Carla, stagiaire humide par O_L

On frappe à la porte de mon bureau. Je sais que c’est elle, Carla, ma nouvelle stagiaire. J’ouvre. Grands yeux mobiles et clairs derrière des lunettes rectangulaires noires, cheveux blonds foncé aux reflets dorés, qu’une barrette retiens avec une négligence calculée. Tailleur gris ; seins lourds qu’on devine mobiles sous un pull de laine fine. Ce n’est pas un top model. Juste une fille qui se rend jolie et attirante par le soin qu’elle prend d’elle. Les nombreux mails échangés avant sa venue avait créé entre nous une familiarité que la rencontre en chair et en os dissipa instantanément, laissant entre nous un imperceptible malaise qui rendait l’atmosphère cotonneuse.

Salutations, café, présentations au reste de l’équipe. Le big boss insiste sur sa politique d’accueil des stagiaires : indemnités de stage confortable mais résultats et professionnalisme doivent être au rendez-vous. Une petite heure après, la voila au travail sur le bureau en face du mien. Les écrans de nos ordinateurs respectifs nous cachent partiellement l’un à l’autre. Nous travaillons en silence. Je la surveille grâce au mouchard qui m’affiche l’écran de son PC à son insu. Je la surveille et je fantasme ; j’imagine son regard clair plongé dans mes yeux à travers ses lunettes strictes de bizness woman ; elle me regarde par en bas, à genoux devant moi, mon sexe dans sa bouche et la salive qui lui coule de la commissure des lèvres et qui dégouline sur son pull. Je l’imagine la tête dans les armoires de documentation du mur de gauche, la jupe relevée, la culotte baissée sur le bas des fesses, mon sexe dans son gros cul blanc. Pendant que je fantasme, mon sexe gonfle. Le café d’il y a une heure a fait son effet et j’ai aussi envie de pisser. La pression de l’érection combinée à la tension de ma vessie est délicieuse. J’essaie de travailler mais je n’y arrive pas. Mes yeux parcourent les dossiers que j’ouvre sans pouvoir s’y fixer. Je me demande quelle est la couleur de ses dessous. Je les imagine raffinés, comme elle. Je la voie debout, en slip et soutien de dentelle, la main droite plongée loin dans le slip, l’autre sur les seins. Je regarde l’ovale de son petit ventre, là où la peau est plus épaisse. J’imagine ce petit ventre doux qui se contracte imperceptiblement, j’imagine l’urine jaune et odorante qui sort entre ses doigts crispés, qui coule le long de ses cuisses blanches, qui s’étale sur le sol pendant qu’elle se fait jouir, me fixant du regard sans me voir, les jambes secouées de spasmes, les joues rouges du plaisir qui a traversé tout son corps.

Je me dis que je suis con, que je dois être professionnel, que je dois élever une barrière de pudeur et d’autorité entre elle et moi qui va m’éviter de déraper au mauvais moment.

Une imperceptible agitation me tire de mes pensées. Elle a le souffle juste un peu trop court, la tête juste un peu trop raide. Un je ne sais quoi d’électrique. Je regarde le mouchard et je reste scotché : cette petite salope surfe sur vassilia.net ! Là, elle est sur les galeries photos. Deux filles qui font 69 en projetant des grands jets d’urine dont elles s’aspergent la figure avant d’essayer de les boire et, finalement, de nager voluptueusement dans la flaque tiède. Là, elle passe aux récits. Une jolie fille avec son amant dans les bois qui joue à la soubrette soumise. La nymphette du récit a déjà mouillé tous ses habits et se fait arroser par son copain en érection qu’elle branle pour le faire bander jusqu’à ce que le pipi soit arrêté par l’éjaculation qu’elle reçoit sur la figure. Alors ils s’enlacent, tendrement, et finissent de se soulager la vessie, toujours enlacés l’un dans l’autre. Je suis dans un état d’excitation extrême qui m’empêche de capter tous les passages du récit que le mouchard fait défiler devant moi au hasard des clics de souris de plus en plus désordonnés de la stagiaire. Chapitre suivant. Carla a zappé le début. Le même héros est déjà au bord de l’éjaculation, il intime l’ordre à sa compagne de s’accroupir jambes écartées et de se masturber dans sa culotte mouillée tout en lui faisant une fellation. Lui-même prend une grande respiration et pousse de toutes ses forces pour faire sortir le pipi qui continue à lui dilater la vessie. Son visage se crispe et devient rouge ; il attrape la fausse soubrette par les cheveux pour la contraindre à accélérer le mouvement, et finalement éjacule dans un cri interminable ponctué des jets saccadés de son foutre qui se fraie péniblement un passage à travers son sexe tuméfié. Alors elle lève les yeux, le regarde tendrement et continue à sucer délicatement sa verge violacée et c’est finalement un gros jet d’urine libérateur qui en sort, qui envahit la bouche de la fille, en déborde, coule sur ses seins, cascade dans le soutien gorge, est finalement capturé par ses cuisses qu’elle vient de refermer pour profiter un peu plus longtemps du plaisir de se faire inonder du jet tiède. L’urine se fraie enfin un passage par le pubis et coule à terre entre ses fesses.

