Chez Maud, suivi du petit vibro (Maud la prof – 5) par Bernard_le_photographe

Je vais continuer mon récit  » Maud  » avec plusieurs petites anecdotes car on
s’est vu souvent et tout n’est pas resté dans ma mémoire.

Maud n’eut pas un poste dans sa ville tout de suite, ce qui était pratique
pour la discrétion, moins pour moi, j’avais de la famille à côté de son
établissement. Elle trouvait très piquant de me donner rendez-vous à
l’arrière de son lycée lorsqu’elle avait une heure de libre. Court mais très
intense. Je l’attendais, la voyais arriver en courant, toujours très classe
en tailleur souvent et talons, on a dû faire ça trois ou quatre fois en
tout.
Elle montait vite dans la voiture, toujours ravie d’oublier les soucis, les
collègues et déjà excitée de prendre une heure de plaisir au lieu de
discuter boulot devant un café. Son petit secret, quoi !

La première fois, un peu après la rentrée, on part vite vers un coin de
colline que j’avais repéré avant à dix minutes de là, et tout de suite on
flirte, elle adorait ça, moi aussi, longs baisers pendant lesquels nos mains
s’activaient… Il faisait très bon à 10 h du matin, bientôt le corsage est
déboutonné, je découvre un joli soutien blanc assez transparent et assez fin
pour que ses tétons s’y impriment… Je les mets à l’air, les caresse, les
suce, tandis qu’elle me tripote mon pantalon.

Je me souviens poser ma main sur ses genoux, puis la glisser sous sa jupe et
je suis surpris de sentir des poils. Elle me regarde, me sourit vicieusement
et dit :
– J’ai ma culotte dans mon sac !
– Coquine ! Et tu l’as enlevé quand ?
– Avant de venir, aux toilettes !
Et tout ira très vite, elle sort mon sexe, me masturbe. Puis elle enlève sa
jupe pour ne pas la tacher ou la froisser, écarte les jambes après qu’on ait
allongé le siège et je viens sur elle, puis en elle.

Ce fut court mais très intense, excité par le temps limité peut-être ? On a
joui ensemble et bien sûr, elle enfila très vite sa culotte pour garder ma
semence en elle !

A 11 h 10 elle rejoignit son lycée et ses élèves comme si de rien n’était en
me faisant un sourire malicieux.

On se vit deux ou trois fois puis ce fut l’hiver, mais à plusieurs reprises
elle évoqua la possibilité que je vienne chez elle en l’absence du mari ce
qu me troublait un peu, mais je finis par accepter vers le printemps.

Un mercredi de Mars, je sonnais chez elle, une villa avec un étage. J’avais
pris soin de venir avec un cartable afin de passer pour un collègue en cas
d’intrus quelconque.

Elle vint m’ouvrir en me serrant la main, je la suivis et à peine entré, je
vis que l’intrus en fait était dedans, en la personne d’un petit-neveu
imprévu ! Très gênant mais tant pis. On resta à parler en bas en sa
présence, puis lorsqu’il fut bien tranquille, elle me fit visiter le haut,
un grand séjour, cuisine, coin salon, salle de bain et leur chambre. Elle
regarde en bas si le gamin est sage et elle m’enlace. Elle est en jupe avec
un joli chemisier bleu, je devine son soutien gorge, on s’embrasse sans
bruit, on se caresse. Je lui dis que j’ai mon appareil dans le cartable et
que je la trouve très sexy. Elle accepte de poser quelques vues, me montre
son collant (hélas), son soutien-gorge… mais sans arrêt elle va voir le
petit. Puis elle enlève le collant en minaudant, garde la culotte, et je la
caresse. J’étais un peu gêné quand même, mais bon, le désir monte quand même
car je vois qu’elle apprécie et elle me dit que ça l’excite de recevoir un
amant chez elle et qu’elle ne l’a jamais fait.

Mais prudents, on reste habillés quoique après avoir jeté un regard en bas,
elle revient vers moi en sortant ses seins des bonnets pour une ou deux
photos, puis s’installe dans un fauteuil en retroussant sa jupe, cuisses
ouvertes… elle me tire par la main, je suis à genoux sur le tapis devant
sa culotte… on se regarde et tout doucement sa main droite vient glisser
sous sa culotte.

Je regarde ses yeux bleus, sa main au ralenti écarte la culotte et me révèle
sa petite toison blonde… je la laisse faire… Elle passe un doigt le long
de sa fente déjà humide, puis elle se soulève et ôte la culotte. Je la
prends, la respire et puis je viens embrasser cette belle minette. Elle
sursaute au premier contact et je retrouve le goût de son nectar intime…
Tout cela en silence, en douceur, c’est délicieux. Elle respire fort, se
place carrément au bord du fauteuil pour être plus ouverte, et je peux alors
lui soulever les cuisses pour qu’elles soient sur les accoudoirs… Elle est
obscène.

