Cherche homme de ménage 2 – Aurélie par Marco63

 

Cherche homme de ménage
2 – Aurélie
par Marco63

 

Résumé de l’épisode précédent

Je m’appelle Marc, j’ai 28 ans. J’ai rencontré Michel, séduisant quinqua, avec qui je partage le goût pour les jeux de fessées. Après plusieurs séances chez lui, sur le mode ‘patron-employé de maison’, nos jeux deviennent de plus en plus sexuels et, à ma demande, il me dépucèle. Je dois lui donner ma réponse définitive quant au fait de me travestir pour devenir sa soubrette. Pour la première fois, mon épouse Aurélie va participer à nos jeux : Michel l’a invité à regarder lors d’une séance chez moi. Elle s’attend à un simple panpan cucul gentillet et ne sait rien de ma toute récente bisexualité.

 

 


 

11 heures. La sonnette retentit. C’est lui. Pile à l’heure. Je vais ouvrir, les jambes flageolantes. Il m’attend sur le palier, tout sourire. Son clin d’œil associé à une poignée de main très inhabituelle entre nous signifie ‘Fais-moi confiance’. Aurélie arrive et je fais les présentations.

Un petit mot sur mon épouse. Elle a 27 ans mais son physique lui en fait paraitre moins de 20 : elle est très menue, blonde aux yeux bleus clairs. Des petits seins très réactifs, des fesses en pomme rendues fermes par des années de danse. Pour un fétichiste comme moi, la beauté de ses mains et de ses pieds ont fait mouche dès notre première rencontre. Elle ne sait rien de mon goût pour les pieds et les chaussures féminines en général mais semble très bien s’accommoder des sommes folles que je dépense pour elle en talons hauts. Et des moments où, durant nos ébats, j’embrasse ses pieds à plein bouche dès que la position le permet. Elle semble même s’en amuser mais ne peut ignorer l’effet que cela me fait. Encore un autre non-dit entre nous …

Nous nous dirigeons tous vers le salon et nous installons, mon épouse et moi dans le canapé, Michel en face de nous dans un fauteuil. Après une courte discussion sur la pluie, le beau temps et d’autres banalités, Aurélie se lève et nous propose de prendre l’apéritif. Michel intervient :

– Bonne idée ! Mais pourquoi ne laissez-vous pas Marc nous servir ? De toute façon, nous allons bien commencer à jouer ensemble tôt ou tard, non ?
– Marc fait le service chez vous ? demande-t-elle, amusée.
– Oui, bien sûr. Pour pimenter la chose, nous jouons chacun un rôle : je suis le maître de maison, il est l’employé. En plus du service, il fait donc aussi le ménage. Et vous vous doutez bien de ce qui lui arrive s’il travaille mal, ajoute-t-il en souriant.
– Bon, et bien allons-y alors !

Elle se rassoit tranquillement dans le sofa, croise les jambes et me lance :

– Pour moi, chéri, ce sera un Kir. Et vous Michel ?
– La même chose, merci.
– Et bien deux Kir et quelques amuse-gueule alors.

Dans un éclat de rire, elle trouve même bon d’ajouter un ‘Et que ça saute !’ assorti d’une tape symbolique sur les fesses lorsque je passe devant elle. Je suis rouge brique ! C’est fait, la partie commence. Et le regard brillant d’Aurélie me dit qu’elle n’a pas l’intention de s’arrêter en si bon chemin. Je m’attendais à ce qu’elle soit au mieux très passive et au pire carrément outrée (elle est très coquine en règle générale mais la fessée n’est définitivement pas sa tasse thé). Elle n’a pas fini de me surprendre …

Toujours au salon, la discussion va bon train mais le sujet de la conversation a changé. On n’y parle plus de la couleur du ciel mais de celle de mes fesses à la fin des punitions que j’ai reçues. Punitions que Michel se fait un plaisir de conter par le détail à une Aurélie très attentive et dont le sourire amusée du début s’est transformé en une série de regards appuyés et de clins d’œil presque égrillards.

Je suis à la fois heureux qu’elle réagisse si bien mais toujours très inquiet pour la suite. Je tiens à elle et je ne voudrais pas qu’un geste ou un mot déplacé la fasse se détourner de nos jeux. D’autant plus que j’avoue prendre du plaisir à être ainsi un peu humilié devant elle par un autre homme. Cette sensation est nouvelle pour moi et c’est avec un mélange d’anxiété et d’excitation que j’attends le moment où Michel me fessera devant elle.

Elle confirme son envie de poursuivre en me lançant, sur un ton presque sérieux cette fois-ci :

– Et dis donc ? Tu as vu l’heure ? Il serait temps de te mettre aux fourneaux, non ? Et n’oublies pas de prendre le service bleu pour mettre la table.

Abasourdi, je me lève et me dirige vers la cuisine.

– Mais avant, ramènes-nous deux Kir pour nous faire patienter, ajoute-t-elle

Je reviens avec les verres sur un plateau, les dépose sur la table basse et m’en retourne à la cuisine préparer le repas. Aurélie me racontera plus tard leur discussion en mon absence :

– Alors Aurélie, qu’en dites-vous ? Toujours partante pour continuer ?
– Oui, bien sûr. Mais je vous avoue être très surpris. Marc est plutôt du genre viril, sans être macho, chose que je déteste. Comprenez que de le voir ainsi, dans ses petits souliers, cela me fait bizarre …
– Et oui, c’est la beauté de ce jeu : on peut prendre chacun une autre personnalité que celle du quotidien
– Je vois ça
– Il ne vous a jamais proposé de jeux basés sur la soumission ?
– Non, il m’a bien sûr parlé de la fessée mais je m’imaginais cela d’une manière disons plus physique. On se voit, on se tape sur les fesses et puis au revoir, à la prochaine.
– Et bien en effet, vous devez être surprise … Et j’ai peur que vous n’en soyez qu’au début, ajoute-t-il, sur un ton plein de sous-entendus.
– C’est-à-dire ?
– Je suis sûr que vous allez voir Marc autrement après ce jour. Mais faîtes moi confiance, vous n’y perdrez pas au change.
– Vous comptez le fesser devant moi ?
– Dès que j’en aurais l’occasion, oui ! Reste à savoir qui va provoquer cette occasion …
– Pas moi en tout cas
– Et pourquoi donc ? Vous n’allez pas me dire qu’il est irréprochable, non ?
– Non bien sûr mais bon …
– Si vous voulez une occasion de vous venger délicieusement de lui, la voilà !

Aurélie reste muette quelques instants, perdue dans ses pensées. Michel ne la quitte pas des yeux et imagine certainement les rouages imaginaires qui tournent dans le cerveau de la jolie blonde assise devant lui.

– Et bien, maintenant que vous le dîtes …
– Oui ? interroge Michel, suspendu à ses lèvres
– Quand je vous entends dire qu’il fait le ménage chez vous alors qu’ici je suis certaine qu’il ne sait même pas où se trouve l’aspirateur …
– Vous plaisantez j’espère ?
– Non, pas du tout ! Il aime cuisiner de temps en temps quand nous recevons mais pour le reste, je fais tout ici !
– Et bien voilà, c’est exactement le genre de comportement qu’une bonne fessée cul nu peut soigner. MARC ! Viens voir un peu ici, s’il te plait.

Je sors de la cuisine et les trouve toujours dans le salon, avec des regards de conspirateurs qui ne me disent rien qui vaille.

– Aurélie vient de m’apprendre que tu ne fais jamais le ménage ici. Dis-moi que ce n’est pas vrai ?
– Euh … ben si
– Et tu penses que c’est normal ?
– Je travaille souvent tard
– Aurélie aussi travaille, je te signale. Je ne peux plus tolérer ce genre de comportement. Je pensais que tu étais quelqu’un de sérieux à ce sujet et je m’aperçois que dès que j’ai le dos tourné, tu reprends tes mauvaises habitudes.

Il se lève, va vers la table du salon et prend une des chaises. Il la place au milieu de la pièce, s’y assoit et me regarde :

– Et bien, qu’est-ce que tu attends ? Je serais toi, je ferais vite si tu ne veux pas que le déjeuner brûle.

Je m’avance vers lui, plus maladroit que jamais. Ce n’est pas la première fois qu’il me fesse mais la présence d’Aurélie me fait perdre tous mes moyens.

La punition démarre. J’ai pris mon courage à deux mains et je me suis mis cul nu tout de suite. Les coups pleuvent et mon fesseur ne s’arrête que pour demander à Aurélie de me retirer chaussures, chaussettes, caleçon et pantalon. Cette dernière s’exécute et je sens le poids de son regard sur mes fesses en train de cuire : il est plus fort que les claques que je reçois et décuple mon plaisir.

Résultat des courses ? Je dois finir la préparation du repas cul nu, repas durant lequel Michel nous invite chez lui pour une prochaine séance. Aurélie accepte avant que je n’ai pu dire un mot. Elle semble très émoustillée par tous ces jeux et, une fois Michel parti, me le prouve lors d’une séance de jambes en l’air d’une intensité mémorable durant laquelle elle ira jusqu’à me mettre des claques sur des fesses déjà passablement cramoisies.

Chez Michel

Dès notre arrivée, Michel souhaite faire faire le tour du propriétaire à mon épouse (c’est au sens figuré, pour le sens propre ce sera plus tard …). Il me jette un regard noir dont il a le secret pour me faire remarquer que ce n’est pas parce qu’Aurélie est là que je dois changer mes habitudes. Je me mets donc nu sauf mon t-shirt et je m’attèle au ménage. Je n’ai pas le temps d’aller chercher l’aspirateur que je l’entends demander à Aurélie si j’ai fait des efforts à la maison. Cette coquine répond bien sûr par la négative (chose vraie et vous vous doutez pourquoi). Je revis donc la scène du premier jour où je traverse le salon manu militari, ne faisant que suivre mon oreille fermement empoignée par un Michel jouant parfaitement la colère.

– Ne vous inquiétez pas, j’ai un remède parfait contre les fainéants de son espèce. Vous allez voir comment je corrige les mauvais domestiques. Mais ne m’en voulez pas, je vais être obligé d’être beaucoup plus sévère que chez vous : il y a des fortes chances qu’il pleure à chaudes larmes quand j’en aurais fini avec ses fesses !
– Ne vous gênez pas pour moi, Michel ! Je pense aussi qu’il a besoin d’une vraie leçon !

Il attendra effectivement que je sois en pleurs pour me faire relever et m’envoyer chercher le martinet. Petit instant de silence général : Aurélie, qui est restée assise sur le canapé et qui n’a pas perdu une miette de la punition, a des yeux comme des soucoupes et la bouche grande ouverte.

– Le martinet ?
– Et bien oui ! Il ne comprend que ça ! Vous allez voir, il va filer doux après seulement quelques coups ! D’ailleurs, pour tout vous avouer, étant donné que je le punis pour une faute commise envers vous, j’avais pensé vous laisser le soin de terminer la correction …
– Vous voulez que je lui donne des coups de martinet ? demande-t-elle, toujours aussi surprise et interrogative
– Tout à fait ! Vous souhaitez que son comportement change ?
– C’est sûr que s’il m’aidait pour le ménage, ce ne serait pas du luxe !
– Je ne vous parle pas d’aider, Aurélie. Je vous parle de vous trouver un nouvel homme de ménage …

Nouveau moment de flottement général et c’est avec un mélange de plaisir et d’appréhension que je l’entends répondre un ‘oui, d’accord’ franc et massif.

Michel réitère son ordre et, lorsque je lui présente le martinet, me fait signe de le donner à Aurélie. Ils se lèvent et nous nous dirigeons vers la table du salon où je suis habituellement puni. Je me mets en position sur la table, penché, les mains sur la tête, jambes serrées et fesses tendues.

Michel devra montrer à Aurélie ce qu’un vrai de coup martinet veut dire, les timides tentatives de cette dernière n’étant pas assez sévères à son goût. Conseils trop bien suivis d’ailleurs car il est aussi obligé de l’arrêter quand il sent, car il me connait bien, que je suis au bord de dire ‘Stop’ pour de vrai.

