Chère Marie ou L’art de la fessée par Olivier01

 

 

Note du Webmaster : Ce texte au style épistolaire a été placé parmi les articles et non parmi les histoires. En effet dans cette lettre la narratrice explique le pourquoi et le comment d’une bonne fessée !


Chère Marie,

Je viens de lire votre dernier courrier et comme vous me le demandez, je vous joins un petit  » mode d’emploi  » qui me paraît tout à fait correspondre à ce que vous m’avez demandé. Je pense que cette petite explication vous permettra de remettre les pendules à l’heure vis à vis de votre ami Olivier. Appliquez cette technique de bout en bout, je vous garantis que cela marche fort bien et que vous n’aurez par la suite, après quelques séances bien appliquées, plus de gros problèmes avec ce jeune homme : il vous suffira de le regarder d’une certaine façon… et il se calmera instantanément. Il n’y a rien de tel pour rabaisser le caquet d’un garçon un peu présomptueux, gaffeur ou insolent.

Bien amicalement Ma chère Marie, et faites-moi la grâce de me tenir au courant du déroulement des opérations.

PS : Je n’ai évidemment pas besoin de vous préciser que si vous rencontriez des problèmes pour appliquer cela, je me tiens à votre entière disposition pour vous aider à « maîtriser l’animal ».

Elise

PPS : il va sans dire que j’ai prévu cela pour un homme, mais que vous pouvez l’adapter à une jeune fille….


Comme je vous l’avais dit, je pense qu’une fessée doit s’accompagner du maximum d’humiliation. Tout d’abord, le futur puni doit le savoir largement avant afin de s’imprégner et de bien comprendre que la punition est inéluctable et qu’elle sera appliquée sans sadisme mais sans aucune faiblesse ni pitié.

Il faut être tout à fait claire et édicter distinctement que, compte tenu de son attitude détestable, il recevra une fessée très rapidement ; vous devez prévenir votre future victime au moins 24 à 48 h avant le châtiment : la peur et la réflexion sont toutes deux excellentes conseillères !!!!

Une fois la décision prise et annoncée, les ordres devront être donnés de façon très ferme, sans crier mais ils sont définitifs et toute réflexion ou tentative de rébellion sera comptabilisée en plus de la punition: cela devra être je pense annoncé à part.

par exemple:

« Tu vas recevoir une bonne fessée pour t’apprendre à vivre. Ton insolence ou ta rébellion te vaudra xx coups supplémentaires qui te seront infligés à la fin de la punition principale. Plus un mot et exécution car sinon… « 

L’instrument devra soit être prêt à servir dès que la date et l’heure prévues seront atteintes.

(Si la punition doit être infligée dans un autre endroit que la maison, il faudra faire transporter les instruments au puni : savoir que dans le sac qu’il porte se trouvent des engins qui vont lui rougir les fesses aura un effet extrêmement salutaire et ramollira si besoin en était toute velléité de rébellion)

Si la punition a lieu à la maison, soit le puni devra aller chercher le ou les instruments, soit ils seront en évidence, posés près du lieu choisi pour l’exécution.

Les instruments de la punition pourront être au choix : martinet, twase, paddle, strap, ceinture, lanière ou même, dans les cas graves cravache ou fouet…. Ou tout autre engin : je fais amplement confiance à votre imagination pour trouver d’autres outils de châtiment.

Avant de commencer la punition, il serait je pense de bon ton psychologiquement d’expliquer en détail au puni pourquoi il est puni, ce qu’il va recevoir, ce que mérite son ou ses attitudes etc…

En ce qui concerne la posture ou la position du puni à l’écoute de la sentence, ce sera je pense à votre convenance: les mains sur la nuque ou dans le dos, la tête baissée ou pas, à genoux ou debout etc…

De la même manière je ne sais pas s’il est besoin que le puni soit déjà en tenue pour sa fessée lorsqu’il écoute la sentence… je pense que non mais ça, cela ne dépend que de votre volonté.

Après l’exposé fait d’une voix calme et posée des motifs de la punition, vous devrez annoncer d’un ton définitif, le nombre de coups prévus et les instruments qui seront employés ; puis, il faut ordonner au patient de se mettre en tenue (si besoin) ou en place et lui expliquer très clairement la position désirée pour le châtiment: les mains, les bras, les jambes le torse, les reins cambrés ou pas, appuyé sur une table ou penché sur le dossier d’un canapé ou d’un fauteuil etc… Pensez à votre bien être, c’est cela qui compte afin que la punition soit distribuée sans fatigue ni gêne.

