Fanny, sa mère et moi par Lucette

Fanny, sa mère et moi par Lucette


Salut, je m’appelle Lucette et je vais vous raconter ce qui s’est passé lundi dernier.

Je suis une jeune femme de 22 ans, je suis vicieuse, j’aime me régaler d’une bonne bite dans ma bouche, mais j’aime aussi caresser le cops d’une belle femme. J’ignorais que Fanny était encore plus vicieuse que moi.

J’ai sympathisé avec Fanny lors d’un séminaire et tout a commencé très banalement lorsqu’elle, m’a invitée en toute innocence à venir coucher chez elle du moins chez ses parents, puisqu’elle n’a toujours pas quitté le giron familial. Après avoir raccroché, j’ai préparé mes affaires et je suis partie. En arrivant chez elle, je remarquais que ses parents étaient sortis, Je découvris Fanny en déshabillé noir assez transparent. Je ne comprenais pas ce qu’elle faisait dans cette tenue. Elle me dit de poser mes affaires. Nous nous sommes installées pour boire un rafraichissement, puis elle m’a laissé seule, me disant qu’elle allait revenir.

Elle partit vers sa chambre et ferma la porte derrière elle. Plus de dix minutes s’écoulèrent et elle n’était pas revenue. Je décidai donc d’aller voir ce qu’elle mijotait. En entrant dans sa chambre, je la vis nue. Elle avait un corps de déesse à faire craquer tous les mâles. Elle me demanda ce que je faisais là et je lui répondis que je m’inquiétais pour elle. Elle me dit qu’elle cherchait quelque chose et qu’elle venait de le trouver. Et elle m’exhiba un vibrateur qui me dit-elle, appartenait à sa mère.

J’étais assez interloquée, Fanny se rapprocha de moi et mit ma main sur sa chatte humide. Je poussai un cri de surprise quand son doigt la pénétra. Elle me demanda de me déshabiller ce que je fis sans trop tarder. Je me suis couchée sur le lit, elle venue vers moi, et sans hésitation, elle alla directement d’une main sur ma chatte humide, et de l’autre, elle commença à me pétrir mes seins avec force. Elle commença à tracer des cercles sur mon clitoris avec trois de ses doigts. Les cercles étaient de plus en plus rapides et elle mettait de plus en plus de pression. Déjà je croyais m’évanouir tellement que j’étais excitée. Mais ça ne s’arrêta pas là…

Toujours en me pétrissant le clito de sa main experte, elle amena sa langue vers mon minou au comble de l’excitation. Je respirais très fort et poussais de petits cris. Elle léchait sans plus s’arrêter et mon vagin en entier vibrait à chaque coup de langue qu’elle me distribuait. Avec mon pied je lui chatouillais le minou et elle aussi je voyais bien qu’elle en raffolais. Ma timidité commençait à fondre complètement. Je lui pressais la tête tellement j’étais excitée et là, j’ai eu le plus bel orgasme de ma vie.

Je lui ai offert de lui rendre la pareille et sans rien répondre, elle s’est étendue en s’écartant les jambes pour me laisser voir sa petite fente rose qui ne demandait qu’à être embrassée. Nous ne parlions pas beaucoup, nous étions bien trop occupées à jouir ou lécher… Je la léchais et je me régalais du jus que sa chatte produisait. Après qu’elle ait crier de plaisir à son tour, nous avons essayé un autre truc…

Chatte contre chatte, nous avons commencé à nous frotter ensemble. Le contact de son poil frisé sur le mien m’électrisait. Elle me massait les seins avec vigueur et puis tout d’un coup elle s’est levée brusquement me laissant là, toute mouillée et excitée… Heureusement elle est vite revenue avec le vibrateur de sa mère à la main. Du genre parfait pour faire jouir à la mort. Elle a commencé à me le pénétrer avec des mouvements lents de va-et-vient. Je lui disais d’aller plus vite, étant trop pressée de venir une nouvelle fois, mais elle ne m’écoutait pas et faisait prolonger mon plaisir. Elle faisait tourner le vibrateur en dedans de moi, et je sentais le relief du plastique qui me chatouillait. Elle commença soudainement à aller plus vite et de l’autre main, elle me branlait encore le clito. J’ai été très étourdie et je crois que j’ai vu noir un moment… Elle me lâcha un peu et se masturba devant mes yeux avides de spectacle avant de recommencer à me lécher de nouveau.

