Bacchanales estivales, deux nénettes en quête de maquette – par Pilouface

– « Ça s’est vraiment passé comme tu me l’a raconté, ou tu enjolives un peu pour m’exciter en mettant le doigt sur mes petits penchants secrets ?
– Je t’assure que tout est vrai et si Mona a fait évoluer ma sexualité, c’est toi qui, maintenant en profite pleinement. Si tu m’avais rencontrée un an plus tôt, tu m’aurais trouvée trop prude et nous n’aurions sans doute pas fait ce bout de chemin ensemble.
– Tu as revu Mona depuis ?
– Depuis que je t’ai rencontré, je ne l’ai pas revue. Pourtant quand je me pelotonne dans mon jardin secret, elle fait toujours partie de mes fantasmes.
– T’arrive-t-il de m’inviter dans tes fantasmes ?
– De temps en temps.
– Ah ! Tu m’intéresses. Quel rôle me fais-tu tenir dans tes Bacchanales oniriques ?
– Chuuut ! Je te le dirai au moment opportun. Maintenant je vais me faire petite souris et me glisser dans le creux de tes souvenirs libidineux. Raconte-moi tout, n’omets rien, et fais-moi mouiller mon amour.

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J’avais fait un remplacement au pied levé pour accompagner aux claviers, deux filles qui chantaient en s’accompagnant à la guitare dans une boîte de nuit. Nous nous sommes entendus tout de suite sur le plan musical. La soirée avait été une vraie réussite et les deux filles, Julie et Léa, étaient enthousiasmées. Nous avions bien arrosé notre satisfaction et, de bisous en bisous nous avions flirté tous les trois ensemble.

A la fin de la soirée elles m’ont demandé si je ne voulais pas les aider à réaliser une maquette pour leur prochain CD. Je n’avais pas grand-chose à mon calendrier et nous bloquâmes quinze jours au mois de juillet. Elles avaient loué un gîte en pleine campagne pour être totalement hors du monde.

Nous sommes donc arrivés après quelques errances et ce, malgré le GPS, à destination.

Le jardin était entouré de hauts murs. Un grand portail de bois en défendait l’entrée.

Un carré de pelouse, des massifs de fleurs, quelques arbres et une allée de gravillon composaient l’essentiel de ce petit paradis.

En entrant dans la maison, j’appréciai la grandeur de la salle commune, ce qui nous permettrait d’installer le matériel, la sono, les micros etc. Les chambres étaient à l’étage.

« C’est bien ce que l’on m’avait assuré, dit Julie, en s’affalant dans le fauteuil le plus proche. C’est la tanière idéale pour bosser et se prendre du bon temps sans être dérangés par qui que ce soit.
– On pourra faire sans problème du bronzage intégral pendant les pauses, ajouta Léa. Heu ! À moins que cela ne te dérange Julien ?
– Il faudrait que je sois faux-cul ou anormal pour être dérangé par la vue d’une belle fille comme toi dans le plus simple appareil.
– Bon, ça s’est dit, et accepté à l’unanimité : pour les bains de soleil, ce sera à poil pour tout le monde. Pas de chichi entre gars et filles. Mais, Julien ne te crois pas obligé pour cela de nous sauter dessus comme la vérole sur le bas clergé.
– Je sais me tenir jolie Léa, même devant une nudité appétissante.
– Qu’en sais-tu si nous sommes appétissantes ? Nous avons peut-être la peau recouverte de gros et vilains boutons.
– Bon, ce n’est pas tout de blablater, dit Julie, mais il faut décharger le matos, et après on se prendra un petit apéro sur la terrasse.

Nous déchargeâmes le matériel, sono, guitares, piano, synthé, micros…

J’étais étonné par le tonus qui se dégageait des deux copines. En une petite heure, tout fut installé dans le fond du salon, les bagages montés dans les chambres. Une pour chaque fille et la troisième pour moi.

– Avant de passer à l’apéro, dit Léa, je vais me mettre à l’aise.
– Je vais avec toi, dit Julie, une petite tenue légère pour la fin de l’après-midi, c’est tout indiqué. Tu ne te changes pas Julien ?
– Si, je fais comme vous.