J’ai le souvenir de ses yeux pétillants et d’un geste de fausse pudeur quand
elle se voila le visage, mes lèvres se posèrent sur sa fente, ma langue la
parcourut, et elle me pressa la tête d’une main, très fort. On fit tout ça
en silence bien sûr, guettant les bruits provenant du bas, elle avait la
minette bouillante et très vite, elle eut envie de jouir. Autant j’aime
prendre mon temps, autant les actes rapides comme ici me plaisent, c’est
curieux. Maud referma les cuisses sous la jouissance, je m’étouffais, mais
quel plaisir de sentir son corps frissonner !

Je l’écartais d’elle qui se relevait, ajustait ses vêtements pour aller voir
le gamin qui geignait un peu. Elle descendit, je la suivis en parlant comme
si de rien n’était et je fis bien car pour s’occuper de lui, elle
s’accroupit et même si je venais de la voir ouverte, je me délectais de la
vision de ses cuisses sous sa jupe surtout sans culotte ! On est voyeur ou
on ne l’est pas, non ?

L’ayant calmé on remonte toujours en parlant et dès qu’on fut hors de sa
vue, elle me prend par la main, m’attire vers le fauteuil où très vite je la
vois relever sa jupe, se placer à genoux sur ce fauteuil en murmurant :
– J’ai envie, tu m’as mise en appétit !

Comment résister à son joli postérieur impatient ? Je défais vite mon
pantalon et slip, mon sexe est déjà raide d’impatience, je le promène le
long de ses chairs les plus intimes, mais sa main me le prend vivement et le
dirige vers un orifice bien mouillé ! D’elle-même, elle se pousse vers moi
avec un gros soupir. J’adore cet instant ou d’un coup on se sent comme dans
un doux cocon bien chaud ! En même pas une minute, on se mit à jouir
follement secoués de spasmes. J’en garde un souvenir inoubliable.
Et puis hélas, le petit geigna encore ! Vite on se dégage, elle prend sa
culotte, l’enfile, rajuste sa jupe et comme si de rien n’était, elle descend
le voir.
En se séparant devant son portail, elle me dit :
– Tu ne peux pas savoir comme je suis heureuse que tu sois venu sous mon
toit, je n’étais pas sûre que tu accepterais ça !
On se vit peu dans l’hiver, une fois, puis deux encore chez elle avec rien
de spécial à raconter, mais en juin un truc insolite !

A l’époque je me rendais souvent à Nice pour le boulot deux jours et le
soir, je  » traînais  » partout y compris dans quelques sex-shop où j’achetais
pour elle un vibro masseur mais elle ne fut pas la première à s’en servir,
voilà pourquoi :

Le lendemain j’avais un rendez-vous à Saint-Tropez qui était mon premier
lieu de chasse photo favori pour les seins nus sur les plages, plus
Pampelonne, plus les tenues extravagantes. Je vais faire un tour sur la
jetée avec une caméra huit millimètres car assez souvent des filles s’y
baignent ou s’y font bronzer. La chance me sourit quand je vis un jeune
couple dont la fille se mettait à l’eau lorsque j’arrivais. En maillot deux
pièces, je la filme à la sauvette enlevant son haut et se jetant dans l’eau.
Oh, pas un canon, un peu grosse, pas très jolie, mais de jolis seins. Et le
gars lui dit un au revoir. Je ne me gênais plus pour la filmer barbotant à
quelques mètres des rochers elle me vit et se laissa filmer en riant puis
elle sortit de l’eau :
– Ca ne vous gêne pas d’être filmée ?
– Oh, si ça vous plait, allez-y ! Dit-elle avec un petit accent belge.
Elle prend une serviette, s’essuie, on parle un peu, elle semble assez
délurée
– Vous aimez les gros seins, vous hein ? J’ai pas de complexe, je m’en fous
!
– Moi j’adore les gros seins et vous avez ce qu’il faut !
– Et les chattes rasées, vous aimez ça aussi ?
– Oh, oui, j’adore et je n’en ai jamais filmé encore. Vous êtes rasée ?
– Ben oui, j’ai tout enlevé depuis que je suis arrivée, tiens regarde !
D’un coup elle écarte son maillot et je vois sa vulve imberbe !
– Je n’en crois pas mes yeux, c’est mon jour de chance, ma première, merci !
– Oh, de rien, tiens vas-y filme-la !
Comme dans un rêve je la vois descendre son maillot, au risque d’être vue,
mais il n’y avait que quelques personnes à vingt mètres de là, la jetée nous
cachait et quelques blocs de pierre. Je filme tout cela n’en perdant pas une
miette, elle est grosse de partout mais bon, c’est la première de ma vie  »
en vrai  »

Je la fais se tourner, elle s’essuie partout puis elle enfile une culotte
même pas jolie non plus, tout en parlant. J’ai l’idée de lui proposer de
faire des photos, pour cela je dois aller chercher ma voiture, elle accepte
de m’attendre. Je pars vite et reviens dix minutes plus tard, à l’époque on
se garait le long de la jetée. Je vois un petit attroupement, cinq à six
personnes quand je passe en voiture à l’angle du port, je n’en crois pas mes
yeux car c’est elle qui attire l’attention : elle est à genoux en culotte,
les seins nus en train de se laver les cheveux devant un poste d’eau destiné
aux bateaux ! Carrément presque nue sur le port !

