L’étroitesse de la salle de bain par Jean-Sébastien Tiroir

L’étroitesse de la salle de bain par Jean-Sébastien Tiroir
Exercices de style en 11 variations

Tout cela n’a rien de sérieux, je me suis amusé à partir d’un texte (pas plus idiot que d’autres) de lui faire subir des variations de style.

1 – La saynète d’origine

Georges et sa femme sont chez des amis pour le week-end. Le lendemain matin, il frappe à la porte de la salle de bain. Son hôtesse Corinne lui répond de patienter une minute, puis lui dit d’entrer. Corinne est juste vêtue d’un petit tee-shirt visiblement passé à la hâte, il est mouillé par endroit, la pointe de ses tétons apparaît clairement sous le vêtement, mais le plus intéressant se trouve en bas. La petite culotte a été mal mise et un globe fessier reste entièrement découvert. Négligence, acte manqué, invitation explicite.
– Ce que je vois est ravissant !
Corinne fait semblant de ne pas comprendre
– Tu ne vas pas me draguer quand même !
– Non, ça ne se fait pas !
– Mais je t’en prie passe !
Le problème c’est que pour passer, ça fait très juste, Georges est pratiquement obligé de se serrer contre Corinne qui ne fait aucun effort pour se pousser. Il essaie de passer et soudain Corinne le bloque, d’un coup de fesses. Il bande presque instantanément
– Tu vois ce qu’on pourrait faire si on n’était pas sérieux !
– Et si on n’était pas sérieux, ne serait-ce que 5 minutes ?
– Juste 5 minutes alors !
La main de Georges se pose alors sur sa fesse et la caresse. L’autre passe coquinement sous le tee-shirt et part à la découverte de sa poitrine. Elle se laisse faire, il décide de lui baisser sa culotte, un doigt pénètre son intimité, elle est trempée…
Depuis cet événement Georges et son épouse sont invités régulièrement chez Corinne et son mari

2 – Version tutu

Tu es là, dans ta salle de bain. Je ne te connais à peine. Tu n’es que la femme d’un collègue mais tu étais si belle hier soir à table. J’ose frapper.
Tu me fais patienter quelques instants et tu me dis d’entrer. Tu es juste vêtue d’un petit tee-shirt visiblement enfilé hâtivement, il est mouillé par endroit, la pointe de tes tétons apparaît clairement sous ton vêtement, mais le plus intéressant se trouve en bas de toi. Ta petite culotte a été mal mise et ton globe fessier reste entièrement découvert. Négligence, acte manqué, invitation explicite. Tu m’écoutes te dire le ravissement de ma vue.
Mais tu fais semblant de ne pas comprendre. Tu t’amuses à te méprendre de mes intentions et je joue ton jeu.
Tu m’empêches de passer. Je me faufile malgré tout, mais tu me bloque avec tes fesses, érigeant du coup mon vit. Tu me dis que tout cela n’est pas très sérieux, mais tu me dis aussi qu’il convient de le rester. Tu as l’air de regretter d’avoir dit ça et quand je te demande de ne pas être sérieuse pendant 5 minutes, tu me donne ton accord. Tu acceptes alors la caresse de ma main sur ta fesse. Tu acceptes l’effleurement de mon autre main sur ta poitrine Puis je te baisse ta culotte, un doigt pénètre ton intimité, elle est trempée.
Tu nous inviteras à nouveau chez vous.

