Professeur Martinov 19 – Le drone, la nièce et la masseuse 13 – Partouze chez Octave par Maud-Anne Amaro

Professeur Martinov 19 – Le drone, la nièce et la masseuse 13 – Partouze chez Octave par Maud-Anne Amaro

Revenue auprès d’octave Heurtebise, Vanessa lui rendit compte de sa mission :

– J’ai appris plein de choses mais rien qui puisse nous servir.
– Dit !
– Savourey est amoureux de moi, il a sa photo dans sa chambre. Sa masseuse est en fait une call-girl occasionnelle, très gentille au demeurant que mon oncle entretient généreusement. Pour le reste, je suppose qu’elle est au minimum complice de quelqu’un qui prépare un gros coup chez le tonton, mais je n’en sais pas plus !
– Bon c’est un peu dommage, mais il faut voir le bon côté des choses, cette nana est notre alliée objective. Savourey doit piaffer d’impatience de pouvoir publier tout ça, à mon avis ce ne sera pas long.

Effectivement !

Savourey laissa passer deux semaines pendant lesquelles aucun ovni ne daigna pointer le bout de son antenne.

« J’ai suffisamment de matière pour publier tout ça, on verra bien ce que ça donnera ! »

Il publia donc un long article sur son blog, il relata les deux premières visites du drone, précisa qu’il « parlait » et qu’il avait brisé un vase Ming (il n’allait pas écrire qu’il s’agissait d’une imitation tout de même !) et joignit la photo de l’objet brisé. Il relata la troisième visite, celle où l’engin avait brisé une vitre (photo de la vitre brisée) et s’était échoué en brisant son dard d’acier (photo de l’engin), il parla de l’expertise du professeur Martinov (mais sans le nommer, il n’allait pas risquer un procès), et s’insurgea de son « incompétence », réfutant d’un trait de plume l’argument selon lequel les pièces d’origine terriennes avec lesquelles il avait été fabriqué, infirmerait son origine extraterrestre.

« Bien au contraire, écrivait-il, si ces visiteurs sont naufragés sur notre planète, ils ont fabriqué un engin avec ce qu’ils ont pu trouver, mais leur technologie est bien extraterrestre, d’ailleurs la fabrication et l’utilisation des drones sont rigoureusement réglementées, or ce type de drone n’est catalogué nulle part ! »

Il décrivit également la façon dont le drone lui avait faussé compagnie quand il avait le rechercher chez Martinov.

Puis il raconta l’épisode du message en l’illustrant d’une photo du joyeux bordel qu’il avait provoqué, d’une autre du dit message et bien sûr de celle du tableau Velléda.

Il publia ensuite deux liens sur des forums de discussions dédiés aux ovnis.

Les réactions furent mitigées, scepticisme poli pour la partie « drone », scepticisme sarcastique pour la partie message.

Il vous faut savoir, chers lecteurs, que le milieu des passionnés d’Ovnis n’est en rien homogène : Cela va du GEPAN, organisme officiel dépendant de la gendarmerie et qui recense les phénomènes bizarres d’un point de vue rationaliste, jusqu’à de parfaits illuminés genre Raël qui prétendent le plus sérieusement du monde faire la causette avec les aliens en se baladant dans leurs jolis vaisseaux.

Au milieu de ça il y a tous les autres, ceux qui vaudraient bien trouver des preuves tangibles de l’existence des Ovnis visiteurs. Or toutes les photos un peu nettes de prétendus engins extraterrestres ont été débunkés, ne reste que des photos floues. Quant aux artefacts, les pauvres ufologues n’ont jamais eu sous la main, le moindre boulon, le moindre morceau de quelque chose ni à fortiori le moindre document. Il y a bien eu l’affaire Ummo qui a défrayé la chronique dans les années 1960, qui a réussi à bluffer un astrophysicien connu du CNRS, mais qui s’est révélé un canular assez lourd.

Alors vous pensez bien qu’un type qui sort de son chapeau à la fois un engin volant photographié de très près et un message en charabia… Ben non c’est trop gros.