C’est alors que l’on frappa à la porte. C’était la mère de Fanny qui était revenue et qui ayant entendu du bruit s’inquiétait. A ma grande surprise ma copine lui dit d’entrer. Je m’empressais de cacher ma nudité.

– Oh, tu n’étais pas seule ! Lui dis sa mère.
– Non je m’amusais avec une copine, je te présente Lucette.

Elle me tend la main avec douceur, tout sourire.

– Je suppose que vous étiez en plein séance de caresses ! Dit la maman.
– Oui, Fanny est très douce !
– Je n’en doute pas un instant, mais je vois que vous avez emprunté mon vibrateur.
– Ben oui !
– Vous vous en êtes servies devant ou derrière ?
– Juste devant, pour le moment !
– Ah ! Coquine, mais timides.
– On n’est pas timides protesta Fanny.

J’étais vraiment gênée par cette conversation et me demandais comment fuir cette situation.

– Faite moi plaisir, cessez de vous cacher ! Me demande sa mère.
– Non, ça me gêne !
– Vas-y ! Ma mère est cool, soit cool aussi ! Me dit Fanny.

Je me dis que si ce geste peut me permettre de me dépêtrer de cette situation, je ne vais pas en mourir et j’offre mon corps à la vue de la mère de Fanny.

Elle me félicite, me dit que je suis charmante et que si elle ne se retenait pas elle m’aurait volontiers caressé. Je rougis comme une tomate, mais Fanny enfonce le clou en me disant que sa mère est très affectueuse et que je devrais aimer ses caresses. Je suis tétanisée, n’osant pas répondre. Sa mère s’approche très près de moi, mais ne me touche pas. Elle me demande si je peux. J’ai dû lui répondre « juste un peu » ou un truc dans le genre, toujours est-il que la voilà qui me tripote les tétons, ses mains sont douces et électriques, je me laisse faire. Sa langue vient remplacer ses doigts, je m’abandonne.

Fanny prend le relais de sa mère, pendant que celle-ci se déshabille intégralement. C’est une très belle femme cougar avec une poitrine superbe qui tient bien. Nous sommes à présent toutes les trois sur le lit, et pendant que la mère me suce les nymphes, Fanny m’a léché mon anus avant d’y introduire le vibrateur. Quelle sensation merveilleuse de sentir ce joujou ronronner dans mon trou le plus intime ! Sous les actions des deux diablesses, je jouis de nouveau, inondant le couvre lit de ma mouille.

Et tandis que je reprends mes esprits, j’ai la surprise de voir Fanny et sa mère s’embrasser profondément sur la bouche avant de se gamahucher en position de soixante-neuf en s’agitant comme des damnées.

Quand sa maman eut joui elle se releva et sorti de la chambre nous laissant Fanny et moi enlacées..

– Je ne savais pas que tu faisais ça avec ta mère ! M’étonnais-je.

Fanny m’expliqua gentiment qu’elle était majeure, qu’elles ne faisaient pas cela tous les jours, et que ce genre de relations ne faisait de mal à personne. Elle me confia aussi qu’il lui arrivait de sucer la bite de son père.

– Si ça t’intéresse, on va l’attendre et je lui demanderais de t’enculer, ça te plairait, ma chérie ?
– Pourquoi pas ?

Fin

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7 réponses à Fanny, sa mère et moi par Lucette

  1. Peggy dit :

    Ah ! La chatte de ma mère… toute mouillée…

  2. Chastaing dit :

    La première partie n’est pas mal du tout, la description érotique fonctionnant parfaitement, ça s’emballe avec l’arrivée de la maman, et c’est bien dommage car c’est ce qui faisait le sel de l’histoire. Ce n’est pas si mal mais on reste un peu sur notre faim.

  3. Stablinski dit :

    Je ne l’avais jamais lu celui-là, je ne fantasme pas sur l’inceste mais j’aavoue avoir été troublé par cette lecture

  4. Frankrob dit :

    ça n’existe même pas ce genre de relations !

  5. Phylo dit :

    Ah, les familles tuyau de poêle, si elles existaient pas faudrait les inventer

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