3 – Version guindée

Georges et son épouse sont invités chez des relations pour le week-end. Le lendemain matin, voyant la porte de la salle de bain fermée, il y frappe.
Son hôtesse Corinne lui répond de patienter un moment, puis l’autorise. Corinne est juste vêtue d’un horrible petit tee-shirt de marque anonyme sans doute gagnée au cours d’une tombola dans une fête paroissiale et visiblement passée à la hâte, il est humide par endroit, la pointe de ses tétons apparaît distinctement sous le vêtement, mais le plus intéressant se situe dans la partie inférieure de son anatomie. La petite culotte a été mal enfilée et un globe fessier reste parfaitement découvert. Négligence, acte manqué, invitation explicite ? Corinne singe l’innocence
– Mais voici qui me ravit la vue !
Corinne joue alors celle qui ne déchiffre pas ce code
– Il n’entre pas, cher ami, dans mes intentions de vous permettre de profiter de la situation
– Oh ! Qu’osez-vous imaginez ? Je ne suis point un rustre !
– Alors ! Soit ! Mais je vous en prie, passez donc !
Néanmoins, passer est une gageure étant donné l’étroitesse du passage, car précisons-le, il ne s’agissait là que de l’une des salles de bains annexes. Georges est pratiquement obligé de se serrer contre Corinne, laquelle ne fait aucun effort pour se pousser. Il essaie malgré tout d’emprunter cette voie limitée quand soudain Corinne, saisie d’une impulsion aussi subite qu’irraisonnée le bloque, d’un coup de son robuste fessier. Le vit de Georges érecte quasi instantanément
– Voyez ce que nous pourrions accomplir si nous n’étions point sérieux
– Et si nous ne l’étions pas, ne serait-ce que quelques instants ! Soyons fous, mon ami, soyons fous
– Juste quelques pauvres instants, alors !
La main de Georges se positionne alors sur la fesse de Corinne et la caresse. L’autre furète négligemment sous le tee-shirt à la découverte de sa poitrine. Elle se fait passive, il décide de lui baisser sa culotte en fine dentelle, un doigt pénètre l’intimité de son con trempé…
Depuis cet événement Georges, son épouse et son chauffeur sont invités régulièrement chez Corinne et son mari

4 – Version macho

Je suis invité avec ma régulière chez des potes pour le week-end. Je ne connaissais pas Corinne. Quand je l’ai vu, je me suis dit qu’il y aurait peut-être un coup à tenter. Le samedi, je n’essaie rien. Le lendemain matin, je vais pour prendre une douche, la salle de bain étant fermée, je frappe. La môme, elle me dit d’attendre une minute, puis me dit d’entrer. Corinne est juste vêtue d’un petit tee-shirt visiblement passé vite-fait, il est mouillé par endroit, la pointe de ses tétons apparaît clairement sous la fringue, mais le plus intéressant se trouve en bas. La petite culotte a été mal mise et un morceau de cul reste entièrement découvert. Je ne suis pas con, j’ai compris le signal ! Encore une qui va me tomber dans les bras !
D’ailleurs vous savez pourquoi 50 % des femmes sont frigides ? Parce que je ne peux pas m’occuper de tout le monde Ha ha ha !
– Whaaou ! Quel cul !
Corinne fait semblant de ne pas piger
– Tu ne vas pas me draguer quand même ?
– Non, ça ne se fait pas !
– Mais je t’en prie passe !
Le problème c’est que pour passer, ça fait très juste, je suis pratiquement obligé de me serrer contre Corinne qui ne fait aucun effort pour se pousser. J’essaie de passer et soudain Corinne me bloque d’un coup de fesses. Je vous dis pas l’état de ma grosse bite (23 centimètres) qui bande presque instantanément
– Hum, je sens quelque chose de dur !
– T’es vraiment une petite pute, tu m’as fait gonfler ma grosse bite ! Je crois qu’on va se prendre 5 minutes !
– Seulement 5 minutes alors !
Je lui fous alors carrément la main au cul ! Avec l’autre je lui tripote les nichons. Y’en a marre des fringues, je lui dis et je lui baisse la culotte. Elle ne demandait que cela la chienne ! je lui fous un doigt dans la chatte, c’est tout mouillé là-dedans
Je crois bien que je vais m’arranger pour m’y faire souvent inviter chez la Corinne, je crois même que je vais revenir avec les copains.

