Alice 1 par Mathieu02

ALICE
par Mathieu 2

Elle s’appelait Alice. Autrefois, elle avait aussi porter les noms d’Anne-Cécile, Alexia, Adeline et encore bien d’autre. Son véritable nom était Andromeda, mais l’époque où elle le portait était bien loin maintenant. Ses souvenirs étaient restés pourtant intacts, clairs et précis, malgré les nombreuses années qui s’étaient écoulées depuis le jour de sa renaissance.
Elle était à sa connaissance la dernière de son espèce. Beaucoup d’entre eux, hommes ou femmes, n’avaient pas survécu aux différentes guerres et à l’accélération de l’Envie. Ils avaient vieillis en à peine une nuit, passant de l’état de jeunes adultes à celui de cadavres de vieillards, squelettiques et décharnés.
Alice ne pouvait en théorie pas mourir, pas tant qu’elle satisferait son Envie. En apparence, elle avait l’air d’une jeune femme de vingt-deux ans, mais elle avait plus, beaucoup plus. Cette année, elle fêterait son deux mille cent quarante-septième anniversaire.
Elle était belle comme une déesse antique, mesurant un mètre soixante-cinq, pesant cinquante-deux kilos, la peau blanche comme le lait, les cheveux longs châtain et les yeux bleus. Elle avait les seins fermes, bien ronds, la taille fine, le sexe à jamais rasé et de longues jambes magnifiques. Son allure n’avait jamais changée et ne changerait jamais. Tel était en parti le prix de l’immortalité.
Mais pour rester en vie, elle devait satisfaire son Envie, ce désir qu’elle devait contenter désormais une fois par jour. Ainsi était le contrat, jouissance contre jeunesse éternelle. Au début, elle ne devait fournir qu’un orgasme par mois pour ne pas vieillir, mais cela s’était accéléré et aujourd’hui elle devait avoir un orgasme par jour si elle ne voulait pas rejoindre les autres.
Depuis sa renaissance, elle avait parcourue la planète en quête de partenaires sexuels, apprenant les différences qu’il y avait entre les peuples et les civilisations.

Aujourd’hui, elle avait rendez-vous avec Juliette, une jolie femme d’une trentaine d’années, rencontrée sur le plateau de tournage d’un film X. Alice travaillait quelque fois comme actrice de film pornographique à petits budgets. Elle était aussi gogo danseuse dans un club de strip-tease de la capitale, prostituée sur les faubourgs et hôtesse d’accueil d’une ligne téléphonique pornographique. A travers les années, Alice avait ainsi pratiquée tous les métiers liés, d’une manière ou d’une autre, au sexe.
Son premier travail n’avait pas vraiment été un métier. Cela remontait au temps de la Grèce antique. Elle était alors  » normale « , humaine comme tout ceux qui l’entouraient. Elle était l’esclave servante d’un homme de fortune, marchant réputé sur la côte. Outre leur devoir de ménage et de service, Alice/Andromeda et les cinq autres servantes du marchant étaient aussi devenu des objets sexuels,  » utilisables  » à tout instant par le maître de maison et/ou de ses invité(e)s. C’est là qu’elle expérimenta la plupart des choses qu’elle pratiquait maintenant, ses premières expériences bisexuelles, l’uro, les fellations en tous genres… C’est aussi de cette époque qu’elle garda le goût pour le sadomasochisme léger.

Elle monta à pied les cinq étages qui la séparaient de Juliette. Elle se planta devant la porte et y frappa trois petits coups rapides. Elle attendit quelques petites secondes puis la porte s’ouvrit sur une femme de trente-trois ans, très belle, les traits encore jeune, très bien conservée. Elle était plus grande qu’Alice d’une bonne dizaine de centimètres.
Alice lui sauta au cou avant que Juliette ne puisse dire un seul mot. Les deux femmes se roulèrent un patin qui dura de longues secondes, puis Alice entra dans l’appartement. C’était un endroit modeste et très classique, décoré simplement et avec goût. L’homme qui était assis sur le canapé se leva.
 » _ Alice, je te présente Bruno. Bruno, voici Alice. Bruno était cameraman sur un tournage que j’ai fait la semaine dernière.
L’homme se rapprocha d’Alice et ils se firent la bise.
 » _ J’ai pensée que ça ne te dérangerait pas qu’il se joigne à nous.
_ Pas du tout, au contraire !
_ Tu avais raison Juliette, ton amie est très jolie !
_ Merci !
_ Et encore, là, elle est habillée…
_ Avant de sauter les étapes, si tu nous offrais un coup à boire ?  »