Je ne tiens plus. Carla ne se doute pas de mon état et continue tranquillement ses lectures. Moi, je dois absolument me lever. Il faut que quelque chose se passe, au moins que j’aille pisser et me masturber. En me levant, mon regard s’arrête interloqué sur le carrelage. Des gouttes tombent une à une de la chaise de Carla et forment déjà une petite flaque. On dirait qu’elle ne s’en rend pas compte. Certainement elle a fait des petits pipis successifs pour sentir la chaleur et l’humidité dans sa culotte et entretenir l’excitation de ses lectures, et elle pensait que seule sa jupe était mouillée, qu’en sortant elle remettrait son imper ni vu ni connu. J’ai mille et une façons de profiter de la situation. Je choisis celle qui va le plus immanquablement transformer ma petite ingénieure ingénue en esclave soumise et consentante pendant le reste de son stage. La barrière de professionnalisme vole en éclat. J’entre à 100 à l’heure en zone non balisée.

– « Allons bon ! On se laisse aller ? » dis-je d’une voix sévère.

Elle réussit à me regarder avec un sourire d’ange.

– Excusez-moi. C’est un accident. Je ne me sens pas bien.
– Et Vassilia.net, il est aussi arrivé par accident sur ton ordinateur ?

L’arrivée brutale du tutoiement lui ouvre des yeux incrédules et apeurés.

– « Je vous en prie » dit-elle. Un « Je suis désolée » suit dans un murmure.
– Et tu crois que tu vas t’en tirer comme ça ? Menaçais-je. Tu ne crois pas que tu mérites une punition ?!
– Une punition ? Reprit-elle, dubitative.
– Tu n’es pas obligée, tu m’as excité avec tes bêtises, alors moi j’ai envie de te punir, tu rentres dans mon jeu ou tu n’y rentres pas ! C’est comme tu le sens !
– Punissez-moi alors ! Répondit-elle
– Debout » dis-je sans appel.

J’ouvre un tiroir et en sort une cravache courte et large que j’ai toujours là par fantasme et que je ne croyais jamais utiliser pour de vrai.

« On va régler ça entre nous et le boss ne saura rien de tes bêtises. Je crois que c’est la meilleure solution pour toi n’est-ce pas ? »

N’attendant pas sa réponse, Je continue mes ordres qu’elle exécute avec des hésitations incrédules, sévèrement bousculées par des tapes de la cravache sur ses mollets.

« Tourne-toi ! »

Elle est de dos, ses grosses fesses cernées par l’auréole de pipi. Je bande. C’est délicieux de bander avec l’envie de pisser. Tout en me masturbant lentement pour maintenir l’érection, je pousse sans que rien ne sorte. Le jeu est d’essayer que le foutre et l’urine sortent en même temps. C’est impossible évidemment : le foutre gagne à chaque fois, dans une jouissance à se péter le cerveau. Je n’en suis pas encore là, mais je sais déjà que cette journée sera mémorable !!! C’est dans cet état d’excitation, le sang à la tête et ayant déjà commencé à me branler à travers le pantalon, et laissé échappé quelques gouttes de pipi qui ont redoublé mon excitation que je lui ordonne

– « Défait ta jupe ».

Elle se retourne et me regarde comme si elle était au bord des larmes. Elle gémit la bouche tordue par une imitation de sanglot.

– Mais Monsieur.

Cependant et contre toute vraisemblance, elle se résout rapidement à cette situation, avec moins de résistance que je n’avais escompté, et même un rien de bonne volonté. Quelque chose dans le timbre de sa voix me dit que la cravache allait démasquer sa la vraie nature de soumise. Elle fait la fière avec ses lunettes sévères et ses beaux habits, mais au fond d’elle-même, elle veut sentir le confort protecteur des ordres qu’on ne discute pas, et en même temps la honte de les aimer.

– C’est pas le moment de pleureur ma petite chérie. Tu faisais pas cette tête tout à l’heure quand tu te trémoussais sur ta chaise pleine de pipi. Il vaut mieux faire ce que je te dis. Et gare à toi si j’entends encore un mot.

La jupe finit enfin sur le sol. Sa culotte blanche est rendue transparente par le pipi qui l’imbibe et qui colle à ses fesses.

– Baisse ta culotte et penche-toi sur la table !

Elle est de dos. Elle a abandonné toute résistance. Il y a un mélange incroyable de pudeur et d’obscénité dans ses petites mains qui font délicatement glisser le slip jusqu’au bas de ses grosses fesses blanches et mouillées. Une délicieuse odeur acide de sexe et d’urine. Je ramasse la jupe. Je renifle avidement la tache de pipi, je m’en caresse toute la figure, et finalement je n’y tiens plus : j’ouvre mon pantalon et je me branle avec la jupe mouillée. C’est trop bon. Je pousse en grand à m’en faire péter la tête mais je bande trop : rien ne viens. Ah quel délice. J’ai les yeux rivés sur le sillon qui partage les grandes fesses laiteuses de Carla. Penchée en avant, elle a suffisamment écarté les jambes pour que je voie clairement sa chatte et une goutte de pipi qui y est restée accrochée. Je suis dans l’état d’excitation maximale. La punition peut commencer. Chaque coup de cravache chasse un petit jet de pipi jaune d’entre ses fesses qui s’éclabousse sur la culotte, s’y accumule dans un pli et finalement la traverse en grosses gouttes qui s’écrasent dans la flaque qui grandit sur le carrelage, projetant des fines gouttelettes odorantes dans toute la pièce. Entre chaque coup, je caresse, je palpe la trace rose qui vient de se former, je pétris et je pince la blessure de ma main libre jusqu’à ce que Carla en gémisse de douleur et de plaisir, et c’est d’une grande claque que je libère la fesse meurtrie et prête pour le prochain coup de cravache. De coup en coup, mes gestes deviennent plus fermes. Je continue à me caresser à travers la jupe pleine de pipi qui commence à devenir poisseuse en séchant.

Carla laisse maintenant paraître sa vraie nature. Des gémissements de plaisir accueillent chaque coup de cravache tandis qu’elle a lâché la table d’une main pour se masturber. Ses fesses ondulent de plus en plus fort. Elle pisse maintenant d’un jet quasiment continu et interminable que sa culotte toujours tendue entre ses cuisses au bas des fesses ne peut plus arrêter. Je ramasse la voluptueuse liqueur dans le creux de la main. En remontant vers les fesses pour y étaler le pipi, mes doigts s’attardent sur le tour du petit trou souple et élastique et je constate qu’il n’est pas innocent à ces caresses mais qu’au contraire il se détend sous la pression, reconnaissant en habitué la promesse de jouissance. Mon index parcours maintenant la frontière du sphincter qui se relâche graduellement sous l’invitation de mon doigt. Quand je pénètre finalement l’anneau élastique et souple, c’est pour sentir autour de mon doigt les pulsations concentriques de l’orgasme de Carla.

Je la relève tendrement. Nous nous regardons sans un mot, l’émotion nous rendant mutuellement transparents, cette transparence que l’on cache d’habitude par pudeur derrière le voile de sentiments composés d’avance mais qui, dans cet instant, nous livre l’un à l’autre.

Je n’ai pas encore joui. Le baiser que nous échangeons a ainsi le goût mélangé de son plaisir et de mon désir. Carla, déjà soumise, éponge le sol du bureau de sa jupe avant de la remettre sur elle.

-Allons-y, dis-je simplement.

Elle enfile son imper et se retrouve presque présentable. Nous sortons à un mètre l’un de l’autre sans un regard, une pudeur délicieuse et excitante entre nous, terrifiés à la simple idée des terribles conséquences de la découverte de nos ébats par les collègues. Personne ne prête attention à nous.

L’ascenseur de son immeuble ne fut qu’un long baiser sensuel, bouche contre bouche, corps contre corps, elle ondulait contre moi, seuls ses seins, écrasés contre ma poitrine, restaient d’immobiles prisonniers entre son corps et le mien, deux tâches chaudes sur ma poitrine. Elle frottait son pubis contre mon sexe en érection dans mon pantalon mouillé et ce n’est que par un constant effort que j’arrivais à retarder l’éjaculation, au prix de jets d’urine répétés qui ruisselaient entre nos deux corps et s’écoulaient goutte à goutte par terre. J’avais remonté sa jupe jusqu’aux fesses, que je pétrissais à travers sa culotte poisseuse. Mes deux mains finalement forcent la culotte. L’élastique craque quand je descends les mains pour empoigner le bas des fesses et les écarter l’une de l’autre au niveau de l’anus. Mes deux index s’amusent autour, le pressent et le dilatent. Carla se cambre pour tenter de s’y empaler. J’ignore sa supplique silencieuse et continue de l’exciter jusqu’à ce que, finalement, je sente couler sur les doigts un jet d’urine continu tandis que Carla, à bout de force, se colle à moi de tout son corps soudain relâché. Elle a encore joui. Le pipi s’écoule par terre vers la porte de l’ascenseur.

– « Suce-moi ! » lui dis-je finalement.

Elle s’agenouilla dans la flaque de pipi, défit mon pantalon et commença sa délicate caresse. Mon érection était déjà à son comble tandis que, la bouche occupée, ses doigts explorèrent mes fesses et mes couilles, effleurant, caressant, tirant, malaxant, encouragées par les soupirs et les mouvements de rein qu’ils m’arrachaient. Elle posa finalement le gras de son majeur sur mon anus et pressa graduellement tout en faisant un lent mouvement circulaire. Elle y pénétra finalement par petits va-et-vient, puis enfin avec force comme si elle voulait m’enfiler toute sa main, elle avait toujours ma bite dans la bouche et je n’en pouvais plus. Je me contractais et, comprenant, elle immobilisa sa bouche sur mon membre. Quelques gouttes de pipi sortirent finalement sous mes efforts et je sentis sa langue qui se serrait sur mon sexe pour s’en emparer. Redoublant d’effort, j’arrivais finalement à pisser. Elle avait toujours ma bite dans la bouche et le pipi lui sortit en débordant par les commissures des lèvres. Il coula dans son cou jusque par terre. Carla reprit sa fellation et mon plaisir fut immense et long, presque douloureux. Je m’arrachai finalement de sa bouche pour lui inonder le visage. Le jet à peine tari, je l’ai relevée pour l’embrasser tendrement, la serrer contre moi, lécher son visage, goûter son odeur mêlée à la mienne, tandis que ma vessie continuait de se vider librement sur son ventre pressé contre le mien et qu’elle en faisait de même.

C’est sa sœur Léa qui nous ouvrit. Cadette de Carla de deux ans, rien ne semblait pouvoir les faire sœurs. Rien chez Léa des grosses fesses de Carla que je pouvais pétrir comme du beurre. Rien non plus de ses seins qui bougeaient à chaque mouvement. Chez Léa au contraire, une puberté tardive l’avait fait pousser en herbe. Mal à l’aise dans un corps trop grand et trop plat qui lui avait fait envier chacune de ses copines du collège jusqu’à la fac, Léa avait le regard mobile des inquiets. Ses seins, petits et écartés, sortis tardivement, semblaient vouloir rattraper le temps perdu et tendaient la peau de sa poitrine sous leur poussée, ignorant la petite nuisette de tulle transparent qui les recouvrait en faisant hypocritement semblant de les cacher. Ses hanches étroites et ses reins pas encore cambrés lui faisaient des fesses menues et fermes, carrées de derrière et rondes de profil. C’étaient de ces fesses discrètes dont on tire plus de plaisir qu’elles n’en promettent. Elle portait un jogging gris clair en coton soigneusement trop petit pour rentrer dans la raie des fesses et séparer parfaitement chacune d’elle. La grande tache sombre qui descendait en formes irrégulières de l’intérieur de ses cuisses jusqu’aux chevilles trahissait les plaisirs favoris de Léa et le peu de honte qu’elle avait à les pratiquer. Ses appâts ainsi offerts et si timidement défendus par la fragilité de son visage, le savant mélange d’innocence et de perversion, tout en Léa était un appel à un assaut sans négociation.

Au premier regard qu’elles échangèrent, il fut évident que Léa était sous l’emprise totale de Carla. La grande sœur lui sourit amoureusement et, s’approchant d’elle, posa ses deux mains à plat sur ses seins et commença à les caresser, taquinant les mamelons, les tirant à travers la nuisette, les faisant rouler entre le pouce et l’index à la limite de la douleur et, finalement, pétrissant ses petits seins durs de toute la main. La respiration de Léa se fit plus courte et des frissons parcoururent tout son corps, jusqu’à faire trembler ses fesses sous le jogging. Un baiser animal s’en suivit, enlacées l’une à l’autre comme deux amants qui ne se sont pas vus de plus d’un mois. Les mains de Carla descendirent sur les fesses et s’engouffrèrent à l’intérieur du jogging, l’une par devant, l’autre par derrière et des mouvements des deux sœurs on devinait qu’elle la doigtait en même temps par le con et par l’anus en guise de salutation. Léa n’en pouvait plus. Toujours accrochée à Carla par le baiser qui nouait leurs bouches, elle avait encore raffermi son étreinte, mais c’était cette fois-ci tout juste pour ne pas perdre l’équilibre tant le plaisir risquait de la faire chavirer, qui secouait tout son corps et la privait de toute autre sensation extérieure.

Le jogging malmené par la fougue de Carla glissait peu à peu et révélait la naissance des fesses. Une odeur de plaisir, de sueur et d’urine s’en échappait. Une autre odeur finit par couvrir les autres, indiquant que les doigts de Carla qui s’étaient introduits par derrière n’avaient pas trouvé la place vide et qu’au contraire, ils prenaient un divin plaisir à en malaxer la crème qu’ils y avaient trouvée, et dont une partie s’écoulait à l’extérieur, remontait le long de la raie des fesses et, finalement, s’étalaient dans le bas du dos tandis que Léa était, au sens propre, entrain de mourir de plaisir tant sa respiration devenait difficile et la rougeur de son visage faisait craindre un accident.

Léa s’arracha finalement à cette étreinte, remonta la jupe de sa sœur jusqu’à la ceinture et se jeta à genou entre ses jambes. Elle ouvrit grand la bouche qu’elle plaqua sur le sexe de sa soeur, la caressant des dents et de la langue à travers la culotte trempée d’urine, attendant l’offrande qu’elle implorait.

De sa main souillée d’excréments, Carla attrapa sa soeur par les cheveux et la plaqua fermement contre son sexe. Elle voulait sentir le plaisir monter avant de consentir à l’offrande demandée. Léa continua sa caresse buccale et pour hâter le plaisir de Carla, se faufila par l’élastique de sa culotte et introduisit délicatement son index dans l’anus. Cette dernière caresse excita tellement Carla qu’elle cria, saisit à deux mains la tête de sa soeur pour la plaquer plus fort encore contre son sexe et poussa dans un long gémissement un jet continu d’urine que Léa commença à boire avec délice avant qu’il ne déborde de sa bouche, s’écoule sur son cou, ses seins, son ventre, et finalement son jogging déjà trempé par son propre pipi. Léa avait enfourné la main droite dans son jogging et se masturbait vigoureusement tout en buvant le pipi de sa soeur. Les deux sœurs se mirent finalement à pisser de concert et finirent au milieu d’une grande flaque jaune et odorante.

C’est à ce moment-là que vint Alex. Alex est le cadet de la famille. Il est pourtant plus grand que ses deux sœurs, beau gosse, l’air nonchalant que donne la certitude de plaire. A son arrivée toutes les attentions se posèrent immédiatement sur lui et les visages s’éclairèrent de sourires de bienvenue. Alex était manifestement le chouchou de ses grandes sœurs. Il était pieds nus, une chemisette de coton déboutonnée laissait voir son torse plat et sa peau fine. Un pantalon trop large tombait de ses fesses. On devinait son érection à travers et, c’est décidément une habitude de famille, une tache de pipi auréolait le côté droit, trahissant le petit plaisir qu’il avait du s’offrir tout en bandant.

Léa s’était assise dans la flaque de pipi et continuait sa masturbation. Alex s’était approché de sa grande soeur qui le dévorait des yeux. Ils s’embrassèrent tendrement tandis qu’Alex pétrissait des deux mains les seins lourds de Carla. C’était comme un jeu pour lui de les presser, les étirer, les pincer de toute la paume de ses mains. Carla quant à elle avait un objectif bien précis. Elle fit glisser d’un geste le pantalon trop large et s’agrippa des deux mains aux fesses de son frère pour l’attirer à elle. Il avait un sexe magnifique, plutôt mince et immensément long, d’une raideur toute juvénile qui faisait naturellement envie. Alex lui souleva la jambe droite en passant sa main sous sa cuisse et l’attira de cette manière à sa hauteur pour l’enfiler d’un seul coup de rein. J’étais derrière, retenant Carla de tomber. Alex cherchant son plaisir sans ménagement nous propulsa tous les trois contre le mur si bien que je me trouvais dans la position idéale pour que les coups de boutoir de son frère n’aient d’autre issue de d’empaler Carla sur moi. Mon sexe est moins long que celui d’Alex mais beaucoup plus large. C’est toujours d’un cri que les anus l’accueillent et celui de Carla ne fit pas exception. Bientôt derrière l’anneau souple et étroit de l’anus, je trouvais la chaleur douce et molle du rectum. Il était plein de crème qui commença à me couler sur les couilles sous l’action combinée de mes coups de piston et des spasmes de jouissance qui contractaient le ventre de Carla. Alex cherchait son plaisir sans ménagement. L’appui du mur conjugué à de nos deux forces réunies en cadence eurent raison des dernières volontés de Carla. Elle commença par un cri aigu. Elle finit par un hurlement continu que nos coups de rein transformaient en une espèce de psalmodie délirante. Carla avait perdu le contrôle d’elle-même. Elle s’effondra sur le sol dès que nous nous séparâmes d’elle, les couilles enfin vides. Léa voyant sa soeur quasiment sans vie sur le sol vint se coucher sur elle et la caressa tendrement, ce qui eut pour effet d’étaler le foutre et la merde dont elle était enduite et qui, peu à peu et mélangées au pipi dans lequel elles baignaient toutes les deux, finirent par recouvrir leurs deux corps.

Alex me pris par la main avec un regard qui pétillait de malice et m’entraîna vers la salle de bain. Il bandait encore.

A Suivre.

Cet épisode a obtenu le 1er Prix de la meilleure nouvelle SM pour l’année 2005

Ce contenu a été publié dans Histoires, Récits, avec comme mot(s)-clé(s) , , , , , , , . Vous pouvez le mettre en favoris avec ce permalien.

2 réponses à Carla, stagiaire humide par O_L

  1. Pulsar dit :

    Quel déluge de volupté perverse, on sent l’auteur complétement dans son fantasme, érotisant l’urine de façon diabolique, puis par un glissement quasi naturel dépassant l’uro pour nous faire partager des choses plus solides, le tout sans aucune vulgarité. De l’excellente et efficace littérature érotique. On en redemande !

  2. Claire dit :

    Très cochon, mais bon (d’ailleurs dans le cochon tout est bon 😉

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *