Bacchanales estivales : Leslie se mouille par pilouface

Bacchanales estivales
Leslie se mouille
par pilouface


Il y avait foule sur ce bord de mer pour assister au feu d’artifice annuel du 14 Juillet. Les estivants aimaient ce rendez-vous incontournable de l’été, où chacun pouvait s’extasier sur le « Sons et lumières » que la commune organisait chaque année.

J’étais seule pourtant je m’amusais beaucoup, parlant de tout et de rien avec ceux que les mouvements de foule m’amenaient à côtoyer. Quelques garçons, ayant repéré ma solitude, tentaient leur chance pour une drague plus ou moins appuyée. J’eus même quelques mains aux fesses, que je tachais gérer de mes yeux revolvers.  » Oh, excusez-moi disaient-ils, j’ai été poussé « . Poussés peut-être, mais en utilisant leurs mains en guise de pare-chocs quand l’obstacle n’est autre qu’une paire de ravissantes petites fesses rondes et charnues. Ce n’était pas tout à fait innocent.

C’est à la suite d’une de ces mains baladeuses, que j’avais repoussée avec fermeté, qu’une voix féminine venant de l’arrière, me dit :

– Il est gonflé celui-là, cela faisait bien cinq minutes qu’il était derrière vous à reluquer vos fesses.

Je me retournai vers la voix féminine ayant prononcé ces paroles. Elle avait à peu près mon âge, vingt-cinq ans à vue de nez. Son large sourire me la rendit immédiatement sympathique.

– Je ne sais pas ce qu’ils ont ce soir, mais j’ai l’impression que mes fesses les attirent bien plus que le feu d’artifice.

Elle se penche vers moi et me chuchote à l’oreille en riant :
– C’est un feu d’artifesses, si j’étais un homme, j’aurais moi aussi bien du mal à résister à cet attrait. Je vous offre un verre, voulez-vous ? La buvette est désertée, c’est le moment d’en profiter.

Je restai un moment, interloquée face à son sourire désarmant. Je l’ai suivi. Nous avons bu quelques verres de bière. Nous avons discuté des vacances, puis de nos vies en oubliant totalement les explosions multicolores qui parsemaient le ciel. Jamais encore je n’avais ressenti cette pulsion irraisonnée vers une fille. Tout en elle me charmait. Ses cheveux blonds coupés ultra courts, son rire éclatant, son avis un peu tranché sur tous les sujets que l’on abordait. Elle était un savant mélange de toutes les qualités que j’aime chez un homme ou une femme. Elle me disait que,  » bien foutue comme j’étais « , je devais avoir une foule de gars à mes pieds. Ce qui évidemment n’était pas le cas.  »

– Tu sais répondis-je, les gars, tant que l’on n’a pas vraiment craqué sur un, il ne faut pas trop en attendre.  »
– Moi, j’ai tendance à craquer sur tout ce qui bouge : Une belle gueule, un sourire enjôleur, un joli petit cul …

Elle approcha alors son visage du mien, en me disant :

– Un peu comme le tien, tout ça me chavire le cœur, et souvent bien plus.

J’en restai bouche bée, ne sachant que répondre. C’était bien la première fois qu’une fille me faisait des avances à peine déguisées.

Si l’idée m’avait parfois effleurée, jamais je n’avais pu imaginer passer d’un fantasme embryonnaire à la réalité. Voyant le trouble dans lequel elle m’avait plongée, elle tenta de rattraper sa maladresse :

– Je ne t’ai pas choquée au moins. Tu sais, je parle souvent avant de réfléchir par souci de sincérité et je peux heurter des esprits rigoristes.
– Je ne suis pas rigide et tu n’as rien dit de vraiment déplaisant, répliquai-je pour dédramatiser, au contraire c’est plutôt un compliment.
– Tu me rassures. Je crois toujours que lorsqu’une fille me plaît, elle doit être un peu bi, comme moi.
– Heu…Non… Ce n’est pas mon cas, et je rajoutai en riant : Pas encore.
– C’est la plus belle phrase que j’ai entendue dans ma vie. Tu es adorable. Mais tu ne m’as encore dit ton prénom.
– Leslie et toi ?
– Leslie, qui fait tourner la tête aux organistes ?
– Je ne comprends pas.
– Ne cherche pas, c’est un peu ésotérique. Moi c’est Mona.
– Quand tu te caches, tu te terres ?
– Mona s’ terre, oui elle est bonne, mais pas comme un moine. Leslie je t’offre un autre verre pour arroser notre rencontre.
– Je suis déjà à ma quatrième bière, je ne sais pas si c’est raisonnable.
– Moi aussi, j’ai bu la même chose que toi, on ne risque seulement que d’avoir une grosse envie d’ici peu.

