Clotilde 6 – Les secrets de Gaëlle par Fafalecureuil

Clotilde
6 – Les secrets de Gaëlle
par Fafalecureuil

Gaëlle plaça un bandeau sur mes yeux, je me retrouvais aveugle. J’entendis les pas de ma compagne autour de moi, une porte se ferma quelque part dans la maison. Je ne sais pas combien de minutes elle me laissa là, à attendre que quelque se passe. Soudain, un liquide glacé coula le long de mes fesses, je sursautais. Elle passait un glaçon le long de mon sillon, insistant sur les parties les plus sensibles. Puis mes tétons eurent droit au même traitement, avec pour résultat de saillir à me faire mal.

– Tu es tellement chaude qu’il faut que je te refroidisse un peu ma belle.
– Pitié Gaëlle, fais-moi jouir…
– Quand je le déciderai, Clotilde. En attendant tu dois m’être obéissante, si tu veux être récompensée.
– Bien, j’obéirais.

Et sans un mot, elle enfonça dans mon sexe un petit glaçon, je hurlais.

– Silence, ou je te bâillonne !
– C’est ….
– Douloureux ?
– Non, c’est …. Bon…

Et elle recommença, avec un glaçon plus gros. Je ruisselais de plaisir, la douleur était secondaire. Gaëlle joua ensuite avec les chaînettes, m’arrachant des frissons de douleur et de plaisir mélangés. Après cela, elle me fit lécher un plug qu’elle enfonça dans mon anus, après m’avoir doigtée. Je sentais la jouissance monter et elle le comprit, elle me laissa à nouveau seule pendant de longs instants.

Elle s’approcha de moi, et sans un mot un petit coup de cravache s’abattit sur mon sein gauche. Il n’était pas fort mais je sursautais réussissant à me contrôler. Un deuxième, toujours sur mon sein, puis, elle parcourut mon corps entier distribuant de petits coups pas douloureux mais très excitants. Les coups se rapprochèrent de mon sexe, m’arrachant des cris de satisfaction. Gaëlle tira sur les pinces, écartelant mes lèvres. Puis je sentis qu’elle serra autour de mes cuisses deux lanières auxquelles elle attacha les chaînettes. Elle reprit sa cravache et commença par des caresses. Un premier petit coup, un deuxième.

– Je continue ?
– Ouii……

Un troisième, un quatrième, un cinquième.

– Plus fort ?
– Ouiii, plus fort…

Je me cambrais, offrant mon intimité à Gaëlle, le coup claqua. En même temps le plug se mit à vibrer, un nouveau coup, je brulais. Elle me laissa à nouveau seule de longues minutes. Soudain, elle me dit qu’elle allait bientôt enlever les pinces, elle appuya son sexe contre ma bouche, je sentis un petit bout de tissu. Je tirais dessus et le prenais dans ma bouche. Gaëlle me recommanda de bien garder mon bâillon dans ma bouche et ôta les lanières de mes cuisses, puis, les pinces une à une. La douleur fut cuisante, des larmes perlèrent mais je ne criais pas sentant ma jouissance monter. La douleur était beaucoup plus forte que lorsqu’elle avait mis les pinces. Puis, le cuir de la cravache se plaqua sur ma vulve se frottant doucement, puis de plus en plus fort à mon sexe et entre mes lèvres. La sensation de douleur s’effaça. Je me cambrais, le premier coup me fit jouir instantanément. Je m’écroulais sur la table alors que la langue de Gaëlle se plaqua entre mes cuisses. Je tremblais de tous mes membres pendant que Gaëlle réussissait à refaire monter ma jouissance. Elle se glissa sous moi et nous nous lançâmes dans un 69 fantastique. Je n’avais que ma langue mais Gaëlle n’hésitait pas à utiliser ses doigts. Elle ressortit le plug de mon petit trou pour y enfoncer deux doigts et me fouiller. Je sentais que je partais déjà et lorsqu’elle enfonça un gode au fond de mon sexe je me cambrais de plaisir.

Avant que je n’arrive à la faire jouir, elle se faufila sous moi et me détacha. J’étais toute ankylosée et elle me massa quelques minutes. Ensuite elle ôta mon bandeau et m’embrassa longuement. Je vis la caméra sur le trépied qui avait filmé nos ébats.

– Tu as filmé ?
– Bien sûr, je voulais que tu voies ça de tes propres yeux. Jamais je n’aurai pensé que tu pouvais être aussi perverse.
– Et moi je n’aurai jamais cru que tu sois aussi experte.
– Ecoute Clo, il faut que je t’avoue quelque chose.
– Quoi ? Tu regrettes ?
– Non, pas du tout, je veux juste que tu me laisse parler jusqu’au bout.
– Ok, pas de problème, mais on peut peut-être s’asseoir ?
– Oui, viens, je nous ai fait couler un bain.

Une fois dans la baignoire, Gaëlle se lança,

– Voilà, en fait, tu trouvais que je suis experte avant, mais ce n’est pas pour rien.
– Comment ?
– Tu sais, j’avais pas mal de soucis dans mon boulot et quand j’ai démissionné,
– Tu as démissionné ?
– Euh, oui, depuis plusieurs mois en fait.
– Mais tu ne m’en as pas parlé…
– Non, je n’osais pas en fait.
– Pourquoi, j’aurai pu t’aider.
– Pas pour ce que j’avais en tête…
– …
– Je ne vais pas tourner autour du pot, Clotilde, ça fait plusieurs mois que je gagne ma vie en tant qu’escort-girl. Attention, je ne fais pas du tout le trottoir, en fait je sélectionne mes clients et je passe du temps avec eux.
– …
– Je t’écœure ? C’est ça ?
– Non, je suis…
– Déçue ?
– Non, je, j’ai… je ne me suis doutée de rien, en fait, tu es souvent avec tes euh clients ?
– C’est variable, parfois en journée, parfois en soirée, rarement plus longtemps, pour certains je passe parfois la nuit entière ou même un week-end avec eux.
– Et ça ne te … dégoûte pas ?
– Non, en fait, pour être tout à fait honnête, ce n’est pas par nécessité que j’ai commencé, plutôt par hasard.
– Raconte-moi…
– Ok, j’ai eu un souci de voiture et je cherchais une voiture d’occasion pour remplacer l’ancienne. Je suis allée chez un concessionnaire et un des commerciaux m’a proposé une voiture. Nous avons essayé la voiture et je remarquais qu’il n’arrêtait pas de regarder mon décolleté. Lorsqu’il m’a annoncé le prix, ça ne collait pas trop avec mon budget et il m’a proposé de faire un geste en reprenant mon ancienne voiture au-dessus de sa valeur.
– En échange de ?
– Non, pas du tout, je pense que c’était par sympathie. Ensuite, je suis allée à la banque pour avoir un prêt et c’est là que j’ai eu un souci. Sans travail, pas de prêt, même si j’avais pas mal d’argent de côté. Là encore, le banquier me connaissant, il m’a accordé un prêt pour un montant un peu inférieur. Il me manquait encore 1500 euros et en rentrant chez moi je traversais le quartier de la gare, c’est là qu’en voyant les prostituées, je me dis qu’elles pouvaient gagner pas mal d’argent en peut de temps. Bizarrement, tout ça m’a excitée.
– Et tu t’es lancée ?
– Non, je me suis dit que je ne pouvais pas faire ça sans risquer de me faire attraper par un mac. Donc, le soir même, histoire de voir si j’avais des chances, je suis allée en boîte avec la ferme intention de savoir si je pouvais tenter le coup. Je me suis habillée en conséquence, bas noirs, mini-jupe, talons hauts, petit top moulant et surtout, plusieurs préservatifs. Ca n’a pas duré longtemps, après quelques instants, un gars m’a abordée pour me payer un verre. J’ai accepté, nous avons discuté un peu, nous sommes allés danser. A ce moment je pouvais faire marche arrière, mais l’idée de faire ça avec un presque inconnu et pour de l’argent me titillait. Je lui ai proposé de continuer la soirée dans un endroit plus calme. Il m’a demandé si c’était juste pour boire un verre, je lui ai répondu que ça dépendrait. Nous sommes sortis, nous avons pris sa voiture, à un moment il m’a simplement demandé combien. Là j’étais emmerdée, je n’avais pas pensé à ça, je lui ai proposé 300 euros. Il semblait un peu surpris et m’a demandé si c’était pour une partie de la soirée. Je lui ai répondu que j’avais tout mon temps, ne sachant pas quoi dire d’autre.
– Alors là… tu me scies
– Ensuite, nouvelle connerie, au lieu de l’emmener dans un hôtel, je suis allée chez moi avec lui.
– Pas possible, et si c’était un maniaque ?
– Je sais pas ce qui m’a pris à ce moment, j’avais confiance.
– Et ensuite ?
– Nous sommes arrivés ici, je lui ai servi un verre et il a commencé à me serrer un peu. En même temps il était là pour ça et moi aussi, donc je me suis laissée faire, puis, il m’a déshabillée avec beaucoup de douceur. Je sentais qu’il se contrôlait pour ne pas me sauter dessus. Il s’est levé, je me suis collée à lui et j’ai commencé à le caresser à travers son pantalon, il était déjà très dur et sans hésiter je l’ai déshabillé. Je me suis agenouillée et j’ai pris son sexe en bouche. Je m’en souviendrais toujours, la situation me paraissait totalement normale, et en même temps très excitante. Je me disais, tu es une pute, tu baises pour du fric et tu aimes ça. Il m’a ensuite demandé de m’allonger sur le canapé et il m’a longuement caressé, ses doigts, sa langue ont parcouru chaque centimètre de mon corps, de temps à autres, je le masturbais pour qu’il reste bien dur. Après un moment il m’a demandé de lui mettre un préservatif et ensuite il m’a pénétrée. Il m’a prise à quatre pattes, en levrette, en missionnaire, dans tous les sens. Il m’a fait jouir alors que je ne m’attendais pas à avoir du plaisir… Je décidais de le faire jouir à son tour, j’enlevais le préservatif et lui dit de venir entre mes seins. Il ne s’est pas fait prier et je l’ai laissé éjaculer sur ma poitrine. Après une pause, il m’a demandé si c’était la première fois que je faisais ça, jouant le tout pour le tout je lui avouais que c’était le cas. Il ne m’a pas posé de question, il m’a juste proposé de continuer encore. J’ai recommencé à l’exciter, je me suis masturbée devant lui pendant quelques minutes, puis sans hésiter, je me remis à le lécher et il a rapidement repris de la vigueur. De son côté, il m’a demandé si j’acceptais la sodomie et il m’a garanti qu’il ferait attention.

Comme j’avais déjà essayé à plusieurs reprises, j’acceptais. Il m’a doigtée et léché avant de me prendre. J’avoue qu’il s’y est bien pris et que je lui ai demandé de continuer à m’enculer de plus en plus fort. Il a commencé à me masturber en même temps et à nouveau il m’a fait jouir. Pour le remercier, je l’ai léché et sucé en lui caressant les couilles jusqu’à ce qu’il jouisse dans ma bouche. Pour nous remettre je lui ai servi un verre, ensuite il s’est levé, m’a demandé où était la salle de bains et il est ressorti quelques minutes plus tard, rhabillé et m’a tendu 400€ en me disant que j’avais vraiment mérité un petit extra. Il m’a demandé mon numéro au cas où, je le lui ai donné. Il m’a ensuite demandé s’il pouvait donner ce numéro à d’autres personnes et je lui ai dit qu’il pouvait le faire si ça restait confidentiel.