Evidemment, Savourey n’a pas manqué d’informer Florelle et Vanessa d’abord de ses publications, puis de son dépit face aux réactions réservées.

– Bon, le poisson est amorcé, maintenant on va faire monter la mayonnaise ! Déclara Octave à sa petite protégée.

Octave s’inscrivit sur les forums où avait posté Savourey, et après avoir répondu n’importe quoi à quelques farfelus, histoire de ne pas paraître comme quelqu’un qui arrive comme un cheveu sur la soupe, il se mit en devoir de répondre « très sérieusement » à Savourey.

Il argumenta sur le fait qu’effectivement le drone présenté sur la photo ne ressemblait à rien de connu, mais émettait la réserve que la photo pourrait être truquée. Il expliqua ensuite qu’il convenait de dissocier les deux évènements dont avait été témoin Savourey, l’hypothèse d’un mauvais plaisant voulant le décrédibiliser suite à ces premières rencontres ne pouvant être écartée, cependant, il soulignait la ressemblance des caractères utilisés dans ce message avec ceux de l’alphabet runique et avançait de façon absolument gratuite que certaines légendes runiques pouvaient s’interpréter suite à une éventuelle visite de créatures extraterrestres.

Les commentaires d’Octave de par leur « sérieux », relancèrent la discussion, Savourey en fut ravi et ragaillardi à tel point qu’il s’empressa de mettre en ligne toute une série de photos du drone : de face, de derrière, de côté, de trois quarts et en plongée. Le doute sur l’authenticité du drone devint ainsi levé !

Débat il y avait, mais, il ne dépassait pas le milieu relativement fermé des afficionados des petits hommes verts.

– La mayonnaise n’est pas montée assez haute ! Se désola Octave, il faudrait vraiment créer un buzz avant que l’on puisse lui mettre le nez dans son caca ! Mais je ne sais pas faire : Tu sais faire, toi ? Demanda-t-il à Vanessa.
– Non, mais pourquoi on ne demandait pas à Martinov ?
– Ce n’est pas son domaine !
– Mais, Béatrice son assistante sait peut-être, ce n’est pas la même génération !

Bref échange téléphonique. Martinov n’était pas chaud, mais Béatrice su le convaincre et rendez-vous fut pris chez Octave.. Les talents de maître de maison de ce dernier, étant proche du néant, c’est Vanessa qui s’était chargé de dresser la table basse pour l’apéritif. Plus tard un traiteur de bonne réputation viendrait livrer la paëlla.

– Bon je vais vous montrer le blog de Savourey et ma réponse, vous me direz ce que vous en pensez.
– Mais c’est pas vrai ! S’écrie soudain le professeur en voyant les photos illustrant l’article.
– Y’a un problème ?
– Ce n’est pas vraiment un problème, mais ce message c’est moi qui l’ai composé !
– Quoi ?
– C’est une belle nana qui s’est pointé chez moi, elle m’a dit qu’elle voulait faire une farce à un ami…
– Une blackette ? Demande Vanessa.
– Oui, superbe, elle m’a eu au charme, je le suis laissé faire et puis faut bien avouer que ça m’a amusé !
– Quel hasard quand même !
– Je ne crois pas que ce soit un hasard, une nana avait déjà téléphoné pour me demander de modifier les conclusions du rapport que j’ai fourni à Savourey, je l’ai envoyé promener et elle est revenue en changeant ses plans. Je n’avais pas fait le rapprochement sur le moment.
– Mais attends, je ne comprends plus. Si tu avais changé la conclusion de ton rapport, elle n’aurait pas eu besoin du message ?
– Bonne question !
– Ben alors c’est quoi son plan ?
– Ça ?
– Mais votre message vous l’avez construit comment ? Demande Octave à Martinov.
– J’ai fabriqué un alphabet, après j’ai récupéré un petit texte ésotérique sur le net, je l’ai traduite en albanais, je l’ai codé, j’ai ajouté des caractères un peu partout au hasard pour tromper les logiciels de décodage, j’ai enlevé des lettres aussi, puis j’ai complétement inversé le sens de la lecture.
– Et bien chapeau ! Dommage que vous n’ayez pas conservé les brouillons !
– Si, si ! J’ai tout conservé !
– Super ! Et je pourrais les utiliser ?
– Faut voir, mais à priori, je ne suis pas contre.
– Alors ce buzz, vous sauriez faire ? Demanda Octave à Béatrice
– Ce n’est pas vraiment dans nos compétences ! Fit remarquer la jeune chimiste, mais il faudrait que vous interveniez sur davantage de forums en prenant plusieurs pseudos, il suffit à chaque fois de débrancher ta live-box, et votre numéro d’IP va changer…
– Mon quoi ?
– Votre numéro d’identification internet. Il faut aussi aller sur les sites américains, ils sont bien plus crédules que nous, et bien moins rationalistes., et aussi sur les sites d’astronomie, ils vont bien s’énerver en voyant ce genre de message, mais l’essentiel c’est que l’info fasse boule de neige.
– Ce sera suffisant ?
– On ne peut pas savoir ! Ce qu’il faudrait c’est que ce soit repris par les grands médias sur internet… Oh mais j’y pense je connais une journaliste à l’Agence France-Presse…