J’ai suivi Mona jusqu’au bar en plein air. Elle faisait de grands gestes pour appeler le barman qui était complètement débordé. Je me suis surprise à poser les yeux sur son cul. Son jean serré la moulait jusqu’entre les fesses, dessinant d’une manière presque indécente son intimité. Je me suis demandée si elle ne faisait pas exprès de le gigoter, de fort belle façon ma foi, me sachant derrière elle, afin de m’émoustiller.

J’en fus troublée, surtout après ce qu’elle venait de me dire sur sa sexualité. Elle réussit enfin à se faire servir ses deux verres dans la bousculade, et se retourna vers moi la mine épanouie.

– On les aura bien méritées, ces bières.
– Éloignons-nous un peu, il y a trop de monde, nous sommes bousculées de toutes parts.

Le feu d’artifice étant terminé, la foule s’était précipitée vers la buvette. Je proposai à Mona d’aller sur les rochers de l’autre côté de la pointe, cela nous ferait marcher un peu pour éliminer notre excès de boisson.

– Je n’ai pas à conduire, donc je n’ai rien à craindre, mais si tu veux, tu peux dormir chez moi ce soir.
– Merci pour l’invitation, mais elle demande réflexion, répondis-je. Bien sûr je vais être obligée de me taper quatre kilomètres à pieds, car je dois avoir dépassé largement la dose d’alcool autorisée, mais c’est bon pour la ligne.
– Tu rigoles, ta ligne est idéale, il n’y a rien à enlever.

Disant, cela, Mona, d’une caresse légère suivit la courbe de mes hanches jusqu’à mes fesses. Je la laissai faire. Arrivés près de la côte sauvage, nous nous installâmes face à la mer dans une anfractuosité de rocher. Loin du monde et des regards inopportuns, mon cœur commençait à battre la chamade. Je me doutais que ma nouvelle amie allait passer à l’attaque. Je l’espérais et en même temps j’avais un trac fou.

Je me laissais aller en m’asseyant, m’étirant, les bras en arrière, allongeant mes jambes, laissant mes cuisses découvertes, les seins pointant vers les rayons de lune. Mona me regardait en souriant. Son regard parcourait mon corps, s’attardant sur mes seins, sur mes cuisses.

– Tu es belle, Leslie.

Sa voix toute douce perçait à peine le murmure des vagues.
– Merci, moi aussi je te trouve belle.
– J’ai envie de t’embrasser, je peux ?

Pour toute réponse j’approchai mon visage du sien, et le désir fit le reste. Ses lèvres ne restèrent fermées qu’une fraction de seconde. L’instant d’après nos langues se mélangèrent avidement. Ce baiser déclencha une excitation que nous ne pouvions plus contrôler, l’une comme l’autre.

Sa main entre mes cuisses, écartait mon petit bout de culotte. Je me sentais couler sur ses doigts. Son jean trop serré se révélant infranchissable dans l’urgence, je soulevai son tee-shirt pour empoigner ses seins. La fièvre de nos corps était à son comble.

Mona ouvrit elle-même son jean pour me laisser la voie libre. Je m’y précipitai sans attendre, sentant avec ravissement son sexe entièrement épilé, lisse comme celui d’une petite fille. Je retrouvais les émois de mes premières caresses sur mon minou d’adolescente. Je n’avais jamais osé m’épiler à part le maillot bien sûr.

Une seule chose gâchait un peu mon plaisir. Une envie de faire pipi se faisait tellement pressante que je l’avouai à Mona.