Alice n’avait jamais vraiment eu beaucoup d’amie. Avec sa stérilité, c’était l’un des gros inconvénients de sa longévité. Il est désagréable de voir ses proches vieillir puis mourir alors que l’on reste soi-même éternellement jeune. De plus, il y a déjà fort longtemps, elle avait faillit se faire attraper pour se faire  » interroger  » par l’Inquisition sur les secrets de son éternelle beauté. On l’avait accusée de forniquer avec le diable, de s’abandonner aux plaisirs sataniques. Depuis, elle essayait de faire attention, de ne pas se faire remarquer. Mais aujourd’hui l’époque était différente, tout le monde était déjà plus ou moins anonyme, elle pouvait plus facilement se fondre dans la masse et se rapprocher des gens…
Alice et Bruno s’assirent dans le canapé pendent que Juliette allait chercher une bouteille de champagne. Lorsqu’elle revint, Alice était déjà en train d’embrasser Bruno, la main glissée dans son pantalon.
 » _ Bah dit donc, je croyais qu’il ne fallait pas sauter les étapes !
_ Je sais, mais je n’ai pas put me retenir !
_ Moi non plus… avoua Bruno, le sourire jusqu’aux oreilles.  »

Juliette servie trois coupes de champagne qu’ils burent rapidement, sans se parler beaucoup, se regardant l’un l’autre pour voir qui ferait le premier pas.
Quand il s’agissait de sexe, Alice n’était jamais très patiente…
Elle reposa sa coupe puis se pencha sur Juliette pour l’embrasser dans le cou. Sa main disparue dans la jupe de son amie sans culotte et caressa son fin et court duvet lisse et soyeux. Rapidement, elle lui enleva son tee-shirt et comme elle s’y attendait, elle ne portait pas de soutien-gorge non plus. Elle descendit sur sa poitrine et lui lécha lentement les tétons, mordillant l’un, caressant l’autre du bout des doigts.
Juliette avait la peau bronzée. Son visage triangulaire était agréable à regarder. Elle avait les yeux et les cheveux noirs de jais, avec quelques taches de rousseur sur les joues. Elle avait des seins légèrement en formes de poire, un petit ventre, le cul rebondi et les jambes fines.
Bruno se pencha à son tour sur Juliette et l’embrassa à pleine bouche. D’une main experte, elle réussit à lui dézipper sa braguette et à lui descendre son jean et son caleçon, faisant apparaître sa bite encore  » au repos « . Il se releva et enleva complètement ses vêtements. Juliette et Alice en firent rapidement de même. Juliette s’assit de nouveau dans le canapé alors qu’Alice s’installait par terre, la tête entre les cuisses de son amie pour lécher sa chatte qui mouillait déjà un petit peu. Sa langue glissait entre les lèvres vaginale jusqu’au clitoris qu’Alice aspirait alors doucement. Elle s’enfonçait ensuite profondément dans le vagin pour récupérer le plus de mouille possible.
Bruno monta debout sur le canapé, une jambe de chaque cotés de Juliette et lui présenta sa bite à lécher. Celle-ci s’exécuta, titillant d’abord ses couilles pour ensuite aspirer le gland. Sa bite se leva rapidement et devint vite très dure, longue d’environ dix-sept centimètres. Juliette faisait passer sa langue tout le long de la tige, des couilles jusqu’au gland qu’elle aspirait en lui donnant de petits coups de langue.
Alice remonta sur le ventre de son amie puis sur ses seins qu’elle lécha encore un petit peu avant de se mettre à lécher elle aussi la bite de Bruno. Pendent que Juliette lui léchait le gland, Alice lui aspirait les couilles puis faisait courir sa langue sur la base de sa tige. Bruno poussait de petits râles satisfaient. Juliette redescendit le long de la tige et doucement poussa Alice hors du coup. Juliette pouvait se montrer très possessive et égoïste parfois. Cela ne gêna pas Alice outre mesure. Doucement, elle obligea Bruno à se pencher en avant et à remonter le cul. Alice lécha les fesses de Bruno puis elle se rapprocha lentement de son anus qu’elle lécha par petits coups de langues. De ses mains, elle lui écarta doucement les fesses puis introduisit sa langue le plus profondément qu’elle pouvait, en l’agitant le plus possible. Juliette quant à elle continuait à lui lécher la bite, aspirant son gland de plus en plus fort, lui massant doucement les couilles.
Bruno ne pût résister longtemps à une telle déferlante de langues et de caresses intimes. Il éjacula de longues giclées de sperme sur le visage puis dans la bouche de Juliette. Il s’effondra dans le canapé, le cœur battant à tout rompre. Juliette se pencha au dessus du visage de son amie et doucement fit couler le sperme de sa bouche à la bouche d’Alice. Les deux femmes s’embrassèrent, le sperme coulant sur leur menton. Elles entreprirent alors de se nettoyer consciencieusement. Alice lécha ensuite tout le visage de Juliette jusqu’à ce qu’il n’y reste plus aucune goutte blanche.
Ils se resservirent une coupe de champagne.