5 – Version surdimensionnée

Georges et sa femme sont chez des amis pour le week-end. Le lendemain matin, il frappe à la porte de la salle de bain. Son hôtesse Corinne lui répond de patienter une minute, puis lui dit d’entrer. Corinne est juste vêtue d’un petit tee-shirt trop grand pour elle (XXXL) visiblement passé à la hâte, il est mouillé par endroit, la pointe des tétons de son énorme poitrine (110 E) apparaît clairement sous le vêtement, mais le plus intéressant se trouve en bas. La petite culotte a été mal mise et un énorme globe fessier (ndla : pourquoi dans ces récits donne-t-on toujours la dimension de bites et des
seins et jamais celles des fesses ?) reste entièrement découvert.
Négligence, acte manqué, invitation explicite.
– Ce que je voie est ravissant !
Corinne fait semblant de ne pas comprendre
– Tu ne vas pas me draguer quand même ?
– Non, ça ne se fait pas
– Mais je t’en prie passe !
Le problème c’est que pour passer, c’est impossible ce qui fait qu’il ne passe rien et que Georges ne peut même pas sortir sa grosse bite bien bandée (30 x 15 lors de la dernière estimation)…
Depuis cet événement Corinne et son épouse ont fait agrandir la salle de bains

6 – Version tean’s

Jo et sa copine du moment sont chez des copains pour un barbecue. Le lendemain matin, cherchant partout une bouteille d’Orangina, il se dit qu’il y en a peut-être dans la salle de bain et il frappe à la porte parce justement elle est fermée. Jo entend la voix de Corinne qui lui dit de patienter, on se demande pourquoi il faut qu’il patiente, parce que tout le monde la déjà vue nue avec son corps de déesse. Il se dit qu’elle doit être en train de se passer une crème épilatoire ou des bigoudis ou un machin comme ça qui fait pas présentable. Finalement elle lui dit d’entrer. Coco est juste vêtue d’un petit tee-shirt publicitaire marqué  » Sky-Rock  » il est mouillé par endroit, la pointe de ses tétons apparaît clairement sous le vêtement, mais le plus intéressant se trouve en bas. La petite culotte a été mal mise et un globe fessier reste entièrement découvert. Il est joli ce globe fessier, il est tout rond, on dirait une bouteille d’Orangina.
Négligence, acte manqué, invitation explicite.
– Whaou ! La super vue !
Coco fait semblant de ne pas comprendre
– Oui ben remet-toi, un cul c’est un cul, Tu ne vas pas me draguer quand même
– Non, ça ne se fait pas
– Mais je t’en prie passe !
Le problème c’est que pour passer, ça fait super juste, Jo est pratiquement obligé de se serrer contre Coco qui ne fait aucun effort pour se pousser tout occupée qu’elle est à se mettre des patchs partout en se regardant dans son miroir. Il essaie de passer et soudain Coco le bloque, d’un coup de fesses. Il bande presque instantanément
– Tu vois ce qu’on pourrait faire si on n’était pas sérieux
– Ben, on n’a qu’à pas être sérieux, juste 5 minutes
– Juste 5 minutes alors !
La main de Jo se pose alors sur sa fesse et la caresse. L’autre passe coquinement sous le tee-shirt publicitaire marqué  » Sky-Rock  » et part à la découverte de sa poitrine, ses seins sont petits comme ceux d’une adolescente malgré ses 18 ans qu’elle vient juste d’avoir. Elle se laisse faire, il décide de lui baisser sa culotte publicitaire marquée (mais, non qu’est-ce que je raconte, moi ?), un doigt pénètre son petit minou, elle est trempée…
Depuis cet événement Jo et sa copine sont devenu des fans des barbecues chez Corinne

