Chanette 0 Chrissy, la rousse par Chanette

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Chanette 0 – Chrissy la rousse

Pour Guillaume

Ce récit pourra surprendre par rapport à ma production habituelle. La raison en est simple, ce texte quoique remanié pour republication est ancien, il était destiné à une revue SM, qui souhaitait des récits très « descriptifs ». Ce récit fut refusé (trop éloigné de la ligne de la revue) et je ne pensais pas l’avoir conservé, je l’ai retrouvé en faisant le ménage dans mes affaires, il avait été écrit à la main. Il serait probablement à réécrire de bout en bout. Je le ferais peut-être un jour, mais n’ai pas le temps actuellement. Alors pourquoi le publier ? Un lecteur m’avait demandé de lui écrire un récit mettant en scène des transsexuelles. J’avais accepté, mais ça va faire six mois… j’ai d’autres textes en cours, je le lui ferais, son récit, mais pour le faire patienter, je lui offre celui-ci.

Chrissy, la rousse

Dans le petit monde du SM, tout le monde connaît Monsieur Henry, il se donne beaucoup de mal pour donner du SM une image différente de celui des clichés trop rabâchés. Bizarrement nous ne nous sommes jamais fréquentés.

Il m’a abordé récemment lors d’une soirée du cercle S.M. Je me rendais à l’époque de temps à autre dans ce genre de truc, ça me permettait de prendre des contacts, de revoir des vieilles connaissances et de prendre des nouvelles du « milieu SM »

– Il faudra un jour, que vous m’expliquiez les raisons de votre attitude envers moi ! Me dit Henry en me croisant.
– Pardon ? Quelle attitude ?
– Vous me détestez paraît-il ? C’est votre droit, mais pourquoi ne pas me dire pourquoi ?
– Mais je ne vous déteste pas, c’est vous qui m’évitez !

Bref chacun croyait que l’autre… il y a des situations parfois comme celle-ci ! Des années de malentendus… Du coup il me demanda s’il pouvait avoir l’honneur d’être mon esclave une heure ou deux ! Je lui répondis que tout l’honneur serait pour moi.

Je l’ai donc dominé dans un très bon esprit, ce mec est un type bien, il m’invita au restaurant le soir-même avec mon compagnon. C’est là qu’il me parla de cette soirée qu’il voulait organiser, il me dit qu’il avait rencontré deux travestis l’un plutôt maso, Chrissy et l’autre plutôt dominatrice, Loraine. Ils ne se connaissaient pas. Il m’expliqua que ma présence donnerait du sel à cette rencontre. J’acceptais, il me communiqua quelques lignes de scénario, tout cela était très soft. Ça collait parfaitement.

Nous étions donc six, Monsieur Henry, Phil mon compagnon, moi-même, les deux trans dont nous avions parlé et un autre homme prénommé Sylvain. Nous décrirons les personnages au fur et à mesure de leur entrée en texte.

Comme me l’avait demandé Henry je n’avais pas fait dans l’extravagance au point de vue toilette, juste une grande robe noire en vinyle et des chaussures assez acrobatiques (il y tenait) Le donjon est assez soft, des chaînes pendent du plafond terminées par des bracelets de cuir, cela pour les suspensions. Je remarque dans un coin une petite cage en bois, elle doit faire environ un mètre cube, sa surface supérieure est recouverte de ce qui semble être de la moquette bleue, cela doit donc servir également de table de travail.

Chrissy est une transsexuelle, très mignonne, et bien formée, elle a de jolis yeux coquins, un sourire souvent désarmant et une opulente coiffure rousse. Elle est vêtue d’une petite robe noire à bretelles, elle est boutonnée par-devant et descend à peine à mi-cuisse, le tissu ornée de motifs en est très diaphane.

Henry me demande de me lever et de me tenir prête à commencer. Puis il fait signe à Chrissy de venir me rejoindre. Nous voici debout face à face. Elle attend. Je commence par lui caresser la joue et le dessous du menton, puis ma main se fait baladeuse et parcourt son corps sans négliger les seins

– Tourne-toi !

J’en profite pour lui tripoter un peu son cul rebondi. Elle pivote à nouveau et j’entreprends de déboutonner sa robe, lui libérant ses jolis seins nus, je fais ensuite glisser les bretelles, baisse le vêtement jusqu’à la taille, je la contourne afin de pouvoir découvrir ses fesses au moment où je continuerais à dégager la robe, ça y est, je les pelote au passage, elle n’avait pas de culotte, ce devait être prévu dans le scénario, je reviens face à elle, découvrant avec amusement son charmant petit zizi.

– Tu es belle !

Elle sourit

– Baise-moi le pied !

Pas évident, il faut soulever la robe pour aller dénicher la partie qui n’est pas enfermée dans la chaussure. Voilà qui lui plait bien, elle me lèche le dessus du pied avec fougue.

– Redresse-toi !

Bon, assez rigolé, je lui accroche les poignets aux bracelets suspendus. Je lui caresse le visage avec tendresse, puis les seins. Je lui mets ensuite un collier d’esclave autour de son cou, symbole de sa soumission. Je vais chercher ensuite dans une petite boite que j’ai apporté avec moi, des bagues-ongles.

Vous ne connaissez pas j’en suis sûre ? Il s’agit donc de bagues non fermées (afin que l’on puisse les régler par serrage) qui se fixent sur chaque phalange extérieure, des ongles en métal sont montés dessus, des ongles très longs, la pointe doit en être juste assez acéré pour provoquer un picotement sur la peau, elles ne doivent pas blesser si l’on se contente d’effleurer.

Je la caresse avec ma main et mes ongles de fer, elle frissonne de ce curieux plaisir, elle a un sursaut de crainte quand j’entreprends de lui tripoter ainsi la bite, mais se laisse finalement faire sans rechigner. Rassurée, elle rigole. Je lui attrape le bout des seins cette fois, je serre, elle se pâme, j’aurais dû prévoir deux jeux de bagues, cela m’aurait permis de travailler les deux tétons simultanément, on ne peut pas penser à tout ! Je la retourne, c’est facile avec ce genre de liens, je lui envoie une petite tape sur les fesses, j’aime donner la fessée, c’est sans doute l’un des trucs que je préfère dans les dominations, sans doute parce que c’est très charnel de sentir la peau que l’on frappe, une fessée, deux fessées, trois fessées, je ne compte plus je tape à la volée.

– Encore ! Plus fort !

Chrissy aime ça, elle adore ça, elle en redemande, alors je lui en redonne. J’arrête, elle en voulait encore, mais c’est moi qui commande !

Je retire ma robe, Henry m’avait demandé de ne rien mettre en dessous, j’ai quand même mis une culotte, je la retire, me voici nue comme un ver. Drôle de tenue pour une dominatrice, mais j’ai gardé mes chaussures ! Je me harnache d’un gode ceinture, il est très beau ce gode, monté avec une bite noire très réaliste. Je m’amuse un peu à le frotter contre la queue du travelo. Ça l’amuse ! Ça l’amuse et ça l’excite, cette petite vicieuse !

Je prends trois « pinces-baguette » en bois, il s’agit de pinces naturelles, sans aucun mécanisme, d’environ 35 centimètres de long (voir croquis sur les sites qui acceptent les illustrations) Sinon il s’agit de deux baguettes taillées dans le même morceau de bois, et non complètement séparées. Il y a une longue entaille dans la partie inférieure, (ce sont les bras) une petite entaille dans la partie supérieure (c’est la pince) Si l’on serre les  » bras  » la pince s’ouvre par contre pression ! (c’est fini, je vous promets, je ne parle plus de technique)

Première baguette sur le téton gauche. Chrissy a un mouvement de recul, elle serre les dents, ça pince, ça fait mal, mais finalement ça va, elle ne dit rien, attend la seconde, résignée, satisfaite même, je la lui pose, je joue un peu avec, les soulève, lâche ma main, les laisse pendre, le mamelon pincé est entraîné dans le mouvement des baguettes. Je les retire, je les remets aussitôt, je suis un peu sadique parfois ! Je m’empare de la troisième baguette, ce sera pour sa bite :

– Non !

