Changement de cap 4 – La rentrée par Onclevania

Changement de cap
4 – La Rentrée
par Onclevania

Quelques jours avant la rentrée je repris contact avec la maman de Steven pour savoir si elle souhaitait toujours que je donne du soutien à son fils maintenant qu’il était en terminale. A sa réponse positive je répondis que l’on pourrait au moins assurer le premier trimestre et que l’on ferait le point ensuite mais il serait préférable que Steven vienne chez moi car je pourrais ainsi travailler quand il serait lui à réaliser des exercices. Cela lui convenait ainsi que le jour et l’horaire : le mercredi de 14 à 16 heures à partir de la deuxième semaine de cours.

Il apprit cela assez vite car dans la demi-heure qui suivit je reçus un SMS dans lequel il me disait sa joie de me revoir ; je me gardais bien de lui répondre car je ne souhaitais pas qu’il y eût des traces d’échanges ambigus entre nous et je me dis qu’il faudrait lui en parler et que l’on convienne d’un mode de communication qui ne puisse prêter à confusion.

Le deuxième mercredi arriva vite et je n’avais pas encore réalisé que l’heure dite n’allait pas tarder quand il sonna, en avance. J’essayai de me donner une contenance amicale mais de prof pour l’accueillir : sa vue dans l’embrasure de la porte d’entrée me fit immédiatement abandonner cette attitude. Steven avait profité des vacances pour se laisser pousser les cheveux et j’avais là un visage de jeune fille. Dès la porte refermée il profita de cette sorte de désarroi pour me sauter littéralement au cou et nous embarquer dans un baiser enfiévré ; mes mains sur son dos sentirent les bretelles du soutien gorge qu’il portait. Je compris qu’il avait décidé de forcer les choses et je pris ma décision : puisqu’il n’attendait que cela, ce serait dès ce mercredi que j’en ferai mon giton.

– « Steevie, puisque tu t’es habillée avec des dessous féminins, autant que tu me les montres, ce sera plus clair ! ».

Alors sans hésiter il se défit de son léger blouson, de son polo et de son pantalon : il avait amélioré sa lingerie et paraissait vraiment une ado aguichante.

– « Claude, tu m’aimes comme cela ? Tu ne m’en veux pas ? ».
– « Mais non, petite idiote, viens par ici et tu vas voir comme tu me plais ! »

Disant cela je le pris dans mes bras et le portai directement sur mon lit. Tout en le bécotant je me déshabillai entièrement puis lui demandai s’il était prêt à me recevoir comme il l’avait souhaité un peu plus de deux mois auparavant :

– « Oui, Claude je me suis même préparé pour cela tellement j’étais sûr de toi. »

Alors nous commençâmes une séance d’amour et plus je le caressais plus mon sexe devenait dur, je reprenais mon genre masculin : j’adorais ce jeune corps si lisse, lui mordiller les tétons ce qui la faisait gémir et ses mains m’accrochaient les cheveux ; sa bouche était bien celle d’une fille et maintenant il/elle savait répondre à mon envie de baiser profond ; puis pour nous amener à l’étape suivante je descendis ma bouche vers son pubis glabre et d’un coup la retournai pour pouvoir lui baiser les fesses et très vite mettre ma langue sur son anus : il était légèrement parfumé, Steevie s’était préparée avec raffinement, je remontais le long de sa colonne et posait mon gland sur son petit trou ; je n’allais pas plus loin car je ne voulais pas pour la première fois la prendre en levrette. Sans doute ne s’écoula-t-il pas un quart d’heure avant que je passe à la deuxième partie de nos ébats : je ne lui laissai que son cache verge, saisis le tube de lubrifiant que j’avais déposé sur mon chevet et entamai une lente ronde sur son anus. Steevie commença à gémir quand mon index en força l’entrée et que j’y ajoutai le majeur : il était étroit, je ne voulais pas que mon sexe lui fasse trop mal. Quand je le sentis un peu détendu je lui dis que j’allais le baiser comme il le souhaitait :

– « Tu vas avoir un peu mal ma petite chérie, je ne peux pas faire autrement »

Et je présentai mon gland à la place de mes doigts : le lubrifiant me donna l’impression que la pénétration se ferait assez bien, aussi je poussai d’un coup et Steevie ne put retenir un cri de douleur qui ne m’arrêta pas, je prolongeai ma pénétration jusqu’au bout avant de ne plus bouger et je l’embrassai avec fougue pour lui faire jouer son rôle féminin ; son corps était crispé mais le baiser fit peu à peu son effet et quand je le sentis se détendre légèrement je commençai doucement le coït qu’il attendait. Il ne fallut pas longtemps pour qu’il commence à ressentir quelque chose : du plaisir ? Ses mains qui m’avaient quasiment griffé le dos se firent plus douces. J’avais envie de faire durer ce premier coït mais l’étroitesse de son anus et de son conduit rectal me firent assez rapidement approcher de l’éjaculation : je me retirai et nos bouches se descellèrent :

– « Ça va ma petite chérie ? ».
– « Tu sais, mon amour j’ai eu mal, mais maintenant j’ai envie que tu reviennes vite ! ».
– « Attends un peu Steevie, ce sera plus agréable pour toi et je vais remettre du lubrifiant ».