Lorsqu’elle n’était qu’une servante au compte de son maître marchant, la période qu’elle redoutait le plus et paradoxalement qu’elle attendait le plus était les Dionysies, les fêtes au dieu Dionysos. Pendent un jour, et parfois même un peu plus, tout était permis, tout était à la démesure. Durant vingt-quatre heures, plus personne n’était responsable de rien. Tout le monde portait un masque ou un maquillage, pendent un jour on n’était plus le ou la même. Tous les prisonniers étaient relâchés, tout le monde buvait jusqu’à l’inconscience. Les meurtres étaient multipliés par dix ou quinze. Et la nuit tombée, les villes et les villas se transformaient en véritables orgies. Les maris trompaient leurs femmes, les femmes trompaient leurs maris. Hommes et femmes avaient leur expérience bisexuelle annuelle au milieu de véritables partouzes géantes où les esclaves/domestiques étaient mis à rude épreuve. Alice, alors Andromeda, connu les meilleurs et les pires moments de sa vie lors de ces soirées. Heureusement, son maître était parmi les moins  » fou  » de la région. Mais elle avait entendues des histoires et celles-ci s’étaient souvent vraies. Par exemple, Alice n’eu jamais à lécher ou copuler avec un chien ou un âne sous les regards amusés d’une cinquantaine d’invités. Chaque année, à chaque fête, elle craignait que ces histoires ne lui arrivent à elle. Mais ce ne fut pas le cas.
Ce fut par contre lors de ces soirée orgiaques qu’elle prit goût aux  » pétales de roses  » à la pratique de l’uro. Elle s’était un jour retrouvée seule, agenouillée dans le bassin central vidé pour l’occasion. Soixante-dix invités, hommes et femmes, lui avaient uriné dessus presque tous en même temps. Elle n’avait pas eu le droit de bouger de la soirée, et à chaque fois qu’un invité avait une envie de pisser, Alice se retrouvait arrosée. Le lendemain, lorsque le jour se leva de nouveau, Alice baignait littéralement dans un bain d’urine.
Une autre année, les vingt-huit invités du début de soirée, maître comprit, s’étaient agenouillés le cul en l’air et le front par terre. Alice/Andromeda avait alors reçu l’ordre de lécher l’anus de tout le monde, un par un, jusqu’à ce que les hommes éjaculent et que les femmes atteignent l’orgasme sans autre aide que sa propre langue. Elle n’avait le droit qu’à cinq minutes par personne. Si elle ne réussissait pas dans le laps de temps donné, elle se recevait vingt fessées. Les invités étant complètement sous, c’était souvent beaucoup qu’elle se recevait à chaque fois. Mais cela finalement ne lui avait pas tant déplu que ça… Et puis rapidement les invités qui attendaient s’étaient mis à se lécher les un les autres jusqu’à ce que tout le monde se mélange et qu’Alice/Andromeda ne sache plus où elle en était (ce qui ne l’empêchait pas de continuer à recevoir des fessées…)
C’est seulement lors de la dernière année qu’elle passa avec son maître qu’elle comprit que les positions sociales n’existaient plus non plus lors des dionysies. Après avoir connu longtemps la soumission, elle goûta au plaisir de la domination sur son propre maître marchant.

Le trio se dirigea vers la salle de bain au sol carrelé pour une séance  » d’arrosage  » en règle. Bruno s’allongea sur le dos, se masturbant doucement alors qu’Alice et Juliette s’accroupissaient au-dessus de sa tête, face à face. Juliette était accroupie les pieds de chaque coté de Bruno, entre ses aisselles, et Alice accroupie les pieds entourant le sommet de sa tête. Pratiquement simultanément, elle lui pissèrent des jets fins et contrôlés sur tout le visage. Bruno ouvrait la bouche, avalant comme il pouvait leurs urines mélangées. Juliette et Alice s’embrassaient à pleine bouche, se caressaient les seins, se tirant, pinçant et se tordant les tétons mutuellement.
Lorsqu’elles eurent finies de pisser, elles se dégagèrent, pataugeant dans l’urine qui avait coulée sur le sol et léchèrent le visage mouillé de Bruno, le nettoyant de leur propre urine jusqu’à ce qu’il soit  » propre « .
Il se releva ensuite, laissant sa place à Juliette qui s’agenouilla, le cul relevé, les bras étendus devant elle, la tête dans la flaque d’urine sur le carrelage. Par petits coups, Juliette trempait sa langue dans pisse et la buvait ainsi par petites gorgées. En même temps, Alice lui caressait et lui léchait les fesses. Elle lécha son index et lui enfonça doucement dans l’anus. Elle fit de petits va et viens, retira son doigt et le lécha de nouveau, accompagné du majeur. Lentement, elle enfonça son index suivit du majeur dans le petit trou de son amie. Elle refit des va et viens puis reporta ses doigts à sa bouche pour les lécher de nouveau, accompagné de l’annulaire. Elle enfonça ses trois doigts dans la rondelle brune qui commençait à se dilater. Elle alternait les va et viens lents et rapides, tout en continuant de lui lécher les fesses. Quand elle retira ses doigts de nouveau, le petit trou étoilé de Juliette resta ouvert et dilaté. Elle lui écarta alors un petit peu les fesses et laissa s’approcher Bruno. Il ferma les yeux pendent deux petites secondes puis un jet d’urine partit de sa queue jusqu’au cul que caressait Alice. Il dirigea son jet vers l’anus grand ouvert, et l’urine coula dans l’ouverture. Rapidement la pisse coula le long des fesses, de la chatte et des cuisses de Juliette qu’Alice s’empressa de lécher. Le jet s’arrêta et Alice s’empressa d’aller lécher le petit trou humide de Juliette. La langue s’enfonçait profondément dans l’anus dilaté et Juliette poussa de petits cris excités, les yeux fermés, la langue toujours en train de laper la flaque d’urine. Alice s’allongea sur le dos et Juliette s’accroupie au dessus d’elle. Alice léchait la pisse qui coulait de la rondelle de son amie pendent que celle-ci suçait la bite de Bruno. Celle-ci grossie entre les lèvres et sur la langue de Juliette jusqu’à ce qu’elle devienne bien dure.

