Maria Isabel par Dumigron

 Maria Isabel par Dumigron

Dumigron et Maria Isabel

Le mec est à côté de moi dans le train, il pue, il ne doit changer de slip que le dimanche ! Mais il est habillé très classe ! Le genre bien propre au dehors et crado sur lui, j’ai une pensée bizarre pour son sexe que j’imagine crade et plein de fromage ! Il a un sac en plastique à ses côtés. Il pique un léger roupillon et ce connard se met à ronfler en faisant un raffut du diable. Le train s’arrête soudain, il roupille toujours. Et puis il se réveille brusquement, se lève comme un diable surgirait d’une boite à surprise et quitte le train. Il a oublié son sac. Ah ! Ah ! Je jette un coup d’œil. Un whisky, pas n’importe quoi, du pur malt, un truc cheros. Sans doute un cadeau d’entreprise ! Ce sera pour ma pomme. Je suis célibataire depuis que Maria Isabel est partie avec Pedro… Je n’ai plus personne dans ma vie. Je pensais qu’elle continuerait à m’accepter après l’accident qui m’a légèrement défiguré. Elle a essayé quelques mois, puis elle a craqué, je ne lui en veux pas… Ne pouvant plus m’exprimer avec les femmes, j’ai essayé les hommes, les relations dans les coins d’ombres (voir Dumigron à Sévilla), mais ça me laisse un drôle d’arrière-goût !

Il est 23 h 00 ! J’ai bu toute la bouteille, la tête me tourne et un fantôme agresse mes pensées, un souvenir aux formes parfaites, Maria-Isabel.

Maria-Isabel flashe dans mes pensées..

Il y a des gens qui aiment la vie rangée. Je suis l’une de ces personnes. J’ai un bon travail. J’avais une belle petite amie, très perverse et qui me satisfaisait pleinement. Cependant, il est arrivé une aventure imprévue qui m’a bouleversée et qui a aussi bouleversé les valeurs que j’avais jusqu’à ce moment.

Cette année là j’étais venu poursuivre mes études à Paris. Il avait été décidé que j’habiterai chez une amie d’enfance de ma mère, Maria-Isabel, qui vit seule car divorcée et dispose d’un grand appartement. C’est une très belle femme d’une quarantaine d’années, très élégante, blonde et peut être à peine un tout petit peu ronde.

C’était un après-midi quand il fait trop chaud pour faire quoi que ce soit d’autre que la sieste. Nous étions allongés sur le lit à moitié endormis et nus quand l’envie de baiser m’a pris. J’ai commencé à caresser les doux bras de Maria-Isabel, puis constatant qu’elle ne me repoussait pas, j’ai poussé plus loin mes investigations. N’étant pas particulièrement portée sur ça, il me fallait souvent du temps avant de pouvoir l’exciter et lui faire l’amour. Mais ce jour-là devait être le bon, car elle me laissait faire. Doucement d’abord, puis avec plus de fermeté je lui caressais les seins, le cul et la chatte. Allongée sur le côté, ses fesses bien rebondie s’offraient à moi et pour bien lui faire sentir mon désir, je plaquais ma queue dressée contre son cul.

J’étais en boîte avec l’un de mes amis et nous avions bu plus que nécessaire, le scotch est l’un de mes péchés mignon. Loin de vouloir draguer les filles, je dois même avouer que je ne les regardais pas plus qu’il le faut. C’est pourquoi je fus surpris d’entendre une voix féminine qui me chuchotait à mon oreille :

 » Est-ce que tu voudrais danser?  »

Une danse ce n’est pas la fin du monde et ce n’est même pas tromper ma blonde. Je me suis donc levé et c’est là que j’ai remarqué la beauté éclatante de cette déesse. les cheveux roux naturel (j’ai vérifié) bouclé. Des seins généreux et fermes et surtout un cul qui m’hypnotisait. Nous avons commencé à danser et je me suis senti transporté. Il n’y avait plus de bar, plus de clients, plus de blonde, seulement elle et moi et une musique douce. Il était 3 h 00 et les slow venaient de commencer.

Un soir j’avais décidé de profiter de ce qu’elle m’avait dit devoir passer la nuit en province pour me livrer à de petits jeux érotiques et solitaires. En effet, je n’ai aucun goût pour les petites masturbations à la sauvette et j’aime m’organiser des mises en scène qui réclament du temps et de la tranquillité.