Je me gare vite, prend mon appareil et je crois bien avoir fait une diapo de
ça. Je lui dis de se cacher sous sa serviette pour ne pas avoir d’ennuis
avec la police, c’est ce qu’elle fait en allant vers la voiture où elle
s’essuie les cheveux. Puis on part de là, direction Ramatuelle où je connais
une carrière désaffectée, un coin tranquille. Mais on est pris dans la
circulation, on parle sans tabou de sexe évidemment et comme elle n’a rien
sur elle que sa serviette, ses habits étant dans un sac, je lui touche les
seins sous la serviette. Sans gêne aucune elle me dit qu’elle adore qu’on
lui pelote et pose une main sur ma braguette !

On roule au ralenti, on s’arrête, on repart sans arrêt, je lui suce le sein
de mon côté, puis j’ai l’idée (prémédité) de lui parler du vibro.
– Oh, oui, j’adore ça, ça me plait de me branler, t’es un vicieux toi, hein
?

Je lui dis que j’ai acheté ça hier pour une amie, je l’avais mis sur le
siège arrière encore dans sa boite et je le lui montre.
Elle l’ouvre et tout de suite, je la vois écarter sa culotte et se caresser
avec ! Incroyable de voir ça, elle le met en route et commence une
masturbation folle vu la situation. Je me souviens lui avoir allongé le
siège pour éviter d’être trop vue, en fait, elle s’en foutait complètement,
mais allongée, ça me permettait de la peloter partout. Je malaxais ses seins
et elle se mit à jouir avec le vibro enfoncée au maximum (c’était un petit
modèle vibrant)

Elle resta comme étourdie disant que c’était vraiment bon, et après deux
minutes elle recommence ! Il nous restait quelques kilomètres encore à faire
toujours dans les embouteillages. Cette fois je lui touche la fente pendant
qu’elle titille son clito. Et elle se met à jouir à nouveau ! A l’époque
j’avais peu d’expériences et la masturbation féminine me fascinait ! Je
l’encourageais en le lui disant. Réponse :
– Oh, moi, je peux faire ça pendant des heures, je me suis gâtée avec ça, tu
as bien fait de l’acheter pour ta copine !

Et je la vois à nouveau se titiller ! Je lui tire la culotte pour qu’elle
soit mieux, voyant la vibro entrer et sortir de sa fente bien mouillée !
Elle jouira une troisième fois juste avant de sortir de la circulation et
quelques minutes plus tard nous étions dans la carrière.

 Je lui fais tout de suite quelques photos, mais il y a un fort mistral
gênant, poussières etc… On trouve un coin un peu abrité où elle s’allonge
sur une rabanne écartant les cuisses mais elle me dit :
– Je veux bien me branler encore pour tes photos, mais tu ne me baises pas,
hein, tu me le promets ?
– Mais pourquoi ? Quelle différence ?
– Non, j’ai promis à mon copain, c’est tout !

En fait ça ne me dérangeait pas, je  » négociais  » pour qu’elle me branle
aussi, elle fut d’accord. Mais en attendant à nouveau je vois le vibro entre
ses cuisses aller et venir ! Je me déshabille alors, le sexe raide et je me
place au-dessus d’elle debout et je me masturbe en la regardant
– Ça m’excite que tu te branles au-dessus, je te vois bien !

Moi aussi ça m’excite de voir ce qu’elle fait, d’autant qu’elle s’envoie en
l’air une fois de plus ! Après avoir dit combien elle aimait ça elle se
redresse, se met à genoux devant moi, et me branle, je préfère qu’elle le
fasse, et d’un coup je l’entends encore dire avec son petit accent :
– J’ai promis de ne pas être baisée, mais c’est tout !
Sur ce, elle avance sa bouche et me fait une délicieuse fellation qui se
terminera par mon éjaculation sur le sol !

Tout ça, peut-être grâce à Maud, mais je ne lui dirais pas !

(c) Bernard Photographe – Février 2002

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Une réponse à Chez Maud, suivi du petit vibro (Maud la prof – 5) par Bernard_le_photographe

  1. Fanfan dit :

    Bonjour,
    Je lis et relis avec toujours autant de plaisir les textes de Bernard le Photographe. J’adore son style et ses histoires qui me semblent réelles. Dommage qu’il n’y ai plus de nouveaux textes mais merci pour les anciens.

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