Au fil des années, Alice comprit que son plaisir ne dépendait pas seulement des sensations physiques qu’elle ressentait, mais aussi du plaisir de ses partenaires. Pour atteindre l’orgasme, il fallait que ses partenaires l’atteignent aussi.
Elle apprit des centaines de positions et techniques pour mener l’excitation à son paroxysme. Mais jamais elle ne perdit de vue que son but était d’avoir son propre orgasme. Sa survie en dépendait.
Elle avait dû apprendre  » les règles  » sur le tas, en faisant des découvertes et des erreurs qui parfois auraient pût lui coûter la vie.
Le jour où elle devint immortelle, ce fut lors de ses dernières Dionysies, le jour où elle comprit que les statuts sociaux n’existaient plus lors des fêtes. Elle avait alors soumis son maître marchant, lui rendant en quelque sorte le  » monnaie de sa pièce  » de tout ce qu’il lui avait fait subir, à elle et autres filles.
Devant tous les invités, elle lui avait donné la fessée jusqu’à ce que ses fesses deviennent rouge pivoines. Elle l’avait ensuite fait allonger sur le dos, le cul et les jambes relevées contre un mur. Elle lui avait enfoncé une chandelle allumée dans l’anus et avait regarder la cire couler sur ses fesses et ses ridules annales tout en lui fouettant les testicules à l’aide d’un martinet. Les cinq autres servantes lui avaient tour à tour pissé sur le visage. Tous les autres invités s’étaient esclaffés et avait ensuite fait de même. Alors qu’elle continuait à lui fouetter les couilles, elle s’aperçue que sa verge gonflait et devenait de plus en plus dur. Elle lui avait alors fouetter la bite. Le maître marchant avait crié plusieurs fois jusqu’à ce qu’il éjacule de longues giclées de sperme sur son propre ventre et sa poitrine. Alice/Andromeda lécha tout le sperme et le garda en bouche pour le cracher ensuite au visage de son maître. Plus elle lui en faisait voir, plus il était excité et content. La soirée tourna en une gigantesque partouze/orgie où tout le monde pénétrait, pissait, léchait tout le monde. Tous les convives étaient au paroxysme de leur plaisir, il n’y avait plus aucune retenue. La sueur mélangée à l’urine, au sperme et à la cyprine recouvrait presque en totalité tous les corps.
C’est alors que l’atmosphère changea. Une étrange brume fit son apparition, l’atmosphère moite s’électrisa. Un homme apparu, gigantesque et majestueux. Tous les convives s’arrêtèrent et se tournèrent vers lui. L’homme, mesurant au moins deux mètres, était presque nu, seulement habillé par de la vigne qui lui cachait son ventre, ses fesses et son sexe. Il tenait en main une longue hampe ornée de lierre. Il regarda l’assistance l’air grave, le sourire en coin. Le doute n’était plus permis pour personne. Aussi incroyable que cela puisse paraître, c’était le dieu Dionysos qu’ils avaient devant eux.
Il leva et pointa sa hampe vers eux et parla d’une voix forte et grave.
 » _ Je suis le dieu du vin, le dieu fou, je suis le dieu Dionysos. Ce soir votre plaisir a été tellement fort qu’il m’a appelé parmi vous. C’est en mon honneur que vous agissez ainsi et mon honneur est satisfait. Pour vous récompenser, je vais vous accordez à toutes et à tous la vie éternelle à la condition que vous continuiez à m’honorer de la sorte. Si vous voulez vivre la vie immortelle d’un dieu, alors vous devrez faire sortir votre plaisir pour qu’il monte jusqu’à moi. Ainsi est ma parole et nul autre ne pourra la contredire.  »
La brume s’était faite plus dense et avait rapidement disparue, en même temps que Dionysos. Personne n’osa bouger. Des soixante-neuf personnes présentes, ce fut Alice/Andromeda qui bougea la première. Elle alla jusqu’au maître marchant et lui dit que désormais elle n’était plus son esclave/servante, que désormais sa vie lui appartenait. Sur ce, elle se baissa et lui avala sa bite ramolie, lui suçant le gland et lui pétrissant les couilles.
Les Dionysies n’étaient pas encore finie et il fallait en profiter jusqu’au bout…

