Ça a commencé ce soir… par Barain24

1

Tout a commencé un soir d’automne, nous étions invités, mes parents et moi,
chez une des amies de ma mère. J’avais alors 19 ans. Cette amie, Sabine,
avait une galerie d’art. Elle organisait ce soir là, un souper pour sa
nouvelle collection et il y avait beaucoup de monde. Tout se passa
normalement jusqu’à ce que je me sente mal. Sûrement le souper. Sabine,
m’apercevant pâle, me demanda si je voulais m’allonger. Gênée, j’acquiesçais
malgré tout, et elle me conduisit dans la chambre d’amis où elle me laissa
seule. Sur le lit, gisaient les manteaux des invités, la plupart en
fourrure. Très mal, je me couchais et m’endormis… A la fin de la soirée,
Sabine vint doucement me réveiller. Alors que j’étais encore à moitié
assoupie, elle me caressa le visage avec une manche d’un manteau de renard
m’expliquant doucement que mes parents allaient partir. Alors que je me
levais, elle me demanda doucement :
– La fourrure était douce ?
– Oui…, bredouillais-je gênée.
– Bien… bien…. Viens me voir demain après tes cours … me dit-elle avec un
grand sourire.

Le lendemain, à l’heure dite, j’arrivais chez elle sans arrière pensée, mais
me demandant quand même pourquoi elle m’avait demandé de venir. Elle
m’ouvrit, montée sur talons hauts, vêtue d’un immense manteau de fourrure,
très ample, fermé, et d’une superbe toque de vison sur la tête.
M’accueillant gentiment par le bras, elle m’emmena à l’intérieur. Je sentais
le contact et l’odeur pénétrante de la fourrure. Installées dans le salon
autour d’un verre qu’elle m’avait servi avec beaucoup d’amabilité et même de
tendresse, nous discutions à bâtons rompus, de mes études, de mes parents,
de mes hobbies, j’en arrivais à oublier l’insolite de sa tenue dans ce salon
douillet et normalement chauffé lorsque elle me demanda :
 » Comment as-tu trouvé ce somme allongée parmi les fourrures de ces dames ?
– Oh, je suis désolée de ne pas avoir pris la peine de les écarter mais
j’étais tellement mal, j’espère que je n’en ai abîmé aucune ?
– Non, ne t’inquiètes pas, mais là n’est pas la question, as-tu apprécié ce
contact sur ta peau, l’odeur autour de toi …
– …J’avoue que malgré mon malaise… ce n’était pas …désagréable…
– Seulement …. pas désagréable … ?
– Et bien…
– Suis-moi, m’ordonna-t-elle en m’interrompant.  »

Elle me fit monter. Je la suivis dans l’escalier où le claquement de ses
mules se mêlait au bruissement soyeux de son superbe manteau le long de ses
jambes gainées de soie. Entrées dans une chambre. Le lit recouvert d’une
couverture épaisse en fourrure était entouré d’épaisses peaux de mouton,
dans lesquelles on s’enfonçait. Les murs recouverts de glaces agrandissait,
à la démesure ce nid ; une odeur âcre de fourrure envoûtait un peu. Devant
les glaces, comme dans les salles de danse, courait une sorte de traverse où
reposaient plusieurs couvertures en fourrure. Sabine ouvrit une armoire :
dedans pendait une vingtaine de gilets, vestes, manteaux de toutes sorte
mais toutes de fourrures différentes. Elle choisit un manteau qu’elle m’aida
à enfiler me plaçant les deux bras en arrière, étonnée autant par la
situation que par le lieu, je me laissais faire. Les manches du manteau
étaient cousues ensemble vers l’arrière… Elle ferma le manteau et me plaça
devant le miroir .
 » Regarde comme tu es belle en renard…  »