Il laisse passer quelques instants pour que je me remette de mes émotions et poursuit :

– Bon, j’espère que tu as compris la leçon ?
– Oui, Monsieur
– Tu vas promettre à ta femme, devant moi, que tu seras dorénavant un homme de ménage dévoué. Tu remercieras aussi Aurélie comme il se doit pour la punition que tu viens de recevoir et qui te fera, je l’espère, le plus grand bien pour la suite.

Je me tourne vers Aurélie et commence à m’exécuter quand il me reprend :

– Tu ne crois pas que tu serais plus convaincant si tu étais à genoux devant elle, les yeux baissés ?

A peine ai-je terminé qu’Aurélie, qui semble en plein dans le jeu, s’adresse à moi en me toisant du regard, les mains sur les hanches :

– Mouais. Et bien je suis censée te croire sur parole pour l’instant. Parce que des belles déclarations comme ça, ce n’est pas la première fois que j’en entends de ta part …
– Marc, il va falloir que tu fasses mieux. Il va falloir être plus convaincant ! ajoute Michel

A genoux devant elle, les yeux baissés, la vision de ses ravissantes petites mules noires (qui m’ont couté une fortune !) et de ses diaboliques petits orteils aux bouts carmin me donne une idée. Je répète toute ma profession de foi, tous mes serments, en lui léchant consciencieusement les chaussures et les pieds, les épaules au sol et les fesses en l’air tournée vers mon fesseur.

Avec le recul, je pense que cette première fois a été la plus excitante des premières fois que j’ai connues. Me coucher sur les genoux d’un fesseur très doué, lui donner l’usage de ma bouche et de mes fesses restent un cran en dessous de ce moment où j’ai pu assouvir mon fantasme de montrer à la femme que j’aime mon état d’adoration à son égard. Les petits mots doux, les fleurs et les cadeaux ne sont rien par rapport au fait de lécher amoureusement ses pieds dans une position si indécente et humiliante : celle d’un homme qui vient de recevoir une fessée cul nu, sévère à en pleurer, devant elle. A ce moment précis, je crois avoir approché ces états seconds dont les soumis(e)s font quelques fois le récit.

Michel me sort de mes rêves mais continue le jeu en ajoutant :

– Alors ? Le trouvez-vous plus convaincant ?
– Ma foi, il ne m’a jamais fait ses promesses dans ces conditions !
– Vous voyez, c’est comme ça qu’il faut vous y prendre si vous voulez des résultats. Je connais encore plein d’autres moyens pour y arriver …
– Allez-y, dîtes moi tout
– Marc, va au piquet. Nous devons papoter un peu, ta femme et moi.

Je l’entends alors lui raconter tout mon ‘dressage’, selon son expression. Il omet bien sûr tout l’aspect sexuel de nos relations mais je le connais assez pour savoir que ce n’est que partie remise et qu’il aura l’intelligence d’amener les choses progressivement. Il me donne raison quelques instants plus tard lorsqu’il saisit la perche tendue par Aurélie :

– Et bien dîtes-moi, vous avez l’air de bien vous amusez quand je ne suis pas là ! Je comprends mieux pourquoi Marc est si excité quand il revient d’ici ! J’avoue que moi-même …
– Oui ?
– Et bien disons que tout cela me fait de l’effet …
– Vous êtes excitée ?
– Euh … et bien, oui !
– N’ayez pas peur de le dire, Aurélie, c’est bien normal. Après tout, nous ne jouons à ce genre de jeux que pour cela !
– Oui, en effet
– Mais en tant qu’épouse, vous avez le droit à un traitement de faveur et je suis certain que Marc se fera un plaisir de vous soulager …
– Me soulager ?
– Oui, vous soulager. Ne me dîtes pas qu’il ne sait pas vous donner du plaisir ?
– Si, bien sûr. Il est même assez doué pour cela …
– Comment s’y prend-t-il ?
– Euh … c’est très gênant …
– Après ce que nous venons de faire, je ne vois pas où est la gêne ?
– Disons qu’il sait se servir de sa langue …
– C’est bien ce que je pensais. Et bien, c’est très simple, il n’a qu’à vous soulager maintenant
– Quoi ? Devant vous ?
– Rassurez-vous, si vous êtes pudique, vous n’aurez rien à me monter
– Comment ça ?

Michel se lève de son fauteuil, vient me chercher, toujours par une oreille (c’est une manie !), et me guide vers le canapé où Aurélie se trouve. Après lui avoir demandé de se lever, il me fait assoir par terre, dos au sofa, et positionne ma tête entre deux coussins de l’assise. Ainsi penché en arrière, seul mon visage affleure. La suite du dialogue m’a été racontée par Aurélie a postériori car, dans cette position, ce n’était pour moi qu’un bruit sourd.

– Et voilà ! Votre jupe est assez longue pour que je ne voie rien quand vous retirerez votre culotte et que vous vous assiérez sur son visage.

Dans ce geste qui parait si maladroit aux femmes et si excitant aux hommes, Aurélie retire donc complètement son string et, la jupe tenue relevée à mi-cuisse, se place sur mon visage. Elle s’aperçoit qu’elle peut reposer de tout son poids sans m’étouffer et s’installe à son aise.

De mon point de vue, la scène est certes moins confortable mais tout aussi excitante. Je sens instantanément qu’elle n’a pas menti sur son état d’excitation : elle est trempée ! Je m’applique à la lécher comme elle aime que je le fasse. Je lui sors vraiment le grand jeu, sans toutefois aller trop vite : je souhaite prolonger ce moment si délicieux qu’elle m’a toujours refusé. Je lui ai pourtant maintes fois demandé de s’assoir sur mon visage. Même au court de nos 69 les plus vigoureux, elle s’est toujours dérobée lorsque je cherchais à l’attirer plus fort vers moi.

Je n’ose pas me caresser pendant cet acte tellement je suis excité. Elle manque de peu de me faire jouir sans contact lorsqu’elle change un peu sa position pour me faire lécher son anus. Elle sait que j’adore ça et que lorsque je lui prodigue ce genre de caresses avant une sodomie, c’est plus pour mon propre plaisir que pour un quelconque prétexte de lubrification …

Mes oreilles prisonnières des coussins arrivent, malgré une acoustique très moyenne, à percevoir ses cris lorsqu’elle jouit. Elle m’avouera plus tard avoir été un peu longue à venir non pas par manque d’excitation mais par pudeur de jouir devant Michel.