7 – Version diluée

Georges et sa femme sont chez des amis pour le week-end et le lendemain matin, il frappe à la porte de la salle de bain dans laquelle son hôtesse Corinne lui répond de patienter une minute, puis lui dit d’entrer. elle est juste vêtue d’un petit tee-shirt visiblement passé à la hâte, et mouillé par endroit telle que la pointe de ses tétons apparaît clairement sous le vêtement, mais le plus intéressant se trouve en bas car la petite culotte à été mal mise et un globe fessier reste entièrement découvert sans que l’on sache si c’est par négligence, acte manqué ou invitation explicite. Je lui explique alors que cette vue est ravissante, mais Corinne fait semblant de ne pas comprendre et s’offusque du fait que je n’aurais pas l’outrecuidance d’oser la draguer, ce qui serait contraire aux convenances, la rassurant sur ce point elle m’invite à passer néanmoins quand même, malgré l’étroitesse du chemin ce qui fait que je suis pratiquement obligé de me serrer contre Corinne qui ne fait aucun effort pour se pousser, renouvellent mes efforts je fus soudain bloqué d’un coup de fesses par Corinne, ce qui instantanément me fit bander, elle m’interpella alors, évoquant ce que ce qu’on pourrait faire si on n’était pas sérieux, je lui proposais alors de ne pas l’être, ne serait-ce que cinq minutes et elle me donna son accord avec cette proposition, alors ma main se posa sur sa fesse et la caressa tandis que l’autre passe coquinement sous le tee-shirt et part à la découverte de sa poitrine, comme elle se laissait faire, je décide de lui baisser sa culotte, un doigt pénètre son intimité, elle est trempée… et depuis cet événement moi et mon épouse sont invités régulièrement chez Corinne et son mari souvent
(à boire par pitié ! – nda)

8 – Version FVSC (femme violée super contente)

On a invité Georges est sa femme pour le week-end. Le dimanche matin Georges frappe à la porte de la salle de bain alors que je finissais un petit brin de toilette. Je suis à moitié à poil, et très vite je me passe un petit tee-shirt. Je me rends compte qu’il est mouillé par endroit et que la pointe de mes tétons apparaît clairement sous le vêtement, mais je me dis que Georges saura se conduire et qu’il n’y prêtera pas plus d’importance. De même je m’apercevrais plus tard que ma culotte passée hâtivement laissait un globe fessier entièrement découvert. Je décidais de ne rien rectifié, après tout si ce genre de Détail excite Georges c’est que je ne suis pas si mal foutu que cela. Alors ‘s’il veut se jeter sur moi… hum… un viol pourquoi pas ? Et puis être violé par quelqu’un qui a de si beaux yeux bleus, ce doit être quelque chose non ?
– Je vois des choses intéressantes !
Quel manque de savoir-vivre, il ne pouvait pas se taire
– Tu ne vas pas me draguer quand même
– Moi je ne drague pas, je fonce !
– Mais je t’en prie passe !
Plaisantait-il ? Je n’en savais rien mais je lui dis de le passer, et histoire de le provoquer je l’oblige d’un coup de cul à se serrer contre moi quand il essaie de passer. Il bande presque instantanément
– Tu veux que je te viole ou pas ? Pétasse ?
– Tu n’oserais pas, t’es trop bien élevé, connard !
– J’ai pourtant bien envie !
– C’est embêtant, je ne suis qu’une faible femme ! Sérieuse mais faible et sans défense !
– Alors je vais te foutre ma bite dans le cul, je vais te baiser et t’enculer, c’est ça que tu veux, espèce de chienne !
– Oh ! Oui, mais juste 5 minutes alors !
La main de Georges se plaque alors sur sa fesse. L’autre lui attrape le nichon, il sort alors sa bite et me la pénètre sans rémission d’abord dans le con, puis dans mon cul glouton ! :
– Bouge pas ! Salope !
Depuis cet événement Corinne a viré son mari et s’est mise en ménage avec Georges qui lui fout des baffes ! Comme ça ils sont encore plus excités tous les deux !

9 – Constat du capitaine des pompiers

Je soussigné Albert Sévère, capitaine des pompiers, avons ce matin trouvé dans une salle de bain, le dénommé Georges X et la susnommée Corinne Y. Les deux individus se trouvaient collés en position verticale subséquemment à un coït impromptu pratiqué dans l’exiguïté de l’espace restant entre une salle de bain de 1,50 x 0,80 x 0,85 et un lavabo de 0,85 x 0,75 situ à 1 m 20 de hauteur. Nous avons dû asperger les deux individus à l’aide de la lance d’incendie afin d’en effectuer la nécessaire séparation.
Nda : depuis cet évènement le capitaine passe souvent chez Corinne pour se faire faire un pompier.

