Oscar au Cap – 3 – Les dépravés du Cap par Elian Lvekman

Oscar au Cap – 3 – Les dépravés du Cap par Elian Lvekman


ATTENTION / SCATO EXPLICITE

Bonjour c’est encore moi, Oscar. L’action se passe au Cap d’Age, où René un partenaire de rencontre m’a présenté sa petite famille, une famille tuyau de poêle où tout le monde baise avec tout le monde.

Et pendant que je sirotait un verre de Banyuls en grignotant quelques cacahuètes grillées, René me fit ce qui ressemblait fort à une proposition déguisée.

– On s’amuse parfois à un petit jeu, ça pourrait t’intéresser…
– Dis toujours, je suis très joueur..
– Voilà, quand on a un invité, ou même plusieurs on tire au sort le nom de celui qui va être l’esclave de tous les autres pendant une ou deux heures.
– Mwais… répondis-je peu enthousiasmé pour le moment.
– Evidement il ne s’agit pas de faire faire à l’esclave des choses qu’il n’a pas envie… Il faut que ça reste un jeu. La personne n’est pas forcément attachée, et elle peut quitter le jeu quand elle veut. Ça te dirait ?
– Je ne sais pas trop !
– Mais tu ne dis pas non ! Être dominé par Elsa et Marceline, avec en plus nos bites à ta disposition, ça ne te branche pas ?
– Et vous lui faites quoi à l’esclave ?
– On se lâche complètement, du sadomaso de l’uro de la scato.
– De la scato ? Juste un peu alors ?

Je viens de me rendre compte que je suis déjà en train d’accepter.

– Je vais te montrer des photos ! Me dit Léo, le fils de la famille, en allant chercher sa tablette.

Il fait défiler des photos devant moi, toutes ne me branchent pas, mais certaines…. Une femme le dos zébré de traces de flagellation, Elsa les seins pris dans des élastiques, et…

– C’est quoi ça ? C’est la bite d’un chien ? demandais-je.
– Oui, c’est un couple qui nous avait amené son labrador, Elsa et moi on lui a léché la bite ! Me répondit la vieille Marceline. Et après on s’est fait grimper, c’était divin, n’est-ce pas ma fille ?
– Oh, la la, maman, quel souvenir !

Et voilà que je bande !

Sur une autre photo, une jolie femme est en train de chier un bel étron sur le visage de Léo….

Si j’accepte, dans quoi je m’embarque ?

– Alors c’est d’accord ? Me susurre Elsa, l’épouse de René.
– On peut toujours essayer !
– On verra ça demain matin, pointe-toi à 10 heures ! On ne tirera pas au sort, ce sera toi l’esclave.
– Ah bon ?
– Ben oui, on aurait tiré au sort on aurait triché.

J’ai quitté cette bande de pervers, un peu frustré que la chose soit reportée au lendemain.

Le temps était brumeux l’après-midi, j’ai glandé, j’aurais pu aller au ciné porno ou au sauna, non, j’ai glandé, et le soir même chose. J’ai finis quand même par me branler comme un malade en regardant une petite vidéo bisexuelle sur mon téléphone portable.

Et le lendemain je me suis pointé chez René à 10 heures, Comme je suis un garçon poli, j’ai apporté une bouteille de vin rosé et un bouquet de fleurs.

On s’embrasse, Léo me roule carrément un patin, les mains de ces messieurs dames sont déjà baladeuses, et je ne tarde pas à bander.

– Viens me sucer l’anus ! Me demande Léo.

J’ai déjà léché par mal de trous du cul féminin mais pas encore à ceux de ces messieurs. Mais puisqu’aujourd’hui je suis l’esclave de service et qu’en plus le fessier que me présente Léo est absolument charmant, je m’exécute de bonne grâce et me régale de cette texture très particulière et de ce petit goût un peu spécial..

– A genoux devant moi esclave ! Me dit soudain Elsa, interrompant ma feuille de rose.

Je suis beau joueur, je m’agenouille.

– Alors, on a pas été sage ?
– Je ne suis jamais sage !
– T’as fait quoi, hier après nous avoir quitté ? T’as été sucé des bites ?
– Ben non il ne faisait pas beau.
– Tu t’es branlé, alors ?
– Oui !
– C’est très mal de se branler, tu vas être puni pour ça !

J’acquisse d’un mouvement de tête, un jeu c’est un jeu.

– Ouvre ta bouche connard !

Je le fais, elle me crache dedans plusieurs fois de suite, avant de m’envoyer deux ou trois gifles, pas trop fortes, mais bon ce sont des gifles quand même, pas des caresses !

– L’ennui vois-tu, avec des cochons comme toi, c’est qu’il y a des trucs qu’on peut faire mais qui ne seront pas des punitions, alors si tu t’attends à sucer de la bite, à te faire enculer ou à nous baiser, ce ne sera pas maintenant, ce sera plus tard ce sera la récompense, mais la récompense il faut la mériter. T’as compris esclave ?.
– Tout à fait.
– Bon, relève-toi !

Je le fais, elle me toise et m’accroche une pince à linge à chaque téton, elle fait ça sans grand ménagement et ça serre un peu , mais j’essaie de supporter.

Elle me fait ensuite me retourner.

– Maman, je te laisse continuer !

Marceline s’est emparée d’une cravache (il y a des gens qui apportent leur cravache en vacances !) et commence à me fouetter les fesses. Ça fait drôle au début et après on s’habitue. N’empêche qu’au bout d’un moment ça commence à chauffer sévère.

– T’exagères Mamie, d’abimer un si joli cul ! Intervient Léo.
– Ta gueule, pédé ! Lui répond Marceline.

Je commençais à me décider à lui demander d’arrêter mais elle le fit d’elle même après trois derniers coups.

– Je te le laisse un peu ! Dit-elle à Elsa.

Celle-ci me fit de nouveau retourner et après m’avoir joyeusement .craché au visage, comme ça pour le fun, elle se mit à me travailler les tétons. J’adore qu’on me les tripote, et il faut dire que là, j’étais servi, elle les tournait, les tirait, les tordait, toute la gamme, et moi je bandais comme un cerf.

– T’aime ça, hein, pédale !
– Ouiiii !
– Tu vois quand on veut, on peut te faire plein de choses que tu aimes, tout à l’heure quand on aura fini de te dominer, tu pourras baiser avec qui tu voudras. Mais avant il faut que tu nous fasse plaisir. Et tu sais ce qui me ferais plaisir ?
– Non !
– J’ai très envie de te chier dessus !
– Ben…
– Ben quoi, ça nous fera plaisir et ensuite tu auras ta récompense, elle n’est pas belle la vie ?
– Je veux bien essayer.
– Bien sûr que tu vas essayer ! Je vais tenter de te rassurer, tu sais je fais de très beaux boudins, bien moulés, d’une jolie couleur, tu vas adorer !

Incroyable, elle est en train de me faire l’article.

– Bon on va essayer ! Répétais-je.
– Alors si Monsieur Oscar veut bien s’allonger sur le carrelage.

On y va, on y va, il est froid leur carrelage !

Elsa me chevauche, de face. Je comprends rapidement qu’avant de faire la grosse commission, elle veut faire la petite, celle qui ne me pose aucun problème, et même que j’ouvre une grande bouche et que j’en avale plusieurs lampés. En même temps je me délecte de la vue, une belle contreplongée sur son anatomie avec ses gros seins en ligne de mire ! Mon dieu, que c’est beau !

Et la voilà qui se retourne, elle s’écarte les fesses sans doute pour que je voie mieux.

Les voilà tous autour de moi, Léo branle mollement la bite de son père. Celle-là j’espère que je pourrais l’avoir dans ma bouche tout à l’heure !

– Regarde, me dit Marceline, le petit oiseau va sortir.

En fait de petit oiseau, c’est une petite crotte qui en train de se frayer un chemin hors de l’anus de la belle mature !

