube de vaseline sur son bureau et en mit une bonne dose sur mon anus puis me massa en introduisant avec son doigt du lubrifiant : peu à peu mon petit trou vierge s’habitua à cette présence qui grandit avec un deuxième doigt et cela coulissait de mieux en mieux commençant à me procurer des sensations plus proches du plaisir que de la douleur.

« Pat, mon homme chéri, je suis prête, prends-moi comme ta femme, j’ai envie de te sentir en moi… ».

Pat me fit m’allonger sur le dos, j’écartai les jambes et quand son corps pesa sur le mien je n’attendais plus que l’acte si désiré par lui, je sentis rapidement le bout de sa verge toucher ma rosette, puis lentement mon amant s’enfonça en moi, non sans une nette douleur quand son gland passa mon muscle anal. Mais la sensation de cette verge dans mon rectum fit taire la douleur et Pat commença à bouger, lentement puis de plus en vite, et nos lèvres scellées ne pouvaient laisser échapper que des gémissements de plaisir. Plus son sexe me frottait la paroi rectale plus mon plaisir grandissait et plus mes gloussements se faisaient forts ; à un moment je ne sus plus où j’étais et je lui dis, relâchant le baiser :

« Oui mon amour, vas-y, c’est merveilleux, merveilleux… » Suivi de quelques onomatopées diverses quand je sentis que sa verge se contractait et que ses bras m’enserraient plus fort en même temps qu’il accéléra le rythme et que tout d’un coup des spasmes violents secouèrent son phallus qui éjecta en moi je ne sais combien de fois son sperme enfin libéré.

Moi j’étais en extase, tout mon bas ventre secoué aussi de façon désordonnée et je sentis qu’un peu de liquide s’échappait de ma petite verge toute rabougrie sous le poids de mon homme : je venais sans doute de jouir presqu’en même temps que lui.

Pat resta sur moi plusieurs minutes, haletant, son souffle balayant mon front et sa verge restant dure en moi après son éjaculation, j’avais envie qu’il reste longtemps mais, après qu’il eut repris haleine, son sexe perdit peu à peu de sa vigueur et c’est moi qui l’expulsai, j’en étais toute malheureuse. Mon « oh » de regret lui suggéra une réponse douce :

« C’est normal ma chérie, ton trou d’amour n’est pas encore habitué, tu verras que bientôt tu me garderas plus longtemps et moi aussi je serai prêt à rester en toi ; là je suis un peu fatigué. Je suis heureux que tu aies joui, j’avais peur de n’être qu’un abominable mâle… ».
« Non, mon amour, ta petite femme, comme tu dis, a très apprécié et jamais je n’aurais imaginé que je puisse jouir avec un sexe dans mon rectum ; si tu savais comme je t’aime… ».

Patrick se tourna sur le dos et je portai la main à son sexe ; je m’aperçus alors qu’il était gluant de son sperme mais aussi un peu maculé de mon intérieur anal, je le lui dis et lui suggérai qu’il faudrait peut-être que je me lave avant de faire l’amour. Pat me répondit que ce n’était pas grave mais qu’en effet un lavement pourrait éviter ce genre d’inconvénient, mais comment s’y prendre ? Dans l’instant, Pat alla se laver le sexe. Quand il revint, un peu pour me faire pardonner et beaucoup parce j’en avais très envie, je pris sa verge en main, la masturbai un peu puis la pris en bouche. Il ne fallut pas longtemps pour que son érection se manifestât fortement. Patrick, qui était resté passif me demanda si j’avais de nouveau envie de faire l’amour : je n’attendais que cela. Alors il se tourna vers moi, commença à me caresser les jambes, sa bouche vint me mordiller le sein gauche –sensation nouvelle – puis le droit pendant qu’un doigt recommençait à me caresser l’anus.

Ces préliminaires à un nouveau coït durèrent tant que j’étais très en transe quand arriva la vaseline : déjà un peu de liquide quasi transparent s’échappait de ma petite verge pourtant toujours flasque. Pat me dit : « ton petit sexe réagit comme celui d’une femme, tu mouilles avant que je te pénètre ». Puis tout s’enchaîna très vite et Pat me fit une deuxième fois l’amour dans la même position : j’étais une femme sous lui, je subissais la loi de son membre viril qui me fit jouir de nouveau de manière intense jusqu’à une nouvelle éjaculation aussi puissante et longue que la première. Cette fois-ci je resserrai mes muscles autour de sa verge pour l’empêcher de sortir et ce n’est que quand son poids sur mon corps frêle me parut gênant que je me relâchai et qu’il ressortit de ce qui me servait de sexe féminin.

« Je suis heureuse Pat, je voudrais que l’on soit mari et femme pour toujours ; tu m’as fait découvrir que je suis vraiment faite pour toi en totalité ».
« Ma Yannou chérie, je te jure qu’un jour nous serons ce que tu souhaites, tu es belle et j’aime ton corps déjà tel qu’il est, ta peau est douce et comme une fille sans poils… ».

Notre après-midi amoureuse s’arrêta là : après être passée aux toilettes, je me rhabillai de la combinaison, du chemisier et de la jupe, sans oublier la culotte – qui allait s’imbiber un peu de l’écoulement du sperme de mon amant – et nous nous mîmes à travailler. On ne peut pas dire que ce furent des révisions efficaces tant nous nous tournions souvent l’un vers l’autre pour nous regarder, nous sourire et nous embrasser. A sept heures nous cessions nos « études » et sortîmes bras dessus bras dessous comme deux vieux amants prendre l’air avant de préparer le dîner : c’est moi qui, après avoir eu tous les renseignements, mis en place le repas dont les différents éléments étaient préparés et nous attendaient au frigidaire. Mais je pris un soin particulier à présenter les plats et le couvert et lançai un joyeux « à table ! » pour appeler mon homme qui traînait devant la télévision.

J’accomplissais là un rituel de la relation homme femme dont nous avions alors tous les deux le modèle dans la vie.

Dire le début et la fin de nuit que nous avons passée serait de trop : après le repas j’étais allée me changer et me revêtir de la parure chemise de nuit et déshabillé qu’il avait en fait acheté pour moi et qui furent mes premiers vêtements féminins personnels ; nous avions regardé un divertissement à la télé puis il m’avait de nouveau portée dans sa chambre, cette fois-ci directement sur le lit. Nous eûmes en tout trois coïts dont celui du matin où je constatais que la virilité de mon amant était très imposante ; pour ma part j’avais à chaque fois évacué une petite quantité de ce qui était en fait simplement du liquide séminal.

Dans la matinée, alors que nous avions repris nos révisions, je m’aperçus et le dis à Patrick que je me pensais au féminin. Il me répondit qu’il l’avait remarqué, que j’utilisais ce genre pour les adjectifs, par exemple je suis contente ou je suis heureuse et qu’il faudrait bien finir ce week-end car le lendemain je n’aurais plus le droit de me féminiser en paroles.

« Mais comment je vais faire, mon chéri, cela me vient si naturellement ? » ;
« Il faudra que tu prennes sur toi et je t’aiderai, même si je préfère t’entendre parler comme une fille, la fille adorable que tu es ».

Je gardais cette réflexion pour moi, mais c’est à ce moment que je me suis dit que ma masculinité devait être une erreur, ce que mon pseudo sexe montrait, et qu’il faudrait peut-être un jour corriger cela.

Pendant nos instants de répit sexuels et intellectuels, Pat et moi avons beaucoup discuté, ce qui nous permit de mieux encore nous comprendre parce que nous nous sommes dits sans pudeur aucune tout ce qui avait fait jusque-là nos vies. J’appris, entre autres, que sa sœur jumelle avait brillamment accompli sa scolarité primaire au point de prendre un an d’avance et elle était donc déjà en fin de première année de prépa aux grandes écoles, que ses parents, dont je savais vaguement qu’ils étaient dans la médecine avaient en fait des métiers très spécialisés et très bien rétribués : sa mère, Françoise, était gynécologue réputée sur la place de Vannes et son père, Pierre, chirurgien spécialisé dans le traitement des atteintes à l’abdomen qui partait plusieurs fois par an en séminaire ou congrès internationaux. Cela expliquait en partie leur libéralisme avec leurs enfants et la qualité de leur habitat : ils travaillaient beaucoup et cette maison dans ce parc bien clos était pour eux une nécessité. Patrick comprit vite que mes parents n’avaient pas les mêmes préoccupations : un poste d’agent de maîtrise dans une entreprise de fabrication de bateau et du secrétariat, pour ma mère, ne nous assuraient pas une vie très à l’aise et que seul le fait d’être boursier me permettait d’envisager des études supérieures après mon bac, d’autant que mes deux frères et ma sœur, plus jeunes de quatre, six et huit ans, pèseraient aussi lourd dans le budget familial pour les études. Pat ne fut que plus tendre, s’il était possible, avec moi et me dit qu’il ferait tout pour que je sois heureuse et à l’abri des problèmes financiers.

Avant de rentrer chez moi, après une très longue étreinte qui se termina par une fellation – mon anus ne semblait pas vouloir supporter une nouvelle pénétration – je quittai à regret mes vêtements féminins, mon léger maquillage et repris ma personnalité d’ado efféminé. Mais l’essentiel était acquis, me dit Patrick : nous étions faits l’un pour l’autre et rien ne pourrait nous séparer.

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2 réponses à Comment Yann est devenue femme 2 – première expérience féminisée par betwo21

  1. Colline 3 dit :

    J aime le texte tres bien écrit.une tres belle histoire merci

  2. samba dit :

    J’adore cette histoire, m’imagine dans les bras de Pat.

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