J’adore le sexe et l’ambiance était tellement propice qu’il me vint à l’esprit de lui proposer quelque chose d’un peu différent qu’à l’accoutumée. Je lui demandais donc de si elle voulait que je lui raconte des choses pendant que je la prendrais. Un peu surprise, elle me demanda quoi, mais je lui dis qu’elle verrait. A ma grande surprise, elle accepta. Mes caresses se firent plus précises, et mes doigts commençaient à jouer avec sa fente jusqu’à son petit trou. Elle me dit ne de ne pas faire ça. J’arrêtais aussi sec mais frottais plus rapidement encore sa chatte qui mouillait abondamment. C’est alors que je lui racontais une petite histoire qui allait me révéler sa vraie personnalité. Je lui dis d’imaginer que nous étions dans un coin tranquille de la forêt et que nous étions allongés à nous faire des câlins.

Seuls, je décidais alors de mettre ma main sous sa jupe et de caresser ses fesses, pendant qu’elle baissait mon short pour attraper ma queue et me branler gentiment. Je sentais que ma petite histoire commençait à lui faire de l’effet, car sa chatte devint plus chaude et plus mouillée et ses jambes s’écartèrent sensiblement. De mon côté, je me frottais à son cul, ma bite bien gonflée. Je lui dis alors d’imaginer qu’elle se mettait à quatre pattes et commençais à me sucer la bite, le cul en l’air. Là, elle a commencé à râler un peu, ça l’excitait vraiment ce que je lui racontais. Mais ce n’était qu’un début.

Je dois dire que je n’en revenais pas de ma chance. À peine avions nous commencé à danser qu’elle me regarde dans les yeux et qu’elle me dit :

– Ce soir tu vas découvrir la luxure !

Je ne suis quand même pas néophyte dans ce domaine mais là je dois dire qu’elle avait raison.

Ce soir là je m’étais attaché nu sur mon lit, pas vraiment attaché car mes mains et mes pieds étaient simplement passés dans des anneaux de corde juste assez étroits pour ne pas pouvoir s’en libérer trop facilement. C’est un petit jeu auquel je me suis déjà livré plus d’une fois et qui me procure toujours autant d’excitation. J’étais donc étendu, bras et jambes écartés, nu, offert depuis pas mal de temps et cela me mettait vraiment dans tous mes états : Je tremblais d’excitation et je bandais si fort que mon sexe en était presque douloureux. Je ne pouvais plus tenir et j’étais sur le point de libérer une de mes mains pour me soulager, le moindre contact sur mon sexe gonflé allait libérer mon plaisir. C’est alors que Maria-Isabel rentrée prématurément a frappé à la porte de ma chambre que j’avais eu l’imprudence de laisser entr’ouverte et que je l’ai vue apparaître devant moi, médusée par le spectacle que je lui offrais.

Les mots que j’employais devenaient plus crus et ça lui plaisait. Habituées à la tendresse elle découvrait que ça, ça lui plaisait aussi. J’en profitais donc pour lui enfiler ma queue, c’était un vrai bonheur, jamais elle avait autant mouillé. Moi aussi, émoustillé, je m’en donnais à cœur joie et la baisais tout en lui parlant. Je lui dis alors d’imaginer que quelqu’un nous regardait pendant qu’elle me suçait et à mon grand étonnement elle me demanda ce qu’il faisait. Je lui dis qu’il se branlait et cela lui fit pousser aussitôt pousser des petits cris d’excitation. Je décidais alors d’aller plus loin et lui dis que le gars venait vers nous, et qu’elle, maintenant sur moi, pouvait voir le mec en train de branler sa queue. Je vis alors à son regard lubrique que je ne lui connaissais pas alors, qu’elle voulait que ça aille plus loin. Je lui dis qu’il était si près d’elle qu’elle n’avait qu’à ouvrir sa bouche pour le sucer, ce qu’elle allait faire. Pendant ce temps, moi je la baisais et m’enfonçais avec vigueur dans sa chatte.