Comment ça, non ? Je ne réponds même pas, je le lui place à la racine, en haut. Je lui caresse à nouveau le visage, je ne m’en lasse pas, il est trop doux, un peu les cuisses aussi. Avec mon gode, je m’amuse un peu à gifler la baguette accrochée à son pénis. Le voilà qui ballotte en tous sens et qui ballote en grandissant. Je me marre, elle aussi !

J’ai maintenant saisi le martinet ! Je commence par ce qui n’est même pas de la flagellation, je lui caresse les seins avec l’instrument, le jeu consiste justement à ce que le soumis ne puisse pas savoir à quel moment ça va commencer réellement, je tape un peu plus fort, puis je mouline, c’est très spectaculaire parce que les lanières n’arrêtent pas d’effleurer la peau, mais c’est finalement assez peu douloureux, je mouline aussi sur sa bite. Cette fois la voici enfin en érection, une fort belle érection d’ailleurs, ce n’est pas cela qui va m’arrêter dans mes efforts, bien au contraire, je tape maintenant « pour de vrai », assez fort sur les seins, beaucoup moins sur le sexe. Chrissy se pâme de plaisir. Je vise les fesses à présent mais sans la tourner, je tape fort.

– Tourne-toi !

Finalement, j’aime bien voir ce que je fais et cette fois je vise le dos, les cuisses, puis retourne aux fesses. Je tape très fort, cela n’a pas l’air de la gêner, elle adore ça !

J’ai apporté une petite tapette en caoutchouc, je m’en sers rarement, j’ai envie d’essayer, j’y vais et je lui cingle les fesses, ça fait mal, à présent elle a le cul tout rouge.

Puis comme convenu, j’accroche une chaînette à son collier d’esclave, la détache, lui demande de se mettre à quatre pattes, et la conduit dans la cage que l’on boucle.

Je vais alors m’asseoir à côté de monsieur Henry. C’est Loraine qui prend ma place. Comment vous décrire Loraine, Maîtresse Loraine, comme elle aime qu’on l’appelle, travestie, elle aussi, ou plutôt transsexuelle non opérée mais un tout autre genre que Chrissy. Grande brune, très brune, très typée italienne, le visage et le nez assez long, de grands yeux brillants, de belles lèvres. Très excitante dans son genre quoique trop maquillé. Elle est vêtue d’un curieux bustier à rayures dorées et vertes devant, l’arrière étant noir. Elle a revêtu une sorte de mini-jupe en cuir, et gainé ses belles jambes de bas auto-fixant. Comme elle doit chausser du 42 elle a des tatanes pas possibles, dommage d’ailleurs car ce détail est un peu ridicule !

Elle se pointe devant notre petite assistance, se saisit d’une cravache qu’elle tient devant elle à l’horizontale, elle écarte les jambes. Elle nous toise !

– Je veux un volontaire !

Le choix est restreint, je sens Phil hésiter, mais ce sera Sylvain.

– Moi. Dit-il simplement
– Ben approche ! Tu as la trouille, hein ?

Et le voilà qui se ramasse une paire de baffes, pas très forte d’ailleurs, mais il ne s’y attendait pas, ça fait rigoler tout le monde (les gens sont sadiques quand même !)

– A poil complètement ! Chaussettes comprises !

Combien de fois, l’ais-je entendu celle-ci « chaussettes comprises », ça a le don de m’amuser, personnellement je ne le pratique pas systématiquement, j’ai le plus profond respect pour les fétichistes du pied, mais ce n’est pas vraiment dans la priorité de mes fantasmes.