– Je ne peux plus me retenir, Mona, si j’attends une minute de plus je vais gicler.
– Vas-y, ne te retiens pas, laisse-toi aller.
– Mais ta main, je vais faire dessus. Je ne peux pas faire pipi comme cela, allongée contre toi. Je vais mouiller partout.
– Ce n’est pas grave ma chérie, nous nous changerons chez moi.

La perverse, au lieu de retirer sa main, fourra au moins trois doigts profondément dans ma chatte. De l’autre main, elle pressait contre mon ventre. Malgré l’envie qui me tenaillait le ventre, je ne pouvais me décider à satisfaire sa demande.

– Pousse ma chérie, laisse toi aller, me soufflait Mona dans l’oreille. Je le ferai en même temps que toi.

Instinctivement je retirai ma main logée entre ses cuisses.

– Non laisse ta main, baise-moi avec tes doigts je vais t’arroser moi aussi.

Aussitôt dit, aussitôt fait. Je sentis un jet chaud entre mes doigts. Cela libéra mon blocage et mon jet suivit le sien en quelques secondes.

– Pisse sur moi Leslie, arrose-moi, mouille-moi, trempe-moi, disait Mona d’une voix rauque.
– C’est fou Mona, je suis tout excitée, ça coule partout et au lieu de me gêner, j’en redemande. J’aurais même aimé y mettre ma langue. C’est trop tard, mais tu viens de me donner une terrible envie de recommencer.
– Tout à l’heure chez moi, si tu veux.

Ma robe qui était relevée au-dessus de ma taille n’avait pas trop souffert de l’averse. Comme Mona avait enlevé ma culotte, j’étais pour ainsi dire indemne de notre folie commune. Par contre Mona avait le jean et le string aux genoux, trempés. Mona ne put s’empêcher de fourrer sa bouche entre mes cuisses. Elle essuya mon débordement d’une langue agile, qui me fit tressauter de plaisir.

Je ne voulais pas être en reste. Alors qu’hier encore cette action m’aurait rebutée, je me jetai à mon tour entre ses cuisses ouvertes, et léchai son sexe dégoulinant, d’un mélange de son jus d’amour et de pipi. A ma grande surprise, je trouvai le cocktail délicieux. Je pris son clito entre mes lèvres, mais Mona interrompit mon élan d’excitation en disant :

– Il est temps de rentrer Leslie, nous continuerons chez moi, et je te promets une soirée comme tu n’en as jamais vécue.
– C’est déjà le cas, Mona.

Elle se releva remonta son jean mouillé sur elle, en le reboutonnant avec difficulté. Trempé, le jean révélait son sexe et ses fesses d’une façon adorablement obscène. Cette fois, c’est sans aucune timidité que je passai ma main entre ses cuisses pour tâter le renflement de ses grandes lèvres. Je ne pris pas la peine de remettre ma culotte. Mona la fourra prestement dans sa poche.

– C’est excitant de te savoir les fesses à l’air sous ta petite robe, Leslie, dit mon amie en insinuant un doigt entre mes fesses sans défenses. Au moindre souffle de vent tout le monde pourra voir ton joli petit cul.
– Primo, il fait nuit, secundo il n’y a plus personne sur le bord de mer, et tertio il n’y a pas un brin de vent, répondis-je en riant.
– Je serai donc la seule à en profiter, rajouta Mona en soulevant ma robe jusqu’à la taille.

Elle remonta encore ses mains en me pétrissant les seins. Elle dégrafa mon soutien-gorge et après quelques savantes manœuvres Leslie exhiba fièrement mon soutif qui rejoignit mon slip au fond de sa poche. Elle suçait mes tétons alternativement comme si sa survie en dépendait. Ma robe remontée jusqu’aux épaules laissait mon corps tout entier à la merci de ses caresses. Je poussais la complaisance en livrant mon corps dans son impudeur délicieuse. J’imaginais un regard indiscret caché dans la pénombre de la nuit. Je l’imaginais homme, se masturbant vigoureusement à la vue de mes seins érigés, de mes cuisses écartées, de mes fesses offertes. Profitant d’une pause dans l’appétit gourmand de mon amie, je tendis l’oreille. Aucun bruit ne révéla l’éventuelle présence crainte et désirée d’un voyeur ou voyeuse occasionnelle.