Je trouvais dans mes affaires un tee-shirt et un bermuda ample que j’enfilai directement sans slip. J’aime bien, pour être vraiment à mon aise sentir mon sexe et mes couilles sans entraves.

Assis sur un fauteuil du salon de jardin, j’attendais l’arrivée des deux filles en fantasmant un peu sur les coquineries qui se pourraient se présenter pendant ce séjour.

Les filles avaient choisi des tenues vraiment légères. Léa avait une robe ou plutôt une tunique qui dévoilait ses cuisses jusqu’à la limite de la décence. Le décolleté échancré laissait entrevoir des seins aux rondeurs prometteuses, à peines cachés par la cascade de ses cheveux bruns. Visiblement elle avait laissé son soutien-gorge dans l’armoire. Les emmanchures ouvertes et flottantes permettaient à mon regard indiscret des perspectives intéressantes sur ses seins, les tétons restant cachés, à mon grand regret.

Julie, la blonde aux cheveux courts avait opté pour un débardeur porté lui aussi sans soutif et un mini short serré qui lui moulait au plus près les fesses et l’abricot dont je pouvais distinguer le renflement des grandes lèvres.

– J’avoue les filles, que je reste sans voix, vous êtes belles et sexy à me couper le souffle.
– Merci pour le compliment dit Léa en s’asseyant.
– Je fais le service répliqua Julie, que voulez-vous boire.

Nous optâmes tous les trois pour la seule boisson disponible à part l’eau, la bière.

Les fauteuils et la table basse avantageaient le joli panorama offert par les jambes nues de Léa. Évidemment mon regard ne pouvait pas ignorer les cuisses magnifiques, que la coquine croisait et décroisait pour mon plus grand plaisir. Elle dévoilait ainsi sans scrupule son petit slip blanc. Julie revint avec les boissons.

J’ai pris aussi la bouteille de whisky, on ne sait jamais quand on aura moins soif. Mais, reprit-elle en regardant ostensiblement la bosse de mon sexe sous mon bermuda, on dirait que notre pianiste chéri est en train de penser à autre chose qu’à la rude tâche qui nous attend.

– Mets-toi à ma place, je ne peux pas rester de marbre.
– Pousse-toi donc un peu, que je me mette à ta place.
– Viens sur mes genoux tu pourras mieux t’en rendre compte.

Je pensais qu’elle se serait dégonflée, mais c’était mal la connaître. Elle posa son plateau sur la table basse et ses fesses sur mes genoux, ou plutôt sur mon bas ventre juste à l’endroit où mon sexe raide revendiquait ses droits en oubliant ses devoirs. Elle ne me fit pas la remarque mais rajusta sa position afin que mon pieu de chair vienne se loger entre ses cuisses. Matant sa copine qui, jambes croisées attendait en souriant, elle dit :

– Décroise les jambes pour voir !
– Voilà, le spectacle vous convient mes chéris ?
– Divin ! Dit Julie
– C’est joli et excitant, dis-je.
– Pourtant, Julien tu n’as pas de chance, aujourd’hui la petite Léa a gardé sa culotte.
– Dommage pour moi.
– Tu peux aussi l’enlever, juste pour nous faire plaisir, dit Julie.
– Je pourrais aussi demander à Julien de baisser son bermuda. Je pourrais ainsi voir ce que toi, tu peux sentir sous tes fesses.
– Tu entends Julien, me dit Julie, je suis complètement d’accord avec elle. Je peux si tu veux t’aider à l’enlever.

Julie se mit debout et écartant la ceinture de mon bermuda plongea la main et empoigna ma queue dressée.

– Ça y est je la sens, je la tiens, chantonna-t-elle en s’adressant à Léa.
– Elle est comment minauda Léa ?
– Dure, chaude, palpitante, un vrai régal.
– Il faut que je m’en rende compte par moi-même, dit-elle en se levant pour rejoindre sa copine.

Une fille de chaque côté, et quelles filles ! Jolies, effrontées, artistes, et ma queue au milieu. Elles la tripotèrent en jouant à se la passer de main en main. L’une pinçant mon gland et l’autre faisant rouler mes couilles. Mon bermuda avait déjà volé loin de nous ainsi que mon tee-shirt. J’étais à poil et elles, habillées.

– Arrêtons les ébats, j’ai soif dit Léa. Nous avons quinze jours devant nous.
– Et quinze nuits, reprit Julie.
– Et beaucoup de pauses entre les enregistrements, complétai-je.

Nous levâmes nos verres à la belle maquette que nous allions réaliser ensemble, et aux petits plaisirs que nous nous permettrons tout au long du séjour.

– Les filles, ce n’est pas que je suis gêné d’être à poil devant vous, mais le principe d’égalité voudrait que vous le fussiez aussi.
– Nous adopterons alors, si tu y consens Julien, le principe de la majorité. Léa et moi avons décidé de rester habillées, pour l’instant. C’est très jouissif pour nous de pouvoir regarder sans pudeur la queue et les fesses d’un homme dans ces circonstances. Pour tout te dire, ça me fait mouiller et j’aime ça. A ta santé Julien
– En compensation, je vais t’offrir un flash de mon cul sans culotte, tu veux ?
– Et comment que je veux !

Léa se retourna, se pencha en avant, releva sa robe dévoilant ainsi ses fesses magnifiques, à peine voilées de son slip blanc. Elle fit alors glisser lentement son slip jusqu’à ses chevilles, leva une jambe puis l’autre pour attraper le morceau de tissu et le lancer à Julie. Celle-ci se pencha alors vers le cul nu de sa copine, et prenant une fesse dans chaque main, écarta tout grand l’ensemble en me dévoilant la plus jolie vallée épilée qu’il m’ait été donné de voir. Une chatte lisse, luisante de mouille révélant l’état d’excitation de la môme, et le petit entonnoir de son trou du cul admirablement dessiné. J’aurais bien pris ma bite à pleine main pour la fourrer sur le champ, mais mon éducation me fit rester impassible. Je me fendis juste d’un compliment vraiment sincère.

– Léa, ton petit trou est sublime, et j’ai pris sur moi pour ne pas me jeter dessus, le lécher, le percer, l’enfourner. Merci quand même pour ce joli morceau de bravoure de ta part.
– Sans ma participation, renchérit Julie, ton plaisir serait resté à l’état embryonnaire.
– Merci Julie.
– Maintenant on change de sujet dit Léa, parlons musique.
– Tu veux remettre ta culotte pour parler musique ?
– Non, ça me plaît de rester les fesses à l’air, à la limite du visible et je serai ravie de surprendre le regard de julien à chaque fois que je croiserai les jambes. L’angle de sa queue avec la verticale sera un bon baromètre de ma prestation.

Nous entamâmes la discussion sur le nombre de titres à enregistrer. Gardaient-elles les arrangements qu’elles faisaient sur scène. J’avais pour ma part quelques idées pour apporter une autre couleur à certains morceaux. Nous avions presque oublié notre débordement exhibitionniste. Pourtant Léa prit garde à me dévoiler régulièrement ses trésors et ma queue se redressa donc plus d’une fois en hommage à cette vision délicieuse. Mon voyeurisme était largement satisfait par l’entrecuisse de Léa, mais Julie n’avait encore rien dévoilé et je mourrais d’envie de voir ses jolis seins bien pommés. Je lui en fis la remarque.

– « Julie, tu restes bien prude face à Léa et moi qui nous excitons mutuellement.
– C’est vrai, mais je suis aussi excitée que vous. Je suis plus voyeuse qu’exhibitionniste. Je préfère la vue de l’autre à son regard.
– Tu es pourtant très belle et très sexy, tu nous prives d’un grand plaisir.
– Je vais donc faire une entorse à mes principes, je vais enlever le haut. Voilà, cher Julien votre topless est servi. »

Elle fit voler son débardeur par-dessus-tête et redressa fièrement ses seins magnifiques.

– « Tu es vraiment très belle Julie, je meurs d’envie de les caresser.
– Tu peux satisfaire ton envie, mais évite quand même d’en mourir, dit Julie en riant. Mais peut-être que Léa va être jalouse ?
– Jalouse de qui ? Demandai-je, de toi ou de moi.
– Des deux, reprit Léa, mais je saurai attendre. »

Je pris Julie par la main et l’asseyant sur mes genoux face à moi, je me mis à lui peloter doucement les seins. Un vrai bonheur que la douceur et la tiédeur de ses seins. J’écrasai sa poitrine contre moi et glissai une main par derrière sous l’élastique de son short. Je glissai la main entre ses fesses sans que la belle ne s’en offusque. Au contraire elle me roula un patin en faisant frétiller sa langue contre la mienne. L’excitation passa alors à la vitesse supérieure, et Julie en quelques secondes se débarrassa de son short, empoigna ma queue et s’empala dessus.

– « Whaou ! Quel spectacle de choix dit Léa, vous m’excitez bien tous les deux. Ça ne te dérange pas Julien, si je me caresse en vous regardant.
– Oh que non ! Dis-je. Je ne peux imaginer un plaisir plus grand que celui de baiser la belle Julie tout en regardant la séduisante Léa se branler devant moi. »

Léa releva sa robe jusqu’à la taille et ouvrit grand ses cuisses pour m’offrir la primeur de sa masturbation. Julie dirigeait la manœuvre en montant et descendant de plus en plus vite sur ma queue raide.

– « Plante lui un doigt dans le cul me dit Léa d’une voix sirupeuse, elle adore ça. »

J’obtempérai immédiatement en écartant les fesses de ma belle échevelée. Sa position à cheval sur mes cuisses, fesses largement écartées, facilita mon enculage. Je poussai mon doigt dans son trou du cul bien dilaté, preuve de la coopération totale de la belle Julie. Mon index avalé jusqu’à la garde par son anus gourmand, je sentais coulisser ma bite dans son vagin.

– « Baise moi et Encule moi bien fort, criait à mon oreille ma Walkyrie adorée. »

La chevauchée fantastique commençait à fatiguer ma cavalière, et elle s’écroula sur moi avant l’orgasme.

– « Je suis rompue, me dit-elle dans un soupir amoureux, allonge moi sur l’herbe, prend le relais en assumant la manœuvre, et amène moi au septième ciel. »

Julie s’écroula sur la pelouse les cuisses écartées en me tendant les bras. Je m’étendis sur elle comme un bon missionnaire, pour reprendre notre cavalcade, là où nous l’avions laissée. Elle noua ses jambes autours de mes reins, en me disant :

– « Doucement, pour commencer, recommençons en douceur. »

Après l’avoir pénétrée avec douceur, je sentis soudain une main sur mes fesses. Léa s’était levée pour nous rejoindre. Complice de notre tendresse soudaine, elle glissa une main entre mes fesses. Je ne pus réprimer un léger sursaut quand son doigt se faufila jusqu’à mon anus. De son autre main elle me caressait les couilles.

– « Que fait Léa ? Chuchota Julie à mon oreille entre deux soupirs.
– Je crois bien qu’elle m’encule, répondis-je sur le même ton de la confidence.
– Tu aimes ?
– Ce n’est pas désagréable quand la main est experte et d’après ce que je ressens, Léa est une experte dans l’art de faire jouir les hommes dans leur intimité postérieure.
– Elle va te faire un massage de prostate, je le pressens.
– Oui en effet et c’est bon.

C’était très bon, et j’accélérai le rythme de mes coups de reins contre le ventre de Julie. Léa tenait bien son doigt au fond de mon cul malgré les soubresauts de mes fesses. J’image d’un cow-boy de rodéo, rivé à son cheval sauvage me traversa l’esprit.
– Mets-lui deux doigts de plus cria soudain Julie à sa copine, je vais jouir »

C’est avec trois doigts de Léa au fond de mon cul que je jouis à l’unisson en cognant avec force les cuisses relevées de Julie. Respectant un instant notre retombée de l’après jouissance, Léa retira doucement ses doigts de mon cul en disant :

« J’ai joui presque aussi fort que vous, et je vais vous offrir le dessert. J’ai les doigts un peu maculés, et je vais les laver devant vous. »

Ce disant, Léa, la robe toujours retroussée jusqu’à la taille s’accroupit cuisses ouvertes devant nous. Elle mit ses mains devant sa chatte et se mit à pisser sur ses doigts en les frottant comme pour les laver sous un robinet. J’étais subjugué par ce jet de pipi qui jaillissait avec force d’entre ses lèvres empourprées. Elle, fière de son effet de surprise arborait un large sourire à notre attention. Quand les dernières gouttes furent taries, elle demanda à Julie :

– « Tu veux bien terminer, il me reste quelques traces.
– Il me reste aussi quelques traces, repris-je. Je veux bien utiliser aussi cette source appétissante.
– Allez-y tous les deux, dit Julie en se relevant j’ai une bonne réserve. »

Quel moment sublime ! Julie debout écarta largement les lèvres de son sexe. Nous étions Léa et moi, le regard rivé, les mains prêtes à recevoir cette ablution impudique. Le pipi jaillit. Julie était tout sourire devant notre avidité d’éclaboussures dorées. Je ne pus m’empêcher de fourrer mes doigts à l’origine de cette douche tiède, brisant le jet et privant Léa de sa part. Elle réagit immédiatement en joignant ses doigts aux miens dans les chairs nacrées de la pisseuse. Rien n’est plus éphémère que ce jaillissement doré. Je complétais l’érotisme de la situation en me léchant les doigts, puis ceux de Léa puis ceux de Julie. Voulant boire le calice jusqu’à la lie, j’entrepris de lécher avidement la chatte de Julie, puis celle de Léa.

– « Je crois dit Léa à son amie que nous avons trouvé en Julien un partenaire de choix. Mais s’il nous gratifiait lui aussi d’une pissée masculine.
– Ok Julien ! reprit Julie, c’est moi qui tiendrai ta bite pendant cette adorable miction. »

Elle prit délicatement ma queue entre ses doigts et la mit dans l’axe de Léa, qui attendait les mains réunies en conque, le troisième jet.

Si je n’avais pas éjaculé quelques instants auparavant, j’aurais bandé aussitôt en prenant conscience de cette situation que je n’avais jamais imaginée dans mes fantasmes les plus fous. Mon jet partit. Julie s’amusait à le diriger des mains de Léa vers ses cuisses nues en même sur sa petite robe retroussée. Nos rires cachaient je crois, une émotion érotique qui nous avait surpris et comblés tous les trois.

– « Tous à la douche ! » cria Léa en faisant passer sa robe par-dessus se tête.
– De la douche dorée, dis-je passons à une douche plus conventionnelle.
– Mais, dit Julie à Léa, Julien et moi avons bien joui, pas toi.
– Ce sera pour plus tard, nous répondit Léa, vous ne serez pas trop de deux pour prendre soin de moi.

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Leslie n’avait pas perdu une miette de mon récit et, couchée tout contre moi elle masturbait ma queue d’une douceur infinie en prenant bien soin de ne pas me faire succomber à la jouissance.

– « Après la douche, vous lui avez fait sa fête, à la belle Léa, me souffla à l’oreille Leslie.
– Nous l’avons soignée aux petits oignons. Elle a eu droit à tout ce que notre imagination pouvait créer entre deux femmes et un homme.
– Vous avez réussi à travailler quand même ?
– Oui, la preuve en est que le disque est sorti depuis quelques mois.
– Maintenant baise moi me dit Leslie en me mordillant l’oreille.
– Tu me raconteras après ce qui s’est passé avec ta copine Mona ?
– Oui, je te le promets. Tu ne seras pas déçu. Mais fais-moi jouir, je veux ta queue au fond de mon ventre. Je serai ainsi apaisée pour te relater la suite de mes vacances avec Mona.

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5 réponses à Bacchanales estivales, deux nénettes en quête de maquette – par Pilouface

  1. Larcher dit :

    Mais c’est quoi ces dialogues ?

  2. philip dit :

    Un bon récit un peu gâché par des dialogues impossibles, je cite « Sans ma participation, ton plaisir serait resté à l’état embryonnaire. »
    Vous en connaissez beaucoup de gens qui parle comme ça ?

  3. Facoupile dit :

    Alterego qui veut publier la suite

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