Elle m’embrassa longuement et j’ai senti une décharge de désir monter en moi. Je désirais cette femme, je la voulais, j’allais me la faire. Durant ces longs baisers, nos mains ne restèrent pas inactives. Elles se promenaient sur le corps de l’autre comme si nous étions seuls dans le bar. Je lui caressais les fesses, le dos, la nuque, les seins tout était merveilleusement beau. Elle de son côté n’hésitait pas à faire de même. Je senti mes fesses se faire pétrir avec envie et lorsque qu’elle dirigea sa main vers mon pénis, la réalité m’est revenue et je me suis rendu compte que nous n’étions pas seuls. Je senti plusieurs paires d’yeux qui nous fixaient. Je lui ai alors demandé si nous pouvions aller dans un petit coin tranquille.

En effet en entendant frapper, pris de panique, j’avais tenté maladroitement de me libérer sans y parvenir et j’étais devant elle en train de me contorsionner lorsque soudain j’ai senti que je commençais à jouir avec une violence que je n’avais jamais connue jusqu’alors, tout mon corps se tendit comme un arc tandis que de longues giclées de sperme jaillissaient sur mon ventre tandis que je m’abandonnais au plaisir dans un sanglot sous le regard de Maria-Isabel. Elle était là debout devant ce lit où je gisais mort de honte, me sentant encore plus nu sous le regard de cette femme vêtue d’un tailleur strict et élégant, totalement impuissant à échapper à son regard. Elle s’est alors approchée, s’est assise près de moi sur le lit et m’a saisi par les cheveux pour m’obliger à la regarder, m’expliquant que je devrais maintenant lui obéir si je voulais que cet “incident” ne vienne pas aux oreilles de mes collègues tandis qu’elle essuyait le sperme répandu sur mon ventre avec les doigts de son autre main qu’elle me fit ensuite lécher un par un malgré mes supplications.

Cette petite garce aimait ça et prenait vraiment son pied à imaginer la scène. J’avais offert un gode à mon ex en pensant que cela pourrait lui plaire (moyen en fait) je me dis que ce serais une bonne idée de m’en servir. Je lui ai dit de se caresser seule un instant et suis aller le chercher. Je me suis ensuite remis à côté d’elle et j’ai continué à lui parler. Je lui dis que le gars était bien excité et qu’il passait derrière elle pendant que moi je continuais de la baiser. Je lui ai mis le gode entre les jambes (il était de bonne taille) et le faisait aller et venir. Elle n’a même pas bronché et s’est laissé faire. Je poursuivis mon histoire et lui demandais si elle sentait cette queue qui lui caressait le petit trou. Elle me fit signe sans dire mot qu’oui. Moi j’avais pris ma bite et la faisais glisser sur son trou. Je lui dis qu’il allait l’enculer et tout en le disant, je m’enfonçais dans son cul tout serré. Elle ne résista même pas et aux traits de son visage je pouvais voir que cela lui plaisait.
Elle me dirigea vers une porte qu’elle ouvrit. Nous étions dans les escaliers de la sortie de secours. Elle m’arracha la chemise et se mis à m’embrasser avec rage. Je n’avais jamais senti autant de désir sexuel de ma vie. Je dois même dire que j’ai pris peur lorsque la porte s’est ouverte de nouveau et que deux autres filles sont apparues, j’ai senti que je perdrais le contrôle de la situation. En effet c’est ce qui est arrivé.

Prenant manifestement un vif plaisir à mon humiliation elle enfonçait doucement ses doigts gluants de sperme entre mes lèvres le faisant aller et venir doucement tandis que je sentais la liqueur épaisse et salée couler au fond de ma gorge; après un premier mouvement de dégoût cette sensation commençait à me procurer un vif plaisir qu’elle mit à son comble en se livrant au même jeu avec mon anus, le dilatant de plus en plus jusqu’à pouvoir y introduire deux puis trois doigts. J’ignore jusqu’où elle aurait pu aller si soudain, n’y pouvant plus tenir, elle n’avait renoncé à me pénétrer pour arracher son collant et sa culotte avant de venir s’empaler sur mon sexe…

