Confessions de voyeurs

Confessions voyeurisme

En face par Charlotte

Assise bien tranquille sur mon balcon, je profite de la douceur d’une soirée bien étoilée.

Une lumière s’allume dans un logement en face. Je vois un homme y entrer et après quelques minutes, il enlève tous ses vêtements. Il fume une cigarette tout en se promenant nu dans son appartement.

Peu après, il va prendre sa douche dans la pièce contiguë. Je m’avance un peu, pour mieux voir. Il laisse justement la fenêtre ouverte. Pendant quelques secondes, il laisse couler l’eau sur son corps. Je le regarde se détendre. Il a un beau visage, de long doigts et de belles fesses bien galbées.

Tout à coup, il commence à se caresser. Je m’avance un peu plus pour mieux l’observer. Et voilà que sa bite se met à gonfler. De sa longue main, il se branle tout doucement, pour faire durer son plaisir. Son sexe grandit encore plus. Il se recule sous le jet d’eau et par le regard de ses yeux, je sens qu’il y prend beaucoup de plaisir. Il continu à bien se masturber. Il prend son temps et sa bite est devenue toute raide. De son autre main il s’introduit un doigt dans l’anus !

– Oh, le cochon !

Tout en le regardant, je sens pour moi aussi le désir d’en faire autant. Je me caresse les seins qui se mettent à durcir. Je sens monter une grosse chaleur en moi. Je ne peux faire autrement que de continuer à me caresser les seins, le ventre, les cuisses tout près de ma chatte qui réclame de plus en plus de caresses.

Je continue à regarder le charmant spectacle qui se déroule devant mes yeux. Pendant les caresses de cet inconnu, j’accentue mes caresses. Son sexe est toujours en érection et il continue de faire des va-et-vient intempestifs.

Pour ma part, je rentre mes doigts dans mon vagin, qui est plein de jus, de chaleur et regarder cet homme, me donne encore plein de désir. Pendant plusieurs minutes, nous nous caressons à l’unissons. J’ose même me tripoter mon anus et ça me fait un bien fou. Tout à coup il se colle à la douche, pour laisser couler l’eau sur son sexe. Ensuite tous les deux nous nous laissons aller à notre plaisir. Il se caresse plus vite et pendant ce temps, mes caresses se multiplient pour me laisser aller à ma jouissance. Avec cet inconnu nous atteignons ensemble le septième ciel, moment sublime que l’on voudrait perpétuer .

Après quelques secondes de calme, tous les deux nous nous nous remettons de nos émotions. L’inconnu se met à pisser d’abondance puis se douche et s’essuie tout doucement, et ensuite il s’approche de la fenêtre, enroulé dans sa serviette de bain, et regarde dans ma direction et m’envoie un salut de sa main et un sourire de satisfaction.

Il ferme son rideau et je reste surprise. Il savait donc que j’étais là et que je le regardais. Je reste encore sur mon balcon pour penser encore aux bons moments que je venais d’avoir.

Lanzarotte par Timothé

Avec ma copine nous avons gagné un séjour de vacances. Nous avons pris l’avion pour Lanzarote, une charmante petite île des Canaries. Le climat était superbe, notre bungalow très confortable, bref, j’étais aux anges.

Rapidement, je me suis rendu compte que j’avais un rythme assez différent de celui du reste de ma famille. En effet, ma copine, plutôt que de profiter pleinement des plages idylliques de l’endroit passait un temps fou à roupiller comme une marmotte. Moi, je voulais profiter à fond de ce séjour. Un matin, exaspéré par l’immobilisme et les ronflements de ma copine, je la réveillais.

– Ecoute Sophie, ça me fait chier de roupiller ici toute la matinée. Je vais chercher des coquillages !. -; – Comme tu veux mon amour, à tout à l’heure
Je me renseignait auprès de la cabane administrative

– Essayez d’aller derrière la grande colline qui se trouve sur la gauche. Derrière, il doit y avoir peu de monde, contrairement à la grande plage. Avec un peu de chance, vous trouverez un coin sauvage

Mon seau à la main, je parvins donc à l’endroit conseillé assez rapidement et contournai cette espèce de grande colline de sable. Derrière, je trouvai une petite crique sympa. Effectivement l’endroit sympa. Je me mis donc à m’emparer de coquillages et de crustacés.