Bref les choses avançaient bien et fatalement on parla ensuite de toutes autre chose

Un moment, Vanessa s’arrange pour être seule avec Béatrice.

– Euh, une idée comme, ça, Octave a des fantasmes bisexuels, il a eu une expérience en Thaïlande, mais ici il ne pratique pas, mais si une occasion se présentait…
– Je te vois venir, toi !
– Je crois ça lui ferai plaisir, mais si tu pouvais m’aider à ce que les choses aillent dans ce sens.
– Je veux bien essayer, ça peut être amusant, mais faudrait pas que ça dégénère, il ne me branche pas trop ton Octave.
– T’inquiètes, je gère !

Martinov, passionné de livres ne peut qu’être admiratif devant la bibliothèque très fournie d’Octave.

– Oui, beaucoup de choses sur l’aviation ! Précise ce dernier.
– Tout là-haut ce ne sont pas des avions ! Ajoute Vanessa.
– Oh, quelques « curiosa », que voulez-vous, j’ai mes faiblesses.
– Si tu en montrais un ou deux à ces messieurs dames, les trésors de bibliothèque ça se partage.
– Mais enfin, Vanessa.
– Si, si, ça nous intéresse ! Intervient Béatrice.
– Ah ! Oui !

Béatrice et le professeur se mettent à feuilleter l’ouvrage qu’Octave a descendu de sa bibliothèque, il s’agit d’une compilation de dessins pornos des siècles passées ainsi que des premières photos pornos. Un chapitre est consacré à des représentations gays très suggestives.

Béatrice se met à s’exclamer devant une gravure ancienne sur laquelle un vieux bourgeois sodomise son valet alors qu’en arrière-plan un troisième personnage se masturbe allégrement en les regardant faire.

– T’as vu celle-là ! Dit-elle à Martinov.
– Pas mal ! Répond l’intéressé un peu gêné et ne comprenant pas clairement le jeu de Béatrice.
– Comme quoi on n’a rien inventé ! Intervient Vanessa.
– Ben, oui, il y a toujours eu des gens qui ont aimé le sexe sans en avoir honte ! Reprend Béa. Vous êtes d’accord monsieur Heurtebise ?
– Ma foi, je ne vais pas dire le contraire.

Vanessa se tourne vers Béa comme pour l’embrasser, mais c’est pour lui souffler :

– On les chauffe un peu, les garçons ?
– Non, non…
– On ne fera que se peloter toutes les deux, comme l’autre fois, et aujourd’hui c’est gratos.

Béatrice décide alors d’entrer dans le trip.

