L’enfer des anges par LD_01

 

L’enfer des anges
par LD

Daniela, ma femme mesure 1m 68 elle est brune, ses yeux sont noisettes et moqueurs. Elle possède un joli minois sur un corps de rêve et est très fine de taille. Elle arbore une jolie poitrine de taille 85B avec des bouts de seins que ma bouche aime téter. Son sexe épilé met en valeur ses très grandes lèvres hypersensibles…

…A la fin de la soirée, Daniela s’est approchée de moi et m’a simplement dit :

– Suis-moi !

Il ne s’agissait pas d’une invitation, mais d’un ordre !

– Nous sommes montés dans sa voiture sans que je pose la moindre question.
– Conduis ! m’a-t-elle lancé

Elle s’est tue, se contentant de m’indiquer la direction. Nous sommes arrivés au abord d’une maison individuelle. Un coup de téléphone et la porte du garage s’ouvre. En descendant de la voiture Daniela m’a ordonné de commencer à me déshabiller. Il faisait un peu froid, mais la partie avait déjà débuté. Ma femme s’est approchée de moi m’a déposé un bandeau sur les yeux et m’a simplement dit de ne plus prononcer un mot sans son ordre. Arrivé sur le palier, j’essayais de cacher ma nudité. Au bruit, je devinais que mon épouse ouvrait une porte. Me tirant par la main, je la suivais gauchement.

Brusquement, une voix inconnue d’homme me fit sursauter.

– Voilà donc la chose ! Fut mon accueil.

Une claque sur les fesses, un pincement aux seins, me firent comprendre que l’inspection commençait. Je dus me pencher en avant, ouvrir la bouche, subir des doigts qui s’enfoncent dans ma bouche comme lorsque l’on vérifie la dentition d’un animal, présenter mes fesses, les écarter, et montrer mon anus. Daniela commentait. J’ai eu l’impression qu’elle cherchait à me vendre. Elle répondait calmement aux questions sur mes tendances. Devant ses réponses crues, je rougissais avec honte. L’homme pris mon sexe entre ses mains et serra fort. Puis il entoura mes testicules des ses deux mains pour mieux faire ressortir mon piercing. Malgré moi, je bandais.

– Tu bandes, alors branles-toi !

Debout face à des sourires que j’imaginais méprisant, j’amorçai le va-et-vient de la peau sur mon gland. Quelques minutes suffirent pour qu’une giclée de sperme vienne salir le carrelage.

– Lèche. Lèche tout !

Le liquide figé par la céramique froide collait sur ma langue et mes lèvres tandis que ma gorge se délectait de cette saveur salée et fade à la fois.

– Ça suffit, maintenant !

Daniela me passa un collier de chien clouté autour du cou, y attacha une laisse m’enleva le bandeau. C’est ainsi qu’elle me tira à quatre pattes jusqu’à une autre pièce, visiblement un donjon. A droite, sur des tringles, un enchevêtrement de lanières et de fouets de cuir noir annonçaient sombrement la couleur. A gauche, sur une longue étagère, un alignement de godemichés me narguait. Il y avait aussi une petite vitrine pleine de matériel électrique et une croix de Saint-André. Derrière, je devinais une sorte de fauteuil de gynécologue. Face à moi, le mur était recouvert par un grand miroir où je pouvais contempler le ridicule de ma situation. Sans trop oser lever les yeux, je tentais aussi de profiter du reflet pour découvrir le visage de cet homme que mon épouse appelait Maître Antoine. Mal m’en a pris, je subis la morsure d’un fouet et aussitôt on me recouvrit la tête d’une cagoule opaque m’obstruant la vue.

– Je m’appelle Antoine, finit-il par me dire. Mais pour toi, je suis Maître.

Maître avait cette force tranquille dans la voix qui impose l’obéissance. A genoux j’attendais nerveusement. Daniela portait des talons aiguilles qui n’étaient plus désormais qu’à quelques dizaines de centimètres de mon visage.

– Vas-y. Lèche-les !

Je m’exécutai.

– Lèche bien. Mieux que ça !

Ma femme s’assit sur un fauteuil, tira sur ma laisse et croisa les jambes.

– Maintenant tu vas lécher les doigts. Puis tu suceras la belle bonne queue de ton nouveau Maître

Cette dernière expression tranchait terriblement avec son phrasé distingué. Et la grossièreté en devenait encore plus humiliante…

– Stop ! Lève-toi !

Maître me fit mettre dos à la croix de Saint-André et m’ordonna de lever les bras et d’écarter les jambes. Puis il m’attacha et par un jeu de poulies grinçantes et il fit légèrement monter la croix. Les lanières de cuir commençaient à me rentrer dans les chevilles et les poignets.

– Ton érection est une insulte. Je vais t’apprendre le respect !