10 -Version nouveau roman (et gay)

Georges et Charles-Henri sont chez des amis (Robert et Lucien) pour ce dernier week-end ensoleillé de septembre. Le lendemain matin, après une nuit de sommeil réparateur qu’un violent orage interrompit au premier matin, voulant se rendre dans la salle des bains, il se rend compte que celle-ci est fermée, il s’agit d’une porte banale peinte en bleu brillant, la peinture s’écaille par endroit laissant apparaître le gris de l’ancienne couche. La poignée mal entretenue souffre des attaques de l’humidité. Il frappe trois coups, les deux premiers assez brefs et rapprochés et le troisième un peu plus espacé mais plus fort. Son hôte Robert lui répond d’une voix chaude mais ferme de patienter une minute, puis changeant de ton, lui dit d’entrer. La salle de bain est richement agencée, le mobilier d’eau provenant d’un grand équipementier de la place. Robert est juste vêtu d’un petit tee-shirt marqué de l’estampille d’un grand couturier parisien, visiblement passé à la hâte, il est mouillé par endroit, notamment devant à l’endroit de la poitrine, mais le plus intéressant se trouve en bas. Le caleçon au label d’une grande marque d’équipement de sport a été mal positionné et un globe fessier reste entièrement découvert. Négligence, acte manqué, invitation explicite.
– Ce que je vois est ravissant !
Albert fait semblant ne pas comprendre…
(on arrête ici faute de quoi le récit va faire 57 pages…)

11 – Version alexandrine

Invités chez des amis, Georges et sa compagne
Se rendirent donc un vendredi à la campagne.
Apres avoir dormi, le lendemain matin,
il tamponne à la porte de la salle de bain
Son hôtesse Corinne lui dit de patienter
Juste une minute ou deux avant d’oser entrer.
Corinne est juste vêtue d’un boléro
Passé à la hâte, il le sait, il n’est point sot
La pointe des tétons apparaît clairement
Car il est mouillé par endroit, le vêtement.
Toutefois en bas le plus excitant se trouve
La culotte a été mal mise et découvre…

Un globe fessier. Voyez l’état de sa bite
Négligence, acte manqué, invite explicite.
– Ce que je vois devant mes yeux est ravissant !
Corinne de ne pas bien comprendre fait semblant

– Me draguer, tout de même, tu ne le ferais pas !
– Non, certes, je ne ferais point le premier pas
– Alors je t’en prie passe puisqu’il te faut passer !
Mais c’est que la place il n’y en pas assez

Georges est obligé de se serrer contre Corinne
Laquelle n’essaie pas de s’éloigner de sa pine
Il essaie de passer et soudain la gonzesse
Innocemment le bloque, d’un coup de fesses

Notre bonhomme, alors bande presque instantanément
– Faut-il alors rester sérieux, assurément
– Et si nous ne l’étions pas, juste cinq minutes
– Mais alors pas plus, adorable petite pute

La main de Georges se pose sur la peau de sa fesse
et d’un geste savant désormais la caresse.
L’autre chemine sous le boléro de Corinne
Partant à la découverte de sa poitrine.

Elle se laisse faire, il lui baisse sa culotte,
Découvrant la belle humidité de sa motte
Depuis cet événement Georges et sa moitié
Régulièrement chez Corinne ils sont conviés

Fin du délire
© Jean-Sébastien Tiroir – Juin 2001
Première publication sur Vassilia, le 24/06/2001
Revue et corrigé en juillet 2012

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3 réponses à L’étroitesse de la salle de bain par Jean-Sébastien Tiroir

  1. Dianne dit :

    Quand humour et érotisme se conjuguent, moi je dis que c’est la fête !

  2. Sorenza dit :

    A défaut d’être excitant, on passe un bon moment

  3. Muller dit :

    j’ai passé un bon moment à lire ces délires.

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