Plaidoyer pour le sperme par Serge Virinoviev

 

Tout le monde en parle fréquemment, mais celles et ceux qui utilisent ce vocable savent-ils exactement de quoi ils parlent ?

Que n’ai-je entendu à propos du sperme, que d’inepties sont proférées et que d’idées erronées circulent traduisant un réel manque d’informations à son sujet de même qu’un vide absolu en matière d’éducation sur tout ce qui concerne la sexualité, hormis peut-être un effort restant encore insuffisant pour nous mettre en garde contre les M.S.T (maladies sexuellement transmissibles).

Le sperme, ce mot qui nous vient du latin sperma et qui signifie « semence » a de nombreux synonymes dans notre langue, la liqueur séminale, le liquide séminal, la liqueur spermatique, le nectar de vie, l’élixir du plaisir, le philtre sacré.

Plus couramment nombreux sont ceux qui parlent de foutre et d’éjac mais quant à moi j’évite d’employer ces mots leur préférant cette notion de liqueur intime.

Cet article n’a d’autre prétention que de rappeler tout ce qui a été dit et redit sur le sperme, en guerroyant contre les absurdités colportées par le bouche à oreille et en expliquant de façon claire et simple tout ce qui le concerne.

Vous mesdames et mesdemoiselles, mais aussi vous messieurs qui pratiquez la fellation, acceptez-vous que votre partenaire éjacule dans votre bouche, y gardez-vous son sperme afin d’en apprécier la saveur et enfin le régurgitez-vous ou l’avalez-vous ?

Bien entendu rares seront celles et ceux qui répondront à ces questions mais qu’importe, l’essentiel consistant à ce que je puisse répondre à certaines questions que vous vous posez et dont vous n’avez pas nécessairement les réponses.

Si certaines et certains n’adhèrent pas à l’idée d’apprécier le sperme par voie buccale après avoir lu mon article, cela signifie que je n’ai pas su être convaincant dans mes explications et au travers de mes arguments, néanmoins je ne pourrai que les inciter à faire l’effort d’essayer au moins une fois, une seule fois, avant d’émettre un avis définitif, intransigeant.

Peut-être après avoir tenté cette expérience et constaté que finalement il n’y avait rien de rebutant, de repoussant et d’effrayant à cela, y prendront-elles (ils) goût très vite et n’auront qu’une hâte, celle de recommencer ?

Le premier argument avancé au refus de garder le sperme en bouche et de l’avaler, c’est son goût avant même de parler de sa texture.

Si le sperme vous rebute, demandez-vous si sur le plan culinaire vous n’avez pas fini par aimer des aliments, des plats, des boissons que vous détestiez auparavant et que vous avez appris à aimer, soit en y étant contraints, soit par curiosité, et qu’aujourd’hui de plus vous appréciez.

Aux réfractaires de l’ingestion du sperme par voie orale, je tiens à signaler que son goût et son odeur peuvent être très facilement modifiés et je leur expliquerai de quelle façon un peu plus loin dans cet article.

En tout état de cause, quiconque n’a pas recueilli au moins une fois le sperme de son compagnon de plaisir sur sa langue et son palais ne peut aucunement dire qu’il aime ou pas, que ce n’est pas bon, après avoir écouté trop d’âneries de droite ou de gauche.

Heureusement il se trouve une majorité de femmes, de demoiselles mais également d’hommes qui aiment pratiquer la fellation et qui ne rejettent pas l’offrande de la liqueur séminale qui leur est faite et qui l’avalent avec un réel plaisir.

Le sperme, ce doux élixir auquel vous goûterez bientôt si ce n’est déjà fait, est un liquide biologique sécrété par nos organes sexuels mâles, donc par nos testicules produisant des spermatozoïdes et nos glandes séminales appelées aussi vésicules. Celles-ci sont situées près de la prostate et produisent un liquide riche en fructose nécessaire à l’alimentation et à l’évacuation des spermatozoïdes hors du corps de l’homme au moment de l’éjaculation.