Je suis persuadée qu’obliger le futur puni à se déculotter lui-même est extrêmement salutaire et surtout bien plus humiliant. A ce propos, ne faites pas enlever complètement son pantalon et son slip à votre futur puni : vous ne devez frapper que sur les fesses et de cette façon, le dos et les cuisses seront ainsi protégés… tout en vous permettant d’admirer le fessier de votre puni, bien mis en valeur par les vêtements toujours présents, encadrant et enluminant votre  » cible « .

Il faut de même expliquer que toute tentative de protection des fesses par une ou des mains, que tout essai de se dérober, tout trémoussement obscène, tout changement de position vaudra à l’auteur un supplément gratuit… et non comptabilisé dans la punition elle-même; la punition prévue sera appliquée toujours jusqu’au bout, sans égard pour les plaintes, geignements ou supplications du puni: ces plaintes peuvent même, si elles dépassent les bornes de la bienséance, valoir à leur auteur une volée supplémentaire qui lui sera distribuée généreusement, soit au cours de cette punition, soit lors d’une future fessée si vous pensez que les limites de votre puni sont atteintes…vous verrez c’est assez facile de savoir si votre puni a atteint les bornes supportables : Les cris et geignements changent, l’attitude est différente, les supplications ont un accent qui ne trompe pas ; ne vous laissez pas abuser par des larmes de crocodiles que certains punis savent faire couler rapidement et avec abondance : vous connaissez votre victime, soyez impavide et INFLEXIBLE : il vous remerciera pour cela, vous verrez…

Donc en résumé, une fois les limites atteintes, rajoutez tout de même quelques sévères cinglages (4 ou 5 ) afin qu’il comprenne bien que c’est sérieux…

Les coups seront donnés donc, régulièrement avec une force à peu prés égale et sans violence inutile ou déplacée: c’est une punition réelle, donnée parce qu’il le faut bien. Ce n’est pas un jeu : les coups seront appuyés et fermes.

Une fois la fessée terminée, le puni devrait être – selon la gravité des fautes reprochées – mis au coin, les fesses rougies exposées à la vue de son fesseur et des éventuels spectateurs. Les mains sur la nuque, il restera là en exposition pendant quelques temps, afin de méditer sur les conséquences de ses actes…

Je pense que des photos peuvent être prises avant la fessée, mais que quand celle-ci est commencée, elle ne doit pas être interrompue… alors s’il y a un ou un spectateur (trice) celui-ci ou celle-ci pourront être chargés de prendre des clichés mais sinon, les photos seront prises à la fin du châtiment. Les photos pourront par la suite rafraîchir la mémoire du puni s’il devient un peu trop  » insolent  » : la vue d’un fessier rouge vif strié de belles raies nombreuses et parallèles lui fera sûrement un bien salutaire…et lui rappellera ce qu’il encourt en cas de faute.

Lorsque l’exposition au coin se termine, le patient est invité à se reculotter; à ce moment, il peut être utile de le sermonner une nouvelle fois en lui expliquant bien que tout manquement ou toute insolence, toute attitude agressive ou tout mensonge, toute plaisanterie douteuse ou bêtise sera répercutée sur ses fesses sans haine mais sans aucune faiblesse. La gentillesse et la patience ont atteint leurs limites hautes: toute faiblesse sera désormais bannie et toute infraction sanctionnée et, puisqu’il ne comprend que la manière forte, celle-ci sera employée à chaque fois que cela s’avèrera nécessaire, c’est à dire souvent et sans faiblesse aucune.

Pour ne rien oublier des fautes ou infractions commises, il est conseillé de posséder un carnet dont il sera fait mention plus bas dans cette lettre.

Je pense qu’une punition de ce type se doit d’être infligée sans aucune entrave ni lien car le patient doit l’avoir soit réclamée, soit savoir tout au fond de lui qu »il mérite amplement cette fessée. Si vraiment il n’y a pas moyen de le faire rester tranquille sous la fessée, il faudra l’immobiliser et toujours lui infliger un surcroît de claques non comptabilisées dans la sentence: toute peine mérite salaire.