Ma position commençait à me déranger, mais je ne pouvais nier un certain
trouble à me voir ainsi vêtue, dans cette pièce en compagnie de Sabine.
 » Ca ne me va pas du tout , je suis ridicule …
– Attends-moi une minute.  »
Elle disparut dans la salle de bains contiguë… Les manches commençaient à m
déranger, ne pouvant plus bouger les bras .
Elle revint tenant une laisse reliée à un collier de fourrure qu’elle me mit
au cou. Je lui demandais, angoissée, qu’elles étaient ses intentions. Elle
ne répondit pas mais s’absenta de nouveau, et revint serrant dans ses bras
une immense ours en peluche, qui portait un sexe raide comme un gode. Je la
pressais de questions mais dans un silence pesant, elle prit la laisse, me
tira sur le lit, toujours les mains attachées, m’obligeant à prendre le sexe
en bouche. Elle s’excusa de la violence du geste. Elle sortit un appareil
photo et me prit en photo plusieurs fois, couchée sur le lit de fourrure, la
tête posée sur la peluche et le gode en place… . Elle alla mettre l’appareil
dans une commode et revint vers moi. Elle ouvrit son manteau. Hormis ses
bas, elle était nue :
 » Les petites filles comme toi qui ne savent pas qu’elles aiment la
fourrure, je le leur apprends  »
Je commençais à paniquer.
 » Je ne comprends pas ce que vous voulez.
– Tu crois que je ne sais pas que dans la chambre hier soir, malgré ton
malaise, les fourrures t’ont fait de l’effet, les fourrures entre les jambes
quand tu dormais, ça ne te caressait pas ?
– … Non.
– Vraiment…  »
Elle me détacha les mains, m’enleva le manteau, et me laissant attachée par
la laisse, commença à me déshabiller. Quand je fus nue, elle m’emmena dans
la salle de bain et me plaça dans la baignoire, debout. Sabine attacha mes
mains avec la laisse sur le porte linge et elle alla chercher une bouteille
d’eau qu’elle me fit boire. Puis elle commença à me laver. Quelques instants
après elle me redonna une autre bouteille que péniblement j’ingurgitai. Elle
me savonna pendant un long moment, s’attardant sur toutes les parties
sensibles de mes seins, de mes fesses et de mon pubis faisant mousser le gel
douche à l’eau chaude. Puis me pressant sur le ventre elle m’ordonna de
faire pipi. Ayant certaine peine elle accompagna son ordre de petites
claques sur les fesses jusqu’à ce que je me libère dans la baignoire.
J’avais de plus en plus peur de ses intentions et en même temps, je
ressentais un plaisir de plus en plus grand à me laisser manipuler par elle.
Ayant dévisser le pommeau de la douche, elle plaça le tuyau recouvert de
mousse sur mon anus et le fit pénétrer de quelques centimètres avant de
m’inonder l’intérieur d’un filet d’eau chaude. Elle me dit de me retenir
pendant qu’elle me détachait les mains, et elle me plaça sur les toilettes.
Je me laissai me vider. Me replaçant de nouveau dans la baignoire, elle
finit de me nettoyer. Elle ne voulait pas faire des pratiques dégoûtantes
avec moi mais uniquement, me laver correctement. Je m’abandonnais de plus en
plus enivrée par l’érotisme qui se dégageait de ce temple voué à la fourrure
et aux caresses. Après m’avoir séchée elle me ramena dans la chambre et me
demanda si je désirais remettre mes vêtements ou si je voulais qu’elle me
remette le manteau. C’était vrai : je ne m’étais pas caressée dans les
fourrures, mais je ne pouvais résister au désir d’enfiler à nouveau ce
superbe manteau.
La laisse toujours attachée au bord du lit elle prit un manchon de fourrure
qu’elle mit sur mon visage. Un orifice me permettait de respirer, et une
douce chaleur m’envahit peu à peu…Je prenais de plus en plus de plaisir à me
faire kidnapper comme cela. Elle me fixa un porte jarretelle, et m’enfila
une paire de bas qu’elle attacha lascivement, caressant tous les carrés de
peaux qu’elle pouvait trouver autour… Elle termina en me renfilant le
manteau. Le manchon me couvrant toujours le visage, elle me tira par la
laisse vers l’armoire pleine de fourrures. Elle ouvrit mon manteau et me fit
caresser avec ma poitrine diverses fourrures pour que je lui en choisisse
une. Toutes ces fourrures m’excitaient vraiment, c’était tellement doux, un
autre monde tellement merveilleux. J’en choisis une, très douce, composée
semblait-il de queues de fourrure, assez longues et très ample. Elle
apprécia mon choix et je l’entendis l’enfiler. Je ne pouvais rien voir. La
soie à l’intérieur de la fourrure faisait un bruit délicieux à entendre sur
la peau de Sabine .
Après m’avoir longuement caressé les pieds, elle me les fit pénétrer
lentement dans une paire de bottes en daim fourrée qui me montaient
jusqu’aux genoux. Puis me conduisant toujours par ma laisse, elle me fit
redescendre jusque dans le jardin. Là, elle ouvrit le manteau me disant de
ne pas avoir peur qu’il n’y avait personne d’autre qu’elle pour me regarder.
Le froid glaçait mon corps. Elle referma le manteau et me redemanda ce que
je pensais de la fourrure :
 » N’est ce pas merveilleux ?  » .
Hypocritement je lui répondis que je ne savais toujours pas : j’avais trop
peur qu’elle ne cesse de s’occuper de moi…
 » Petite peste, tu rentres bien dans le jeu.  » s’écria-t-elle en riant.
Elle ouvrit brutalement le manteau, et me fit marcher lentement de long en
large dans le jardin. Transie de froid je dus la supplier de refermer le
manteau sur mon corps frigorifié, je pleurnichais presque pour qu’elle le
ferme. Ce qu’elle ne fit qu’après m’avoir fait avouer sur tous les tons que
j’adorais la fourrure et que je ne pourrais plus m’en passer. Glacée, elle
me reconduisit dans la maison. Elle me redonna mes vêtements et me renvoya
chez moi. Elle me pria de revenir le lendemain, pour continuer mon
initiation
.