Il se tourna pour attraper un lacet assez fin et l’enroula autour de la base de mon pénis et de mes testicules. Puis, progressivement, il serra, jusqu’à ce que je laisse échapper un petit cri de douleur.

– Oh ! Que j’aime ça ! Entendre un mâle geindre comme une fillette

Et il serra encore un peu. Sur les conseils de Daniela, il amena, à proximité, une sorte de petite table roulante couverte d’instruments métalliques.

– Je suis sûre que tu aimes les pinces me dit ma femme, railleuse. Et, méthodiquement, cette dernière accrocha à mes tétons, à mes testicules puis à la peau de mon prépuce de pinces crocodiles brillantes. La morsure du métal me brûlait mais sans excès.
– Tiens, regarde, je vais aussi te faire essayer celles là dit-il. Tu vois, Daniela, elles sont réglables. C’est plus amusant, non ?

La pointe de mes seins commençait à bleuir, mes testicules prenaient une couleur rosée.

– Dis-moi, tu aimes les chaînes?

Et mon épouse s’empara de chaînettes garnies de poids chromés qu’elle fixa aux pinces. La douleur commençait à devenir insupportable. Je tremblais.

– On va voir ce que tu vaux puisque tu te prétends être un esclave servile.
– Tu sais, ajouta Daniela en frôlant mon visage de sa bouche, je crois que tu as fait une grosse bêtise en me suivant…

Le premier coup de martinet claqua comme une détonation. Les fils de cuir s’abattirent sur mon torse. Je gémis. Ma femme et Maître décidèrent de faire un concours. Je devais subir 10 coups de fouet, 10 de martinet, 10 de branche de noisetier, 10 de cravache, 10 de ceinturon, etc… Mes cris et les marques devaient départager les instruments, et permettre d’élire l’instrument qui servira à ma punition. Devant mes cris, ils me mirent un bâillon dans la bouche. Le claquement sur la peau et la morsure des pinces tiraillées par le ballottement des poids me procurait une étrange sensation entre douleur et plaisir. J’avais le torse et les jambes en feu, sous les morsures des coups. Ce fut pire encore quand Daniela se déchaîna sur mon sexe. Ma douleur ne savait plus où donner de la tête.

Heureusement – ou malheureusement -, à force de coups, les pinces finirent par se décrocher. Maître décida donc de me détacher. Ce fut, en fait, pour me remettre à quatre pattes, la tête au niveau du sol, les cuisses écartées et les fesses dressées.

– Voyons un peu ce que dit le côté pile.

Comme prévu, ce fut à nouveau une volée de coups de fouet. Maître visait juste, insistant plus particulièrement sur le sillon de mes fesses et les plantes de mes pieds.

– Plus que dix coups, me dit Daniela en guise de récompense. Je te demande simplement de les compter un par un, sans gémir, et de me remercier pour chacun d’entre eux.

Maître s’appliqua, accueillit chacun de mes mercis, Maître par un petit mot de satisfaction et, pour me récompenser, m’enfonça sèchement le manche du fouet dans l’anus.

– Tu ressembles à un petit cheval, tu ne trouves pas ? Eh bien, réponds !
– Oui, Maître.
– Ne t’inquiètes pas, je vais te le retirer. Ton petit trou du cul mérite bien mieux que cette pauvre tige de bois. Je m’en occuperai tout à l’heure. Tu ne seras pas déçu ! Pour le moment, c’est toi qui vas t’occuper de moi. Viens faire ma toilette.

Immédiatement, il descendit son pantalon et son slip. , Sans cérémonie et sans aucune pudeur, je luis léchait les testicules. Malgré le lacet qui continuait de me meurtrir le sexe, mon érection redoublait de vigueur. Pour autant, je ne me sentais pas homme, mais chose.

– Lèche ! Lèche mon sexe

Et ma langue commença de jouer avec le duvet, de fouiller les chairs.

– Enfonce ta langue. Je veux que tu me nettoies complètement.

Ma bouche et mon nez goûtaient des effluves fauves, enivrants. Je ne sais pas si Daniela ne se caressait pas en même temps. Peu importe…

– Ca suffit ! Tu t’es suffisamment amusé. Passons aux choses sérieuses.