Une fois que le puni est en position, la fessée peut commencer. Les coups doivent tomber régulièrement,  non seulement sur toute la surface exposée mais aussi assez lentement afin que la douleur de chaque coup soit répercutée dans les fesses avant que le coup suivant ne tombe.. Pour accentuer son humiliation, vous pourriez lui demander de compter les coups d’une voix haute et intelligible : toute erreur, omission ou faute entraînant automatiquement la reprise au tout début de la punition.

Par contre, lors des suppléments, les coups peuvent être assenés plus vite mais tout aussi fermement.

Pour ce genre de punition, il peut être utile de posséder une espèce de petit carnet ou noter les lieux, heures et infractions qui vaudront au puni de recevoir une nouvelle fessée. En effet, on ne pense pas toujours à tout… Il faut que cette comptabilité soit claire précise et non abusive: des faits et attitudes ou réflexions qui VRAIMENT nécessitent punition.

De temps en temps, il faut faire le point avec ce carnet de notes et… agir en conséquence: cela permet de doser justement le châtiment du puni.

Une fois la punition finie, on n’en parle plus, on met le carnet à jour et on est reparti pour une nouvelle vie, sur des bases clairement définies et rappelées éventuellement lors de chaque séance de fessée. Le puni doit comprendre et savoir que certes il est châtié car il a été méchant, désobéissant ou insolent mais que vous ne faites que votre devoir : vous le faites sans haine mais fermement. Une fois la punition complètement subie, vous pardonnez : il faut le dire clairement de façon à ce que le puni sache que tout est oublié.

Je pense que le top de ce genre de séance c’est que le puni sache et demande sa punition: cela démontre de façon éclatante qu’il sait qu’il a mal fait et qu’il réclame son châtiment et comme chacun le sait… qui aime bien…


Voila je pense quelques éclaircissements ou détails dont je suis sûre que vous ferez bon et cuisant usage.

A titre anecdotique, je vous ai ci-dessous recopié un texte dont j’ai imposé la calligraphie à un de mes soumis : cela pourra vous donner des idées, je pense ; de plus, je me souviens fort bien que mon soumis était très très mal à l’aise lorsqu’il m’avait remis ce petit mot que j’avais lu à haute et intelligible voix devant lui… il rougissait et se dandinait d’un pied sur l’autre, à ma plus grande joie…en effet, vous n’êtes pas sans savoir que j’adore fesser, que ce soit fille ou garçon d’ailleurs… mais peut-on appeler cela un crime ? je ne le pense pas

Voici ce texte :

 » Je reconnais que je dois être puni sévèrement car je le mérite: je dois être fessé d’importance comme un sale gamin qui ne comprend qu’une chose pour s’amender: la fessée. En effet, c’est la seule et unique façon pour que j’essaie de devenir quelqu’un de bien. Donc, Madame Elise, je vous demande de la façon la plus claire et la plus pressante de me fesser et de me punir quand je le mérite ou quand vous estimez que je dois l’être. Je le mérite encore bien plus que vous ne pourriez l’imaginer. Vos mains, le martinet, la cravache lors des fautes importantes ou renouvelées seront les instruments qui me démontreront votre courroux. Pour le reste, si vous en avez envie et pour parfaire ma punition, tout vous est possible. 

De toute manière, j’adore vous être soumis et tous vos ordres sont délices.

Si vous l’estimez nécessaire, vous pourrez me fesser et me soumettre devant des tiers, pour l’édification de certains ou de certaines

Bien à vous, respectueusement.

XXXXX


A bientôt j’espère le plaisir de vous lire

Elise.

peyrard-o@rocketmail.com
Première publication sur Vassilia, le 09/09/2001

Ce contenu a été publié dans Correspondances, Histoires, avec comme mot(s)-clé(s) , . Vous pouvez le mettre en favoris avec ce permalien.

3 réponses à Chère Marie ou L’art de la fessée par Olivier01

  1. Kevin14 dit :

    Depuis que de parfaits imbéciles ont interdit la fessée, ça m’excite encore plus de fesser ma copine (qui adore ça, la coquine)

  2. totobeware dit :

    Super histoire

  3. Marco dit :

    bonjour,

    cette lettre a quelques années mais elle est toujours actuelle.
    que de bons conseils.

    bien à vous

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *