C’est tout à fait Claire par Nicolas Solovionni

 

C’est tout à fait Claire
par Nicolas

Cette histoire date des débuts de l’Internet, ce qui explique que certaines précisions techniques soient complètement dépassées, j’aurais bien sûr pu actualiser ! Mais à quoi bon ! Il faudrait encore réactualiser dans quelques années !

Je m’appelle Nicolas, marié, sans enfant. Il me prend parfois l’envie de partir en chasse, j’avais jusqu’à maintenant deux territoires le Minitel (finalement souvent assez décevant !) et la FNAC ? Et bientôt sans doute un 3ème : Internet. A la FNAC j’ai souvent dragué au rayon musique classique (où j’ai eu 2 contacts  » racontables  » l’un avec un couple dont j’ai perdu – hélas – les coordonnées, et un autre avec une fille qui m’a avoué un peu tard être une semi-pro). D’autres rencontres n’ont abouti à rien (des férus de musique avec lesquels des conversations sans fin ont continué des heures durant dans des bistrots des alentours, mais pas de sexe là-dedans.)

Ce lundi, allez donc savoir pourquoi, quelque chose me démange et je décide qu’après le boulot je me livrerai à une chasse ciblée en abordant systématiquement toutes les nénettes qui hésitent à choisir un disque. Pas méchant comme démarche et au pire j’aurais un échange culturel intéressant.

Il se trouve que l’après-midi je reçois un coup de fil de Chantal (voir l’histoire, le décolleté de Chantal) cette fille amatrice de fessée à laquelle j’avais dispensé des leçons d’Excel. Elle souhaite me revoir, mais pas de suite, cela me donne une idée, au lieu d’aller au rayon musique, je vais essayer au rayon des bouquins sur la micro-informatique.

A ma grande surprise, il ne m’a fallu que 5 minutes de présence et de baratin pour décrocher une série de cours auprès d’une femme 40-50 pas trop mal foutue.

Bon je passe parce que ce n’est pas l’objet du récit mais il faut bien remettre les choses dans leur contexte.

J’ai donné quatre cours à cette femme, je me suis rendu compte que côté sexe, ça ne marchera jamais, mais j’ai continué, j’ai en effet le projet de prendre une semi-retraite dans quelques années et de compenser le manque à gagner par des cours d’informatique, autant tester maintenant si je saurais faire…

Cela dit, elle m’énerve, elle a des côtés très « beauf ». Pour les cours ça va, elle suit plutôt bien, mais quand elle se met à aborder d’autres sujets elle n’est vraiment pas très intéressante…

Je cherche plus ou moins à laisser tomber quand un jour, elle me demande :

– J’ai une collègue qui voudrait des cours d’Internet, vous savez faire aussi ?

Je réponds oui, ça ne mange pas de pain et téléphone à cette personne (bon contact, suave voix féminine). Je me renseigne sur un certain nombre de caractéristiques techniques. Puis prend rendez-vous pour le samedi suivant en tout début d’après-midi. C’est en banlieue sud

La fille doit avoir la quarantaine, elle n’est pas très grande, menue, son visage est très fin, elle est brune avec une chevelure un peu courte, le maquillage est très léger, et il émane d’elle une sensation de grand calme. Pas spécialement jolie, mais un certain charme quand même ! Elle est vêtue d’un petit pull-over crocheté noir. Les manches en sont courtes et ses bras nus dévoilent ainsi un insolite léger duvet. Une courte jupette grise toute simple quoique assez courte et un collant noir (à moins que ce ne soit des bas) complètent la panoplie. Elle se présente :

– Bonjour je suis Claire P…

Je me demandais avant d’arriver si elle vivait seule, mais ici les signes d’une présence masculine sont évidents. Elle prend d’ailleurs les devants en m’informant que son mari fait la sieste tous les samedis et que cela durait parfois d’une à quatre heures.

Là encore, je passe, j’avais tout prévu, sauf que la prise du téléphone ne serait pas vraiment proche de l’ordinateur. Je lui demande si elle a un prolongateur de téléphone, elle va donc regarder je ne sais où, me laissant seul. Ça dure ! Ça dure ! J’en profite pour essayer de voir à qui j’ai affaire, je ne vois pas de bibliothèque, mais elle est peut-être enfermée. Je jette un regard sur les CD surtout du jazz, un peu de classique, et tout Brel, tout Brassens, plutôt prometteur ! Je dégotte les CD roms, mais ce sont surtout des jeux et des utilitaires pas vraiment utiles… Pourtant quelques C.D. sont entourés de papier kraft et ficelés avec un élastique, je n’ose les défaire…

Claire revient sans le prolongateur, et me propose d’aller en chercher un dans une grande surface locale. Elle parle peu, c’est au retour qu’elle lâchera :

– J’ai un mari formidable, il ne sait pas quoi faire pour me faire plaisir, mais il est un peu obsédé, il veut s’abonner à Internet pour le cul, j’espère que cela ne vous choque pas.

Je lui réponds un truc du genre « J’ai les idées larges… »

Elle devient soudain plus bavarde et on parle alors de tout et de rien, je comprends alors que son silence de tout à l’heure était dû au fait qu’elle n’arrivait pas à se décider à me dire les véritables motivations de son mari

On installe donc le prolongateur, tandis que Monsieur roupille toujours.

Le temps d’installer le logiciel, d’expliquer ensuite comment ça fonctionne (elle est marrante, elle prend des tas de notes d’une écriture très appliquée) il est environ 16 heures. Et là on passe dans le vif du sujet, mais, à présent, nouvelle difficulté, je me retrouve comme chez moi, mon premier jour de connexion quand je cherchais des sites de cul, c’est à dire très mal. Les  » moteurs de recherches  » donnent n’importe quoi. Au mot-clé  » sexe « , on arrive pêle-mêle, dans des sites de sexologie, dans des études comparées de l’égalité entre les sexes, et même dans des officines anti-sexe, à force de recherche on tombe quand même sur des sites offrant quelques belles photos échantillons, mais pour en avoir plus, il faut payer, ce n’est pas cher, mais ça veut dire qu’on laisse se trimbaler son numéro de carte bleue n’importe où dans le Monde.

Déception visible de la dame qui « ne pensait pas que ce serait si compliqué…, Mais bon sang ça ne l’est pas ! Comment ai-je fait chez moi ? J’ai tout simplement acheté des revues spécialisées avec des adresses, et d’adresse en adresses j’ai trouvé des sites gratuits et inépuisables. Mais là comment faire ? Je ne trouverais pas ce genre de bouquin dans ce coin paumé.

Je refais quelques essais, et voilà que le mari apparaît au moment où s’affiche la seule photo gratuite d’un site (une superbe fellation en gros plan). J’imaginais, je ne sais pourquoi, un grand beauf au physique de déménageur, c’est pas du tout cela, c’est un petit bonhomme à lunettes à moitié chauve et très rigolard, un peu dans le genre Michel Blanc. Présentations ! Le monsieur se prénomme Patrick ! Enchanté ! Quand même : quand j’y repense : cela a un côté surréaliste, le mec qui se réveille, qui tombe sur sa femme avec un mec devant une photo de cul… Je continue à patauger, quand soudain je me dis qu’il suffit de téléphoner chez moi et de demander à mon épouse de nous télécharger les adresses par Internet. (Je passe les détails, pour ne pas rallonger). Toujours est-il que quelques minutes après nous avions cette fois des milliers d’images à notre disposition, la manip était facile, mais à leurs yeux je passai pour un magicien. Je demandais au type quelle spécialité de photos, il aimerait voir en particulier, il me répond « les pipes ». Allons-y pour les pipes ! En voici plein ! Il n’en peut plus, et du coup va chercher un siège pour s’asseoir à nos côtes. Il pousse des exclamations d’incrédulité :

– Que c’est beau ! Que c’est net ! Que c’est excitant…

Jusqu’au moment où il tombe en arrêt devant une photo qui le fait réagir encore plus que les autres.

– Superbe la nana ! Quelle merveille !

C’est vrai, elle a un visage magnifique !

– Et quelle belle bite ! Ajoute-t-il
– Superbe ! M’entendis-je approuver.

Oups : Voilà que je me mets à avoir une opinion sur la beauté des bites, à présent ! Mais comment me rétracter ! Je regarde à nouveau ! C’est vrai qu’elle est belle cette bite ! Du coup ma vision des choses se modifie complètement et ce qui devait être absolument inconscient jusqu’ici devient évident. On peut raisonner par l’absurde, les bites me dégoutteraient, je ne regarderais jamais de porno (d’ailleurs ce genre de comportement existe !). Le petit « plus » qui fait que l’on regarde une bite autrement qu’avec indifférence est-il le premier pas vers l’affirmation d’une certaine bisexualité ? Me voici en plein rêve ! Et l’autre, sans doute encouragé par mon lapsus qui ne se retient même plus !

– Quelle merveille ! Ça c’est de la bite, et regarde comme elle le suce, comme elle a l’air contente !

Ce n’est pas possible ! Il va nous faire une crise d’apoplexie. Et tout d’un coup le voici qui se lève de son siège :

– C’est pas possible ! Ça m’excite trop ! Claire, il faut que tu me fasses une pipe !
– Mais, enfin, chéri on n’est pas seuls !
– Mais monsieur en a vu d’autres !

Je me demande à ce moment-là s’il dit cela pour s’excuser de sa précipitation ou s’il s’agit d’une invite, et je ne sachant trop quoi répondre, je balbutie une idiotie du genre :

– Ne vous gênez pas pour moi !

Claire me regarde, me fait un geste désabusé des bras !

– Il est complètement fou !

Puis s’adressant à moi :

– C’est vrai, que ça ne vous dérange pas ? Remarquez, si vous êtes un peu voyeur, ça vous fera un petit spectacle !

Elle me dit ça avec un petit sourire, d’une voix très douce, sans aucune ironie.

Patrick me lance un regard interrogateur. Je lui confirme d’un signe de tête qu’il peut y aller. Alors, le voici qu’il sort sa queue effectivement toute bandée que Claire engloutit aussitôt. Je n’ai quant à moi pas le temps de réfléchir davantage, que sur une proposition de son mari, la même Claire me met la main à la braguette. Voici un contact qui conjugué à l’étrangeté de la scène me fait bander à mon tour. Elle me dézipe ma fermeture éclair d’un geste habile. Je me surprends à regarder ses petites mains. Elles sont belles ses mains, très fines. J’en imagine le contact sur ma verge, un contact qui ne devrait pas tarder. Elle me tripote maintenant à travers le slip, mon pénis qui est à présent bien tendu, mais aussi mes testicules. Je me demande ce qu’elle attend pour sortir tout cela. Elle n’attend rien, elle fait durer le plaisir et ne peut tout faire à la fois ! Enfin elle dégage mon sexe et la voilà qu’elle me masturbe tout en suçant le mari.

De mon côté mes mains ne restent pas inactives, je commence par lui mettre la main aux fesses sous sa petite jupe et tombe sur son collant, je n’insiste pas car il m’intéresse davantage de passer la main sous son pull-over afin d’y rejoindre ses seins. Elle n’a pas de soutien-gorge et n’en a pas besoin vue la petite taille de sa poitrine. Moi qui suis un fanatique des gros nénés, je prends un plaisir extrême à caresser ce petit format et à en titiller les tétons bien durcis.

Elle abandonne un moment sa fellation, la bite de monsieur est maintenant toute raide, une belle bite bien charnue terminée par un joli gland rose foncé. Une belle bite ? Mais qu’est-ce que je suis en train de me raconter ? Je ne peux m’empêcher de lorgner dessus tandis que Claire la masturbe. Elle la remet en bouche ! Ouf ! Ça va me calmer ! En fait ça ne me calme pas, la main de ce diable de petite bonne femme étant très efficace. Claire et son mari se font des gestes du regard que je ne comprends pas. A nouveau la femme éloigne la queue de Patrick de sa bouche, celle-ci est maintenant à 20 centimètres de mon visage. Claire me regarde d’un air interrogateur ! Je lui fais un petit signe approbateur. Tout cela en geste, sans rien se dire, on s’est compris. Elle rapproche un peu la verge de mon visage, c’est à moi de faire le reste du chemin, je le fais bouche ouverte, et me voici avec la bite d’un homme dans ma bouche ! Le contact physique est agréable, mais c’est la situation qui m’excite. Je fais pénétrer plus avant sa verge dans ma bouche, puis d’instinct je fais des petits mouvements de va-et-vient, c’est agréable.

Patrick à la courtoisie de me prévenir qu’il va jouir (déjà ?) D’instinct j’abandonne ma fellation. Claire me relaie et recueille son sperme dans sa bouche. Elle ne dit rien, elle ne déglutît pas ! Elle reprend alors la branlette de mon sexe un moment interrompu. Je suis follement excité, mais ce n’est pas pour autant que je vais jouir de suite. Il se passera alors quelque chose d’extraordinaire :

Claire tout en continuant son travail « manuel » me regarde avec des yeux de chatte, j’ai peur de comprendre, la voici qui ouvre la bouche, très légèrement et qui se passe la langue sur les lèvres. Ma verge est raide à faire mal ! Son visage s’approche du mien ! Je m’apprête à crier : « Non ! » …à déguerpir, à quitter ce foyer de malades sexuels. Je n’en fais rien, paralysé, je la laisse approcher, sa bouche gluante du foutre de Patrick s’approche de la mienne. Je ne lutte plus, nos langues se mélangent, j’avale un peu de ce curieux liquide, je me prends au jeu, du coup c’est moi qui ne veux plus la lâcher.

Et puis tout d’un coup je ne sens plus ses mains sur ma bite ! Elle ne va pas me laisser comme ça, c’est trop cruel, mais avant que j’aie eu le temps d’envisager quoique ce soit, voici Patrick qui à présent entreprend de me rendre la politesse en me suçant à son tour. Bizarrement cette fellation reçue ne faisait pas partie de mon catalogue de fantasmes plus ou moins secret. Si l’idée ne m’excite guère, sa pratique n’en est pas moins bougrement efficace. Claire a entrepris de me déboutonner ma chemise et me pince maintenant le bout des seins, j’adore cette caresse ! Elle m’excite plus que la fellation du mari ! Je finis par décharger dans la bouche de Patrick qui avale tout d’un satisfait.

L’après jouissance est parfois difficile à gérer ! Je suis abasourdie ! Comment ais-je pu me laisser entraîner dans un truc pareil ! J’ai honte ! J’ai sucé un mec, un mec m’a sucé, j’ai avalé du sperme ! Tout d’un coup, je ne suis pas bien dans ma peau !

– Tu as été formidable, viens me sucer !

C’est à moi qu’elle s’adresse, pas à son mari ! Son visage est radieux, Comment un visage peut-il offrir une telle image chargée de gentillesse ? Je ne me fais aucune illusion, je n’ai été en rien formidable, me contentant de me laisser faire. Mais elle a le tact de savoir me dire des choses qui déculpabilisent !

