La descente aux enfers de Madame Grenet par Irénée Vardin

La descente aux enfers de Madame Grenet par Irénée Vardin

Je m’appelle Julien, j’ai 25 ans et travaille dans un cabinet d’assurance depuis quelques mois. Je suis tout à fait ordinaire, mon physique est quelconque, mais je suis très doué en l’informatique. Je suis au service comptabilité et directement sous les ordres de madame Grenet, la directrice financière. Cette femme d’une quarantaine d’année, plutôt belle, toujours habillée strictement est un cauchemar pour tous les employés du service qu’elle se plait à humilier. Hautaine et fière, méprisante, personne n’ose la contredire et ses désirs sont des ordres.

Mais dans le comportement de madame Grenet, il y a une faille. Et je l’ai trouvée. J’ai remarqué que chaque vendredi, une rubrique comptable était débitée de petites sommes ne dépassant jamais quelques centaines d’euros. Quelqu’un préparait-t-il ses week-ends ?

Après de longues recherches, J’ai découvert grâce aux références du compte crédité que c’était la directrice financière elle-même qui se servait ! Ah l’informatique ! Après avoir réfléchi, je décide de ne pas laisser passer une si bonne occasion.

Je rédige un rapport détaillé à l’attention de la direction parisienne de la société en me donnant le beau rôle évidemment, J’espère ainsi obtenir une promotion substantielle. Mais avant je veux avoir le plaisir d’en informer ma directrice afin de l’humilier à son tour.

Le jour venu, je demande à la secrétaire de madame Grenet un rendez-vous en précisant que c’est important et urgent. En entrant dans le bureau, je ressens un moment de grande jubilation. Madame Grenet est assise derrière son bureau et sans lever la tête me dit :

– J’espère que c’est important ?
– En effet, j’aimerai vous montrer ces documents, puis-je me servir de votre PC ?
– Oui, mais dépêcherez-vous je n’ai pas que ça à faire…

J’introduis une clé USB dans le lecteur.

– Depuis quelque temps, j’ai remarqué des irrégularités comptables qui je crois vont vous intéresser
– Ah ?

Madame Grenet regarde l’écran, son visage blêmit…

– Comment avez-vous ? …
– Par hasard !

Je commence à savourer son triomphe.

– Au siège de Paris, ils ne vont pas apprécier les fraudes de leur directrice financière.
– Nous pouvons nous arranger, dit-elle d’une voie plus douce, je vous donne la moitié des sommes.
– L’argent ne m’intéresse pas… Répondis-je jouant les grand seigneurs.
– Alors, vous comptez faire quoi ?
– Prévenir Paris ! Mais avant je voulais m’amuser à vous l’annoncer, rien que pour voir votre bobine ! Vous faites moins la fière maintenant !
– Connard !
– N’aggravez pas votre cas !
– Bon foutez le camp de mon bureau !
– Bonne continuation, Madame Grenet !

Je vais pour sortir, savourant ma vengeance.

– Attendez ! Ne me dites pas qu’il est impossible de s’arranger !
– Si, c’est impossible !
– Vous vous prenez pour quoi, pour le chevalier blanc ? Vous êtes sans doute un saint, vous ?

Et c’est à ce moment là que j’ai eu l’idée de lui faire une réplique salace.

– Il y aurait bien une solution…
– Je savais bien…
– Ce serait que tu deviennes mon esclave sexuelle.
– Hein ? S’esclaffe-t-elle en rougissant comme une pucelle
– On pourrait commencer, ce soir, je te fouetterais ton gros cul de salope avant de t’enculer comme une chienne.

La tronche qu’elle tire ! Madame Grenet reste stupéfaite et hébétée durant quelques minutes. Jamais elle n’aura imaginer une telle issue. Que faire ? Si au siège, cela se sait, sa carrière est fichue, sans oublier les éventuelles suites judiciaires.

Je me dirige à nouveau vers la porte

– Attendez, je suis d’accord !
– Sans blague ?
– Puisque je vous le dit ! On ferait comment ?
– Je vais te donner mon adresse, à 19 heures, tu sonneras chez moi, je te veux habillée en pute, décolleté, escarpins, porte-jarretelle…

A 19 heures précises elle sonnait à l’interphone de mon immeuble, je lui ouvris et lui précisait l’étage et la porte.

– Entre, grosse pute et donne-moi ton manteau !

Elle est superbe moulée dans un tailleur pied de poule, ses cheveux en chignon lui donnent un air encore plus sévère.

– Pose ton gros cul sur la chaise ! Tu devines ce qui va t’arriver ?
– Oui, je vous demande simplement de ne pas abuser de la situation.
– T’es pas en position de discuter, ma vieille ! Si tu n’as pas confiance, tu te casses et demain j’envoie mon rapport à Paris.
– Bien, je suis à votre merci !
– Tu portes quoi sous ta jupe ?
– Des bas
– Fais voir ! !

Madame Grenet remonte sa jupe jusqu’à la lisière des bas.

– Maintenant je te veux à poil !
– Complètement ?
– Evidemment abrutie !

Putain, elle a une de ses paires de doudounes, la directrice, Je m’empresse de les malaxer et d’en sucer et d’en mordiller le bout. Bizarrement ça n’a pas l’ai de lui déplaire. Je lui accroche des pnces à linges au bout des tétons. Oh, la vilaine grimace qu’elle me fait. Alors par pur sadisme je les retire… pour les remettre aussitôt.

– Aïe !
– Supporte connasse ! On t’as déjà dit que tu avais une bouche à tailler des pipes ?
– Euh, non ?
– Ben maintenant tu le sauras ! Tu va fouiller dans ma braguette et me sortir la bite, ensuite tu la mettras dans ta bouche.
– Maintenant ?
– Bien sûr que c’est maintenant, pas dans 8 jours, conasse ! A genoux et au boulot !

Madame Grenet s’agenouille entre mes jambes de Julien. Elle défait la ceinture et ouvre la braguette du pantalon. Elle sort du slip ma verge gonflée de désir.

– Allez, salope, en avant et commence par me donner des petits coups de langue, comme une bonne bourgeoise.

Morte de honte, elle s’exécute. Le gland devient tout mouillé, je suis fou d’excitation.

– Suce-moi à fond !

La bouche enroule la verge et commence un long va-et-vient.

– C’est bien, continue, et surtout avale tout. Comme c’est bon de se faire sucer par sa directrice ! Aaaah, madame Grenet est une suceuse, Aaaah ! Aaaah ! Avale tout !

Ça a été trop vite, mais la soirée est à peine commencée. Et j’ai quelques idées.

– Bon, ça m’a creusé tout ça ! Tu vas aller dans le frigo, il y a des œufs et du gruyère râpé , tu vas me faire une bonne omelette.
– Une omelette pour une personne ?
– Non pour deux, je ne voudrais pas que tu meures de faim.
– Je me rhabille ?
– Non !
– A quelle heure je vais pouvoir partir ?
– J’en sais rien !

Je regarde nonchalamment la télé pendant qu’elle est en cuisine.

– On mange où ? Demande- t-elle quelque minutes plus tard !
– Moi ici ! Et toi par terre !
– Par terre ?
– Ben oui les chiennes, ça bouffe par terre !

Quelle humiliation pour cette femme hautaine de devoir manger par terre, complètement nue. Me voilà de nouveau en train de bander.

J’attends qu’elle ait terminé son assiette, je n’aime gâcher la nourriture, puis je m’empare de ma ceinture et sans prévenir commence à lui cingler le cul en l’insultant !

– Tiens grosse pouffe, tiens morue !
– Aïe !
– Ta gueule !

Quand elle eut le cul bien rouge, je lui ai demandé de se mettre en levrette et je l’ai enculé. Elle a grogné au début, disant que ça lui faisait mal, mais je n’ai rien voulu entendre, et à ma grande surprise quelque minutes plus tard, elle en redemandait presque et c’est mise à joui du cul ! La salope !

Après m’être retiré, j’avais comme une envie de pisser. Idée !

– A genoux ! Chiennasse ! je vais te pisser dans la bouche !
– Non…
– Comment ça « non » ?

Elle a ouvert la bouche, manifestement elle n’avait jamais pratiqué ce genre de choses. Mais elle fit contre mauvaise fortune, bon cœur !

– Maintenant rhabille-toi et rentre chez toi ! Désormais chaque fois que j’aurais envie de m’amuser avec toi tu devras venir ! D’accord ?
– Puisque je ne peux pas faire autrement !

Voilà comment à commencer la déchéance de madame Grenet. Elle y a pris goût. Nos rapports sont toujours basés sur la domination mais une certaine complicité s’est installée entre nous à ce point que parfois c’est moi qui fait l’esclave !

Et l’argent détourné demanderez-vous ? Eh bien on se le partage. Et grâce à mes connaissances informatiques le détournement est maintenant bien sécurisé.

Un jour une mission d’audit a été annoncée, Pas grave, un vilain virus informatique a détruit tout l’historique des opérations comptables. La direction parisienne nous a infligé un blâme pour ne pas avoir installé un antivirus efficace. Ça nous a bien fait rigoler !

Fin

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5 réponses à La descente aux enfers de Madame Grenet par Irénée Vardin

  1. Breton dit :

    Je crois déceler un certain sadisme, non ?

  2. André dit :

    Pas mal mais ça aurait mérité un meilleur développement

  3. Patureau dit :

    Le texte est amusant a défaut d’être excitant (parce que ça va trop vite)
    Mais question : les rapports entre les 2 protagonistes sont-ils réellement consentis ?

  4. Janot dit :

    Moralité : aucune !
    Mais ce texte m’a bien amusé

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