Elle a le rouge aux joues quand elle rouvre les yeux et remercie ce dernier :

– Hou là là ! C’était vraiment super ! Merci !
– Ne me remerciez pas, je n’y suis pour rien. Je suis content que vous ayez eu beaucoup de plaisir.
– Je suis un peu honteuse mais pas assez pour me gâcher le plaisir !

Elle se retourne vers moi, resté dans la même position, se penche et m’embrasse à pleine bouche :

– Merci mon amour. C’était super !

Mon regard énamouré (et mon sexe dur comme du bois depuis bientôt une heure) a du lui confirmer que j’y avais trouvé mon compte car elle n’attend pas ma réponse pour se retourner vers Michel et lancer le genre de truc énorme dont elle a le secret :

– Et vous Michel ? Comment allez-vous vous soulager ?
– Et bien, je ne sais pas. En général, je me débrouille seul lorsque Marc est parti

En plus de l’Oscar du plus Gros Mensonge de l’Année, il semble récolter la pitié de la belle :

– C’est dommage. C’est même carrément triste …

Et c’est là que cette fine mouche abat son atout :

– Bof, je suis habitué. Mais ce serait mentir si je vous disais que je ne vous envie pas. Avoir quelqu’un pour se soulager au bon moment doit être, comme vous dîtes, ‘super !’. J’y ai souvent pensé lors de mes séances avec Marc, mais je n’ai jamais osé lui demander.
– Lui demander de vous soulager ? Vous voulez dire que vous aimeriez qu’il vous suce ?

Notre jolie timide n’emploie ce genre de vocabulaire que lorsque qu’elle est soit en colère soit très surprise. Michel a l’avantage de pouvoir lire dans ses yeux (je suis toujours assis par terre à attendre l’orage ou le beau temps …) :

– Mais oui, je n’ai pas honte de le dire, j’y ai déjà pensé souvent !

Aurélie reste muette et va s’assoir, ou plutôt se laisse tomber, dans l’un des fauteuils. Je m’en veux un peu de ce tour de montagnes russes que Michel et moi lui faisons subir mais j’attends ses paroles comme celle du Messie. Elle reste toujours muette mais me regarde et, d’un coup de menton et d’un haussement d’épaules, me signifie que la décision m’appartient.

A votre avis ? Qu’elle a été ma réponse ? Je me suis bien sûr empressé d’enfoncer le clou : je me suis rendu à quatre pattes vers elle et c’est toujours en léchant ses pieds de Reine que je lui ai demandé poliment la permission de soulager mon fesseur adoré.

J’ai continué à lécher et à la supplier jusqu’à ce qu’elle reprenne suffisamment ses esprits pour se pencher vers moi et me questionner :

– Tu veux le sucer ?
– Oui, mon Amour. S’il te plait. Moi aussi j’y ai déjà pensé mais je n’aurais jamais osé le faire sans ton accord (« l’Oscar du Meilleur Second Rôle est attribué à … »).
– Alors quand on plaisantait sur le fait que, quitte à faire des parties à trois un jour, j’aimerais aussi te voir avec un autre homme, tu m‘as menti quand tu m’as dit que tu ne voudrais jamais
– Non mon Amour, c’était avant de connaître Michel et de découvrir tous ces jeux avec lui.

Devant son silence, Michel intervient :

– Apparemment tout le monde est d’accord sauf vous Aurélie. Qu’est-ce qui vous gêne là-dedans ?
– Je ne suis pas gênée. Juste très surprise. Il ne sait pas que c’est vraiment un de mes fantasmes. Mais j’ai toujours présenté ça sur le ton de la plaisanterie, pour le taquiner, car il m’a toujours dit que ce n’était pas son truc. Et là, comme ça, d’un coup, il m’annonce qu’il aimerait essayer ! Ca fiche un coup, non ?
– C’est juste de la surprise ? Vous acceptez alors ?

Elle lui confirme par un grand sourire :

– Si j’accepte ? Mieux que ça : j’attends de voir ça avec impatience !
– Très bonne nouvelle ! Je vois que tout le monde attend ça, alors autant commencer, non ?

Je suis encore en train de lécher les chaussures de mon épouse en la remerciant lorsqu’elle m’interrompt :

– Allez mon Amour, ne fais pas attendre le monsieur. Fais nous voir ce que tu sais faire avec ta bouche !

Je me retourne vers Michel et me rend, toujours à quatre pattes vers lui. Idéalement, j’aurais du jouer le débutant et le maladroit mais je suis si excité que je me lance directement et fait mon office comme je le fais d’habitude. Aurélie ne semble pas dupe car je décèle une pointe d’ironie dans sa voix lorsqu’elle me lance :

– Et bien ! On dirait que tu as fait ça toute ta vie !

Ces encouragements me font abandonner toute retenue et je reprends de plus belle en accompagnant mes gestes de petits soupirs d’excitation et en tortillant des fesses. Je m’applique aussi à lécher ouvertement les couilles de mon Maître (nous y revoilà). Ce dernier demande à mon épouse :

– Alors Aurélie, le spectacle vous plait-il ?
– Oui et non !
– C’est-à-dire ?
– C’est excitant, même très excitant je dirais. Mais ce qui me gâche un peu le plaisir c’est que je me sens la dinde de l’histoire !
– Pourquoi dîtes-vous ça ?
– Parce que c’est évident qu’il vous a déjà ‘soulagé’ comme vous dîtes ! Et que j’aurais aimé le savoir avant, c’est tout ! Il m’a menti !
– Vous savez, si vous lui en voulez pour ça, le martinet est encore à portée de main !
– Pourquoi faire ?
– Lui faire payer ses mensonges ! Bien sûr qu’il m’a déjà sucé ! Plusieurs fois même ! Et nous avons pris nos précautions côté hygiène pour qu’il puisse même aller jusqu’au bout !
– Il avale ? demande-t-elle, la voix un octave au dessus
– Et oui ! Toujours ! Donc vous voyez que vous pouvez légitimement le corriger pour ses mensonges. Et je vous avoue que j’y trouverais mon compte puisque que je peux vous dire par expérience que votre mari suce mieux quand il a les fesses en feu !