J’en fis part à Mona en repartant sur le chemin qui menait à la petite maison qu’elle habitait pour les vacances. Elle fut ravie de découvrir en moi, cette tendance enfouie d’exhibitionnisme. Mona me raconta des histoires salaces qui me faisaient rire aux éclats.

Elle me raconta que souvent très tard le soir, elle se promenait sur ce chemin côtier, vêtue d’une seule petite robe sans rien dessous. Les seins en liberté et les fesses à l’air, elle se masturbait en marchant jusqu’à ce que, le plaisir lui coupe les jambes au point de s’effondrer sur le bord du chemin. C’est divin, me disait-elle, une sensation rare. Il lui arrivait aussi après avoir bien bu comme ce soir de marcher en pissant debout sans s’arrêter.

– Il faut un peu de volonté et d’entraînement, mais on y arrive, c’est rigolo et excitant, me disait-elle.
– Moi je ne pourrais pas, même en faisant un effort.
– Essaie, tu verras le résultat.
– Mais j’ai déjà giclé, il y a un instant. Je n’ai plus de réserves, ajoutai-je en riant.
– Oh ! A peine une petite giclée sur mes doigts. En regard des nombreuses bières que tu t’es enfilées, il doit t’en rester pas mal là-dedans.

Elle souleva ma robe, et tapota mon ventre nu. Je fis un effort pour soulager ma vessie encore ballonnée, mais le fait de marcher, bloquait mes sphincters.

– Je n’y arrive pas, lui dis-je dépitée.
– Ce n’est pas grave, le principal c’est d’essayer. Je te propose, un autre jeu excitant. Tu continues de marcher et je vais au fur et à mesure t’enfoncer un doigt dans le trou du cul. Si tu peux marcher jusqu’à la maison enculée de la sorte, c’est déjà une petite prouesse.
– Petite vicieuse, j’adore ta perversité, et j’accepte ta proposition.

Aussitôt ma chère amie enfonça son doigt dans ma bouche en disant :

– Lèche-le, ça glissera mieux.

Je mouillai abondamment son doigt, le suçant et l’aspirant comme si je faisais une fellation. Elle me le planta alors sans ménagement entre les fesses. Je m’arrêtai de marcher, un peu surprise par cette enculade improbable.

– Non ma belle, tu dois marcher en même temps.
– Ce n’est pas facile, tu sais. Tu as déjà marché, toi, avec un manche dans le cul ?
– Un manche, non, mais une grosse bite en latex, oui.
– Il faudra que tu me dises un jour ce que tu n’as pas encore fait dans le domaine du sexe.
– En cherchant bien on trouve toujours. Reprends ta marche, je reprendrai l’enfoncement de mon doigt. Je n’ai mis que le bout, je veux te l’enfoncer à fond.

La situation m’amusait et je forçai un peu la dilatation de mon anus pour faciliter son intromission. Je marchais doucement, mais on avançait.

– Et bien Leslie, tu l’as bien à fond mon doigt, tu le sens remuer ton cul ?
– Et comment, que je le sens, on dirait une anguille.
– SI tu peux encore marcher, ma fille, c’est que je ne t’ai pas encore mis suffisamment de doigts dans le cul. Je vais en glisser un deuxième.

Quand Mona m’enfonça à nouveau deux doigts dans le derrière, une petite douleur fit stopper ma marche. Je la repris immédiatement. Mona, me chantonnait dans l’oreille :

« La petite Leslie a deux doigts dans le cul,
Et son amie Mona la ramone, la ramone,
La petite Leslie a deux doigts dans le cul,
Elle aime beaucoup çà et en veut un de plus. « 
Au troisième doigt, je dus me pencher pour accepter cette grosseur nouvelle. Ma position n’était plus compatible avec la marche. Préférant cette sodomie violente à la marche un peu ridicule, je me mis à genoux fesses en l’air, cul ouvert à mon amie sodomite.