Le sperme se présente, est-il utile que je vous le précise, sous forme d’une substance plus ou moins opaque, parfois presque translucide, avec des reflets blanchâtres, opalescents, tout en étant plus ou moins fluide, parfois onctueux, légèrement filant et collant, sachant qu’après son expulsion hors du corps il se liquéfie très rapidement changeant ainsi de texture.

A celles et ceux qui refusent obstinément d’en apprécier la saveur, de le déguster, je dirais qu’ils ne savent pas ce qu’ils perdent et que le sperme n’est pas sale, absolument pas !!

Il est stupide de penser que le sperme serait dégoûtant et impur et cela traduit une profonde méconnaissance de cette substance « tout à fait naturelle » et… très saine… alors que la plupart des gens se grattent les crottes de nez, de véritables nids bactériens, et les avalent ou ne se lavent pas les mains après avoir uriné ou déféqué !!!

Je le martèle, désolé, mais le sperme est propre !!!

Vous buvez bien du lait de vache ou de chèvre et d’après vous, d’où sort-il ? De l’intérieur du corps de l’animal bien entendu, et quand à l’œuf ne sort-il pas… du cul de la poule ?

Alors où est le problème ?

Je pourrais vous citer ici bien d’autres exemples mais revenons à notre cher nectar spermatique.

Le fait que certaines femmes ou certains hommes soient rebuté(e)s à l’idée d’ingérer du sperme dans leur bouche, puis dans leur estomac, tient du « MENTAL » !!!

C’est l’idée même que ce liquide émane d’un appareil génital, de testicules et soit éjaculé, sorti d’un pénis en érection, d’un phallus, qui provoque chez elles et eux de telles réactions irraisonnées.

Et pourtant, contrairement à l’alcool, le sperme peut être consommé sans modération et contrairement au tabac, il ne nuit nullement à la santé !

Mais on ne naît pas gourmet et gourmand… on le devient !

Recevoir le sperme de son partenaire en bouche et l’avaler est ressenti par celui-ci comme un geste d’acceptation d’un renforcement des liens intimes et d’une plus grande complicité.

L’idée que le sperme quitte le corps de celui qui éjacule pour pénétrer par voie orale dans un autre corps, donc d’un orifice naturel à l’autre est très excitant… foi de pratiquant ! ! !

Encore faut-il « OSER » franchir le pas !

La femme ou l’homme qui pratique un cunnilingus sur une autre femme et lui lèche sa vulve, laissant même sa langue s’introduire dans son vagin, absorbe avec sa bouche ses sécrétions vaginales, sa cyprine, son miel, de plus en plus importantes à l’approche de l’orgasme.

Rares sont les femmes ou les hommes rechignant à coller leurs lèvres aux lèvres vulvaires d’une partenaire et n’ayant pas envie d’introduire leur langue dans le fourreau vaginal, n’ayant rien à redire quant aux émissions intimes de leur partenaire.

Alors ?

La recherche du plaisir par le rapport bucco-génital serait-elle à sens unique ?

N’est-ce pas là une certaine forme d’égoïsme que d’apprécier une bouche et une langue amie sur sa vulve et dans son vagin et de refuser le pénis d’un homme et son sperme dans la bouche ?

Oubliez donc tous vos préjugés, tous les tabous, tout ce que vous avez pu entendre des bien-pensants, des intégristes de la braguette, sur le sperme et dites-vous simplement « je vais essayer » et vous saurez ainsi de quoi vous parlez, que vous ayez apprécié ou non cette première fellation amenée à son terme.

Mon propos est là évidemment pour encourager et je dirais même pour promouvoir la fellation et l’absorption du sperme mais je me dois malgré tout de vous faire des recommandations.

Les maladies sexuellement transmissibles (SIDA, Hépatite B ou C) sont actuellement loin d’être éradiquées. Aussi même si le risque de contamination lors d’une fellation et d’une éjaculation intra-buccale est nettement plus faible que lors d’une pénétration vaginale ou anale du fait d’une capillarité sanguine bien moins abondante dans la bouche que dans le vagin ou l’anus, il demeure quand même présent.