– Hum, ça m’a émoustillé ces petites photos, Vanessa, fais-moi un gros bisou ça va me calmer.

Du coup Vanessa roule une galoche à la jeune chimiste tout en la pelotant de façon fort peu discrète.

– Mais qu’est-ce qu’elles nous font, là, elles sont déchainées ! Commente Heurtebise.
– Déchaînées, mais adorables ! Ajoute le professeur.

– Ça vous dirait, les garçons, qu’on se fasse des trucs devant vous, des trucs un peu coquins ? Suggère Vanessa.

Octave Heurtebise paraît gêné et tourne son regard vers le professeur Martinov qui répond d’un geste fataliste.

– Bon, ben allez-y ! finit par dire Octave.

Les deux filles ainsi encouragées (bien mollement, mais ça n’a aucune importance) se débraillent mutuellement comme des sauvages et se retrouvent rapidement avec la poitrine à l’air.

Et c’est à qui sucera les tétons de l’autre dans un ballet infernal.

Bien sûr le spectacle ravit notre vert professeur qui de toute façon est insatiable en matière de sexe et de coquinerie, mais c’est du côté de la braguette d’Heurtebise qu’il se passe des choses, sa bite devenant raide comme un bout de bois.

– On se met la chatte à l’air et après ça devrait être bon ! Souffle Vanessa à Béatrice.

Quelques minutes de tripotage de minous et Vanessa interpelle ces messieurs.

– Alors les garçons, ça vous plait ?

Heurtebise qui n’ose rien dire, fait un sourire idiot, Martinov ne voulons pas ajouter à l’embarras de son hôte ne bronche pas.

– Ben restez pas comme ça, les garçons, mettez-vous à l’aise !

Heurtebise est complétement tétanisé, la situation lui échappe…

– Bon on va vous aider à vous décontracter… Béa, occupe- toi d’Octave, moi je m’occupe du professeur.

Béatrice est décontenancée, ce n’est pas du tout ce qui avait été prévu. Elle biaise en s’approchant du professeur, mais Vanessa occupe déjà le terrain. Elle s’en va donc du côté d’Octave, ne voulant pas casser l’ambiance mais se promet d’avoir une explication ultérieure avec la belle escort girl

Nos deux coquines sont donc en position rapprochée devant les deux hommes et leur tripotent la braguette… Heurtebise cherche ses mots afin d’élever une protestation (probablement toute formelle), mais quand il aperçoit la bite de Martinov jaillir de sa cachette entre les mains de Vanessa, il ne sait plus ni dire ni faire et se laisse faire, devenant complétement passif.

Vanessa a fait lever le professeur afin de l’amener près d’Octave.

– Regarde un peu la jolie bite qu’il a ! T’as l’occasion de refaire comme en Thaïlande, n’hésite pas !

Octave regarde Martinov quémandant un avis.

– Je vous en prie, faite-vous plaisir ! Suggère simplement ce dernier.

Octave n’est plus sur Terre, il est quelque part dans ces rêves déjà concrétisés à Bangkok mais qu’il n’a plus assumé depuis dix ans.

Alors il reprend les phrases qu’il invoque dans ses songes éveilles :

– Quelle est belle ! Balbutie-t-il les yeux scotchés sur la bite de Martinov.

Vanessa passe derrière le professeur et lui fait tomber le pantalon et le caleçon.

– C’est mieux comme ça, non !
– Je peux… bafouille Octave.
– Vas-y régale-toi ! Répond Martinov qui espère bien que les rôles s’inverseront ensuite.
– Vas-y suce cette belle bite ! L’encourage Vanessa. Elle est belle, n’est-ce pas ?

N’exagérons rien, elle n’est pas mal, mais elle n’a rien d’exceptionnelle non plus, c’est de la bonne bite standard, mais bien agréable pour ceux qui sont amateurs.

Alors comme s’il faisait une annonce devant un auditoire, Octave déclare :

– Vous avez une bien belle bite, Monsieur le professeur !
– Je suis flatté qu’elle vous plaise, mais goutez-là je vous en prie.

L’instant d’après le sexe du professeur allait et venait dans la bouche d’Heurtebise. (enfin !) Ce dernier ne suçait pas très bien, mais Martinov n’en avait cure, ce qu’il attendait c’est l’inéluctable réciprocité.

Et pendant que ces messieurs sont occupés, Béatrice s’apprête à tancer Vanessa.

– Dis donc toi, qu’est-ce que tu m’as fait faire ? C’était pas du tout prévu !
– Tu connais la règle dans la restauration quand il y a divergence ?
– Mais de quoi tu me parles ?
– On continue le service et on s’explique après.
– Alors d’accord on va s’expliquer comme des grandes, mais ne compte plus sur moi pour aller tripoter ton client !

Et Beatrice s’en va bouder à l’autre bout de la pièce en remettant de l’ordre dans sa tenue.

« Les circonstances aurait été différente, j’aurais pris mes cliques et mes claques, mais puisqu’il paraît qu’on est en réunion de travail, je ne veux pas faire une vacherie a pépé Martinov ! »

Octave continue à sucer à s’en fatiguer la mâchoire, un moment il propose au professeur de faire un break afin qu’ils se déshabillent.

– Ce sera plus cool, et puis d’abord il fait chaud ! Ajoute-il pour se justifier

Mais pourquoi faut-il toujours qu’on se justifie ?

C’est en retirant ses vêtements, qu’il aperçoit Béa, bien sage et rhabillée à l’autre bout de la pièce, alors que Vanessa est dans un fauteuil proche, dépoitraillée et la chatte à l’air.

– Ça va Béa ? demande-t-il
– Ou, un petit coup de chaud, mais ça va mieux !

Pas fou, il se doute bien qu’il s’est passé quelque chose de peu clair, mais se dit que ça ne doit pas être si important que ça… et puis surtout Martinov a devant lui la bite d’Octave et a maintenant l’occasion de sucer à son tour.

Mais Octave qui n’est point sourd a entendu le bref échange entre Béatrice et Martinov.

– Ah ? un coup de chaud ! C’est vrai que j’ai tendance à surchauffer ici… Vanessa soit gentille emmène notre amie se rafraichir en cuisine, il y a des glaçons dans le frigo…

Et tandis que le professeur embouche enfin la jolie bite bien raide d’octave Heurtebise, Vanessa, à peine réajustée, vient au-devant de Béatrice.

– Allez viens, je t’emmène dans la cuisine !
– Fous moi la paix !
– Sauvons au moins les apparences.

Et les voilà dans la cuisine. Vanessa sort une bouteille de jus d’orange du frigo et deux verres du buffet.

– Je te sers ?
– Pas besoin !
– Bon écoute, puisque nous voilà isolées de ces messieurs, on peut peut-être essayer de dédramatiser.
– Je n’ai jamais dit que c’était un drame ! répond Béa.
– Ben alors ?
– Ben alors, tu fais ton métier, je n’ai rien contre tes activités, mais je ne veux pas que tu m’y mêles… et par surprise en plus. C’est clair comme ça ?
– J’ai pas fait un crime !
– Non, mais je n’ai aucune envie de partouzer avec ton Octave.
– Mais je n’ai jamais eu cette intention !
– C’est ce que tu dis…
– Ecoute-moi ma bibiche…
– Je ne suis pas ta bibiche !
– Ecoute-moi quand même ! D’accord ?
– Hum.
– Octave est de loin mon meilleur client, il me gâte énormément, mais je le respecte et il me respecte aussi, il ne me prend pas pour un trou, j’aime bien sa compagnie…
– Et alors ?
– J’ai voulu lui faire plaisir, comme j’ai appris que Martinov était un peu bi, et qu’Octave a aussi ce fantasme, j’ai voulu provoquer ce qui se passe en ce moment. Il va être heureux comme un pape, j’en suis content pour lui et il me récompensera, tout le monde y trouve son compte.
– Et pourquoi avoir fait en sorte que ce soit moi qui aille fouiller dans sa braguette.
– Ça aurait été moi, il aurait arrêté les frais par timidité, et comme je pense que Martinov n’aurait pas sorti sa bite le premier, la situation se bloquait. Là comme c’était toi, il s’est laissé faire, Martinov aussi, et hop, le tour était joué.
– T’aurais pu me prévenir ?
– Oui, je ne pensais pas que ça poserait un problème, je concède que j’ai été un peu limite sur ce coup-là, j’aurais dû t’en parler. Voilà, t’es toujours fâchée ?
– Non puisqu’on s’est expliqué…
– Alors bisous !
– Attends, si Octave me sollicite, je fais quoi ? Je vais être mal !
– Il ne te sollicitera pas… mais il ne faudrait pas non plus qu’il pense qu’il te répugne
– Et je fais comment ?
– Tu sauras faire, tu as un si beau sourire… Alors ce bisou !
– Smack !

Un bisou ? Un roulage de pelle, oui !

Et Octave qui continue de se faire sucer la bite par Martinov à la surprise de voir nos deux coquines revenir dans le salon, bras dessus, bras dessous un sourire complice affiché sur leurs lèvres, puis s’installer toutes deux sur le fauteuil où elles reprennent leur séance de pelotage rapproché.

– Vous pratiquez la sodomie ? Finit par demander Octave au professeur.
– Oui j’aime bien !
– Ça vous dirait ?
– Bien sûr ! Je suis plutôt passif, mais je peux aussi…
– Comme moi alors ! Je vais chercher des capotes…

Et pendant qu’Octave s’absente quelques instants, Martinov découvre à son tour les deux donzelles dans une position peu biblique : Vanessa est assise les jambes écartées et se tripote le bout des seins tandis que Béatrice coincée entre ses cuisses se régale en lui léchant la chatte.

« Quelque chose a dû m’échapper ? Pas bien grave ! »

– Voilà, il y a tout ce qu’il faut ! Dit Octave en revenant avec dans sa main des capotes et du gel. On fait ça ici ?
– C’est peut-être un peu dur par terre, non ?
– T’as raison, allons sur mon lit ! Les filles on va dans la chambre vous nous rejoignez ?

– Je fini de la lécher et on arrive ! Répond Vanessa
– Et on les rejoint pourquoi ? S’inquiète Béatrice
– Je suppose qu’il veut qu’on le regarde, ne t’angoisse pas ! Mais, on va y aller à poil.

Sur le lit, Octave se met en levrette, Martinov ne se met pas de suite la capote, mais demande à son partenaire de le sucer un petit peu afin qu’il soit bien raide. Bien sûr, Octave ne va pas refuser ! Vous pensez bien, une bonne bite comme ça !

Malgré l’usage fréquent des godemichés, l’endroit reste étroit et il faut plusieurs tentatives au professeur Martinov pour que sa bite pénètre dans le cul d’Octave. Mais ça finit par le faire, Il s’enfonce jusqu’à la garde puis commence des allers et venues sans aucune brusquerie.

Il y a une petite minute de flottement, le corps d’Octave semble lutter contre la présence de ce corps étranger avant de l’accepter et de se laisser aller.

– Oh ! tu m’encules bien !
– T’aimes ça, hein ?
– Oh, oui ! Je suis un enculé, un suceur de bites ! Continue, c’est trop bon !

Vanessa contourne le lit et viens faire un petit bisou coquin à son client

– Alors c’est la fête ?
– Oh ! Là !

Au bout de dix minutes (peut-être plus, peut-être moins, la notion du temps à tendance à s’échapper en de tels moments !) Octave n’en peut plus et demande à son partenaire de se retirer.

– On inverse les rôles maintenant ou tu préfères attendre un peu ? demande Martinov
– Suce moi un peu et je te prends

L’affaire ne dure pas bien longtemps, Octave ayant du mal à maintenir son érection !