Marceline s’est accroupie derrière moi et a allongée ses bras afin de pouvoir me tordre les tétons afin de maintenir mon excitation et mon érection à un bon niveau. Et ça fonctionne, parce que pour l’instant ce qui se passe devant mes yeux me fascine au lieu de me révulser.

L’étron s’allonge et devient boudin, il se décroche de son anus et me tombe sur le ventre. Ça fait bizarre, un deuxième étron tombe et rejoint le premier.

Elsa se recule, se baise afin de mettre en contact son anus avec ma bouche.

– Lèche-lui l’anus ! M’ordonne Marceline ! Qu’il ne reste pas une seule trace de merde !

Dans un état quasi-second j’ai effectué ce qu’on me demandait. J’en étais ravi, Une satisfaction sans doute plus psychologique qu’autre chose mais je me sentais fier d’avoir franchis un pas et étonné de l’avoir franchi si facilement.

Elsa a ensuite ramassé dans sa main le second étron, l’a approché de son visage, l’a humé avec une expression de satisfaction, puis l’a un peu léché du bout de sa langue.

Je pressentais ce qui allait se passer maintenant, alors effectivement elle approcha l’étron de ma bouche.

– Lèche, lèche ma bonne merde !

J’hésite quand même…

– Si t’as aimé me nettoyer le cul, tu vas aimer lécher ma merde ! insiste-t-elle.

Evidemment, c’est un point de vue !

J’approche le bout de ma langue, timidement, ça se passe bien, je continue, ça y est je suce sa merde, je suis dans un autre monde, le monde des scatophiles, je n’ai pas l’impression d’être anormal, j’ai franchi un tabou, c’est tout…

Elsa reprend de nouveau l’étron, le porte à sa bouche par l’extrémité et le fait aller entre ses lèvres comme elle le ferait d’une bite. C’est fascinant de voir ça ! Au bout d’un moment elle le passe à sa mère qui en fait autant. Elles en profitent pour se tripoter les tétons avec leur doigts pleins de merde. Elle se roulent un patin, se tripotent mutuellement la chatte. Mais quelles salopes ! Quelles belles et délicieuses salopes !

Je me relève, Elsa quémande ma bouche, on s’embrasse longuement malgré que nos langues ne soient pas encore nettoyées de nos turpitudes.

Je me demandais où étaient passés les deux hommes. Je les vois un peu plus loin derrière. Léo est en train d’enculer son père. Joli spectacle mais ça m’embête un peu, la bite de Léo je l’aurais bien voulu dans mon cul…

La Mamie me nettoie un peu avec une serviette humide, mais avant elle prélève un peu de la merde et se l’étale sur les nichons. Elle me demande ensuite de lécher. C’est rigolo de lécher un téton merdeux !

Léo sort du cul de son père, sans avoir joui, peut-être aurais-je donc le plaisir de l’accueillir dans mon propre fondement. Non, sa mère l’a appelé et le voici maintenant en train d’enculer maman ! Quelle famille !

– Viens mon grand, viens enculer la vieille ! Me supplie Marceline

Je n’ai pas hésité une seconde, ma bite est entrée au milieu de ses fesses comme dans du beurre des Charentes. Quelle sensation d’aller et venir dans ce cul accueillant, je lime je lime, je fais gueuler la vieille. Je vais jouir. Je jouis, je me retire, j’enlève la capote, elle me nettoie la bite de tout son sperme avec sa langue de pute ! Je suis bien.

Et pendant qu’Elsa et son fils s’agitent dans un barouf d’enfer, René vient me proposer sa bite.

Bien évidement que je l’ai sucé, et à fond en plus.

– Un petit verre de Banyuls, maintenant ?
– Volontiers !

Fin

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2 réponses à Oscar au Cap – 3 – Les dépravés du Cap par Elian Lvekman

  1. Achille dit :

    Le chapitre de trop (du moins pour moi !)

  2. Claire dit :

    Oui, on sent la volonté de l’auteur de délirer sur la séquence scato. Peut mieux faire

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