Je conseille donc à celles et ceux aimant pratiquer la fellation sans préservatif, et je les comprends, de s’adonner à ce plaisir UNIQUEMENT avec un partenaire dont elles ou ils soit « TOTALEMENT SÛRS » ! S’il s’agit d’une rencontre de passage ou d’une brève aventure eh bien tant pis, il vaut mieux avoir recours à la bonne vieille capote par mesure de sécurité, mais rassurez-vous pour cette utilisation spécifique et pour que ce ne soit pas trop désagréable on en trouve depuis quelques temps qui sont aromatisées et vous n’aurez que l’embarras du choix, de la fraise à la vanille en passant par la pistache et la noisette, comme pour les glaces et les esquimaux !

Si vous êtes d’une fidélité exemplaire à l’égard de votre partenaire et si la réciproque est de mise, alors oubliez les capotes !

Mais si néanmoins vous avez des doutes, des craintes, alors faites comme moi : ayez recours à des « tests de dépistage » réguliers et fréquents dans n’importe quel laboratoire avec une prescription de votre médecin-généraliste qui ne vous la refusera pas.

Je possède toute une collection de mes résultats d’analyses et la dernière en date est toujours affichée sur le mur de ma salle de bain, face à la cuvette des toilettes à l’intention de celles ou ceux qui me rendent visite… sait-on jamais ?

Bon assez parlé de mes délires, redevenons sérieux. Vous ne le savez peut-être pas mais l’homme accorde beaucoup d’importance à sa liqueur séminale et il lui porte un grand intérêt. Il peut ressentir une certaine vexation, voir même une grande frustration devant le dégoût ressenti par sa ou son partenaire à l’idée de lui faire une fellation et donc envers sa noble semence. Il arrive souvent dans ce cas évoqué que son désir sexuel s’estompe très rapidement.

Il est une rumeur, une idée fausse qu’il est nécessaire de combattre : celle concernant le goût et l’odeur du sperme.

On entend souvent dire que le sperme possède une odeur un peu âcre et un goût amer, un peu salé et chloré.

Ce n’est pas tout à fait faux.

Mais comme je l’ai évoqué au début de cet article, le goût, l’odeur et la couleur du sperme varient d’un homme à l’autre, de même que sa texture, tout ceci relevant de l’alimentation de chaque individu.

Oui le goût du sperme varie en fonction de ce que l’on mange, comme les autres sécrétions du corps humain, telles l’urine ou la sueur.

Si votre sperme est trop amer, trop salé avec un petit goût d’ammoniaque, le seul moyen de le rendre, puis-je employer le terme… appétissant.. et d’en modifier la texture, réside dans un changement de régime alimentaire.

Ce changement de goût peut intervenir très rapidement, en quelques jours parfois, selon le sérieux avec lequel vous modifierez votre alimentation.

Il est donc très aisé de rendre votre sperme plus doux, plus neutre et pourquoi pas légèrement sucré… eh oui, ce n’est pas une plaisanterie !!!

Ainsi celles ou ceux qui vous diront que le sperme a un goût et une odeur désagréable ne seront que de fieffés menteurs !

N’est-ce pas là une bonne nouvelle pour les réfractaires à la fellation ?

Le sperme de chaque homme a donc une saveur unique, exclusive à lui-même, et le seul point commun avec celui de ses autres congénères masculins est, non pas le goût du liquide produit par les vésicules séminales, mais celui des spermatozoïdes eux-mêmes et qui reste immuable, sachant qu’il devient pratiquement imperceptible avec un sperme dont l’amertume a disparu suite à l’application de bonnes résolutions.

L’amertume et le goût ammoniaqué du sperme proviennent du fait d’une alimentation trop importante en viandes rouges en produits laitiers divers, en oignons, ail, en café, en épices, en boissons alcoolisées, en chocolat et en divers légumes comme les asperges, les brocolis, les choux de Bruxelles et tous ceux de la famille du chou.