Ce faisant je lui suçotais les tétons, les mordillais un peu pour lui montrer, et à moi aussi, qu’il était comme une petite femelle ; cela le fit gémir – de plaisir ? – et ses mains dans mes cheveux m’incitaient à poursuivre. Il était très détendu et je me remis sur lui pour le pénétrer une deuxième fois, plus facilement même si un petit cri accompagna le passage de son anus par mon gland ; alors je repris mon coït en accélérant petit à petit jusqu’à ce que je sente monter ma jouissance et je m’enfonçai complètement dans son rectum pour lui balancer mon sperme. Je sentis son corps trembler, il avait joui, semblait-il. Je restais un bon moment sur et dans lui : ma verge comprimée à la base par son anus ne débandait pas.

Mon jeune amant ronronnait sous moi et me supplia de ne pas sortir. J’avais déjà eu l’occasion d’un coït répété avec une femme qui savait s’y prendre, là je n’étais pas sûr ni de le vouloir ni de le pouvoir. Mais son anus juste défloré se mit à trembler et agit sur ma verge comme un stimulateur. Je repris mon coulissage et l’envie d’aboutir remonta très vite alors que Steevie reprenait ses gémissements. Ma jouissance fut plus longue à venir mais je l’inondais une nouvelle fois de ma semence avant de m’écrouler sur lui, littéralement épuisé. Il ne fut pas long à me demander de me retirer : j’étais vraiment trop lourd pour ce corps frêle qui venait de découvrir la sodomie homosexuelle.

Peu après je lui demandai comment il avait trouvé ce premier épisode, sa réponse fut ambigüe :

– « Claude, tu m’as fait mal, je n’ai pas osé te le dire car en même temps j’avais de drôles de sensations, mais ce n’est pas tout à fait cela que j’attendais… », et il se mit à pleurer comme un enfant qui a cassé son jouet préféré.

J’étais encore sous le coup de l’attirance qu’il avait créée aussi je m’efforçais de le consoler :

– « Mais ma petite puce c’était bien ce que tu voulais, dis ! Je suis allé trop vite ? Pourtant tu m’as dit de rester… »
– « Oui mais c’est parce que tu avais du plaisir et que moi j’attendais qu’il arrive… Peut-être que je n’étais pas encore prête pour ça… Dis, Claude, on va réessayer et peut-être que je serai ta petite femme heureuse… »

Je lui répondis que j’étais incapable dans le temps qu’il nous restait de recommencer, sauf à être vraiment brutal pour me forcer la jouissance : il valait mieux que l’on remette cela à sa prochaine venue et que l’on essaierait alors de le faire plus en douceur.

Ses larmes séchèrent sous mes baisers puis nous nous rhabillâmes et, tout en buvant une bière, nous fîmes quelques exos de maths qui justifieraient sa présence et mes appointements.
Q
uand il s’en alla, après un très long baiser à la fois profond et doux, je ne manquais pas de me regarder : que s’était-il passé ? Normalement, en accord avec Maxime, ce contact sexuel devait servir simplement à le contenter, quitte à y mettre des suites, or c’est moi qui en avait retiré le plus grand plaisir et contre toute attente Steven avait été insatisfait. Ce moment allait-il précipiter la fin de cette amourette et nous laisser libres, Maxime et moi ? Allai-je reprendre facilement ma tunique de femelle après ce bel intermède de mâle dominant ? Le lendemain je devais retrouver mon amant, nous en parlerions : peut-être serait-il aussi expert en analyse érotico-sentimentale ?

à suivre

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3 réponses à Changement de cap 4 – La rentrée par Onclevania

  1. sangara dit :

    pas mal dans le genre et même plutôt excitant pourvu que l’on adhère au fantasme

  2. amidou dit :

    Encore des travesti amateur qui se racontent. Pas si mal !

  3. Kiroukou dit :

    Une écriture soignée et passionné fait que ce récit devrait dépasser l’audience des simples amateurs du fantasme évoqué

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