Alice et Juliette se dirigèrent vers le lit de la chambre à coucher. Juliette se coucha sur le ventre et Alice se coucha sur elle, elle aussi sur le ventre. Bruno s’approcha et leur lécha le cul alternativement, humidifiant et pénétrant leur anus de sa langue. Alice embrassait Juliette dans le cou pendent que celle-ci lui caressait le bas du dos.
Bruno monta à son tour sur le lit et s’allongea sur le dos. Il se masturbait, sa bite devenue complètement dure et gonflée. Alice s’accroupie dos à lui, tortilla les fesses quelques instants puis, s’aidant de ses mains, se sodomisa sur la verge de Bruno qui poussa un petit gémissement. Il lui caressait le dos, caressait ses fesses qui montaient et descendaient le long de sa bite. Alice se pencha en arrière, posa les mains le long du torse de Bruno qui lui caressa la poitrine. Elle arrêta son va et viens du bassin et ce fut au tour de Bruno de bouger d’avant en arrière. Juliette lécha la jambe d’Alice du pied jusqu’à sa chatte rasée dans laquelle elle se perdit en léchage, mordillage et suçage. Sa langue passait sur les bords des lèvres vaginales jusqu’au clitoris qu’elle suçait comme un bonbon avant de s’enfoncer dans les replis du vagin qui commençait à mouiller abondamment. Juliette récoltait le jus d’Alice comme un nectar précieux qu’elle avalait comme du sirop.
Bruno avait ralenti la cadence, prenant son temps, voulant faire monter le désir d’Alice à son maximum…
Juliette introduisit son index et son majeur dans la fente juteuse d’Alice qui poussa plusieurs petits gémissements. Elle la branla lentement avant d’ajouter son annulaire aux deux autres doigts. De la sueur perlait au front d’Alice qui poussait des gémissements en se mordant la lèvre inférieure, les yeux fermés. Juliette retira ses trois doigts puis pénétra de nouveau Alice en ajoutant aux autres doigts l’auriculaire. La main de Juliette s’enfonçait dans la chatte d’Alice jusqu’à sa paume. Puis enfin le pouce rentra aussi et Alice se retrouva sodomisée et fistée en même temps. Juliette donna de petits mouvements à sa main puis se pencha pour sucer le clitoris gonflé d’Alice. Celle-ci poussait maintenant de véritables petits cris de plaisirs… Juliette sentie la bite de Bruno à travers la paroi vaginale et elle se mis alors à le caresser doucement. Ce fut au tour de Bruno de pousser des gémissements.
L’orgasme d’Alice survint juste après celui de Bruno. Il éjacula à l’intérieur de son anus et se retira presque immédiatement pour présenter les dernières gouttes à la gourmandise d’Alice. Celle-ci avait poussée un véritable cri alors que Juliette retirait sa main pour laisser le jus couler abondamment. Juliette souleva le cul d’Alice et lui lécha l’anus pour récupérer le sperme laissé par Bruno. Elle lui nettoya le cul aussi proprement que possible.
Alice avala les dernières gouttes de sperme de Bruno puis s’allongea sur le lit. Juliette et Bruno en firent de même, se collant avidement au corps d’Alice.

Celle-ci ferma les yeux, un sourire aux lèvres. Chaque jour elle vivait ce type d’expérience, chaque jour elle s’endormait rompue. Aujourd’hui encore, elle avait mérité son droit de vivre. Mais y arriver t-elle tous le temps ? Qu’arrivera t-il le jour où elle n’aura pas d’orgasme ? Alice frissonna et s’accrocha à Juliette. Mieux valait qu’elle n’y pense pas. Pour l’instant, elle pouvait s’endormir l’âme en paix.

FIN. Nouvelle écrite par Mathieu / mathieu.etc@laposte.net

P.S : J’ai 23 ans, je suis étudiant en cinéma et cela m’amuserait beaucoup d’adapter ma nouvelle en court-métrage, en enlevant les parties de flash-back (trop de décors, trop d’acteurs !…) et en ajoutant une voix off (celle d’Alice) pour la narration. Si vous êtes acteur ou actrice amateur et si cela vous tente ou si vous voulez des renseignements, n’hésitez pas à m’écrire ! Ne faites pas attention aux descriptions, le but premier est d’abord de s’amuser ! N’hésitez pas ! Et si vous voulez juste discuter de la nouvelle, vous êtes plus que les bienvenus ! Mathieu. / mathieu.etc@laposte.net

P.S2 : Si j’ai des échos favorables, il est probable que des suites à cette nouvelle voit le jour…

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2 réponses à Alice 1 par Mathieu02

  1. mignard dit :

    Pas mal mais un peu touffu !

  2. jeanne dit :

    Une belle esquisse de scénario, ce n’est pas parfait mais c’est perfectible, et puis j’aime bien les histoires de filles pisseuses

  3. dunlop dit :

    C’est pas mal du tout, mais on va dire que ça manque de « métier ». Il n’y a pas assez de dialogues, et la psychologie de l’héroïne n’est qu’à peine abordé. Les scènes chaudes sont plutôt bien vue mais l’auteur insiste lourdement sur ces fantasmes… quoique si on les partage, ce n’est pas bien grave. Encouragements

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