Maître me remis debout. Je fus attaché, les bras écartés en l’air reliés à chaque extrémité d’une barre. J’entendis le bruit d’une poulie, et je fus tiré vers le haut, mes pieds effleurant le sol. Une barre entre les jambes me les maintenait ouvertes. Des cordes reliaient chaque testicule à la barre du bas. Le sexe entouré de cordelette gonflait gorgé de sang. Des pinces me mordaient le sexe, les testicules, les seins. Un gros plug dans l’anus fut maintenu à la taille pour éviter toute sortie intempestive. Soudain, je fus parcouru de frisson. Les pinces me distillaient de l’électricité. Pour mieux supporter la douleur, on me souleva du sol, me fit tournoyer, et on me réchauffa à coup de fouet, cravache…La branche de noisetier eu leur préférence pour la couleur et la forme des marques et surtout par mes gémissements. Lorsque mes pieds touchèrent de nouveau le sol, ma peine n’était pas finie pour autant. On augmenta le courant. Je sentis Daniela s’approcher de moi, les mains autour de mon cou, je crus qu’elle cherchait à m’embrasser. Je n’entendis qu’un

– Prends-moi, fort, j’ai envie de ton sexe en moi.

J’ai eu la bêtise de penser qu’elle me parlait. A travers le bâillon je voulus répondre. Mais je compris ma souffrance quand je l’entendis gémir murmurer

– C’est bon, plus fort

Et sous les coups de boutoir de son amant venir s’appuyer contre moi. Ma femme semblait prendre du plaisir. Je sus qu’elle jouissait aux contractions qu’elle eut autour de mon cou. Je compris alors que je n’étais plus qu’un esclave…

Daniela et Maître me firent remettre à quatre pattes tandis que celle-ci décrochait une lourde ceinture de cuir armée d’un impressionnant gode de caoutchouc noir. Ainsi harnachée, mon épouse s’assit à nouveau dans son fauteuil et tira sur ma laisse.

– Tiens, enfile cette perruque. J’aime me faire sucer par une bonne pute.

Les cheveux de nylon me tombaient sur les yeux, j’approchai ma bouche du membre noir, j’entrouvris les lèvres et commençai ma besogne.

– Allez, avale-la mieux que ça. C’est du travail de pucelle. Taille-moi une vraie pipe !

Elle accompagnait ses récriminations de coups de reins, si bien que la queue de caoutchouc venait buter contre mes amygdales jusqu’à me donner des haut-le-cœur. Pendant ce temps elle suçait Maître.

– Ça s’arrange. Il faudra que l’on le mette au tapin un de ces jours, poursuivit Maître sur le même registre.

Puis, sans un mot, Daniela m’arracha le gode de la bouche et se leva, bien droite sur ses hauts talons.

– Debout !

J’obéis et Daniela m’indiqua la direction de l’espèce de fauteuil de gynécologue qui se trouvait à ma droite.

– Cela s’appelle un lit de contention. Tu verras, on y est bien. Surtout pour ce que l’on va te faire. Mets-toi sur le dos, tu vas te régaler…

Maître me fit basculer en arrière sur ce drôle de hamac et me ligota les poignets. Mes jambes bien écartées se dressaient, liées-elles aussi, au-dessus de mon corps.

– La dilatation anale est un art, me dit Maître doctement en enfilant une paire de gants de chirurgien. Il faut travailler progressivement pour obtenir de bons résultats. De toute façon, j’arriverai à mes fins. Dans ton intérêt, détends-toi si tu veux moins souffrir.

Daniela lui assura que je n’étais qu’un petit pédè qui aimait se faire sodomiser et qui avait déjà l’habitude d’être obscène sans pudeur et de tout faire pour recevoir un sexe dans le cul. Il attrapa sur une desserte une bouteille de plastique qui devait contenir un gel lubrifiant. Le contact de cette substance froide me fit frissonner. Il commença par m’en tartiner allègrement l’anus, puis introduit un premier doigt.

– Je sais bien que tu aimes ça. Mais ça ne va pas durer.

Un deuxième doigt vint me fouiller. Puis il usa d’un spéculum, jouant sur l’élasticité de mon œillet. Il introduisit des boules de différents diamètres dans mon anus qu’il s’amusa avec Daniela à retirer d’un coup sec, puis à réintroduire et ressortir plusieurs fois de suite. Je subis différent plugs

– Je vais changer de calibre. Il ne faut pas que tu t’habitues, tu y prendrais trop de plaisir.

Daniela le retira. J’avais l’impression que mon anus était béant. Pas pour longtemps… Le temps d’enfiler un autre monstre de caoutchouc, on me défonça à nouveau. Toujours avec cet exquis mélange de brutalité et de précision. Celui-ci semblait gigantesque. Je préférais ne pas le voir. Mais je le sentais buter au fond de mon intestin. Pendant vingt bonnes minutes, sans que je puisse m’arrêter de gémir, je fus offert sans pudeur et honte, allant au devant des godes. J’étais ouvert.

– Et voici le plus beau. Tu sens comme ça glisse bien.