Donc, à l’avenir si vous voulez que votre partenaire accepte et je dirais même, apprécie que vous éjaculiez dans sa bouche et après avoir « dégusté » votre liqueur séminale décide de l’avaler, vous voyez ce qu’il vous reste à faire, les dispositions à prendre étant bien peu compliquées.

1) Réduisez sérieusement votre consommation d’alcool et de café. Privilégiez le thé, surtout le thé vert et la camomille, et si vous le pouvez, dites stop au tabac… moi je n’ai pas réussi.

2) Buvez 1 à 2 litres d’eau par jour afin que celle-ci puisse contribuer à l’élimination de vos toxines.

3) Mangez beaucoup de fruits et en particulier des ananas, du melon, du raisin, des prunes, des pommes, des nectarines, de la papaye et des mangues ainsi que des agrumes comme les oranges, les mandarines ou le citron.

4) Mangez aussi beaucoup de légumes lesquels sont très efficaces pour effacer l’amertume du sperme.

5) Réduisez impérativement et considérablement votre consommation de viandes rouges car ce sont elles qui donnent ce goût salé à votre sperme, tout comme les produits laitiers, y compris les fromages.

6) Ne supprimez surtout pas le poisson mais privilégiez néanmoins les poissons peu salés comme le colin, le cabillaud, le maquereau et bien entendu tous les poissons de rivière tels la truite.

7) Si vous le pouvez, supprimez les épices de même que l’ail et l’oignon car ils possèdent une très forte teneur en soufre, goût que l’on retrouve dans le sperme.

8) De plus, sachez que le persil et le céleri contribuent très efficacement à donner au sperme un très léger goût sucré, tout juste perceptible, du fait de leur forte teneur en chlorophylle.

9) Dites halte à la »malbouffe » et ne fréquentez plus les fast-foods où ce que l’on y mange est non seulement désastreux pour la santé, pour l’organisme, mais contribue également à détériorer la saveur originelle de votre sperme.

10) Au besoin, si vous le désirez, complétez ce changement de régime alimentaire avec des compléments vitaminés à base de sélénium et de zinc, mais auparavant parlez-en à votre médecin-généraliste.

Vous voyez : rien de compliqué ni de trop contraignant pour que votre sperme devienne « la gourmandise préférée » de votre partenaire sexuel(le) !

Croyez-moi, quand elle ou il y aura pris goût… je n’en dirais pas plus… et rien ne vous empêche messieurs si vous décidez d’appliquer les recommandations du corps médical que je viens de citer, oui rien ne vous empêche de goûter régulièrement à votre propre sperme pour apprécier l’évolution de son goût, il n’y a rien d’inconvenant, d’immoral ou de honteux à cela, sachant que vous n’êtes pas obligés de le crier sur la place publique.

Je vais maintenant vous éclairer sur la composition du sperme.

A chaque éjaculation l’homme en produit approximativement l’équivalent d’une cuillère à café, une cuillère à café de philtre sacré, d’élixir du plaisir, soit de 2 à 6 millilitres, voir plus selon les individus et selon le degré d’excitation sexuelle.

Le sperme est ce que l’on pourrait appeler sur le plan nutritionnel un aliment complet, parfait et bienfaiteur pour l’organisme de celle ou celui qui l’ingère.

Il se compose de 90 % d’eau, de protéines en grande quantité, de fructose (sucre contenu dans les fruits), de sorbitol (sucre-alcool édulcorant remplaçant le saccharose), ainsi que de nombreux oligo-éléments et de nutriments, du zinc, de la vitamine C et B-12, celle dernière étant indispensable pour un bon fonctionnement du cerveau, du potassium, du magnésium, du phosphore, du calcium, etc…

Des études scientifiques ont même prouvé que le sperme est source d’autres bienfaits car il contiendrait des substances psychotropes ayant des effets proches à ceux du Valium.

Le sperme absorbé par voie buccale protégerait ainsi de la déprime et de la dépression, allez un peu d’humour que diable !

La fonction première du liquide séminal est d’accueillir les spermatozoïdes qui sont d’infimes cellules d’une taille de 50 microns, munies de flagelles, fabriquées lors d’un processus appelé spermatogenèse dans les tubes séminifères de nos testicules et ne pouvant être vues qu’au microscope électronique.