Au bout d’un petit moment, j’entendis des bruits. Comme un brouhaha étouffé. J’identifiai rapidement son origine. Un bosquet à l’extrémité de la crique. Je m’y aventurai prudemment. Il me fallut gravir une pente de sable pour y parvenir. J’entendis à nouveau le bruit. Il venait d’un peu plus loin en réalité. Je compris qu’il y avait une autre crique. Il me suffisait de traverser le bosquet pour la voir. C’est ce que je fis et la scène que je découvris me laissa stupéfait.

Toute une bande de nudistes avait peuplé la crique. Une quinzaine de personnes. Tout le monde était complètement nu. C’était incroyable. Je n’en croyais simplement pas mes yeux. Il y avait tout aussi bien des jeunes que des vieux. Ils étaient pour la plupart tranquillement étendus au soleil et, fort heureusement, personne ne m’avait vu. Je décidai de rester là un moment pour les observer.

Les silhouettes étaient parfois amusantes. Il y avait, notamment un vieux beau tout bronzé. Celle qui devait être sa compagne était ses côtés, une belle brune aux cheveux bruns coupés courts, elle devait avoir dans les cinquante ans sinon plus mais affichait une belle prestance et des seins magnifiques. Et elle était chaude, comme je pus le remarquer rapidement. Elle glissa sa main vers la queue du mec et se mit à la lui caresser

Franchement, pensai-je, elle ne manque pas de culot.? En effet, j’étais convaincu que les nudistes se contentaient d’aimer être nus, mais que ça n’en faisait pas des gens plus portés sur la chose que les autres. Soit je m’étais trompé, soit j’étais tombé sur un groupe un peu particulier.

La belle mature continua un moment à caresser la queue du mec, avant de finalement l’empoigner vigoureusement.

Nooooooon ! me dis-je. C’est incroyable.? Elle le branlait, on ne pouvait pas dire autrement. Elle le branlait comme une damnée avec toute son énergie. Deux hommes et une femme se sont levés et sont approchés du couple. L’un des hommes se branlait carrément. Il avait une jolie bite.

J’étais halluciné, et ce n’était que le début. Pendant que le vieux beau restait couché, presque amorphe, sa partenaire s’excitait de plus en plus. Elle lui grimpa dessus, fesses du côté de sa bouche, et se mit à le sucer. C’était un rêve ! J’étais en train de mater une fellation de nudistes. Et je restais le regard fixé là-dessus et la bite toute raide Je ne parvenais pas à m’en détourner.

Je continuais à mater. D’autres personnes s’étaient levés et les voyeurs formaient maintenant un cercle autour du couple mature.. L’une des voyeuses s’empara de la bite de son voisin et commença à le masturber. Un mec pelotait les fesses d’un autre qui se laissait faire avec un sourire béat.

La mature du sentir que le vieux beau était près d’éjaculer, elle dégagea la bite au moment où il fit jaillir son sperme, elle en reçut partout, sur le visage, sur les seins et ça l’a fit rigoler

Elle resta immobile, les jambes écartées puis fit un singe de la main invitant qui le voudrait à venir la baiser. Un type profita de l’occasion (si l’on peut dire) et vint la sauter, tandis qu’n deuxième attendait son tour. Un peu plus loin l’homme qui se faisait peloter les fesses était maintenant en train de sucer la bite de son comparse. Je n’en pouvait plus, et me mit à me branler, arrosant de mon sperme le sable chaud.

Je compris bien sûr que j’étais tombé sur un groupe de joyeux obsédés du cul qui se réunissaient ici pour mêler plage et sexe tranquillement. J’étais convaincu que si je restais, je verrais d’autres scènes bien chaude, mais pour l’instant j’étais rassasié.

Quand je revins, Sophie m’interpelle :

– Alors la cueillette a été bonne ? Mais dis-moi : t’as l’air bien pâle, t’es blanc comme un linge.

Je lui répondis la première bêtise qui me vint à l’esprit :

Sans doute l’odeur des moules qui m’est montée à la tête !

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9 réponses à Confessions de voyeurs

  1. Benoit de Macadamia dit :

    Dans le quartier Saint Merri à Paris, un soir vers 20 heures, je vois un groupe de gens regarder en l’air, en fait ils mataient ce qui se passait derrière une fenêtre située au 3ème ou au 4ème étage, en fait on ne voyait que les ombres, mais quelles ombres ! Une nana était en train de se faire flageller en ondulant du popotin.