2
Je passais la nuit à faire des rêves d’un tel érotisme que je me réveillais
plusieurs fois en sueur, obligée de ma caresser pour retrouver un semblant
de calme. Le lendemain, j’avoue qu’il me tardait d’aller chez elle et de
drôles de sensations couraient au creux de mes reins. Mais je gardais l’idée
de ne pas vouloir tout accepter d’elle. Arrivant chez elle, elle me
conduisit dans la chambre à l’étage. Sur le lit recouvert de fourrure,
trônait l’immense ours en peluche. Sabine me déshabilla et m’ordonna de
sucer le gode qui lui faisait office de sexe. Le gode était assez gros et
l’idée m’effleura que je devrais me l’enfoncer prochainement. Après me
l’avoir fait sucer de toutes les manières possibles, des petits coups de
langue furtifs, à la pénétration au fond de la gorge en passant par des
aspirations lentes du gland, Sabine me poussa, et enfila un préservatif de
vison sur le gode. Son diamètre augmenta. Ma crainte fut confirmée lorsque
elle me prit par les bras et me fit m’asseoir dessus. Le gode s’enfonça
lentement en moi. Je soupirais, peu habituée à un tel diamètre. Quand il
m’envahit complètement et que je l’acceptai, Sabine saisit les bras de
l’ours et les attacha autour de moi, sous mes seins. Elle m’attacha les
miens le long du corps, mes mains reposant à plat sur le lit et je compris
très vite que cette position me permettait facilement de me soulever et de
faire coulisser le gode en moi. Elle me bâillonna, et attacha la laisse au
montant du lit. Elle s’absenta, puis revint, vêtue pour sortir, dans une
veste de fourrure. Elle m’annonça qu’elle allait en ville, qu’elle
reviendrait en fin de journée et que pendant ce temps, je devais rester là :
 » Ne bouge surtout pas  » plaisanta-t-elle. Je passais deux heures assise sur
ma peluche avec le gode fourré en moi, à gigoter régulièrement de haut en
bas, latéralement ou en décrivant des cercles du bassin atteignant orgasme
sur orgasme. Quand elle revint, elle
me rendit mes vêtements et me renvoya chez moi. Elle me donna une veste en
vison, veste très courte, qui m’arrivait juste au ras des fesses .

3
Le lendemain, je me réveillais anxieuse à l’idée que Sabine ne veuille
jamais plus me voir, et que cette veste de vison ne soit que  » ma paille  »
pour ces deux jours. A cette idée, j’étais envahie par un sentiment de
frustration ; je prenais conscience que j’aimais de plus en plus me laisser
posséder dans ce monde de douceurs. Pour aller en cours, j’avais revêtu sa
veste, au cas où Sabine me verrait et en plus cela me permettait de…
frimer… un peu. J’eus mon petit succès, tous les regards étaient sur moi,
curieux ou envieux. Je remarquais particulièrement l’attitude de François et
celle de Maud. Le premier, je le savais depuis longtemps était amoureux de
moi, mais toujours timide, effacé, rougissant, il me faisait sourire et
j’avoue ne jamais avoir songer à lui autrement que comme un camarade ; ce
jour-là il était transformé, lui qui n’osait m’approcher, était sans cesse
contre moi, m’attrapant par le bras, me protégeant des autres dans les
couloirs, m’entreprenant, me parlant à l’oreille, se révélant prévenant,
causant et drôle. Etonnée et charmée, je remarquais qu’il ne manquait aucune
occasion, non, même, il provoquait les occasions de contact avec moi, ce
changement aussi brutal avait-il une relation avec ma nouvelle tenue ? ? ?
La deuxième, une bonne copine qui toute le journée fut différente avec moi,
j’avais l’impression qu’elle voulait me parler, mais qu’elle n’osait pas ;
ce fut à la sortie des cours, alors que nous attendions le bus ensemble avec
François qu’elle se décida :
 » Elle doit coûter chère ta veste, où l’as-tu achetée ?
– C’est un cadeau…
– De qui ?
– Une copine…
– Tu as de la chance, c’est pas à moi qu’on offrirait une fourrure !  » …

Un léger coup de klaxon coupa ma réponse. Me retournant, je tombais sur la
voiture de Sabine… qui m’invitait à monter. Je bredouillais… Elle
proposa de raccompagner mes camarades. Pendant le trajet où j’étais assise à
l’arrière, entre Maud et François, Sabine me demanda ce que je pensais de la
veste que je portais ; Maud me murmura :

 » C’est elle qui te l’a offerte ?  »
J’acquiesçais discrètement. C’est François qui répondit :
 » Elle est superbe, d’une telle classe, d’une telle douceur, on est tous
tombé amoureux d’elle… à moins que ce ne soit de la porteuse, conclut-il
sous forme de plaisanterie.
– T’arrête un peu, oui, c’est du fétichisme, c’est plus de l’amour…
– … mais le fétichisme, c’est de l’amour ! m’asséna-t-il.  »
Je vis, dans le rétroviseur, poindre un sourire sur le visage de Sabine ;
Maud en rajouta :
 » Je ferai n’importe quoi pour avoir une fourrure comme celle-là.
– Et toi François… ?
– Oh, moi, la fourrure, j’aime beaucoup… mais qu’est ce que t’appelle :
n’importe quoi ?  »

Cette discussion me mettait mal à l’aise, je cherchais du regard le
rétroviseur… son sourire de connivence ne me rassura qu’à moitié… Maud avai
l’air, de la fille coquine, qui se caresserait le soir avec sa fourrure et
François ferait n’importe quoi pour être en compagnie de femmes en
fourrure…. Sabine proposa un goûter chez elle, s’il n’y avait pas trop de
devoirs et si les parents ne s’inquiètent pas ? Maud et François acceptèrent
de suite, je suivis timidement… Comment tout cela allait-il tourner ?
J’étais inquiète et… très excitée, il faut bien que je l’avoue…

4
Elle nous reçut, dans son salon, comme moi la première fois, nous abreuvant
de chocolat chaud et de petits gâteaux, la discussion courait sur tout et
n’importe quoi.

La température était relativement basse pour un intérieur et je remis ma
veste, les deux autres plus gênés n’osaient le faire. Sabine en profita pour
demander :
 » Tu as bien dit que tu ferais n’importe quoi pour une fourrure, Maud ?  »
Interloquée, Maud mit un certain temps à comprendre et finit par émettre un
 » Oui  » plein de provocation. Je voyais déjà la scène …

Sabine sourit, et nous invita, Maud et moi à la suivre, laissant François
finir son chocolat en écoutant un vieil air de Joan Baez. Nous montâmes tous
les trois dans la chambre de Sabine. Elle ouvrit ses armoires, et Maud n’en
crût pas ses yeux à la vue de toute les fourrures. Sabine me demanda de
l’accompagner à côté, et en sortant dit à Maud :

 » Vas-y ne te gène pas, prends en quelques unes, essaie les, tu verras elles
sont toutes douces.  »
Dans la chambre, à coté, Sabine me demanda de soulever ma jupe et me caressa
le sexe avec un gant de renard roux. Elle me demanda si mon sexe allait bien
après l’après-midi d’hier. Je lui dis que j’avais  » des souvenirs  » mais que
ça passerait. Elle me demanda si je voulais m’amuser avec Maud. Tout en
prenant plaisir à ces caresses, je lui répondis qu’elle ne voudrait sûrement
pas.

 » On va voir  » me répondit elle. Nous revînmes dans la chambre où Maud avait
revêtu un manteau de Lynx Canadien. Sabine s’avança vers elle, la caressa à
travers la fourrure qu’elle portait, lui faisant des compliments sur sa
beauté et elle lui dit, qu’avec un manchon, elle serait encore plus jolie.
Elle enfila ses mains dans un manchon de fourrure, l’avança devant le
miroir. Elle prit une petite courroie de cuir avec laquelle elle lui lia les
poignets …

…Se tournant vers moi, elle me dit d’aller me préparer dans la chambre
voisine. J’y trouvais de tout : des vêtements en fourrure de toutes sortes,
des bottes, des gants, différents accessoires : liens godes, fourreaux… Je
me vêtis de bas de soie, de porte-jarretelles et de bottes en daim fourrées.
Je mis le chapeau de renard bleu que j’avais conu sur Sabine et enfilais un
épais manteau de renard.

Lorsque je rentrais dans la pièce, Sabine avait couché Maud sur le lit et
lui câlinait doucement la tête, la rassurant : tout allait bien se passer.
Maud gigotait dans tous les sens, n’acceptant pas sa position de soumise. Je
lui murmurais, en la caressant à travers le manteau, que c’était le prix à
payer pour obtenir la fourrure qu’elle portait. Sabine écarta les pans du
manteau, souleva le pull de laine et à notre grande surprise, ne découvrit
aucun soutien gorge mais des seins superbes, lourds, plantés haut, les
tétons érigés au milieu d’aréoles rouge foncé. Sabine se leva et vint à coté
de moi. Nous la regardâmes attachée et à moitié dévêtue dans son manteau de
lynx : elle était superbe, respirant de santé et de volupté ; sa poitrine se
soulevait rapidement. Maud avait l’air très gênée exposée à nos regards.
Sabine s’approcha et tout en la câlinant, lui retira ses vêtements, à notre
grande surprise, elle ne portait pas de culotte, mais son pantalon était
doublée dans l’entrejambe d’une peau de lapin… Elle était enfin nue sous sa
fourrure. Sabine prit un collier, le fixa au cou de Maud et me donna la
laisse qui y était reliée :

 » Je pense qu’elle est tout à fait prête, fais ce que tu veux avec elle, je
descends voir François…. »

Son doux sourire illuminant son visage angélique ne me laissait aucun doute
sur ce qui allait se passer au rez de chaussée, mais elle me laissait seule
avec Maud qui ne bougeait plus … et je n’avais pas grande idée de ce que
j’allais faire avec elle. J’attachais la laisse au montant du lit.

5
Maud me regardait, les yeux suppliants :
 » Tu ne vas pas raconter à tout le monde que je ne porte pas de sous
vêtements… tu sais ça m’irrite…
– ça dépend de toi. Si tu fais tout ce que je te demande, je ne dirais rien,
sinon … avec quelques photos…  »
… Que je m’empressais de prendre avec l’appareil dont Sabine s’était servi
l’avant veille avec moi.
 » Que vas-tu faire avec moi …?  »

Un flash, et son derrière rebondi me rappela certains écrits de Rousseau. Je
lui attachai les chevilles, comme les mains, m’asseyais auprès du lit, la
fit rouler, la faisant dégringoler en travers de mes genoux. Je relevai le
manteau, dévoilant son fessier. pendant quelques secondes, j’hésitais à
faire ce à quoi j’avais pensé, mais couchée en travers de mes genoux, elle
remuait de telle façon que la question ne se posa bientôt plus. Utilisant,
un gant en vison, je la caressais doucement, de la fesse à la cuisse, de la
fesse à l’anus, redescendant vers le clitoris qu’elle avait proéminent : un
vrai  » tout petit pénis « qui sous les caresses n’arrêtait de gonfler…

Arrêtant les caresses de la main droite, je frappais de la main gauche,
gentiment, gauchement oserais-je dire, sans violence, elle devait sentir mes
claques, mais ça ne devait pas lui faire mal, ce n’était qu’un jeu… Je remis
ma main droite fourrée, un doigt sur son clitoris, les autres fourrageant
l’entrée de son vagin, Maud gémissait, presque trop gentiment ; sentant que
je n’étais pas au niveau de son attente, vexée quelque part, je la remis sur
le côté, sur le lit de façon à lui faire lécher mes parties intimes… mais à
ce moment, Sabine revint, elle tirait François par une laisse attachée au
sexe. Il était nu dans une veste en peau retournée, les manches cousues en
arrière comme celle que j’avais connue, il marchait dans des mules en vison
à petit talons qui claquaient à chaque pas, un lien le ceinturait et lui
passait entre les cuisses, son sexe inerte était maintenu dans un fourreau
laissant sortir le gland, une mince bande de fourrure lui passait autour et
entre les testicules. Il portait un manchon de fourrure sur le visage et un
bâillon qui laissait passer de faibles gémissements…

 » Il a fallu que je le fasse taire… il hurlait de plaisir à chaque fois que
je le touchais…
– il n’a pourtant pas l’air en état,
– attends…  »

6
Elle se recula, face à lui, fit coulisser les deux cordons de la laisse, ce
qui eut pour effet d’enserrer fortement les couilles ; aussitôt elles se
trouvèrent proéminentes de chaque côté de la verge qui se trouva agitée de
soubresauts spasmodiques. Le fourreau empêchait la verge de grossir, elle ne
pouvait que s’allonger et seul le gland se distendait sous l’afflux sanguin,
prenant la forme d’une balle fendue. Sabine en rajouta, caressant doucement
les testicules et la base du gland qui n’en finissait pas de grossir.
François grognait dans son bâillon, mélange de souffrance et de jouissance
qu’il ne pouvait atteindre, faute au bondage. Sabine me dit de m’agenouiller
sur le lit, elle amena François derrière moi et après une dernière caresse
sur le gland avec une huile épaisse qui l’amena aux limites de
l’éjaculation, elle présenta son gland déformé, prêt à exploser, à l’entrée
de mon vagin. Passant derrière François, elle m’attrapa par les hanches et
le poussant lentement mais fermement, elle le fit pénétrer. C’était énorme
et à la fois très court, le reste de la verge étant toujours bondé. Le
premier effet de surprise passé, je resserrais mes muscles intimes sur la
verge, n’ayant plus qu’une boule au fond de moi qui montait et descendait au
rythme donné par Sabine :

 » Les japonais font la même chose, artificiellement, avec des boules : les
boules de geisha…, expliquait-elle, c’est tellement plus naturel comme ça,
vous ne trouvez pas …l’un ..et l’autre ?  »

Ni François bâillonné, ni moi en train de hurler mon plaisir et de partir au
septième ciel ne répondirent. Quand j’arrêtais de râler, Sabine retira
François, lui desserra lentement le fourreau qui le congestionnait et
l’assis sur un pouf. Le quittant haletant et défait, elle revint avec un
seau rempli de glace dans lequel elle enfouit son sexe. Contrairement à ce
que je pensais, ce traitement eut l’air de le soulager à tel point qu’il se
remit à gémir comme s’il allait jouir dans la glace… Sabine me demanda de
m’occuper de lui en l’allongeant, nu, sur le ventre, les pieds et les mains
attachés aux montants. Avant d’obéir, j’embrassais longuement François pour
le remercier du plaisir qu’il m’avait procuré. Nos langues se mêlaient
furieusement tandis qu’il me serrait dans ses bras, frottant son corps nu
sur ma fourrure. Pendant ce temps, Sabine s’occupait de Maud, qui avait
assister à toute la scène. Elle la détacha et l’emmena dans un coin de la
pièce où elle l’installa sur l’ours en peluche. J’entendis Maud gémir, et
ronchonner en engloutissant le gode encapuchonné… J’avais aperçu Sabin
placer un manchon en renard, nettement plus gros que celui en vison, que
j’avais eu ….
Revenant vers nous, elle me demanda :

 » On ne peut pas le laisser comme ça, on le termine…  »
Elle contempla un moment le corps attaché en X enfoui dans l’épais
couvre-lit de guanaco, elle lui retira le manchon du visage et le bâillon.
Il tourna la tête de droite à gauche, reprenant pied dans la réalité.
Bizarrement, elle se déchaussa et saisissant ses mules à talons hauts
s’approcha de François ; elle commença à lui caresser le visage avec le
dessus, puis l’intérieur fourré, elle précisa ses mouvements sur le nez et
la bouche qui essayaient de plus en plus à happer, qui, l’odeur par des
respirations haletantes, qui, le goût par des coups de langues ou de dents.
Petit animal, à la recherche du nid chaud et bienfaiteur, la tête de
François passait d’une mule à l’autre, geignant et se frottant de plus en
plus vite le ventre sur la couverture, les membres secoués de spasmes
annonciateurs d’une proche libération. Sabine arrêtant ces caresses, plaça
une mule contre le visage quémandeur et me demanda de me déchausser.
J’obtempérais, étonnée…

– Oui… même presque trop bien…
– Alors tu vas accepté sa jouissance ?
– Oui, bien sûr, mais…
– Place son sexe dans une de tes mules… je n’ai déjà pas envie qu’il salisse
ma couverture, son foutre garnira très bien ta chausse que tu remettras
aussitôt, souvenir de votre double plaisir…  »

Je glissais ma mule entre le ventre et la couverture et la dirigeais pour y
faire pénétrer la verge qui me fit tant de bien : un spasme accueillit cette
conque. Sabine … et moi… restèrent quelques secondes, minutes… (que le temps
est incontrôlable dans ces moments là) à ne plus bouger, à le regarder pris
dans ses liens et surtout dans ces deux mules qui l’appréhendaient tout
entier. Sabine, me faisant signe de faire de même, ramassa par le talon sa
deuxième mule et commença à lui caresser les fesses de la semelle,
descendant, elle caressait du cuir ou de la fourrure l’anus et les
testicules, remontant elle claquait sèchement la fesse offerte, cherchant au
fur et à mesure des frappes la raie, les couilles… Je scandais de l’autre
côté, cherchant à suivre le rythme de Sabine. François ne gémissait plus, il
hurlait de plaisir pris entre son nez qui respirait à grand coup, sa bouche
qui ne savait que faire entre mordiller et lécher, son sexe qui frottait
l’intérieur de ce  » faux sexe  » si doux, qui avait reçu le pied de l’être
aimé, et le mélange de coups et de caresses qui le chauffaient.

C’était une véritable fessée, bien plus forte que celle que j’avais infligée
à Maud, alternant les moments violents et les accalmies. Les fesses se
teintèrent très vite en rouge vif… François se tendit en arc… et lâcha ses
flèches à long jets…

Sabine le détacha, récupéra sa mule humide de baisers, la mienne gorgée de
foutre et me la tendant me fit signe de me rechausser comme elle-même.
C’était humide, un peu froid, à prime abord très désagréable, mais c’était
quand même le résultat d’une jouissance à deux et j’étais obligée de m’en
souvenir…

7

Sabine proposa à François de garder les mules en vison qu’il portait et lui
offrit une culotte de peau… retournée en lui conseilla de ne pas la porter
trop longtemps : la chaleur à cet endroit, cassant les prouesses viriles… et
lui proposa de revenir quand il voudrait, seul ou avec l’une d’entre nous.
Il accepta avec bonheur. Maud s’endormait, repue de plaisir dans les bras de
 » nounours « , Sabine la détacha, la dégagea doucement et lui tendit ses
vêtements. Une veste, semblable à la mienne les accompagnait… Il allait être
difficile pour nous de les porter en même temps ou au même endroit… à moins
que ce ne devienne un signe de reconnaissance :  » les esclaves de la
fourrure.  »

De nouveau seule avec moi, Sabine m’annonça que la journée n’était pas
terminée pour moi et que mon éducation allait continuer. Elle me remit mon
collier, changea mon manteau pour celui qui avait les manches attachées dans
le dos et me remit un manchon sur le visage. Me tirant par ma laisse, je
sentis qu’elle m’emmener dehors ; je grognais à travers la fourrure qu’elle
m’avait laissé mes mules d’intérieur :

 » Aucune importance, c’est très bien comme ça pour là où nous allons…  »
Elle me fit grimper dans sa voiture et m’allongea sur la banquette arrière
Elle relia mes chevilles à mes poignets par deux paires de bracelets. Je
passais ainsi un temps qui me parut interminable. Le manteau soulevé, une
claque sur chaque fesse me rendit à la réalité,
et la voiture démarra, trajet assez court, mais sur des routes puis des
chemins de plus en plus mal entretenus, aveuglée et ligotée, je tressautais
sur ma banquette… Arrêt. J’entendis un couple..

 » Oh ! Sabine, toujours aussi magnifique, et ce vison te va à ravir, disait
l’homme en l’embrassant
– Qu’est ce qui t’amènes ? demanda la femme.
– Demande-moi plutôt ce que je vous amène….
Un silence, un bruit de gravillons s’approchant de la voiture et Sabine :

 » Occupez vous bien d’elle, elle a encore beaucoup de choses à apprendre…  »

Me détachant les jambes, on me saisit sous les bras pour me sortir de la
voiture.
Attachée, la tête toujours dans le manchon en fourrure, je ne savais où
j’allais. Trébuchant dans mes mules sur le sol irrégulier, je devais
m’appuyer sur les bras qui me soutenaient ; une porte, un carrelage qui
claquait sous mes pas, un escalier et on enleva la fourrure que j’avais sur
le visage :

 » Il paraîtrait que tu aurais encore des tas de choses à apprendre…  »
Interloquée, je bafouillais. Je me trouvais dans une chambre, où il y a
avait autant de fourrure que chez Sabine. La femme me poussa sur le lit. Il
sourit, s’approcha de moi, ouvrit son pantalon, mit un manchon de fourrure
sur son sexe, avec le gland qui dépassait, et l’introduisit dans ma bouche.
Pendant ce temps, la femme caressait mes fesses, glissait entre elles,
faisait rouler doucement mon clitoris remontait sur le reste de mon corps,
en disant que Sabine avait de la chance de m’avoir. Le mari, plaisantant :

 » C’est nous qui l’avons aujourd’hui  »

Je commençais à craindre la suite des évènements : j’aimais jouer les
soumises… mais seulement jouer… qu’allait me demander ce couple qui était là
pour  » finir mon éducation  » …

8

 » Déshabille-toi !  » La voix ordonnait, oui, mais en même temps demandait.

 » Tu sais ce qu’a dit Sabine…  »

La menace était recouverte d’humour. Je me laissais faire. Il alla chercher
une nuisette transparente bordée d’hermine qui me laissait les seins libres
posés sur une bordure de fourrure et échangea mes mules fermées, contre une
paire, ouverte, duveteuses et fourrées, mes doigts de pied pointaient comme
des oisillons sortis du nid. Il m’installa à genoux sur le lit, sa femme
vint prendre place devant moi, cuisses écartées, offrant à ma bouche son
intimité recouverte d’une culotte en peau retournée, la fourrure en contact
avec son sexe ; tendrement elle me prit la tête et doucement l’attira vers
elle ; je compris rapidement ce qu’elle attendait de moi : de mouvements de
haut en bas, utilisant mon nez ainsi que ma bouche, frottant, mordillant sa
vulve à travers le slip fourré, passant à des mouvements tournant autour de
son clitoris avec mon menton, je lui suscitais des jappements de bonheur.
Toute préoccupée, et à vrai dire émoustillée par ces exercices où je
reprenais un certain pouvoir, je fus brutalement surprise par une vague de
chaleur qui me montait du sexe jusqu’au creux des reins : l’homme m’avait on
ne peut plus délicatement pénétrée de son sexe, couvert de fourrure, et d’un
gode. Je ne savais plus lequel me prenait où ; ils remuaient lentement,
profondément, tournant alternativement, l’un puis l’autre au fond de mon, de
mes intimités. Du plaisir que je distribuais avec mon visage à celui qui se
distillait dans tout mon corps, je ne sais lequel m’amena à un orgasme d’une
violence jusqu’alors insoupçonnée, orgasme doublé par celui de la femme qui
cria tandis que je ne pouvais que gémir la bouche enfouie dans la culotte
détrempée de la femme.
Je sentis l’homme se retirer (doublement) lentement, j’étais sidérée du
plaisir qu’il m’avait donné, je devrais dire  » ils « , car le traitement que
la femme m’imposait, m’avait excitée tout autant que celui que je recevais.
Je me retournais, l’homme avait retiré son fourreau et caressait doucement
son érection :

 » Prends une de tes mules et caresse-moi…  »

Un peu étonnée, je retirais une mule et la tenant par le talon je parcourais
doucement son sexe, passant délicatement le duvet sur ses couilles,
remontant sur la hampe, tournant autour, mettant la semelle froide au
contact de son gland qui devenait de plus en plus turgescent, puis de ses
testicules. Pendant que je continuais ce traitement, il me regardait opérer.
Sa femme s’était levée, placée derrière lui et frottant ses seins lourds
contre son dos, elle lui caressait les tétons. L’homme tressaillait de
mouvements copulatifs, elle me dit d’une voix rauque et péremptoire :  »
enfile-lui ta mule  » Un instant désarçonnée, je compris aux mouvements de
l’homme ce qu’il désirait. Je fis pénétrer son sexe qui n’arrêtait pas de
gonfler à l’intérieur de ma mule. Doucement, avec des retours en arrière et
des avancées de plus en plus longues, je finis par faire apparaître son
gland, puis à le faire sortir au bout de ma mule. Il était congestionné et
palpitait sous mes doigts. La femme s’était mise à pincer les tétons, à les
faire rouler entre ses doigts.  » Finis-le !  » Interdite, je continuais à
remuer doucement les mains qui entourait le fourreau emprisonnant ce sexe
palpitant.
 » Branle-le !  » s’écria-t-elle, impatiente. Elle avait pris le gode qui
m’avait fait jouir et après l’avoir frotté entre les fesses de son mari
l’introduisait lentement

Je comprenais enfin ce qui m’était demandé. Au vue des situations que
j’avais connues jusque là, j’étais très étonnée : qu’on se serve de moi pour
le plaisir, mais qu’on me demande d’en procurer…

… Je serrais le sexe dans la mule, laissant sortir le gland afin que la
fourrure et le duvet en caresse la base, la plat fourrée frottant les
couilles, je montais, descendais de plus en plus vite tandis que sa femme
accompagnait le mouvement d’une main tandis que l’autre martyrisait le téton
entre deux ongles. Le résultat ne se fit pas attendre, et je fus arrosée de
multiples jets de jouissance. Se retournant brutalement, il écarta la
culotte de sa femme et la pénétra, debout, devant le lit d’où je les
regardais, légèrement hagarde. Après quelques mouvements saccadés, elle se
retrouva les jambes nouées autour de ses hanches, montant et descendant
autour d’un sexe qui après avoir reçu semblait ne pouvoir s’arrêter de
donner…

…Ils crièrent ensemble et s’écroulèrent sur le lit. Quelques instants, ils
restèrent inertes puis éclatèrent de rire, m’entraînant dans leur roulis, le
lit devint bateau ivre, les caresses et les baisers devinrent tendresse…

9

…. Cette année-là, je revins très souvent voir Sabine et ses amis,
quelquefois avec François ou Maud. J’obtenais mon bac… avec mention… et une
capacité à appréhender le plaisir, en le recevant, sans honte ni fausse
pudeur, mais aussi en le prodiguant, bien sûr en utilisant fourrure et
différents accessoires vestimentaires ou autres, mais en sachant utiliser
mon corps, réceptacle et donateur… La vie s’ouvrait devant moi…

barain

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3 réponses à Ça a commencé ce soir… par Barain24

  1. stein dit :

    ça dans l’histoire, c’est terrible!…J’en ai joui dans mon shorty! Je redonne l’extrait:
    « Je glissais ma mule entre le ventre et la couverture et la dirigeais pour y
    faire pénétrer la verge qui me fit tant de bien : un spasme accueillit cette
    conque. Sabine … et moi… restèrent quelques secondes, minutes… (que le temps
    est incontrôlable dans ces moments là) à ne plus bouger, à le regarder pris
    dans ses liens et surtout dans ces deux mules qui l’appréhendaient tout
    entier. Sabine, me faisant signe de faire de même, ramassa par le talon sa
    deuxième mule et commença à lui caresser les fesses de la semelle,
    descendant, elle caressait du cuir ou de la fourrure l’anus et les
    testicules, remontant elle claquait sèchement la fesse offerte, cherchant au
    fur et à mesure des frappes la raie, les couilles… Je scandais de l’autre
    côté, cherchant à suivre le rythme de Sabine. François ne gémissait plus, il
    hurlait de plaisir pris entre son nez qui respirait à grand coup, sa bouche
    qui ne savait que faire entre mordiller et lécher, son sexe qui frottait
    l’intérieur de ce » faux sexe » si doux, qui avait reçu le pied de l’être
    aimé, et le mélange de coups et de caresses qui le chauffaient.

    C’était une véritable fessée, bien plus forte que celle que j’avais infligée
    à Maud, alternant les moments violents et les accalmies. Les fesses se
    teintèrent très vite en rouge vif… François se tendit en arc… et lâcha ses
    flèches à long jets… »
    Jouir dans une mule en étant fessé par l’autre! Je voudrais tellement vivre ça! C’est possible, même tarifé? Je suis dans l’Hérault, parfois à Paris…Que la divine soft dominatrice qui veut me faire ça m’écrive à xxxxxxxxx Je veux pas mourir sans connaitre ça!

  2. asiabelle dit :

    Le fétichisme de la fourrure. pas très politiquement correct ce truc !

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