Je n’ai pas le temps d’ajouter mon grain de sel (et puis on ne doit pas parler la bouche pleine, c’est malpoli !) qu’Aurélie a déjà sauté sur le martinet et que les coups pleuvent sur mon derrière. Je m’active encore un peu plus à ma tâche en y mettant tout mon cœur. Mais je ne peux que constater que Michel fait durer le plaisir pour jouir de cette petite scénette conjugale qu’il a participé activement à construire. Il explose enfin dans ma bouche mais cela ne calme pas Aurélie qui, sous la colère, continue à me fouetter et à lancer :

– Allez, suce le bien ! Et nettoie tout ! On dirait que t’aimes ça sucer des queues !

C’est la première fois qu’elle parle comme ça. Voir ce petit ange blond aux yeux bleus transformé en furie me surprend mais ne fait que renforcer mon admiration. Elle est ma Reine et une fois la toilette de mon Maitre terminée, je la remercie en dégustant amoureusement le bout de ses orteils.

Elle se penche vers moi, me fait relever la tête en me tenant par le menton. Elle plante son regard, dont le bleu s’est assombri, dans le mien :

– Il y a deux-trois trucs qui vont changer à la maison. Deux-trois trucs qui vont changer entre nous. Nous allons continuer à jouer ensemble et vous, Michel, vous êtes le bienvenu. Mais je n’accepterais plus JAMAIS que tu me caches quelque chose au sujet de ta sexualité ! Sinon, tout est fini entre nous, c’est clair ?
– Oui, mon Amour, c’est promis !

Elle me repousse, jette le martinet sur la table basse et s’assoit dans un fauteuil. Elle range son string abandonné depuis tout à l’heure dans son sac à main, en retire une cigarette qu’elle allume sans me quitter des yeux :

– Et je veux la vérité MAINTENANT !

Je comprends que l’heure est aux conversations sérieuses et je me relève. Lorsque je lui propose d’aller me rhabiller et de prendre un verre tous les trois et de parler, elle se tourne vers Michel:

– Mon cher Michel, je débute un peu. Pourriez-vous lui faire comprendre que pour l’instant on ne lui demande pas de proposer mais d’obéir ?

Je me remets vite en position, et revient vers elle, lui demander pardon en déposant de chastes baisers sur ses pieds.

– Je crois qu’il apprend vite, Aurélie, précise Michel, ravi de la tournure que prennent les choses.
– Mouais. Je ne sais pas s’il apprend vite ou s’il attendait ça depuis longtemps. J’attends toujours la vérité sur vos relations. Alors pour le côté fessée, je connais. J’ai découvert aujourd’hui le coup des petites gâteries. Et le reste ? Marc, tu m’as trompé avec Michel, oui ou non ?

Continuer de mentir semblait moins risqué que de dire la vérité. J’ai tenté ma chance car je sentais la présence rassurante de Michel :

– Non, mon Amour. Je ne t’ai pas trompé avec lui
– Qu’en dites-vous Michel ?
– Il dit vrai, Aurélie. Nous en avons déjà discuté et Marc a toujours refusé. Il m’a même dit qu’il s’en voulait d’avoir laissé glisser nos jeux vers des choses plus sexuelles.
– Mais vous en avez déjà discuté. Et à part des réticences vis-à-vis de moi, vous seriez d’accord tous les deux pour essayer ?
– Puisque qu’il faut mettre cartes sur table, nous avons évoqué l’idée de pousser le jeu patron-domestique vers patron-soubrette : la féminisation forcée est quelque chose qui semble exciter Marc au plus haut point et je partage ce goût avec lui.
– Féminisation forcée ?
– Oui, Marc porterait des vêtements féminins, un déguisement de soubrette, et nous continuerions nos jeux de fessées sur ce mode.
– Je vois. Et j’imagine qu’une fois dans cette tenue, il passerait à la casserole …
– Et bien, oui. Mais je vous le répète, tout cela n’a été qu’un délire verbal lors d’une séance un peu plus ‘chaude’ que d’habitude.
– Bon. Il va falloir me laisser le temps de digérer tout ça. Allez, Marc, on rentre !

Retour à la maison

La vraie explication de texte a eu lieu chez nous. Nous avons longuement discuté de ce que nous attendions de notre vie de couple et du futur. Nous sommes tombés d’accord que nous allions aller au bout de l’idée avec Michel : nous accordons l’un comme l’autre de l’importance au sexe dans la vie conjugale et il semble que ce soit une occasion rêvée de réaliser nos fantasmes communs. J’ai été heureux de voir qu’Aurélie y trouvait son compte et je découvrais avec bonheur que les relations typées SM ne lui faisaient pas peur, bien au contraire. Elle a toutefois insisté sur son dégoût pour les trucs du genre latex-donjon et autres joyeusetés où, je la cite, ‘on est pendus au plafond par les pieds’. Préférant moi aussi jouer ces jeux dans un cadre ‘domestique’, je lui assurai que nous étions là aussi sur la même longueur d’onde. Nous avons terminé la conversation au lit et elle a confirmé ses dires par des initiatives nouvelles : elle s’est montrée plus directive, s’est assise sur mon visage et s’y est même attardée. Une fois qu’elle a eu du plaisir, elle s’est occupée de moi : elle m’a fait mettre une paire de ses bas. Elle a éclaté de rire en voyant le résultat : entre les poils de mes jambes et la différence de diamètre de nos cuisses qui bloquait les DimUp 30 cm trop bas en tirebouchonnant, il faut dire que je ressemblais à tout sauf à un travesti. J’ai moi aussi ri de bon cœur et, même s’il a douché mon excitation, ce moment de complicité partagée était très agréable.

Nous avons donc perfectionné nos jeux à deux avant de reprendre contact avec Michel. Nous l’avions tout de même rassuré que tout se passait bien entre nous mais que nous avions besoin d’un peu de temps pour l’accueillir de nouveau dans notre vie sexuelle.
Aurélie a pris les choses en main (toujours avec ma carte bleue …) et m’a trouvé un déguisement de soubrette, des dessous féminins et des chaussures à ma taille. Le tout accompagné de la perruque et du maquillage adéquats. Après plusieurs essayages, elle m’a proposé de me raser : elle ne supportait pas les poils à travers les bas et, selon son expression, les ‘poireaux qui dépassent du cabas’, référence à ma toison pubienne trop fournie pour les petits slips en dentelle blanche qu’elle m’avait acheté. J’ai accepté car je savais que Michel apprécierait et que moi-même, j’y trouverais mon compte côté sensations (et pour la petite histoire, fini le massage-torture-qui-tire-les-poils chez le kiné). Après une séance de rasage solitaire, elle a fignolé le travail à la cire. J’ai découvert tout un monde nouveau lorsque j’ai enfilé des vêtements féminins pour la première fois sur mon corps imberbe. Chaque mouvement entraîne un doux frottement sur la peau, c’est délicieux. L’autre sensation ressentie est la vulnérabilité : on se sent bien moins fort, moins masculin, moins ‘mâle’ sans poil. Il me tarde de ressentir cela en présence d’un autre homme. J’ai aussi appris à être moins maladroit avec des talons hauts. J’espère seulement que je pourrais continuer à jouer l’apprenti mannequin sur le carrelage de Michel sans me casser lamentablement la figure ….

Jeux à trois

Nous avons repris contact avec notre compagnon de jeux et fixé rendez-vous pour le samedi suivant. J’ai demandé une petite faveur à Aurélie : je souhaitais m’y rendre seul pour ‘ma première fois’. Elle a refusé tout net, me rappelant que j’étais censé lui obéir lorsque nous jouions. Je me suis incliné et nous sommes partis, elle au volant et moi à côté, mes habits féminins dans un sac sur mes genoux. Une fois passé le portail, traversé le parc et arrivés devant la porte de la maison de Michel, Aurélie a coupé le moteur et s’est tourné vers moi :

– Et bien nous y voilà ! Tu es prêt ?
– Oui, tout à fait !
– Tu n’as rien d’autre à me dire, par hasard ?
– Quoi ? Que je te remercie encore de participer à mes jeux ?
– Non, même si c’est gentil, ce n’est pas ça.
– Je ne vois pas de quoi tu parles
– De la vérité, de ce que tu as convenu avec Michel ! Voilà de quoi je parle …

Son sourire en coin et son regard brillant me rassurent, elle n’est pas en colère. Elle paraît même très contente d’elle …

– Quelle vérité ? Je t’ai tout dit !
– Ecoute, on ne va pas y passer la journée. J’ai appelé Michel, figures-toi. Et il m’a raconté la fin de votre délire : si tu acceptais d’être sa soubrette, tu devais te présenter d’une certaine façon sur son palier …
– Euh … maintenant que tu le dis … bafouillais-je. Mais ce n’est pas important …
– Oh que si ! Allez, tu vas être sage et tu vas te mettre nu. D’ailleurs, tu n’auras pas besoin de tes vêtements chez Michel.

Je m’exécutai maladroitement en me contorsionnant dans la voiture et attendit la suite.

– Bon, enfiles tes bas et tes chaussures. Je pense qu’il appréciera. Ensuite tu iras prendre dans le coffre la laisse et le collier que je t’ai acheté, tu les mettras et tu viendras te mettre à quatre pattes de mon côté de la voiture pour m’ouvrir la porte.

Une laisse et un collier ? Pas prévu au programme … Pas prévu du tout ! Mais qu’ont-ils convenu lors de leur petite conversation secrète ?

Je fais ce qu’elle me dit et je remercie intérieurement notre hôte d’avoir prévu un sol extérieur suffisamment lisse et propre (ardoises) pour a) ne pas me ruiner les rotules et b) ne pas fusiller mes bas. Je tiens la porte à Aurélie qui prend tout son temps pour descendre. Elle attrape la poignée de la laisse, vérifie que mon collier est bien attaché et se dirige vers la porte. Je la suis, toujours à quatre pattes en essayant de faire de mon mieux. Aurélie sonne et Michel arrive rapidement. Son expression de surprise est si flagrante qu’Aurélie met fin au silence et lance sur un ton enjoué :

– Bonjour ! C’est nous ! Je vous amène votre nouvelle soubrette ! Elle vous plait ?
– Bonjour. Oui, elle est charmante.
– Voici son sac et ses affaires. Je compte sur vous pour le dressage : elle est encore maladroite avec ses talons, ne lésinez pas sur les coups de martinets !
– Oui, comptez sur moi. Vous ne restez pas, Aurélie ?
– Je dois aller faire des courses cet après-midi. Je reviendrai vers 18H. Je peux vous demander une petite faveur ?
– Mais bien sûr …
– J’aimerais être là quand vous la dépucellerez …
– Aucun problème, Aurélie. Nous attendrons votre retour. De toute façon Marc a beaucoup de retard dans son ménage …
– Parfait ! A tout à l’heure. Amusez-vous bien. Tu me dis au revoir mon chéri ?

Je lui baise les pieds en signe d’au revoir, la regarde tendre la poignée de la laisse à Michel et tourner les talons. Je me retourne vers mon partenaire visiblement aux anges et entre à sa suite dans la maison.

– Et bien ! Quel changement !
– Oui Monsieur
– Ca me fait plaisir de te revoir.
– Moi aussi Monsieur
– Tu es très mignonne comme ça tu sais. Cela va être très long d’attendre le retour de ta femme …
– Pour moi aussi Monsieur, j’ai très envie
– Je m’en doute coquine. Bon, on va prendre nos précautions. Je vais te donner une bonne fessée pour fêter nos retrouvailles et te remettre les idées en place. Tu vas ensuite porter un plug pendant que tu fais le ménage. Tu seras moins tenté par ma queue comme ça …

Nous avons vite retrouvé nos repères et je me suis fais un plaisir de l’aguicher avec ma nouvelle tenue de femme de chambre. Il m’a fessé une autre fois, là aussi juste par plaisir. Il a lui-même relevé ma jupe et baissé ma petite culotte après que je me sois allongé en travers de ses genoux. Je n’ai pas encore reçu le martinet mais cela ne saurait tarder.

