Carnaval IV par Ivan Ribeiro Lagos

NDW : Ce texte écrit en portugais du Brésil nous est parvenu dans une
traduction approximative que nous avons corrigé en essayant de ne pas trahir
l’esprit du texte. (pas évident !) – Les illustrations ont été fournies par
l’auteur.

Je suis marié avec la plus merveilleuse des femmes. Elle s’appelle Efi et a
49 ans, elle est superbe, blonde dorée, 65 Kg, l m.65, bien mignonne et
jolie avec une allure très féminine, sexy même, et paraît plus jeune que son
âge. Elle est littéralement superbe. Nous nous entendons à merveille et
nageons dans le bonheur en toute complicité.
Les hommes la regardent dans la rue d’autant plus qu’elle porte des jupes ou
des robes très courtes, qui découvrent ses jolies jambes, et sa petite
culotte, quand elle monte un escalier, s’assoit ou se baisse…
Cela l’amuse et moi j’aime assez que d’autres hommes aient envie de lui
faire l’amour. Je leur dis que je suis un mari complaisant, qui aime voir ma
femme se faire baiser. Je suis cocu, je me délecte de ce mot. Je l’imagine
quand l’homme, savourant la douceur de sa chatte, s’agite en elle et la
baise. En été, elle ne porte jamais ni culotte, ni bas, cela m’excite, notre
dada à tous les deux, c’est l’exhibitionnisme. J’adore voir que les mecs
reluquent ma femme, et j’imagine alors tous les fantasmes qui doivent
défiler dans leur tête. Depuis des années, je me proposais d’offrir mon
épouse à d’autres hommes. Finalement, elle s’est soumise à mes désirs et a
consenti à s’offrir à d’autres que moi.

Nous habitons une très jolie résidence avec piscine. Paul est un de mes
compagnons de travail avec qui je m’entends bien. Alors, nous avons reçu
Paul en ami au bord de la piscine

Efi le trouve très séduisant, je sais très bien que les deux se sentent
sexuellement attirés l’un vers l’autre. C’était un lundi de Carnaval, fête
extrêmement populaire d’ici au Brésil. Nous portons Paul et moi, un
maillot-short, et mon épouse Efi….. Ouah ! Elle a un petit string qu’elle
porte sans complexe, certainement consciente de l’effet produit. Sa poitrine
nue est superbe, moulée par une chirurgie plastique récente, bien bronzée,
et ses fesses sont adorables, surtout lorsqu’elle marche ou même simplement
quand elle est allongée sur le ventre en train de bronzer… et je peux
constater qu’elle se sent énormément excitée. Je ne me lasse jamais
d’admirer son corps superbe. Il y a longtemps que je savais que Paul
excitait Efi. Elle devine ses coups d’œil furtifs, les aime parce que Paul
lui plait énormément, et parce qu’il sait rester discret. Je lui fais un
signe complice et elle me souffle à l’oreille qu’elle se sentirait bien
entre deux hommes qu’elle trouve à son goût et me dit qu’elle me réserverait
une petite surprise pour l’occasion et qu’elle espérait ne pas me décevoir.
Puis, Efi se laisse couler au fond de la piscine. Paul admire furtivement
ses fesses quand elle nage, puis elle sort de l’eau… Elle se sèche au
soleil, assise un matelas de plage. Je suis sûr qu’elle sait parfaitement ce
que qu ‘elle fait en appliquant ce liquide sur son corps de cette manière
sensuelle et provocante. Elle se caresse carrément les seins, dont les
pointes durcissent aussitôt, avec beaucoup de douceur, et je devine un tout
petit et léger sourire sur les lèvres, puis elle s’allonge à plat ventre, et
prend soin de s’en appliquer sur les fesses, ses doigts caressent son corps,
mes yeux suivent sa main agile, malaxant tendrement ses fesses, mais… son
string ne cachant pas grand-chose, le tissu est entré dans sa chatte qui est
complètement rasée et dévoile une partie des lèvres de sa vulve quand elle
ouvre les jambes d’une façon négligente dans une position plus qu’indécente.
A présent, à ma vue et celle de Paul, sa nudité est presque totale, elle
s’allonge simplement sur les dos avec ses cuisses largement ouvertes, dans
une position sans équivoque qui ne me laisse pas indifférent… Je suis
complice dans son voyeurisme… Paul est troublé. Elle me sourit et me fait
un clin d’œil discret et commence à se passer une huile à bronzer entre les
jambes, montant jusque son sexe, carrément en face de Paul, elle écarte ses
cuisses très largement en passant sa langue sur ses lèvres et en souriant à
notre ami. Il avait donc une vue dégagée sur sa chatte qui veut sortir de
son petit string, déjà à côté de sa fente. Cette vision est merveilleuse. Je
vois une bosse se dessiner sur son maillot-short, le pauvre, ce spectacle
gratuit devait le mettre au supplice, il était rouge de confusion et ne
savait où se mettre. Elle me regarde du coin de l’œil, je la laisse faire.
On discute de tout et de rien, ne voulant pas nous avouer mutuellement que
ce qui vient de se passer et ce qui va peut-être se passer est notre seule
préoccupation du moment. Elle aussi semble apprécier ce moment d’intimité à
trois, bientôt emportée par un flot nommé désir. De nouveau elle écarte ses
cuisses, en face de Paul et commence à se masturber sans complexe devant son
regard amusé. Alors, elle écarte impudiquement les lèvres humides de sa
chatte nue, son clitoris grossit à vue d’œil, maintenant elle se branle
devant-nous, les yeux clos. Nous nous abandonnons au plaisir solitaire-de ce
spectacle, comprenant que le moment est venu pour nous deux, complices
devant Paul… Elle est terriblement provocante, je sens ma bite gonfler, je
suis très excité par ce spectacle et mon ami Paul non moins, troublé par ce
délicieux tableau, il ne pouvait quitter les cuisses de ma femme des yeux,
cela m’excitait beaucoup de voir mon meilleur copain désirer ainsi ma femme.
Elle me regarda et je lui souris, Efi comprit alors que tout était permis.

Quelques minutes passèrent, puis mon épouse Efi se lève et presque nue, elle
se tourne vers moi et murmure qu’elle nous désirait tous les deux. Cette
annonce m’excite beaucoup ! Elle se dirige ensuite vers la chambre.
Lorsqu’elle en sort, elle vient dans le salon, elle est habillée avec une
petite robe noire, bien courte, moulante et décolletée à ce point que sa
poitrine semble vouloir s’échapper. Paul tourne la tête pour la voir passer.
Nous sommes assis sur le canapé dans le salon, elle va mettre de la musique
et ensuite invite alors Paul à partager un slow avec elle, ils commencent à
danser. C’est la première fois que je pouvais voir combien elle était belle
lorsqu’elle avait le goût de faire l’amour. J’aimais la voir embrasser mon
ami et le provoquer, elle lui dit à l’oreille;
– Descends tes mains sur les fesses.
Je vois Paul passer ses mains sur les fesses de ma femme, elle, si timide et
réservée d’habitude se laisse embrasser en dansant par un de nos amis de si
longue date. En dansant, il avait plaqué son sexe contre elle, et elle ne
pouvait pas ne pas se rendre compte qu’il avait envie d’elle. Les mouvements
de leur danse plaçaient le sexe de Paul contre son minou. Il lui avait
caressé les fesses et les seins et elle n’avait pas eu envie de lui demander
d’arrêter ses avances. Aussi je m’installe confortablement sur mon canapé et
je les regarde danser, serrés à nouveau l’un contre l’autre presque face à
face, mais je sais maintenant qu’il l’excite et que sa queue caresse le
ventre de ma femme. Je suis cette fois dans un état d’excitation terrible,
et j`ai du mal à empêcher ma main de se poser sur mon sexe qui me fait mal.
C’est une situation nouvelle pour nous deux, et l’excitation est fabuleuse.
Il plaque sa bouche sur ses lèvres et l’embrasse goulûment, mon épouse lui
rend son baiser, et je sais à ce moment là que quelque chose de nouveau va
nous arriver. Elle lui dit :
– Viens ! Nous serons mieux sur le tapis !
Puis Paul glisse son short avec son slip jusqu’aux genoux ce qui libère une
formidable bite déjà en érection. Elle se retourne donc vers mon ami, et je
peux constater le désir d’Efi lorsque le pénis de Paul fut enfin libre
– Holà ! S’exclame Efi,. Quel engin !
Elle s’agenouille face à lui et elle se penche sur son sexe fièrement
dressé, et juste avant de le sucer, elle me jette un oeil. Paul passe sa
main sur sa nuque et doucement lui fait comprendre qu’il aimerait bien…
s’adressant à moi… elle me dit :
– Regarde bien !
Elle commença par le caresser lentement et délicatement avant de le sucer.
Elle penche ses lèvres arrondies et très très doucement pose le gland sur sa
bouche avant de l’enfoncer tout doucement, me regardant du coin de l’œil.
Paul a fermé les yeux, s’abandonnant à cette caresse. Efi mon épouse prend
ma main et la pose sur son membre. Après un instant d’hésitation, elle se
referme sur la queue et commence à la branler, d’abord doucement puis de
plus en plus vite. Je prends dans ma bouche le sexe d’un autre homme,
J’arrondis mes lèvres et les fait coulisser sur la bite de Paul, je le suce
alors qu’il est devenu énorme maintenant. La queue de mon ami est longue, le
gland décalotté, humide et chaud. Je taille une pipe à un homme comme si
j’avais toujours fait cela devant ma femme. Il gémit et murmure que c’est
bon, il me demande de continuer. Sa queue est démesurée maintenant et son
gland laisse couler un liquide légèrement salé; Efi me branle la queue,
puise l’enfonce jusqu’à la gorge; la garde ainsi quelques secondes. Puis la
fait coulisser toujours tout doucement, Paul soupire !
– Mmmmh, c’est bon ! …
– Tu sais ma chérie que tu es vraiment une bonne suceuse..
celui de Paul toujours dans la bouche… Elle me regarde et dit :
– Suce-le !
…et elle s’approche de nouveau pour m’aider dans ma tache labiale. Nos
lèvres se mêlent à nos salives contre le gland turgescent de Paul. Je
préfère de beaucoup cette collaboration que la succion solitaire, qu’elle me
demandait. Nous nous appliquons joignant nos lèvres complices pour donner du
plaisir à Paul, puis elle se met à quatre pattes et me dit :
– Vient au- dessous de moi, je voudrais que tu lèches mon clito gonflé
pendant que Paul me pénètre vigoureusement avec sa pine
J’obéis et m’allonge sur le matelas et au-dessous d’elle je commence à
lécher son clitoris et les lèvres de sa chatte. Maintenant Paul s’occupe de
son sexe par derrière, largement ouvert et offert…
– Oh ! Chéri. chéri ! Regarde, la queue de Paul entrer complètement… Oh !
C’est bon une bite… c’est gros. c’est chaud…enfonce-moi… Chéri … lèche
moi encore plus…
Je lèche son clito; le suçant et le mordillant et léchant ensuite avec ma
langue, caressant le membre de Paul sous toute sa longueur pendant son va et
vient dans la chatte de mon épouse, si fougueux que son ventre touche ses
fesses. Je continue à lécher son clitoris et toute la surface de sa verge
qui maintenant me semble énorme tant il est excité, augmentant son plaisir
et lui arrachant des soupirs de délices, quand ma langue le touche à chacun
de ses coups de reins. Elle ondule sur moi, mêlant sa sueur à la mienne,
pour notre plaisir mutuel, elle déverse sur ma bouche un liquide chaud et
agréable, et je bois cette eau d’amour avec délectation, cette eau de
plaisir qui coule délicatement sur mes lèvres. Paul retire sa queue de la
chatte de ma femme et jouit ensuite. Il gicle tout son sperme dans ma bouche
et plusieurs jets de sperme dans mes yeux, puis dans la chatte de mon épouse
qui elle aussi va jouir, entre en transes, en poussant t un cri rauque
– Chéri ! …vas-y ! Jouis ! Oh ! Oh ! Oh ! ,…Oui ! Vas-y ! Jouis mon
amour.
Efi branle ma pine plus en plus vite jusqu’à ma jouissance. Alors, me voici
couvert de sperme et complètement comblé… Je me lève et me dirige vers la
salle de bain par prendre une douche. Après quelques minutes, Efi et Paul me
rejoignent totalement nus. Efi mon épouse proposa de prendre notre douche
tous ensemble. J’adore cette idée. Pour l’instant je me contente d’assister,
sous le jet d’eau chaude, Paul et Efi se savonnent mutuellement, Efi descend
lentement vers l’entre jambes de Paul qui reprend de la vigueur. Elle lui
frotte doucement la verge pendant que ce dernier lui caresse les fesses.
Ils se calment un peu, il lui enlève tout le savon, puis, dirige le jet
d’eau vers son clitoris, Efi frissonne légèrement, elle lui prend la pomme
de douche des mains et rince Paul à son tour, s’attardant sur son membre, le
maintenant bien raide et prêt à reprendre du service. Descendant d’un même
geste ses mains vers ses fesses et ses lèvres sur ses seins, il suce ses
mamelons tout en gardant une main qui chatouillait son cul et l’autre qui
titillait son clitoris. Efi semblait apprécier car elle bouge
involontairement son bassin vers lui, comme pour l’inciter à continuer. Il
laisse son clitoris pour descendre, passe un doigt dans son vagin. Paul vit
qu’Efi en voulait encore plus, elle donne maintenant des coups de reins pour
l’inciter à approfondir son exploration. Elle gémit d’envie, et le supplie
d’y aller plus fort ou de la prendre, mais elle veut jouir, elle gigote
maintenant très fort, s’empalant sur les doigts de Paul comme elle l’aurait
fait d’une verge. Il prend ses poignets et les lève bien au-dessus de sa
tête, contre le mur, d’un seul coup de rein, il introduit son pénis en elle
et s’appuie très fort sur elle, s’enfonçant profondément avant de ressortir
totalement.

– Oh! …Oui! …Oui! … Prends-moi ! Encore… Plus fort.
Paul donnait maintenant de terribles coups de reins s’enfonçant au plus
profond qu’il pouvait et ressortant toujours totalement, Efi haletait et
entre les petits cris le membre de Paul entrait et sortait, Efi voulait
bouger mais tout ce qu’elle pouvait faire c’était d’avancer ses hanches, les
coups répétés de Paul se répercutaient dans la douche leurs corps mouillés
glissaient l’un contre l’autre, complètement secoués. Paul ne cessait de
pousser plus fort, plus loin ses inlassables coups. Efi n’en pouvait plus,
elle criait sans cesse
– Oui, comme ça. Oui ! …encore! …Ah ! ….Ouh ! …Paul continue…
C’est bon…
Mon épouse se mordait les lèvres pour ne pas hurler. Finalement, dans un
grand cri, elle hurla son orgasme.. C’était très beau de les voir, et je ne
fus aucunement jaloux, au contraire, j’étais heureux de voir Efi mon épouse
combler un fantasme et de voir mon meilleur ami être aussi doux avec ma
femme. Elle était complètement épuisée, il se retira, la sortit de la
douche, complètement satisfaite. Elle m’enlace et nous sortons de la salle
de bain. Notre fantasme est réalisé

Fin

Écrivez-nous – irl70@hotmail.com São Paulo – Brésil
Au revoir
Première publication sur Vassilia, le16/12/2001

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Une réponse à Carnaval IV par Ivan Ribeiro Lagos

  1. Jugan dit :

    Confus et mécanique. un peu de sentiment que diable, nous ne sommes pas que des bites à pattes !

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