Loraine s’amuse à lui envoyer des coups de cravache pendant qu’il se déshabille, le pauvre finit par être entièrement déséquilibré. Essayez-donc, vous de retirer à la fois votre pantalon tout en esquivant un coup ? En principe on se retrouve par terre, et c’est exactement ce qui se passe, le père Sylvain encore revêtu d’un ridicule caleçon à petites fleurs se retrouve le cul par terre, il est le seul à ne pas en rire, il finit malgré tout par retirer chaussettes et caleçon alors que la dominatrice continue son office.

Loraine s’assied dans un fauteuil, curieux la façon dont elle s’assoit, ce n’est pas du tout « pouf-pouf je pose mon cul », non chaque geste, chaque mouvement est calculé, cette créature est pleine de grâce. En principe rien n’est prévue entre nous deux pour la suite de cette soirée, mais j’espère bien que nous pourrons improviser, ce soir ou alors un autre jour !

Elle demande à Sylvain de lui adorer ses bottes. Encore un truc que je n’aime pas trop pratiquer, mais je sais que beaucoup de soumis en sont friands. Il se met à genoux et commence à officier. Pendant ce temps la Maîtresse lui « griffe » le dos à l’aide des bagues ongles que je lui ai gentiment prêté. Elle le tripote ensuite un peu partout, lui fait embrasser ses cuisses, puis se retourne afin qu’il baise sa robe à l’endroit des fesses. Les doigts de Maîtresse Loraine parcourent maintenant le visage de Sylvain qui n’en mène vraiment pas large, mais cette trans est une artiste, elle sait parfaitement ce qu’elle fait, elle lui tripote les lèvres à présent, lui ordonne d’ouvrir la bouche et lui fait sucer son index. Elle demande ensuite au soumis de se placer devant un petit poteau, puis elle le bondage à l’aide d’une longue cordelette rouge, qu’elle croise plusieurs fois, elle serre un peu, pas trop, ce n’est pas une punition bien sévère; me dis-je ! D’autant que Loraine libère à présent ses beaux seins, monte sur un petit tabouret et lui fourre sous le nez !

– Suce !

Son art de la domination quoique intéressant n’a décidément pas grand-chose à voir avec mon propre univers, je ne bondage pas trop, je n’offre pas souvent mes seins non plus, mais que voulez-vous, chacun ses méthodes !

Loraine prend à présent un autre bout de corde, plus petit et lui passe autour des testicules, puis elle serre fort et fait un nœud, ses couilles rougissent et remontent, sa verge durcit.

– Bon j’en ai marre de ces godasses de putes, tu vas aller me chercher les autres dans le sac en plastique près de ma place, lui dit-elle en le détachant.

Le pauvre bougre n’a rien compris et s’apprête à y aller comme ça, en touriste !

– Tu n’as vraiment rien capté, toi, tu y vas à quatre pattes et tu me ramènes ça avec les dents ! Comme un chien, comme un bon toutou que tu es… et interdiction de te servir de tes mains

Le pauvre Sylvain fait ce qu’il peut, il renonce malgré tout au bout d’un moment à ramener les deux chaussures à la fois, il fera donc deux voyages sous les quolibets de l’assistance.

Pendant ce temps, Maîtresse Loraine a retiré sa petite culotte et exhibe fièrement sa quéquette. Sylvain revenu, elle lui fourre son sous-vêtement sous le nez !

– Respire ! Respire l’odeur de ma bite, l’odeur de ma pisse, l’odeur de mon trou du cul !

Oh la la ! Ça devient hard ! Puis elle lui fourre la culotte dans la bouche

– Tu la gardes !

Elle le caresse, les cuisses, le bas de fesses, puis l’intérieur des cuisses, puis le sexe, puis elle remonte, lui serre le bout des seins de plus en plus fort, jusqu’à ce que le soumis pousse un cri de douleur. Du coup la culotte dégringole !