Le nombre de spermatozoïdes contenus dans notre sperme lors de chaque éjaculation oscille entre 20 et 150 millions selon l’âge de l’individu, sa condition physique et bien d’autres paramètres, sachant qu’un seul d’entre eux rencontrera l’ovule féminin et le fécondera.

Tout le reste du liquide composant le sperme est sécrété par les vésicules séminales et les glandes de Cowper, non loin de la prostate.

Une autre étude médicale aurait déterminé que parmi celles et ceux qui avalent la liqueur séminale de leur partenaire (ou la leur) seulement 5 % y seraient allergiques.

Après avoir lu tout ce qui précède j’espère que vous êtes convaincu(e)s que le sperme est totalement inoffensif si on l’avale et qu’il est bénéfique pour l’organisme.

Alors allez-y, faites-vous du bien et de plus votre partenaire redoublera d’affection et de désir pour vous, femme ou homme !

 

Serge Virinoviev

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4 réponses à Plaidoyer pour le sperme par Serge Virinoviev

  1. pomaris dit :

    Bonjour à tous,

    il se trouve que je bois mon sperme depuis l’age de 12 ans après mes premières et nombreuses éjaculations nocturnes dans mon lit… au point d’amidonner les draps !
    Un jour ma mère m’ayant pris entre 4 yeux, ma expliqué que je pourrais faire autrement que d’asperger les draps ou les mouchoirs… As tu déjà gouter à ton sperme ? Oups, question que je ne mettais jamais posé ! Tu devrais et en plus c’est très bon pour l’organisme!! Ben discrètement je l’ai fait au wc quand elle n’était pas là, c’était plus facile pour récupérer et y gouter , et le recracher le cas échéant ! Mais bien m’en as pris, et depuis ce jour là toutes mes masturbations se terminaient par la déglutition de mon sperme! Plus de traces dans le lit , ni les mouchoirs !! Quelques temps plus tard , ma mère me demanda si cela me plaisait, et je lui répondis en riant, plus que sur, je me nourris une dizaine de fois par jour ! T’est sérieux , ou tu blagues ? Sérieux lui répondis-je … T’en abuses trop, mais je vois que tu est en forme, cela ne regarde que toi.. Aujourd’hui encore à 70 ans passés, j’en profites encore, même si cela n’est plus que 1 ou 2 fois par semaine …

  2. Dudule dit :

    Je comprends tout à fait votre point de vue et souhaite que vous compreniez le mien. Il se trouve que je partage votre intérêt pour l’uro et que je n’étais pas alors intervenue. On se retrouve ici avec le même type de discours prosélyte, celui qui veut convaincre à tout prix, prôner le vrai et le bon, bien sûr pour rendre service et informer tous les ignorants (!) et qui selon moi est totalement contre-productif. Je n’aime pas avaler, je préfère tout recueillir dans ma bouche et faire boire. Il n’y a pas de bonne, meilleure ou mauvaise façon de faire, il n’y a ni ignares, ni incultes ni initiés, que des adultes avec leurs préférences, leurs convictions ou leurs certitudes, qui au demeurant pourront tout à fait évoluer. Chacun est libre de faire ses choix et le discours sur le « nectar sacré » et le « je te fais un cunni alors tu peux bien avaler », je trouve ça indigne de vass !

    • Jean-Claude Fissoun dit :