– Je ne veux plus marcher mais encule moi à fond, je préfère.
– Il n’en est pas question répondit Manon en me claquant fortement les fesses. Mais je te laisse quelques instants pour t’habituer à la dilatation de ton trou du cul, et après nous aviserons.

Mona garda ses doigts fichés dans mon derrière, en les remuant doucement. Je commençais à les apprécier et à en vouloir plus encore. Je tendais au maximum mes fesses à la rencontre de sa main pour m’empaler jusqu’à la garde.

Mona avait descendu son jean et son string pour que je puisse lui rendre la pareille.

– Mets-moi ta main où tu préfères, ma chérie, dans mon minou ou dans mon trou serré.
– Mais si quelqu’un arrive ?
– Jamais personne ne passe ici cette heure. Ne crains rien.

La petite vicieuse glissa son autre main sous mon ventre et après quelques pincements à l’encontre de mon clito, doubla avec sa main gauche la pénétration de mon ventre. La droite investissait mon cul et la gauche s’en prenait à mon vagin. Je pris un plaisir pervers à triturer son sexe trempé, qui dégoulinait de cyprine. N’ayant qu’une main de libre, l’autre me servant d’appui, je délaissai à regrets le petit trou de son derrière pour me consacrer uniquement à son bouton gonflé qui roulait sous mes doigts.
Elle chantonna à nouveau à mon oreille :

 » La petite Leslie à trois doigts dans le cul
Deux autres dans la chatte lui ont percé le con.
Elle va bien me pisser un petit jet tout dru
Pour arroser ma main et durcir mon bouton. « 
Je ne pus m’empêcher de rire de bon cœur à ses petites comptines improvisées. Mona remuait ses doigts dans mon ventre. Seule une légère paroi de chair séparait ses doigts. Elle frottait et massait mon vagin et mon cul. Elle pressait ma vessie et l’envie de pipi fit naître en moi des frissons de plaisir. J’entamais de ma main une masturbation impérative, titillant mon clito avec fièvre, mêlant mes doigts à ceux de Mona pour me pénétrer la chatte.

– Mouille moi maintenant me soufflait Mona ; gicle, fais pipi, arrose tes doigts et les miens.
– Mais toi, Mona, tu n’as pas joui.

Ses doigts dans mon derrière étaient fichés si profonds qu’ils devaient me toucher la matière. Mais plus rien ne pouvait entraver notre ascension vers l’orgasme. Ma miction était imminente et les frissons bouillonnants envahirent mon ventre. Mon jet doré gicla enfin sur nos mains unies. Je jouissais comme jamais encore je ne l’avais ressenti. J’en oubliai le clito de Mona, qui après avoir laissé s’estomper la vague qui m’avait submergée, se pencha sur moi pour m’offrir un baiser tout chaud et tout mouillé.

– Ma chérie, le moins que l’on puisse dire, c’est que tu ne fais pas semblant quand il s’agit de jouir. Je suis d’autant plus comblée que j’en suis l’instigatrice.
– Mais toi, Mona, tu n’as pas joui.
– Rassure-toi, j’ai la nuit devant moi…

—–
Allongés sur le grand lit de leur chambre à coucher, Leslie et Julien son amant, avaient entrepris de se raconter leurs aventures respectives. Ils avaient fait l’amour deux heures durant. Pour laisser un peu de répit à leurs corps exténués, Julien avait demandé à Leslie de lui raconter son expérience sexuelle la plus folle.

– Comment s’est terminée la soirée ? Demanda Julien à Leslie.
– Je te le raconterai plus tard, mon chéri. A toi maintenant. Raconte-moi un épisode croustillant de tes aventures sexuelles.

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2 réponses à Bacchanales estivales : Leslie se mouille par pilouface

  1. Claire dit :

    C’est mignon, c’est frais, c’est bien raconté, bien que perfectible ! Que demande le peuple ?

  2. Kiroukou dit :

    Un délire uro-lesbien dans un texte non exempt de maladresses mais à l’écriture fort prometteuse, c’est léger, décontracté, souriant, mignon, j’aime beaucoup

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