  2. Ventoux dit :

    Quand je vais au cap d’Agde, j’aime bien mater ce qui se passe dans le coin gay, ça se tripote, ça se suce et ça s’enfile. Pendant plusieurs années de suite je me suis contenté de mater, mais depuis l’an dernier, j’ai franchi le pas et découvert le plaisir de sucer de bonnes queues.

  3. Vermeer dit :

    Il y a bien longtemps, je me promenais souvent à la campagne. Un après-midi d’été, je vois une voiture dans un chemin en cul de sac. Je m’approche discrètement sans faire trop de bruit. Là, j’aperçois un couple. Madame chevauchant monsieur. Je me dis : zut, dès qu’elle va me voir ce sera foutu, je devrais partir. Sans bruit, je m’assois sur un talus et sors ma bite pour me branler. Je regarde cette belle femme en lingerie sexy remuer du bassin sur son amant qui tourne la tête de l’autre côté, profitant du plaisir que lui donnait sa partenaire.
    Elle, elle avait les yeux fermés et la tête en arrière. Ses gros nichons étant cachés dans sa guêpière, mais les fesses bien visibles….
    Je continue à me branler en faisant le moins de bruit possible. Quand tout à coup elle ouvre les yeux et m’aperçoit. Je reste là, ma main sur mon sexe à le secouer tandis qu’elle s’aplatie par reflexe sur son homme pour se « cacher » et lui dit quelque chose à l’oreille. « Venez, venez, on aime bien qu’on nous regarde » ma crie-t-elle.
    Je m’approche de la bagnole, ils baissent la vitre, et là la femme me demande : « tu la trouves comment le bite de mon mec ? » Drole de question, mais je réponds que je la trouve très belle. Et elle me dit « Si tu la suces, tu pourras me baiser. Je me suis dégonflé et me suis éloigné. J’ai regretté ma decision et les jours suivant je suis retourné à cet endroit, mais je n’ai jamais revu ce couple.

  4. Chatelet dit :

    Il y avait un petit trou dans la porte de la salle de bain, il ne permettait pas de voir grand-chose, mais je l’ai agrandi discrètement, cela me permettait de voir ma mère à poil se savonner ses gros nichons pendant que je me masturbais. Et un jour alors que je m’astiquais en la matant, elle m’a adressé un sourire complice… Ainsi elle n’était pas dupe et savait que je la regardais… Elle m’a fait signe d’entrer, je ne l’ai pas fait.

  5. Nosicaha dit :

    Regarder quelqu’un dans son décolleté, tenter d’apercevoir un téton en prenant un angle précis (on vous voit… :honte: ), ça devrait être sévèrement puni.
    Grosse amende + peine de prison si récidive.
    Faut arrêter sans déconner. Ceux qui font ça ternissent la réputation des hommes.
    Et pour le voyeurisme style regarder sous la jupe ou prendre des photos ;( Prison ferme direct !!!:
    Franchement, on est d’accord là dessus ?

    • Vermeer dit :

      Non tant qu’on le fait sans être remarqué c’est bon ! !

      Sinon c’est quoi cette attitude d’hypocrite ? Tu ne vas pas me dire que tu n’as jamais maté personne. Va donc rejoindre les gardiens de la révolution en Iran, tu rencontreras des types aussi hypocrites (pour ne pas dire autre-chose) que toi.

      • Eddy dit :

        On arrête les frais. J’ai supprimé la nouvelle intervention de Nosicaha. S’il peut être intéressant de lire un avis qui se voudrait « moraliste », nous ne sommes pas ici pour publier des commentaires faisant la promotion de la charia.

  6. Assenti dit :

    On nous avait dit que sur le parking de la plage il se passait des choses coquines la nuit tombée. On est allé pour voir alors que le soleil venait de se coucher
    Personne ! Tant pis ! Dans la bagnole on se pelote, on se deshabille, ma copine me suce.
    Deux voyeurs se rapprochent. La vitre est ouverte et ils viennent lui caresser les fesses… Le sexe… Je l’entends gémir doucement pendant qu’elle me suce. Elle se redresse et regarde les deux hommes. Ils ont sorti leur bite… Elle ouvre la porte et les branle, les suce… Et les fait vite jouir sur ses seins….

  7. Sapristi dit :

    Deux anecdotes bien bandantes

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