– Eh ben toi, tu ne manques pas de toupet.
– Attends la suite. Le lendemain, je suis retournée à la même boîte, à nouveau, après quelques instants, un gars m’a payé un verre, et rebelote. Bon il faut dire qu’il n’était pas aussi distingué que celui de la veille, pour lui ma jouissance était secondaire. Il était tellement pressé qu’il m’a sautée dans sa voiture. Ce coup ci je me sentais vraiment prise pour une pute. Mais ça ne m’a pas arrêtée, je me suis simplement dit que je devrais mieux choisir mes futurs clients. Comme ça n’avait duré que quelques minutes, je retournais à la boîte. Par contre même après deux verres, personne n’est venu. Je suis ressortie pour rentrer chez moi. Sur le parking, deux gars se sont approchés de moi en me demandant si je savais où on pouvait s’amuser dans le coin. C’était deux jeunes qui louchaient sur mon décolleté, ils avaient l’air sympa. Je leur ai demandé ce à quoi ils pensaient, ils ont rougi. Je leur ai dit que pour quelques centaines d’euros, on pouvait passer un bout de la soirée ensemble. Ils m’ont demandé si on pouvait passer à un distribanque, les pauvres ! N’empêche qu’on s’est retrouvés dans un petit hôtel. Je leur ai dit de s’asseoir sur le lit, j’ai enlevé le haut et ils ont commencé à embrasser mes seins. Je n’avais jamais eu 2 partenaires en même temps et il faut dire que c’était sympa de se faire lécher les tétons en même temps ! Ensuite je leur ai demandé de se désaper, ils m’ont sorti deux belle queues déjà prêtes à exploser, je les ai caressés, branlés, léchés l’un après l’autre. Ils étaient vraiment limites, alors je leur ai enfilé un préservatif et je les ai fait venir dans ma chatte à tour de rôle. Ensuite ils ont pris des initiatives, ils m’ont mise à quatre pattes et m’ont prise en sandwich en alternance. Franchement ils se sont donnés du mal pour se contrôler et ils ont réussi à me faire jouir. Je me voyais dans un petit miroir, avec mes bas et mes talons, une queue dans la chatte et une dans la bouche. Quand j’ai senti qu’ils allaient exploser, je me suis mise entre eux et je les ai branlés pour qu’ils viennent sur mon visage. J’ai pris une sacrée douche à ce moment, ils ont sorti des quantités de sperme que je n’imaginais pas. Après ça, ils étaient un peu gênés de ne plus bander et nous nous sommes quittés après que j’aie pris une vraie douche.

– Quelle soirée !
– Attends la suite, si ça se trouve tu ne me parleras plus quand j’aurai fini.
– Non, pas du tout…
– Donc, après ça, il me manquait toujours 400€ et j’ai repris la route. Sur l’autoroute, j’avais besoin d’aller aux toilettes, je me suis arrêtée à une station pour me soulager. En sortant de la station, un routier m’a abordée en me demandant combien je prenais pour une pipe. Je lui ai demandé de répéter, il l’a fait en me précisant que si j’étais fringuée comme une pute, c’est que j’étais certainement une pute. Il m’a scotchée sur place, le salaud. Je lui ai dit sans réfléchir 100€. Il m’a répondu que j’étais chère et que pour ce prix je devais assurer. Je l’ai suivi à côté de son camion, il m’a fait monter dans la cabine. D’emblée il s’est désapé devant moi, je l’ai pris dans ma bouche avec la ferme intention d’en finir au plus vite. Je l’ai sucé comme une dingue, mais rien, il avait beau bander comme un âne, rien à faire, il ne jouissait pas. J’ai commencé à lui lécher les couilles, puis à les gober. Là je sentais qu’il venait doucement, ensuite j’ai sorti mes seins et j’ai titillé son gland avec mes tétons ce qui m’a excitée à mon tour. Pour ne pas m’exciter encore plus, je l’ai fini entre mes seins, à chaque va et vient je le prenais quelques seconde en bouche, il n’a plus résisté longtemps. Dès qu’il a joui, il m’a demandé de le lécher pour l’essuyer. Il m’a complimentée et ma lâché 100€ en me disant que ses collègues seraient certainement intéressés aussi.

– Quelle salope, ne me dis pas que tu…
– Si bien sûr, en plus ce salaud m’avait excitée. Alors je suis allée au camion suivant, le chauffeur était en train de mater un DVD. Je lui ai demandé s’il voulait de la compagnie, il m’a fait un sourire et m’a montré son alliance. Je continuais mon chemin vers un autre camion. Un gros gars m’a fait monter et m’a tendu 200 €, pour ça je l’ai sucé, il m’a prise par devant et s’il avait tenu le coup il m’aurait surement enculée. Après ça j’ai encore taillé 3 pipes et je suis rentrée chez moi.
– Tu en parles comme si, enfin, comme si…
– C’est devenu mon quotidien, Clo, tu peux le dire, je suis une pute.
– Non, ce n’est pas ce que je voulais dire…
– Mais c’est pourtant la vérité, et en fait ça ne me dérange pas. Aujourd’hui, je sélectionne mes clients, je passe de bons moment dans 3/4 des cas et je me fais un max de fric en faisant un truc qui me plait : baiser comme une chienne. Tu sais, la vidéo de mon anniversaire, Sophie n’a rien dit, mais je me suis fait payer !
– Sophie aussi, elle ?
– Très rarement, elle c’est pas son truc, je lui avais demandé et elle n’avait pas refusé pour me faire plaisir.
– Gaëlle,
– Oui,
– Tu sais, tout ça…
– Ca te dégoûte ?
– Non au contraire,
– …
– Ca m’excite, je crois que j’ai ressenti la même chose quand Nadia m’a offerte à plusieurs types.
– Elle a fait ça avec ton accord j’espère !
– Oui, bien sûr, au contraire, je me suis sentie tellement salope, fière d’assumer mes fantasmes. C’était un déclic pour moi, j’ai compris en un instant que pour avoir du plaisir je pouvais faire tomber des tabous.
– Et quels tabous veux-tu encore faire tomber ?
– Là tout de suite ?
– Par exemple…

Elle sortit du bain et passa un peignoir, je fis de même et m’emmitouflais dans une grande serviette. Sans un mot elle se coiffa et se maquilla, je fis la même chose. Elle se tourna vers moi

– Suis-moi, si tu es d’accord

Elle alla dans sa chambre et commença à s’habiller, porte jarretelles, bas résille, mini jupe échancrée, top moulant et haut talons.

– Habille-toi, Clo,

Je m’habillais à mon tour, dim-up noirs, mini jupe fendue, chemisier décolleté et haut talons à bride. Gaëlle me demanda de me tourner devant elle, je lui montrais mon corps, me penchant pour dévoiler mon cul.

– J’aimerai beaucoup te présenter à un de mes clients, tu veux que je l’appelle ?
– Oui… Si tu veux je ferai ça pour toi.
– Je sais qu’il adorerait faire des trucs à trois
– Vas-y, je suis prête.

Elle passa à la cuisine, après 10 minutes, elle me dit de descendre dans la rue en me précisant que je savais quoi faire, que je n’avais qu’à faire confiance à mon instant. J’obéissais, ne pensant même pas à la suite des choses. Je n’avais aucune crainte, je lui faisais confiance totalement. Il était déjà très tard et la rue était très calme. Je marchais sur le trottoir, de long en large, je ne pensais même pas à mes voisins qui pourraient voir ce spectacle. Après quelques instants, une voiture s’arrêta. La vitre se baissa, il y avait deux types dans la voiture, ce n’était pas prévu.

– C’est toi dont Gaëlle nous a parlé ?
– Euh, oui,
– On est là pour ça, alors je vais être direct, combien ? Les rousses m’excitent beaucoup.
– 300.
– Va pour moi, tu t’appelles comment ?
– Euh (vite, trouver un nom bidon) Pamela ! (bien bidon ça…)

Il se gara et sortit accompagné de son copain. Je poussais la porte et il me suivit, il m’arrêta et commença à caresser mon cul. Je ne dis pas un mot, son copain s’approcha et me caressa les seins.

– Parfait, j’aime beaucoup les petites putes dociles.
– Vous ne serez pas déçus, je vous le promets.

Une fois montés, ils s’installèrent confortablement je m’assis entre eux. Gaëlle apporta des boissons, et s’assit en face de nous. Le premier glissa aussitôt sa main entre mes cuisses. Je les écartais docilement, il enfonça un doigt dans ma chatte. Je gémis aussitôt, je n’en pouvais déjà plus, l’excitation de m’offrir à ces inconnus me faisaient mouiller comme une dingue.

– Tu mouilles déjà, tu es une vraie cochonne toi…
– Continue, branle-moi.
– Sans problème, ma belle. Mais tu pourrais me rendre la pareille.

Je glissais la main vers sa braguette tendue et libérais un sexe long et fin. Mais le masturber ne me suffisait pas, je voulais le goûter. Je me baissais et le pris dans ma bouche sans hésiter. A cet instant son copain souleva ma petit jupe et commença à caresser mon sillon et appuya un doigt contre ma rosette, j’écartais les jambes pour lui signifier que j’aimais ça. Je le pompais de plus belle, sans aucune gêne, j’assumais avec plaisir que je baisais pour de l’argent.

– Tu suces bien, lèche bien aussi, plus bas ! Oui comme ça.

Je m’appliquais pendant que son copain me doigtait alternativement la chatte ou le cul. Mon chemisier et ma jupe volèrent rapidement, ils me mirent à genoux pour que je les suce l’un après l’autre. Je profitais de deux belles queues pour moi toute seule, Gaëlle nous regardait toujours, une main glissée entre ses cuisses ouvertes.

La suite fut plus mouvementée, ils me pilonnèrent à tour de rôle pendant un bon moment avant de me sodomiser. Il faut dire que j’étais bien préparée et j’ai ressenti bien plus de plaisir que de douleur. En levrette, ils tournaient à nouveau, soit dans ma bouche, soit dans mon cul. J’embouchais les queues souillées sans aucune gêne, ce qui les excitait beaucoup. Ils vantaient mes talents de suceuse, complimentaient la fermeté de mon petit cul. Gaëlle avait disparu entre temps, mais j’étais bien occupée par mes deux fornicateurs. Quelques minutes plus tard, alors que je m’enculais sur le premier, le deuxième investit ma chatte. Je criais de plaisir, les encourageant à me défoncer comme une pute. Ce que j’étais…

Ils se retirèrent et après avoir enlevé leurs préservatifs, ils éjaculèrent sur mon visage. Je n’avais pas joui et j’étais un peu frustrée de voir que finalement ils se rhabillaient déjà. Sans un mot, ils déposèrent des billets sur la table et sortirent.

Je me retrouvais seule, ne sachant même pas où Gaëlle était. Je gagnais son lit et ivre de fatigue, je m’écroulais dessus, la main entre les cuisses.

Le lendemain matin, je me réveillais dans les bras de Gaëlle. Sensation plutôt agréable. Mais je devais aller travailler et à regret, j’allais prendre une douche. Dans la salle de bains, je trouvais un de mes sacs de voyage, plein d’affaires. Elle était allée chercher des vêtements pour moi ? Un peu surprise, je me lavais et choisit rapidement une petite robe légère. J’enfilais des mules à talon et après avoir déposé un baiser sur la nuque de Gaëlle et un petit mot, je me sauvais.

C’est dans le bus que je réalisais que j’étais nue sous ma robe, mais ça ne me gênait absolument pas. Une fois au travail, je remarquais le regard de plusieurs collègues, hommes ou femmes… J’avais beaucoup de travail et j’avais du mal à me concentrer. Un coup de fil de M. X qu’on va appeler Serge, c’est plus simple qui me demandait de le rejoindre aux archives. Dans l’ascenseur, je croisais Vera, une collègue anglaise en formation chez nous. Elle ne se gêna pas pour me mater tout en discutant. Elle était plutôt mignonne dans son genre, la trentaine, sympathique, drôle, pas du tout l’image qu’on a d’une anglaise.

– Tu es très jolie dans ton robe
– Merci Vera, on dit dans TA robe
– Oui, c’est féminine la robe.
– Absolument.
– Il fait tellement chaude ici que j’aurai du faire comme toi
– Enlève ton pull, tu seras mieux,
– Pourquoi pas, tu as raison

Et elle enleva son pull, elle portait en dessous un petit top moulant un peu transparent qui laissait deviner la pointe de ses seins. Ils semblaient très tendus…

– Ou c’est pas discrète comme tenue, non ?
– Euh,
– J’ai une meilleure solutione, attends,

Elle bloqua la porte de l’ascenseur, enleva son top, et le plus naturellement du monde, les seins à l’air le temps de plier son top et de le mettre dans son sac, elle remit son pull. Elle relança l’ascenseur.

– C’est meilleur comme ça,
– Mieux,
– Tu as raison, tu sais, tu pourrais me donner des cours de langue ?
– Euh, oui, pourquoi pas ?
– On peut manger ensemble à midi, si tu voulais.
– Si tu veux, ok
– Alors, à midi… à l’accueil ?
– Ok, à tout à l’heure.

Elle sortit de l’ascenseur, deux étages plus hauts, je fis de même. Les archives étaient sous les toits, la chaleur était étouffante. Je retrouvais Serge après avoir fermé la porte et tourné la clé. Sans un mot je laissais tomber ma robe sur le sol et me dirigeais vers lui. Il m’embrassa et me prit dans ses bras me soulevant du sol. Il me renversa sur un bureau et commença à me faire une minette fantastique. Ses doigts et sa langue se baladaient sur tout mon corps, j’étais parfaitement bien. Lorsqu’il me pénétra, je me redressais pour l’enlacer. Avec Serge, je faisais l’amour, avec les autres je baisais. Et je prenais un plaisir différent mais aussi fort. Il me fit jouir longuement et me garda dans ses bras le temps que je retrouve un peu mes esprits. Il me passa ma robe et m’habilla avec douceur. Il me sourit et nous sortîmes des archives. Dans l’ascenseur, il me proposa de nous voir une fois un soir et m’invita chez lui.

Je retournais à mon bureau, un peu décoiffée et plus sereine, je travaillais jusqu’à midi. Vera passa la tête par la porte.

– Tu m’avais oubliée ?
– Oh, excuse moi, je suis désolée, on y va ?
– Oui, par contre, j’aimerai bien aller acheter quelque chose de plus léger, ça te déranges pas ?
– Non pas du tout.

En chemin, elle me raconta qu’elle était contente d’être en France, qu’elle trouvait que les anglais étaient un peu coincés parfois. Elle m’entraîna dans un magasin et choisit plusieurs tenues.

– Tu m’aides à essayer ?

Je me demandais comment ça finirait…

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Une réponse à Clotilde 6 – Les secrets de Gaëlle par Fafalecureuil

  1. Claire dit :

    Eh oui, mesdemoiselles les féministes, vous qui avez incroyable prétention de parler au nom de toutes les femmes de sujets que vous ne maîtrisez pas, sachez que le fantasme féminin de la prostitution, ça existe, ne vous ne déplaise, et ce récit en est une belle illustration

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