Ma femme retira alors le plug et d’un seul coup Maître m’empala. Je ne pus m’empêcher de crier. Ce membre que j’avais soigneusement sucé au début, devait bien mesurer 20 cm de long pour 5 de diamètre. Daniela me présenta son gode ceinture devant la bouche. Elle prenait un malin plaisir à provoquer un balancement de mon corps sur le lit à chacun de ses coups de boutoir si bien que c’est moi qui venais à la rencontre de cette queue tortionnaire. Elle me passa alors sur le pénis une sorte d’anneau beige relié à un boîtier de plastique.

– C’est un vibromasseur. Attention, tu as interdiction de jouir. C’est juste pour te décontracter l’anus.

Tout se mélangeait en moi : le cuisant souvenir du fouet et des pinces, l’étranglement de mon sexe, mes testicules tuméfiées, ma bouche ouverte.

– Rassure-toi, ce n’est pas fini, me dit Maître avec un sourire diabolique

Ils s’échangèrent les rôles. Avec une douceur inattendue, Ma tendre épouse me pénétra progressivement. Pendant ce temps je suçais avec application le sexe de Maître Au bout d’un moment, j’avais envie de jouir, mais ils s’arrêtèrent à temps.

Maître m’aida à me relever. Mes jambes tremblotaient. Aussitôt, Daniela me menotta et m’ordonna de me coucher sur le dos, à même la moquette. Un plug dans les fesses, j’entendis le craquement d’une allumette et Maître m’enjamba, une épaisse bougie à la main.

– Voyons un peu si tu es résistant.

Les premières gouttelettes de cire tombèrent sur mon torse ; visiblement, on cherchait mes seins encore ulcérés par la morsure des pinces. Puis l’on descendit vers mon ventre, puis mon bas ventre. On baissa la flamme pour que la cire tombe plus chaude et on commença à me martyriser les testicules tuméfiés par la pression des cordelettes.

– Tourne-toi !

Je me dis que l’on avait oublié mon sexe. On me fit écarter les cuisses et l’on me retira le plug de mon anus et l’on me versa de la cire dessus, Je hurlai.

– Vas-y. Crie. Fais-toi du bien. Allez, crie, j’aime ça me dit Maître.

Et je dus à nouveau me retourner. En fait, on n’avait pas oublié mon sexe. Pire, les gouttes de cire vinrent me recouvrir le gland et le méat urinaire. Je gesticulais comme si l’on me marquait au fer rouge. Il avait eu raison de mon érection.

– Je t’aime bien avec ton petit zizi, tu es plus mignon, Avec un tel sexe comment veux tu me faire jouir, Je vais donc encore lui demander de me faire l’amour.tout ça c’est de ta faute.

Daniela s’allongea sur moi, je sentais la douceur de ses seins. Un cri, des gémissements me firent comprendre qu’elle s’offrait sans retenue. Je dus subir ce supplice jusqu’à ce qu’il se répande en elle.

– Je suis sûre que tu as soif et faim, mon chéri.

J’étais terrifié. Mon épouse m’enleva le bâillon que je portais depuis le début, puis me présenta son sexe lisse encore gluant su sperme de son amant.

– Nettoie tout, puisque tu aimes

J’avalais le sperme de son amant qui dégoulinait le long de ses jambes. Une fois le sexe de Daniela lavée, elle m’ordonna de me masturber, ce qui n’était pas évident avec les menottes qui me blessaient les poignets. Je ne tardai pas à jouir. Alors, elle me demanda de lever la tête tandis que Maître pliait ses jambes et je dus, lécher son sexe et recevoir son urine. Je dus nettoyer aussi son sexe encore mouillé d’urine et de sperme. Puis, avec les doigts, Daniela ramassa les traces de sperme qui me recouvraient le ventre et me les fit avaler.

– Tu as pris trop de plaisir, tu es obscène et abjecte, tu vas subir une punition pour bien comprendre qui sont tes Maîtres

Plugés, les mains attachés en l’air, je dus subir avec un bâillon dans la bouche 150 coups de baguette de noisetier. Lorsque l’on me détacha, les fesses violacées, pleine de trace, je m’effondrais sur le sol.

– C’est tout pour ce soir me dit Daniela simplement. Nous allons dîner tous les deux au restaurant. Mais, à table, tu porteras un anus-pocket et des pinces sous ta chemise…

Libre de toutes entraves, fou d’amour et de reconnaissance je fis l’amour doucement à mon épouse vénérée d’abord avec Maître puis seul avec mon amour…

LD

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3 réponses à L’enfer des anges par LD_01

  1. Cristina dit :

    C’est comme ça qu’il faut traiter les mecs… et en plis ils aiment ça !

  2. Muller dit :

    Ce n’est pas une histoire, c’est de l’enchainement de scènes… Si encore il y a avait un peu d’humour mais là tel que c’est, c’est gavant !

  3. Tracie dit :

    Une expérience intéressante, en tous cas ça me fait fantasmer

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