Aurélie nous fait languir et n’arrive qu’à 18H45. Elle est toute souriante, contente de ses achats et de la soirée qui s’annonce. Je leur sers l’apéritif et vient m’assoir aux pieds de Michel qui m’envoie de suite masser les pieds d’Aurélie, fatigués par la séance de shopping. Il lui raconte nos jeux de l’après-midi. Aurélie lui demande :

– Et donc, Marc n’est pas encore passé à la casserole ?
– Non, comme je vous l’avais promis
– J’imagine que cela doit vous tarder, non ?
– Vous imaginez bien
– Bon, et bien Marc, va me chercher ta laisse.

Je reviens vers elle et lui tends. Elle me met le collier, se rechausse et se lève. Je dois la suivre, guidée par la laisse, jusqu’au milieu du tapis du salon.

– Retire ta robe et ta petite culotte. Tu vas te mettre à quatre pattes, les épaules au sol et les fesses bien tendues en l’air. Voilà, comme ça, en appui sur tes mains, un côté du visage au sol. Cambre bien ton dos. C’est bien …

Une fois qu’elle est satisfaite de ma position, elle place un pied sur mon visage et l’autre près de ma bouche. La laisse est tendue, ma tête parfaitement immobilisée.

– Voilà, comme ça tu ne bougeras pas et tu pourras quand même lécher mes chaussures en me remerciant pendant que ton patron fait de toi sa nouvelle petite soubrette. Michel ? Si vous voulez bien vous donner la peine. Je ne vous ai pas proposé que Marc vous mette en forme avec sa bouche, je pense que vous êtes déjà prêt …

Michel vient se mettre à genoux derrière moi et confirme :

– Je suis parfaitement prêt, peut être même trop, d’ailleurs !

Petit tripotage/dilatation avec ses doigts humides de salive et il est en moi en quelques coups de reins progressifs. Il agrippe mes hanches et commence à me besogner de plus en plus fort. De là où je suis, je ne vois rien d’autre que le pied gauche de ma femme, de mon Amour, de celle qui me permet de vivre tous ces moments magiques. Les coups de langue que je passe sur ce pied de Déesse ne sont qu’un pâle reflet de mon admiration. J’en viens même à aimer le tapis sur lequel elle se tient, à prier pour qu’elle me demande de nettoyer le dessous de ses semelles … J’en oublierai presque mon tourmenteur qui met pourtant beaucoup de cœur à l’ouvrage.

L’attente de l’après-midi a été trop longue pour lui et il jouit bien avant que j’ai eu la chance de le faire. Aurélie me relève d’un coup sec sur la laisse et me guide fermement vers la queue de Michel que je nettoie comme il aime. Elle m’encourage :

– C’est bien mon chéri. Lèche- le bien. Montres lui que tu as aimé ça … Et vous Michel ?
– C’était comme je l’imaginais. Même mieux, puisque vous étiez là, Aurélie.
– Pour les prochaines, vous n’aurez pas à attendre. Vous pourrez disposez de ses fesses dès que vous voudrez.
– C’est très gentil, j’en ferai bon usage ajoute-t-il en souriant
– Je n’en doute pas répond-elle sur le même ton. Bon, et si nous passions à table
– Ne vous inquiétez pas, je me suis fait livrer par un traiteur ce matin. Je vais mettre toutes ces bonnes choses à réchauffer pendant que Marc vous soulage.

Il disparait dans la cuisine et je suis déjà allongé sur le dos lorsqu’Aurélie se retourne vers moi :

– Regardez moi ce gourmand !

Mon clin d’œil et le passage délibérément salace de ma langue sur mes lèvres la font rire. Elle ôte sa culotte, mets ses jambes de part et d’autres de mon visage et s’accroupit. Je prends mon temps pour déguster tout ce qu’elle met à la portée de ma bouche et c’est elle qui me demande d’accélérer car elle semble pressée de jouir.

Je me rhabille pour faire le service à table et ils passent une bonne partie du repas à se moquer de mon érection qui s’échappe de mon slip en dentelle et soulève ma jupe. Après leur avoir servi le digestif et m’être absenté une bonne demi-heure pour faire la vaisselle et nettoyer la cuisine, je reviens dans le salon sans y être invité car leur silence m’inquiète un peu. Je ne suis qu’à moitié surpris de les trouver en train de se peloter et de s’embrasser sur le canapé. Aurélie m’aperçoit la première :

– Et bien oui ! Tu croyais que tu étais le seul à pouvoir en profiter ?
– Non, mais côté cachoteries, tu sembles plutôt douée toi aussi …

Elle sourit à cette phrase et se colle un peu plus à Michel pour libérer le sexe de ce dernier de son pantalon. Elle le prend en main, se penche pour déposer un chaste baiser sur son gland et se tourne vers moi :

– Et bien quoi ? Tu veux une invitation peut-être ? Ne t’inquiètes pas, je t’en laisserai un peu …

Elle s’interrompt rapidement quand elle s’aperçoit que j’ôte de nouveau ma robe et ma culotte avant de me mettre entre les jambes de Michel à ses côtés. Elle m’interroge du regard :

– Je suis les consignes de Michel
– Quelles consignes ? demande-t-elle à ce dernier
– Idéalement, une coquine qui veut faire plaisir à son homme s’arrange pour laisser son cul rapidement disponible au cas où …
– Humm, je vois …

Et, stupéfaits, nous regardons Aurélie se lever et se défaire de sa jupe. Elle est déjà sans dessous, sa petite culotte ayant été comme à son habitude rejoindre le fond de son sac à main après mes caresses buccales. Nous sommes donc deux entre les jambes de ce veinard de Michel qui nous caresse la tête pendant que nous nous occupons de lui à tour de rôle. Après quelques minutes où nos langues et nos salives se mélangent sur sa queue, il suspend nos caresses :

– J’ai du faire de très bonnes actions dans une autre vie, moi. Avoir deux petites salopes comme ça sous la main. Oups ! Cela ne vous dérange pas que je vous appelle comme ça, chère Aurélie ?
– Pas du tout. Au point où on en est …
– Vous êtes sûre ?
– Certaine ! confirme-t-elle par un grand coup de langue sur ses couilles
– Et bien mes chéries, vous allez vous mettre à quatre pattes sur le tapis, bien aligner vos petits culs de chiennes en chaleur et attendre que je vienne vous baiser, d’accord ?

Nous échangeons, mon épouse et moi, un regard complice et nos ‘Oui, Monsieur’ résonnent à l’unisson. Nous nous mettons tous les deux en position, épaule contre épaule, le dos cambré et les fesses tendues. Même si je n’ai viré ma cuti que très récemment, c’est une position dont j’ai toujours rêvé et Michel exhausse mes vœux secrets en commençant par Aurélie. Je veux ressentir ce moment d’attente maximale, lorsque vous savez que vous allez y passer, lorsque vous pouvez voir et entendre juste à côté de vous ce qui va vous arriver. A l’époque cela devrait être pour essayer de mieux comprendre les femmes en ressentant la même chose qu’elles. Aujourd’hui, c’est tout bêtement parce que je sais que j’aime avoir la queue mon ‘patron’ en moi …

Aurélie, habituée à mon calibre plus modeste, fait savoir à toute l’assemblée, et vraisemblablement aux écureuils du parc arboré de la maison de notre hôte, qu’elle aime la grosse queue de Michel. Il ne semble pas vouloir la faire jouir car il change rapidement de trou pour venir élargir le mien. Sa queue, lubrifiée par le nectar de mon épouse, me pénètre sans difficulté. Moi aussi je pousse de petits cris qui font pâle figure face à ceux d’Aurélie. Cette fois-ci, je peux me concentrer sur mes sensations et elles sont délicieuses. Mon (notre ?) ‘patron’ se lâche un peu plus :

– Humm, je vais vous faire hurler toutes les deux mes salopes. Vous voyez Aurélie comme je le baise bien votre mari ? Ecoutez bien comme il miaule quand je lui mets des grands coups de rein ! Comme ça ! Et des grandes claques sur les fesses aussi ! Il adore ça ! Allez, dis le salope que t’aimes ça !

Je ne peux répondre que par des encouragements qui lui confirment que j’y prends moi aussi beaucoup de plaisir, surtout sous le regard de mon épouse. Cette dernière, qui n’a toujours pas bougé (à croire qu’elle en redemande et elle va être servie !), reçoit une grande claque sur les fesses :

– Et vous ma chère, je vais être très gentil avec vous ce soir. Je vais laisser votre mari vous détendre la rondelle avant de vous enculer. Allez vous mettre devant lui pour qu’il vous lèche et revenez ensuite vous mettre en place.

Aurélie semble hésiter mais une deuxième claque encore plus forte et les ordres de Michel la décident. Dominatrice il y a moins d’une heure, là encore elle va me surprendre en se montrant si docile, si vite.

– OBEISSEZ ! Sinon je vous défonce à sec après vous avoir cuit les fesses au martinet ! J’ai horreur de me répéter !

Elle se place devant moi et recule jusqu’à ce que ma langue puisse la lubrifier. Les coups de rein de Michel m’envoient valser un peu plus entre ses fesses. Elle semble s’attarder mais il la rappelle à l’ordre

– Ca suffit ! Aurélie ! Amenez-moi votre petit cul ici ! Et toi Marc, tu peux disposer. Je vais faire hurler cette chienne un petit moment alors rhabilles-toi et va nous préparer un petit cocktail le temps que je me vide les couilles.

Je laisse une Aurélie assez nerveuse entre les mains de Michel mais je garde un œil sur eux pendant que je me rhabille. Il semble décidé à mater sa nouvelle proie et enfonce le clou :

– Aurélie, je pense que vous avez besoin vous aussi d’apprendre le sens du mot ‘obéir’ ! Pour la peine, vous allez vous allonger et écarter vous même vos fesses pour me présenter votre petit trou ! Je veux vous entendre réclamer ma queue !

Mon épouse se plie à ses volontés et Michel corrige sa position : elle aussi se retrouve les épaules au sol et le cul tendu en l’air. L’entendre quémander d’une manière si irrésistible (et si excitante) la queue de mon Maître me rassure sur le fait qu’elle aime décidemment tout ce qui se passe ce soir. Je le vois se mettre à la besogner doucement dans un premier temps puis de toutes ses forces. Aurélie étant plutôt étroite et sensible de ce côté, il ne peut faire pénétrer que la moitié de sa queue mais il semble que cela suffise largement à la jolie blonde. La première douleur passée, elle commence à vraiment apprécier lorsqu’elle se met à se caresser pendant que Michel continue sa distribution de coups de rein. Il ne s’arrête que pour me lancer :

– Allez ma petite soubrette, puisque tu as l’air d’aimer nous regarder, viens voir de plus près ! Allonge-toi sur le dos derrière moi et passes ta tête entre mes jambes. Tu verras comme je m’occupe bien du cul de ta femme et tu en profiteras pour me lécher les couilles !

Effectivement je ne rate rien du spectacle. Après que notre étalon commun ait joui, il m’ordonne de ‘faire le ménage’ selon ses propres termes. Je m’exécute avec plaisir sur son sexe encore dur malgré le golf à 5 trous qu’il vient d’effectuer. Mais je m’attarde particulièrement sur ma femme. Ma langue dans son petit trou très dilaté et sa main sur son clitoris l’envoient rapidement au Septième Ciel. Et cette fois-ci, c’est certain, les écureuils ont tout entendu …

 


 

N’hésitez pas à m’encourager pour la suite en m’envoyant un petit mot sur mon mail marc_clfd63@yahoo.fr

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3 réponses à Cherche homme de ménage 2 – Aurélie par Marco63

  1. Darrigade dit :

    de la bonne domination avec du bisex dans un bon esprit

  2. Muller dit :

    Émoustillant et bien écrit

  3. Sapristi dit :

    Très bon récit, bonne ambiance, on se suce, on s’encule, c’est la fête

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