Son visage a perdu un peu de son calme, ses yeux brillent. Promptement, elle descend son collant, puis retire sa culotte, me la fourre sous le nez, elle est trempée ! J’aime cette odeur ! Déjà je rebande. Elle se rassoit écarte les cuisses découvrant une chatte extrêmement poilue. Elle a un système pileux assez développé, c’est insolite, mais il serait faux de dire que c’est laid. Une mince rangée de poil court de la toison pubienne jusqu’au nombril qui est loin d’être épargné ! Je me précipite vers ce sexe offert, attaquant carrément son clito de ma langue ! Je m’inquiète un peu de savoir ce que fait Patrick, mais il se contente de se pencher vers le visage de sa compagne pour l’embrasser fougueusement. Claire jouira en poussant un impossible cri et en s’agitant l’espace de quelques secondes de spasmes spectaculaires, avant de s’amollir sur sa chaise, épuisée !

– Et ben ! Dit-elle simplement
– C’est du spontané ! Et du bon ! Commente Patrick

Ils attendent sans doute que je dise quelque chose, mais je ne sais pas quoi dire Encore une fois c’est Claire qui viendra à mon secours :
– C’est la première fois que…
– Comme ça ! Oui !
– C’était un fantasme ?
– Sans doute, mais assez enfoui !
– C’est bien de faire revenir les fantasmes à la surface.
– Je sais pas, je ne réalise pas trop !
– Mais si, maintenant t’es un petit suceur de bites, c’est sympa de sucer des bites !

Voilà une façon amusante et désinvolte de voir les choses, mais après tout pourquoi pas ?

L’écran s’est mis en veille et diffuse une image un peu stupide d’une balle qui rebondit sur ses bords tout en changeant de couleur. Voilà qui me rappelle que nous n’avions pas tout à fait terminé. Alors on se remet au boulot, car il reste pas mal de trucs à expliquer (comment conserver définitivement les images d’Internet, comment les trier, comment échanger du courrier.)

Il devait être dans les 18 heures quand nous estimions d’un commun accord avoir fait le tour de ce qu’il faut savoir, je m’apprête à prendre congé quand le mari propose à Claire que nous allions au restaurant.

Laquelle Claire qui n’a pas envie de sortir suggère une autre idée,

– Non on pourrait rester là et faire venir le traiteur chinois.

Patrick s’enthousiasme à cette idée, je ne veux pas, ils insistent, bon j’accepte à la condition qu’ils me raccompagnent en voiture ensuite, je n’ai pas envie de rentrer à minuit par les transports en commun, il me reste à trouver un prétexte et à téléphoner à mon épouse :

– La formation est plus longue que prévue, ils me gardent à manger.
– Ben voyons… j’espère qu’on te paie bien.

Le dîner se passe fort bien, ces gens sont d’un commerce agréable et ont des sujets de conversations intéressants. A la fin de cet excellent repas (pas mal arrosé), le mari s’adresse à Claire :

– On se fait un petit truc à trois pour finir ?
– Bien sûr, ça te fait tellement plaisir !

Il ne me demande même pas mon avis, ils doivent considérer que c’est implicite. Ça me gêne un peu quelque part malgré tout ! Mais je me vois mal prétexter une soudaine migraine, et puis, on ne vit pas cela tous les jours. Une petite angoisse m’assaille malgré tout. La forte bisexualité de Patrick va l’entraîner jusqu’où vis-à-vis de moi ? Je n’ai pour ma part aucune envie d’aller plus loin que là où j’ai été entraîné. Du moins pas aujourd’hui.

Toujours est-il que nous nous rendons directement dans la chambre et là, on se fout à poil. Elle est mignonne à poil, Claire, elle n’a pas des formes extraordinaires, (quoique son petit cul…) mais son physique est néanmoins agréable et j’aime bien ses gros tétons.

Patrick se couche carrément sur le plumard. Je ne sais pas trop quoi faire, mais il m’invite à venir à ses côtés. Claire se met alors à quatre pattes face à nous et commence une masturbation simultanée.

Puis elle entreprend de sucer et de lécher nos bites alternativement. Enfin j’ai droit à la fellation de Claire. Elle fait ça très bien ! D’ailleurs elle ne nous traite pas de la même façon, alors qu’elle suce avidement son mari, elle préfère pour la mienne me lécher la verge et les couilles en évitant le gland, mais ça ne fait rien, c’est délicieux quand même et ma bite a vite fait d’être toute raide.

Patrick fit ensuite mettre son épouse en levrette, tandis que je passais devant elle afin qu’elle continue à s’occuper de ma bite. Mon regard s’égare un moment vers la table de chevet sur laquelle j’aperçois avec appréhension un gros gode. Je ressens sa présence comme une indicible menace. Je m’efforce de cacher mon trouble. Claire signifie à son mari qu’elle veut changer de position et lui demande de se coucher sur le dos. Elle m’abandonne pour l’instant saisit la queue de son mari et se met à califourchon dessus en en dirigeant lentement l’introduction dans son anus. Le sexe étant introduit, elle entame une savante chevauchée. Je suis hors circuit pour l’instant, Claire est trop concentrée pour s’occuper en même temps de moi. Et j’évite de croiser le regard de Patrick, ne souhaitant pas trop qu’il reprenne des initiatives qui m’impliquerait. (Toujours ce sacré gode qui me terrorise.)

Claire pousse maintenant des petits cris de plaisirs, des cris de plus en plus rapprochés. Soudain elle quitte sa position, et suivant un rituel qui doit leur être habituel, elle se masturbe frénétiquement sur le lit tandis que Patrick lui redonne sa bite à sucer ! Je me souviens m’être interrogé sur cette pratique assez rare consistant à sucer directement une bite qui sort du cul, mais il est vrai que l’excitation rend tant de choses différentes ! Ils jouirent tous les deux presque en même temps, Claire de façon très spectaculaire faisant un véritable bond sur le matelas et restant plusieurs minutes, pantelante sans presque bouger, presque au bord de l’inconscience. J’étais un peu comme un con avec ma bite bandé dont personne ne s’occupait plus, mais trop excité pour rester dans cet état je me masturbais m’abreuvant du délicieux corps de Claire, pourtant si loin de mes fantasmes. Cette dernière sortait peu à peu de sa torpeur et s’amusa de ma situation :

– Tu veux jouir comment ?
– Comme ça en te regardant !
– Donne-lui un coup de main ! Dit-elle à Patrick

Ce n’était pas vraiment nécessaire, mais je me laissais faire, abandonnant ma bite à la main du mari. Une main experte, certes ! Mais je n’avais pas vu ce que contenait l’autre. Je le réalisais en sentant un objet me parcourir la raie des fesses tout en émettant une curieuse vibration. Patrick avait mis le vibrateur du gode en marche et m’en caressait le cul. Il se contenta d’ailleurs de me le caresser, ma jouissance arrivant rapidement, et je déchargeais mon sperme sur le ventre de Claire.

Bien évidemment je n’osais réclamer le prix du cours, c’est Claire qui se tournant vers son mari qui lui demande de me régler.

Je refuse bien évidemment, mais ils insistent.

Evidemment, je leur dis qu’au moindre problème ils peuvent faire appel à moi.

– On a peut-être un peu trop picolé pour te raccompagner en voiture, on va appeler un taxi et te donner de l’argent pour le payer.
– Non, non !
– Mais si, c’est la moindre des choses !

Le taxi arrive, je prends congé, Patrick m’embrasse chastement, mais Claire m’offre ses lèvres.

– A bientôt, mon petit suceur de bites !

nikosolo@hotmail.com ©
Première publication sur Vassilia.net, le 18/12/2000,

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3 réponses à C’est tout à fait Claire par Nicolas Solovionni

  1. Zumard dit :

    Vraiment pas mal du tout, le côté « vécu » même si c’est du vécu arrangé » augmente considérablement l’excitation pendant la lecture.
    PS : Je n’ai pas trouvé de suite

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