      bonjour Dudule,

      Non seulement je comprends votre point de vue mais de plus je le respecte et mon article est aussi à lire avec un peu de recul et d’ humour, une denrée rare par les temps qui courent.
      Sachez que je suis trop attaché à  » la Liberté  » pour être quelqu’ un d’ intolérant et je suis heureux que vous ayez lu mon plaidoyer et il n’ y a rien d’ anormal à ce que nous soyons en désaccord sur certains points, c’ est notre  » droit à la différence  » qui s’ exprime là.
      Comprenez-moi bien, je n’ impose à personne de faire les mêmes choix que moi tant sur le plan sexuel que sur celui du mode de vie en général. J’ ai tenté ici de convaincre les récalcitrants à cette pratique et qui le sont par un manque total d’ informations concernant le sexe en général, et ils sont beaucoup plus nombreux qu’ on ne le pense, mais je suis persuadé que c’ est loin d’ être votre cas et c’ est tant mieux.
      Concernant votre dernière remarque je veux simplement vous dire que ce texte n’ engage que moi et non notre ami Eddy, j’ en suis l’ auteur et j’ assume ce que je dis, mais je vais fermer cette parenthèse et conclure ma réponse que je ne veux surtout pas polémique croyez-moi. Oui c’ ‘est vrai j’ ai été volontairement quelque peu provocateur car je pense que de la provocation naissent la réaction et la réflexion, la preuve en est avec votre commentaire que j’ ai lu avec un franc sourire.
      Allez vous avez raison que chacune et chacun fasse comme bon lui semble mais cela n’ enlève rien au manque de savoir en matière de sexualité et puis…. les tabous, les interdits, les diktats, la morale institutionnalisée, l’ obscurantisme pour certaines et certains, font partie des fléaux de notre société où très peu de gens osent transgresser l’ ordre établi se référant à cette notion officielle du bien et du mal qui n’ est pas nécessairement la leur.
      En espérant avoir à nouveau l’ occasion de dialoguer avec vous.
      Bien cordialement.
      J C F

    • Jean Claude Fissoun dit :

      Bonjour Dudule,

      Non seulement je comprends votre point de vue mais de plus je le respecte mais mon article doit être lu avec un peu de recul, de dérision et d’ humour, une denrée rare par les temps qui courent. Sachez que je suis trop attaché à la  » Liberté  » pour être quelqu’ un d’ intolérant et je suis heureux que vous ayez lu mon plaidoyer. Il n’ y a rien d’ anormal à ce que nous soyons en désaccord sur certains points le concernant, c’ est notre droit de penser différemment,
      s’ inscrivant dans le droit à la différence, qui s’ exprime là.
      Comprenez-moi bien, je n’ impose à personne de faire les mêmes choix que moi, tant sur le plan sexuel que sur celui du mode de vie en général, non, j’ ai simplement tenté de convaincre les récalcitrants à cette pratique, et qui le sont par un manque total d’ informations et de connaissances sur le sexe en général,
      et ils sont beaucoup plus nombreux qu’ on ne le pense, mais je suis persuadé que c’ est loin d’ être votre cas et c’ est tant mieux.
      Concernant votre dernière remarque je veux vous dire que ce texte n’ engage que moi et non notre ami Eddy, j’ en suis l’ auteur et j’ assume ce que je dis et ce que j’ écris, mais bon fermons cette parenthèse. Je n’ ai pas du tout l’ intention de polémiquer ici croyez-moi, j’ accepte le dialogue, la discussion, la confrontation d’ idées à la seule condition que tout ceci se fasse dans le respect de l’ autre et puisse être bénéfique aux deux interlocuteurs.
      Oui c’ est vrai je me suis amusé à jouer les provocateurs car je pense que de la provocation naissent la réaction et la réflexion, la preuve en est au vu de votre commentaire que j’ ai lu avec un sourire cordial.
      Allez vous avez raison que chacune et chacun fasse comme bon lui semble mais cela n’ enlève rien au manque de savoir en matière de sexualité, notre pays ayant un retard considérable dans ce domaine. Et puis il y a aussi, les idées erronées, les contre-vérités véhiculées par le bouche à oreille, il y a aussi les tabous, les interdits, les diktats de la religion et de la morale institutionnalisée,
      l’ obscurantisme dans lequel certaines et certains se complaisent, tout cela étant un des nombreux fléaux de notre société où très peu de gens osent transgresser l’ ordre établi se référant à la notion officielle du bien et du mal sans chercher à se forger la leur.
      En espérant avoir à nouveau l’ occasion de dialoguer avec vous.
      Bien cordialement.
      J C F

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