C’est le printemps par Jean-Michel_et_Martine

C’est le printemps
par Martine et Jean-Michel

La fièvre est apparue le Premier mai. Nous avions réussi à n’avoir pas d’obligations professionnelles ce jour-là. La veille, Martine avait bien pris soin d’arrêter le radio-réveil pour nous ménager une grasse matinée et un réveil en douceur pour cette fête du muguet. Je lui en avais d’ailleurs offert un bouquet, elle en était tout heureuse et j’avais eu droit à une invitation à la douche en commun.

– Tiens…. et si on se lavait le dos sous la douche ?

C’est le genre de proposition qui ressemble terriblement à une invitation quand elle est faite par Martine. Quand je la rejoignis dans la salle de bain, elle était déjà toute nue et nouait ses cheveux en chignon devant le miroir. Puis elle passa sur la balance par habitude.

– Ah ! ….Pas moyen de perdre les deux kilos que j’ai pris cet hiver. On ne peut pourtant pas dire que je mange trop ! J’ai lu que ça peut-être à cause d’un manque d’activité sexuelle. Tu ne me sollicites peut-être pas assez Jean-Mich’. On a peut-être pris du retard. Qu’est-ce que tu en penses ?

Elle termina sa phrase sur un grand rire pendant que je terminais moi-même de me déshabiller. Elle ajouta en prenant ma queue en pleine main :

– Tu devrais demander à ton petit frère de s’occuper plus de ma petite sœur peut-être ?
– Pourquoi ? Elle a l’impression que je la néglige ?
– Non…. Mais enfin….avec le printemps elle a bon appétit et un petit « en-cas » même entre les repas ne lui déplairait pas.
– N’importe où et n’importe quand ?
– Oui, évidemment. Elle est toujours rapidement prête tu sais. Il suffit qu’elle sente que tu as envie d’elle pour qu’aussitôt elle soit prête à t’accueillir. Tiens…. Je te propose un code. Chaque fois que je me montrerai entrain de faire pipi ce sera un signal. A toi de m’entreprendre. Tu es O.K ?
– Oui…bien reçu. Mais comme tu te caches rarement de moi dans ces moments là, je vais devoir me tenir prêt à longueur de journée.
– Tu as peur que je t’épuise ? Non…J’y mettrai un petit plus. Tu ne vas pas me dire que ça t’excite de me voir assise sur les toilettes ?
– Non évidemment. Mais tu es la spécialiste des pipis inattendus. Alors dans ces cas là… exprime-toi clairement dans ton message.

Pendant cet échange, nous avions rejoint la cabine de douche. Martine passa ses bras autour de ma taille pour me serrer contre elle. Nous nous trouvions quasiment sexe contre sexe. Je me doutais de ce qu’elle voulait faire et je l’attendais. Elle serrait la bouche comme pour étouffer son rire.

Je voulus la détendre et je proposai :

– J’ai l’impression qu’il y a un message qui ne veut pas venir.
– Eh bien toi si tu ne peux pas pisser en érection, moi c’est comme si j’avais une érection, çà ne vient pas facilement.

Je me mis à lui caresser les reins et les fesses. Je n’osais plus parler car je savais que dans ces circonstances elle se vexait et perdait tout espoir de se laisser aller.

Soudain elle se pencha en arrière et lança :

– Tiens…. Le voilà mon message.

Et un véritable tsunami déferla sur ma queue et mes jambes. Abondant, chaud, chuintant.

– Deux tasses de thé à seize heures, un grand verre d’eau à sept. Quand même…celui-là je ne pouvais pas le retenir.

Il semblait ne plus vouloir finir mais s’arrêta enfin.

– Ouah !…je me sens soulagée. Il était bien mon message ? Clair ? Montre un peu ?

En disant cela, elle attrapa ma bite pour juger de son état.

– Ah oui ! …. Il était clair et elle l’a bien compris apparemment. Et moi comment je suis ?

Elle fourra ma main entre ses cuisses. Je ressentis les quelques gouttes qui pouvaient rester dans sa petite toison mais surtout une lubrification qui la trahissait.

La prenant par les hanches, je la retournais face au mur. Elle faisait celle qui ne comprenait pas. Je dus lui poser les mains sur la paroi. Ma queue passa plusieurs fois entre ses cuisses qu’elle finit par écarter et me livrer le passage vers sa fente toute mouillée.

Elle m’accueillit avec un :

– Ouais! …T’occupe pas de moi. Je vais jouir vite.

Je me contenais pour l’attendre. Elle se contracta soudain avec un petit cri et elle m’invita :

– Allez…viens…. Pour toi maintenant !

Je ne me fis pas prier plus et je la rejoignis dans le plaisir.

L’atmosphère était au rire et à l’ambiance joyeuse dans la cabine de douche. Nous prenions un malin plaisir à nous savonner l’un l’autre le bas ventre à main nue. Puis la douchette passa de main en main pour le rinçage. Là encore nous nous attardions sur le bas ventre. Martine prenant grand soin de dégager le bout de ma queue pour la rincer et je pris grand soin également de passer la douchette entre ses jambes et d’y glisser la main plus que nécessaire.

– Tiens…. questionna Martine….comment c’était la chanson de Pierre Perret sur le printemps ? Tu t’en souviens ? Elle disait : « Les taureaux vont dans la prairie, où les vaches sont toutes jolies…. »

La soirée fut moins agitée qu’elle avait commencé. Nous avions laissé toute notre énergie sous la douche et le lit fut vraiment réparateur jusqu’à la grasse matinée du 1er mai

—–O—–
Donc, ce matin du 1er mai, je fus le premier à consulter le réveil. Le jour filtrait par les rideaux mal joints. Huit heures trente. Une bonne heure pour sortir du lit un jour férié.

C’était mon tour de faire le café. Quand je revins avec les deux tasses sur un plateau, elle sursauta

– Déjà toi ? Attends…. avant le café j’ai une super envie de pisser. J’ai deux heures de retard sur mon horaire habituel.

En disant cela, nue comme un ver, elle courut à petits pas sur la pointe des pieds me présentant le spectacle rythmé de ses petites fesses. J’entendis le bruit de l’abattant, et aussitôt une grosse chute d’eau dans l’eau de la cuvette. Pas de message. Pipi classique. Bien assise. Puis il y eut le bruit du papier que l’on tire du rouleau suivit par un énorme bâillement apparenté au cri de Tarzan avant le bruit de la chasse d’eau.
Elle revint pour s’asseoir sur le bord du lit, me présentant cette fois l’autre versant, sa foufoune et ses petits tétons arrogants. Elle assura :
– Il n’y a pas que Grand-Mère qui sait faire du bon café. Toi aussi. Ça et deux heures de sommeil en plus çà remet en forme.

Le café bu, j’avais posé le plateau sur la moquette et Martine avait à nouveau retrouvé le lit, allongée sur le dos.

– Tu ne trouves pas que çà repousse vite…plus vite en cette saison ? …..demanda-t-elle en passant ses doigts sur le bas de son ventre…. Tiens…. Touche !

Elle saisit ma main et la promena sur sa toison renaissante.

– Tu ne trouves pas ? ….Et avec ta langue…. Ça fait quoi ? Essaie un peu !

C’était plus qu’une invitation. Elle releva les jambes et les écarta pour m’accueillir. Mon investigation entre ses nymphes fit sortir son clito et je sentis dans ma bouche le petit goût qui m’assurait qu’elle appréciait mes services. Elle avait beau serrer la bouche, ses petits cris la trahissaient.

– Si tu continues j’y vais toute seule. C’est meilleur à deux. Tu as fait la moitié du chemin, à moi de faire l’autre.

Elle m’invita à m’allonger à mon tour et elle me chevaucha comme une cavalière. Ainsi installée elle attrapa ma queue en disant :

– Ah oui…. C’est bien ce que je pensais. Elle est d’accord.

D’une main elle m’attrapa et me mit au bord de l’entrée puis se laissa descendre pour que je la pénètre à fond. Ses va et viens étaient lents et profonds. Je retenais mon plaisir attendant le sien. Elle poussa un petit cri prolongé, se contracta et arrêta quelques secondes.

– Ouah ! ….Il était bon. Pour toi maintenant.

Et elle reprit ses mouvements en me narguant :

– Hein…. Si j’étais vache…. je te laisserais en plan. Mais non…. Je suis bonne fille et je vais te faire jouir doucement…. Doucement.

En disant cela elle avait un petit rire sardonique. Elle prenait visiblement un malin plaisir à retarder mon éjaculation.

– Bon…. Allez. Je t’ai fait assez languir…. Allez viens mon Jean-Mich’. Je crois même que je vais y retourner avec toi.
Et elle reprit de plus belle ses allers-retours, de sorte qu’immédiatement elle comprit que si elle allait bien au fond d’elle-même, le plaisir serait pour moi et à nouveau pour elle. Ce qui ne manqua pas et tous les deux nous nous sommes éclatés ensemble.

Un coup de kleenex. Quelques minutes de pause et :

– Ca me donne une faim terrible. On se met un coup de douchette et tu as fait le café je te prépare le petit déjeuner. Allez…. zou….on y va.

Et je vis à nouveau les deux petites fesses de Martine s’agiter vers la salle de bain.

—–O—–
Après le déjeuner je croyais terminé les effets du printemps sur la libido de Martine. Il y eut bien deux ou trois pipis spectaculaires mais presque dans les conditions habituelles. Le premier bien sage, assise sur la cuvette. Le second debout, sans culotte face au réservoir, la jupe bien remontée jusqu’à la ceinture, les fesses en évidence.

Le troisième me donna un doute. Il était du style « pipi en catastrophe », encore debout au-dessus de la cuvette mais délibérément le dos tourné vers le réservoir et par la jambe du slip alors que nous nous préparions à partir pour dîner en ville. Mais non, il n’y avait pas de message et je devais le considérer comme un pipi innocent, quasiment banal.

L’après midi avait été ensoleillé et vers dix neuf heures les promeneurs rentraient. Nous étions habitués à un petit restaurant qui nous préparait des salades presque selon notre composition.

Nous bavardions en buvant un jus d’orange et en attendant d’être servis. Il y avait peu de monde. Juste quelques personnes qui discutaient en mangeant. Il me vint à l’idée de provoquer Martine. Généralement c’était elle qui ouvrait nos ébats. Mais je décidai, quitte à me faire rabrouer à lui faire une proposition qu’il était souvent inutile de faire car elle en prenait souvent l’initiative elle-même.

– Tiens…. Pour finir la journée et puisque le printemps te donne la forme depuis hier…j’ai aussi un message à te faire passer.
– C’est que tu me cherches alors ?
– On peut dire cela comme çà. Un genre de défi qui n’en est pas vraiment un pour toi.
– Tu m’étonnes. Qu’est-ce que tu as dans la tête Jean-Mich’? Tu veux que je me déculotte et que tu fasses ma fête sur la banquette ? Si c’est cela c’est non. Trop de monde ici…. dit-elle en riant.
– Non…. Plus discret. Tu connais les lieux et les toilettes de ce resto ? Telle que je te connais avant de partir tu ne manqueras pas d’y faire un petit passage. Et si profitant du peu de clients, ce pipi tu le faisais chez les hommes ? Il y a longtemps que tu ne t’es pas jointe à moi.
– O-k Jean-Mich’. C’est vrai que les autres là-bas ont presque terminé leur dîner. Ils vont partir. On fait cela avant le café ? La serveuse trouvera bizarre de nous voir partir aux toilettes à deux en même temps. Si on fait cela avant de sortir, ça paraîtra plus normal non ?

Je fus un peu surpris qu’elle acceptât aussi facilement ma proposition. Elle alla même plus loin :

– Après tout on s’en fiche des déductions ou pas du service. Allez…. Chiche après la salade…. Chez les hommes… à deux. J’ai déjà une envie depuis un moment.

Effectivement les clients de l’autre table réglèrent leur note pendant que nous mangions. Nos assiettes terminées, on nous offrit de prendre un dessert ou un café. Martine preste à la réplique répondit :

– Oui…. Deux cafés s’il vous plait. Mais avant on va lui faire de la place…. Dit-elle en se levant.
– Oui Madame…. C’est la porte au bout de l’allée.

Comme si je pouvais changer d’avis, Martine me prit par le bras pour que je la suive.

Nous nous trouvions en face de deux portes. L’une portant une silhouette « Hommes » et l’autre « Dames ».

Résolument elle entra avec moi chez les hommes. La serveuse le remarqua bien, mais après tout il y avait aussi des toilettes chez les hommes et comme nous étions ensemble….

Il régnait là une odeur de désinfectant, de propre. Je m’installai face à un urinoir pendant que Martine prévoyante et organisée attrapait un rouleau de papier dans une cabine. Elle le posa sur la faïence prés de moi en commentant :

– En jupe et avec des bas, pas besoin de Freelax. C’est du gâteau.

Elle leva d’une main sa jupe juste ce qu’il fallait pour garder ses fesses cachées. Je devinais l’autre tirant sur le fond du slip, et elle s’avança au-dessus de l’urinoir prés du mien. A ce spectacle que j’avais demandé, j’avais du mal à terminer ma vidange.

– Tu vois…. même s’il y avait quelqu’un qui entrait, il serait déçu, il n’y a même rien à voir.

Evidemment elle n’en croyait rien et je la savais bien consciente du tableau érotique qu’elle présentait à ce moment.

Je me demande la tête que ferait un mec s’il entrait et voyait ma Martine faisant sa vidange de cette façon.

Elle a dit une fois que délibérément, un jour de pointe chez les femmes, elle franchirait la barrière et viendrait avec moi chez les hommes. Je ne sais pas si elle plaisantait ou si elle était capable de le faire. Je n’oserais pas l’en défier.

Mais pour l’instant, se doutant du trouble qu’elle provoquait chez moi, ma petite pisseuse mit quelques instants pour libérer un jet sifflotant qui s’écrasa sur les pastilles de déodorant… Elle s’arrêta puis termina par une petite reprise pour conclure.

Elle me regarda d’un air satisfait :

– Alors ? ….Tu vois bien que j’étais cap’…

…puis me demanda :

– Je n’ai plus de main libre. Donne-moi un bout de papier si tu veux bien.

Je déchirais quelques feuilles et les lui tendit. Tenant jupe et culotte d’une main, elle prit grand soin d’essuyer les quelques gouttes qui pouvaient rester et conclut :

– Tiens…. mets ce papier dans les toilettes s’il te plait et remet le rouleau.

Ce que je fis et tirai la chasse d’eau.

En retournant à notre table son sourire et ses yeux étaient plein de malice. Evidemment elle savait ce que ces petites démonstrations faisaient sur moi.

– Toute peine mérite salaire. Ce soir tu me paies en nature ce super pipi ?

La serveuse nous fit redescendre dans la réalité.

– Je vous sers vos cafés messieurs-dames ? ….d’un air tout à fait normal, inconsciente de ce qui venait de se passer derrière cette porte réservée aux messieurs.

En buvant son café, Martine me souffla à l’oreille :

– Je sens que j’en aurai encore un ce soir. Dommage qu’il n’y ait pas d’urinoirs à l’appartement. Il faudrait faire une suggestion à l’office de propriété.

– Non, mais il y a un lavabo…. C’est pas mal non plus.

La suite que nous ne pouvions pas nous offrir dans ce restaurant, nous n’avons pas manqué de l’accomplir une fois rentrés et que Martine, en nuisette, se fut installée devant le lavabo.

Jean-Michel et Martine
janmich59@wanadoo.fr

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