– Qu’est-ce que tu as fait ?
– Oh pardon Maîtresse ! Je vais la ramasser !
– Avec les dents !

Il le fait !

– Et tu crois que ça va me suffire ?

Il la regarde avec des yeux de chien battu, il ne comprend plus rien, d’autant que Loraine lui reprend à présent la culotte et se la remet. Je me demande à mon tour ce qu’elle va bien fabriquer, mais j’ai ma petite idée sur la question. Loraine se positionne face à l’assistance et comme tout à l’heure nous observe en écartant les jambes. Elle ferme alors les yeux comme si elle attendait quelque chose. Et soudain une tache d’humidité apparaît sur sa culotte. Cette cochonne est en train de se pisser sur elle. Un petit pipi d’ailleurs, mais suffisant pour mouiller tout cela. Elle la retire alors et la tend à Sylvain :

– Attrape ! Avec les dents !

Il le fait, ça n’a pas l’air de le déranger trop ! Elle le fait ensuite se balader à quatre pattes tout autour de la pièce, puis :

– Suce ma queue !

Sylvain lâche à présent la culotte et entreprend de faire une véritable fellation au travesti, j’ignore s’il a l’habitude de ce genre de chose, mais le résultat est spectaculaire, en quelques minutes leurs deux bites obtiennent une érection tout à fait remarquable ! Loraine passe derrière Sylvain, lui tape un peu les fesses, puis le caresse, elle alterne fessées et caresses, son index gauche cherche l’anus du soumis, le trouve, y pénètre, effectue quelques aller et retour, ressort. Loraine revêt alors un préservatif et encule Sylvain sous les bravos de l’assistance.

Elle s’arrête d’ailleurs au bout de quelques va-et-vient, il n’était pas dans ses intentions de jouir à ce moment. Elle passe alors un collier d’esclave au cou du soumis Sylvain et le dirige vers la cage, où il prend la place de Chrissy

Chrissy monte à ce moment sur la cage.

– A quatre pattes, tend bien ton cul !

Loraine mouline ses fesses au martinet, qui du coup reprennent très vite leurs couleurs. Puis elle lui demande de lever les jambes. Se sont donc ses pieds qui vont être suspendus au plafond tandis que son dos reposera sur la cage. La chose étant faite, la dominatrice recommence ses coups de martinets, les cuisses, le sexe, les seins, elle lui prend le sexe et le caresse, prend ensuite la tapette en caoutchouc et s’acharne sur ses pauvres fesses, puis lui pince les seins. A ce moment Loraine est excitée comme une puce, elle libère Chrissy, lui ordonne de se relever et lui demande de venir lui sucer ses propres seins. Chrissy saute pour ainsi dire sur l’occasion, Loraine se pâme de plaisir mais cela ne l’empêche pas de continuer à pratiquer le martinet, Puis elle se tourne se fait embrasser les fesses, puis le trou du cul. Loraine bande à nouveau joliment. Elle s’allonge alors sur le sol.

– Viens me sucer et en même temps tu vas me tripoter le bout des seins !

Chrissy veut se mettre en 69, position la plus facile pour réaliser la chose, mais l’autre ne veut pas

– Non ! Dans l’autre sens ! Débrouille-toi !

Chrissy se  » débrouille  » donc, tant et si bien que Loraine finit par jouir dans sa bouche, sous les applaudissements de la petite assemblée.

Loraine fait alors signe à Monsieur Henry !

– C’est à vous pour le final !
– Merci, et encore bravo, je vais te laisser récupérer tes forces, mais j’aimerais que Chanette m’assiste !

Ah bon ? Ce n’était pas trop prévu au programme, mais pourquoi pas ? Monsieur Henry se met torse nu, je lui connaissais ses piercings en forme de boucle sur chaque sein ainsi que ses tatouages, beaucoup de tatouages, trop de tatouages, je n’aime pas trop ces machins là, mais enfin ce n’est pas moi qui les trimbale !

On commence par se balader autour de notre travesti vedette, je lui caresse les cheveux, Henry lui caresse les fesses, différence de culture probablement ? Puis nous le faisons remonter sur la cage, et comme précédemment nous lui suspendons les jambes en l’air, en plus nous accrochons ses bras en croix aux coins de la cage, ainsi à notre disposition nous pouvons nous en occuper, nous caressons son corps en tournicotant de part et d’autre, tout y passe, ses cuisses, ses fesses, son sexe, son ventre, ses bras, sa poitrine, son cou, son visage. Simultanément nous nous emparons de martinets, et commençons à mouliner, je m’occupe des seins, Henry des
– fesses. Ça va de plus en plus vite, Chrissy commence à pousser de petits râles, je laisse tomber le martinet et lui pince durement les mamelons :

– C’est bon ! C’est bon ! Crie-t-elle

Henry, lui aussi a changé d’arme et se saisit de cette raclette en caoutchouc décidément très utilisée ce soir et entreprend de rougir les fesses de notre esclave. Puis il change de côté, se place derrière son visage, je crois qu’il va lui donner sa bite à sucer, non il n’offre que sa braguette ! Chrissy essaie de caresser des lèvres la bosse formée dans son pantalon. Pendant ce temps je me remets mon gode ceinture, le recouvre d’un préservatif et m’approche du cul de Chrissy !

– Je vais t’enculer maintenant !
– Vas-y ! Encule-moi !

Je ne me le fais pas dire deux fois et je pénètre le beau transsexuel qui suce à présent la queue de Henry enfin sortie de son pantalon. Ce dernier jouira assez vite ! Je me retire de son anus ! On le détache ! On libère Sylvain !

Mais j’ai envie de faire deux choses, pour la première je ne demande aucune autorisation à qui que ce soit et me précipite sur la bouche de Chrissy et l’embrasse alors qu’elle est encore dégoulinante du foutre de Henry. Le travesti croit d’abord que je fais cela pour récupérer le goût du sperme, non pas du tout, ça ne me dérange pas, mais c’est avant tout la bouche de Chrissy que je veux, cette créature a été trop craquante ce soir, je veux la remercier à ma façon !

La deuxième chose, je la demande à Henry !

– J’aime bien, parfois terminer mes séances sur quelque chose de très humide, de très rafraîchissant, je peux ?
– Mais bien sûr cher amie, choisissez votre partenaire pour ce petit plus !

J’entraîne Loraine, mais je dis à Chrissy de rester aussi, je les fais s’allonger l’une à côté de l’autre, je m’accroupis, leur demande d’ouvrir la bouche et je leur balance ma bonne urine bien chaude qu’elles s’empressent de déguster !

– Hum ! Bravo ! J’en aurais volontiers pris aussi une goutte, mais la soirée n’est pas finie ! Pour l’instant j’ai prévu une table privée dans un restaurant de mes amis, vous y êtes tous conviés.
– Désoleé, Monsieur Henry, mais ma journée est terminée, je rentre chez moi, mais nous nous reverrons c’est promis.

© Chanette (Christine d’Esde) 1996 reproduction interdite sans autorisation de l’auteur
Première publication sur Vassilia, le 21/05/2001

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5 réponses à Chanette 0 Chrissy, la rousse par Chanette

  1. Muller dit :

    Chanette pourquoi ne réécrit-tu pas ce texte ?

  2. Olivier dit :

    Intrinsèquement c’est plutôt bien, maintenant quand on sait que c’est du Chanette on peu être un peu surpris

  3. Dunlop dit :

    Je n’y crois pas ! c’est vraiment Chanette qui a écrit ça ? non pas que ce soit mauvais mais quand on compare a ce quelle fait aujourd’hui..

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