– Excuse-moi !
– Mais c’est pas grave ! Relativise le professeur.
– Si on allait boire un coup

Et tout le monde rejoint le salon. On se sert à boire, on échange quelques mots, et l’air de rien Martinov se met à tripoter la bite d’Octave, qui du coup se met à rebander. Ce dernier ne voulant pas être en reste en fait de même avec la bite du professeur. Et les voilà bientôt tous les deux chacun ave la bite bien bandée de l’autre dans la main.

Chacun a de nouveau envie de sucer, mais Martinov offre la priorité à son hôte, lequel entame une nouvelle fellation baveuse.

Excité par toutes ces péripéties, Martinov sent venir sa jouissance, il tente de la retarder, mais n’y parvient pas et éjacule dans la bouche d’Octave, qui surpris, avale en trouvant la chose à son gout.

Quelques minutes de répit pour notre bon professeur qui cherche un kleenex pour s’essuyer la zigounette, puis qui s’affale dans un fauteuil.

– Tu veux boire un coup ? Lui demande Béatrice qui s’approche prévenante avec un verre de jus de fruit dans la main.

Vanessa s’approche d’Octave et lui tripote la bite.

– Tu veux me baiser ?
– Je ne sais pas, suce-moi un petit peu.

Pendant qu’il se fait sucer, le regard d’Octave s’égare du côté de Béatrice, toujours nue. Il lui fait un vague sourire qu’elle s’efforce de lui rendre

« Ce vieux cochon va jouir en regardant mes nichons, il a raison, là où il y a de la gêne… »

Et puis le regard d’Octave change, Béatrice ne comprend pas, le type paraît plus gêné que troublé. Alors Béa sourit de nouveau et un très court instant le visage d’Octave s’éclaire de nouveau.

Déclic

« Putain, j’ai compris, ce mec n’a pas été gâté par la nature, il a dû avoir une vie sexuelle de merde, et une collection de râteaux, heureusement il a du fric et Vanessa est gentille avec lui… Mais ce regard qu’il m’a porté, j’ai dû lui rappeler toutes les filles qui l’ont méprisé, tout simplement parce qu’il n’avait eu la chance d’être un beau mec. »

Alors Béatrice, se lève et s’approche du couple, elle s’agenouille à côté de Vanessa, qui a du mal à dissimiler sa surprise.

– Prête-moi sa bite, je voudrais la sucer aussi !

Vanessa se relève, laissant Béatrice avec la bite d’Octave dans la bouche, puis faisant face à l’homme elle lui tortille les tétons. Il adore ça Octave.

Octave est aux anges, sexuellement bien sûr mais aussi et surtout psychologiquement, qu’une belle femme soit venue lui faire une pipe sans contrepartie apparente le remplit de joie à ce point qu’il en a quasiment les larmes aux yeux.

Il se laisse aller, Béatrice perçoit un léger tressautement annonciateur de la jouissance proche tandis que le gland se mouille d’un peu de liqueur séminale. Alors elle cesse sa fellation et fait signe à l’homme d’éjaculer sur ses seins. Puis elle se relève et l’embrasse sur le bord des lèvres avant de rejoindre son fauteuil.

à suivre

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3 réponses à Professeur Martinov 19 – Le drone, la nièce et la masseuse 13 – Partouze chez Octave par Maud-Anne Amaro

  1. Dominguez dit :

    Je n’ai ey que très peu l’occasion de partouzer dans ma vie mais les rares fois où j’ai participé, j’y ai pris un plaisir extrême.

  2. Sapristi dit :

    Comme le dit Forestier, ce n’est pas évident de décrire une partouze, mais à cet exercice Maud-Anne Amaro nous démontre son talent et dais nous exciter sans nous embrouiller.

  3. Forestier dit :

    Je trouve que les descriptions de partouzes écrites par Maud-Anne Amaro sont vraiment très réussies, on s’y croirait en passant d’un personnage à l’autre, en prenant son soufle, en ne négligeant pas l’humour. Un vrai régal !

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