La première continuait à me déshabiller tandis que les deux autres m’embrassaient partout. En moins de deux j’étais nu comme un ver. Ma jolie rousse me pris en bouche et il n’en fallu pas davantage pour que je bande au maximum. Les filles semblaient très heureuses de me voir ainsi. Ils se déshabillèrent et ma jolie rousse se coucha sur le dos, jambes ouvertes. Elle commença à se masturber devant nous. Il ne m’en fallait pas plus pour que je me jette sur elle et je la laboure comme jamais je ne l’avais fait. La deuxième fille alla se placer assis sur le visage de ma déesse rousse pour se faire manger et la troisième debout accepta la langue de la deuxième. Nous quatre étions dans une extase sexuelle que je n’avais jamais ressentie. On gémissait avec force, on a joui chacun notre tour. Mes demoiselles se sont levées et m’ont laissé seul. Je me suis rhabillé, j’ai ouvert la porte et je me suis rendu compte qu’il était 4 heures du matin. Quand je suis rentré, Maria-Isabel m’attendait. Elle m’a giflé deux fois, puis elle est partie se coucher en sanglotant. Je me suis affalé tout habillé sur le canapé. Le lendemain matin, elle m’a simplement dit :

– Je ne t’en veux pas, ça peut arriver, mais j’espère que si cela m’arrive aussi tu sauras te conduire…

J’ai voulu me changer les idées en allant rendre visite à ma mère. Elle fait parfois la pute sur Las Ramblas, ne la voyant pas je suis renseigné, et on m’a dit qu’elle était occupé avec un miché dans la chambre 14. Je suis montée, la porte n’était pas fermée elle était à poil en train de faire sauter un Equatorien. Elle m’a dit que je tombais vraiment bien parce que le fantasme de son client était de sodomiser un homme. Je n’ai pas voulu contrarier maman, j’ai sucé un peu le type et lui est tendu mes fesses. J’aime qu’on m’encule de temps en temps. Le mec a joui et est parti, il a dit aurevoir à ma mère mais pas à moi. Malpoli, va ! Ma mère rigolait, elle en a vu d’autres et voyant ma bite demi-molle a proposé de me la sucer, ma mère m’a toujours très bien sucé ! Elle m’a fait jouir avec sa langue de putain, et m’a réclamé de pouvoir prendre son plaisir à son tour. J’ai donc léché sa chatte charnue encore pollué du sperme de son miché.

Après quelques mouvements furieux tout le corps de Maria-Isabel se tendit comme un arc et elle commença à gémir tandis que je sentais son vagin se contracter spasmodiquement autour de mon pénis ce qui provoqua rapidement une nouvelle éjaculation. Déçue de sentir mon érection faiblir, elle vint alors sur mon visage me faisant boire à la liqueur mêlée de mon sperme qui s’écoulait abondamment de son sexe, puis elle lâcha plusieurs gouttes de son urine, J’avalais, ce qui l’excitait au plus haut point car elle eut très vite un nouvel orgasme… Maintenant la position elle se mit en demeure de vouloir me chier dessus. J’acceptais cette offrande, (que ne ferais-je pas pour la garder…) et puis sa merde est loin de me déplaire, d’ailleurs j’étais dans un tel état d’excitation que j’en ai léché un peu

Je suis rentré de l’hôpital, je demande à Maria-Isabel si elle m’aimera encore malgré mon nez cassé. Elle me répond oui. J’ai su qu’elle n’était pas sincère, j’ai su qu’elle aurait voulu être sincère, et j’ai su que j’avais été le roi des cons de lui poser une pareille question.

Non, il n’y a plus rien dans la bouteille…

Fin !

Postface :

La structure de ce récit n’est pas chronologique ! Je l’ai un peu fait exprès. .
D’ailleurs dans la conversation courante on ne raconte pas chronologiquement. Repensez à la dernière anecdote que l’on vous a raconté : « -Tu sais la dernière, Dolorès s’est mise en ménage avec Pedro ! (on commence par la fin), je vais te raconter ! (en fait, on ne raconte pas on résume) et puis attends, je vais te dire la meilleure…  » (et dans un troisième temps on va épicer l’anecdote de récits périphériques, il y en aura en principe plusieurs et évidemment ils ne seront pas chronologiques)

Amen

Dumigron (prononcez doumigrone en roulant les R)

 

 

Ce contenu a été publié dans Histoires, Récits, avec comme mot(s)-clé(s) , , , , , , , , , . Vous pouvez le mettre en favoris avec ce permalien.

4 réponses à Maria Isabel par Dumigron

  1. Dominguez dit :

    De bonnes description mais pour ce qui est de suivre le fil narratif de l’histoire c’est une autre pair de manches

  2. Battaglia dit :

    C’est vrai, ça que tu t’es fais sucer par ta mère ?

  3. Werber dit :

    Je veux bien que la chronologie ne soit pas respecté mais là on n’arrive pas à suivre le fil des évènements

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *